• Aucun résultat trouvé

Le SNPHARE s’associe au Collectif « Santé en Danger » (Communiqué) – Toute La Veille Acteurs de Santé, le hub de l'info du secteur santé

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2022

Partager "Le SNPHARE s’associe au Collectif « Santé en Danger » (Communiqué) – Toute La Veille Acteurs de Santé, le hub de l'info du secteur santé"

Copied!
2
0
0

Texte intégral

(1)

Membre adhérent et fondateur de l’intersyndicale « Avenir Hospitalier » Membre adhérent de l’intersyndicale « Action Praticiens Hôpital », APH Membre adhérent de la Fédération Européenne des Médecins Salariés, FEMS

Docteur Anne Geffroy-Wernet Présidente

Docteur Emmanuelle Durand Vice-Présidente

Dr Anne Geffroy-Wernet Centre Hospitalier de Perpignan Service d'anesthésie-réanimation 20 avenue du Languedoc 66046 Perpignan Cedex 9 Tél : 04 68 61 77 44 Tél portable : 06 63 83 46 70 anne.wernet@snphare.fr

Dr Emmanuelle Durand

CHU Reims, Hôpital Robert Debré Service d’anesthésie-réanimation Rue du Général Koenig

51090 Reims Cedex Tél : 03 10 73 61 28 Tél portable : 06 60 55 10 65 emmanuelle.durand@snphare.fr

anwernet.snphar@gmail.com http://www.snphare.fr

COMMUNIQUE DE PRESSE du 13 août 2020

LE SNPHARE S’ASSOCIE AU COLLECTIF « SANTE EN DANGER »

Le SNPHARE s’associe au collectif multiprofessionnel « Santé en Danger », dont la mission est de faire réouvrir le Ségur de la Santé.

Le SNPHARE, comme de nombreux professionnels de santé, ne peut que constater l’échec du Ségur de la Santé pour l’hôpital public, et en particulier pour les praticiens hospitaliers.

Le SNPHARE regrette un protocole d’accord qui n’est favorable qu’aux praticiens en fin de carrière.

Aucune reconnaissance du temps de travail, notamment dans le cadre de la permanence des soins, n’a été envisagée, pas plus qu’une revalorisation salariale n’a été obtenue, alors même que les néo- nommés bénéficieront d’une suppression des trois premiers échelons et d’une reprise d’ancienneté. Les discussions sur la gouvernance se résume à un statu quo. Aucune solution au manque d’attractivité hospitalière n’a été envisagée sérieusement par les pouvoirs publics dans le cadre du Ségur. Aucune leçon de la première vague du COVID n’a entraîné de mesures pérennes.

Alors que 30 % des postes de PH sont vacants, alors que de nombreux PH continuent à quitter l’hôpital public, alors que cet été des listes de gardes pour des spécialités d’urgences sont incomplètes – a fortiori dans les zones touristiques à forte augmentation d’activité, et en pleine reprise de l’épidémie de COVID sur le territoire.

La santé de nos concitoyens continue à être en danger, et de plus en plus.

(2)

Membre adhérent et fondateur de l’intersyndicale « Avenir Hospitalier » Membre adhérent de l’intersyndicale « Action Praticiens Hôpital », APH Membre adhérent de la Fédération Européenne des Médecins Salariés, FEMS

Docteur Anne Geffroy-Wernet Présidente

Docteur Emmanuelle Durand Vice-Présidente

Dr Anne Geffroy-Wernet Centre Hospitalier de Perpignan Service d'anesthésie-réanimation 20 avenue du Languedoc 66046 Perpignan Cedex 9 Tél : 04 68 61 77 44 Tél portable : 06 63 83 46 70 anne.wernet@snphare.fr

Dr Emmanuelle Durand

CHU Reims, Hôpital Robert Debré Service d’anesthésie-réanimation Rue du Général Koenig

51090 Reims Cedex Tél : 03 10 73 61 28 Tél portable : 06 60 55 10 65 emmanuelle.durand@snphare.fr

anwernet.snphar@gmail.com http://www.snphare.fr

Le SNPHARE, avec l’appui du collectif « Santé En Danger », demande la reprise de négociations dès septembre 2020 sur les trois chantiers essentiels de l’attractivité hospitalière :

Réforme de la gouvernance de l’hôpital : le pouvoir médical doit être rendu aux professionnels de santé qui sont sur le terrain, sans ambition personnelle, maîtrisent l’outil de travail et on su montrer que c’est eux et eux seuls qui ont la capacité de transformer l’hôpital lors de la première vague de COVID

Ouverture du dossier de la permanence des soins :

o Reconnaissance de la place de l’hôpital public dans la permanence des soins o Reconnaissance du temps travaillé de tous les PH dans le cadre de la permanence

des soins :

gardes : écrire « 24 heures = 5 plages ou demi-journées » ou « une nuit = 3 plages ou demi-journées

et astreintes : reconnaissance de l’intégralité du temps mis à disposition de l’employeur

o Reconnaissance de la pénibilité du travail de nuit :

prise en compte pour la retraite

valorisation de l’indemnité de sujétion à hauteur de celle des hospitalo- universitaires

Correction du décrochage de 30 % de la grille salariale : reclassement, par principe d’équité, de tous les PH à + 3 échelons pour s’aligner sur la suppression des 3 premiers échelons des néo-nommés et la création des 3 échelons de fin de carrière.

Le SNPHARE, avec le collectif « Santé En Danger », saura mobiliser les praticiens hospitaliers

en l’absence de réponse adaptée rapide des pouvoirs publics.

Références

Documents relatifs

L’ARS soutient le travail conduit par les équipes du centre hospitalier, en lien avec l’ensemble des acteurs concernés et souhaite que ces travaux continuent,

S’agissant des patients en situation de handicap, ils bénéficient d’une meilleure prise en charge avec la revalorisation de la séance de soins (plus longue et plus complexe)

Vice-présidente : Dr Emmanuelle Durand, anesthésiste-réanimateur, CHU Robert Debré, Reims Secrétaire général : Dr Eric Le Bihan, anesthésiste-réanimateur, CHU Beaujon.

La Chine commence à se sortir tout doucement de la crise sanitaire apr s deux mois d un confinement total très strict. Nous n avons pas les moyens de tol rer la moindre diffusion de

L'heure est à la prise en charge des patients, comprenant l’extension des capacités de prise en charge, et à la protection des soignants : le SNPHARE réitère

L’Agence Régionale de Santé, la Fédération Hospitalière de France, la Fédération de l’Hospitalisation Privée, la Fédération des Etablissements Hospitaliers et d’Aide à

Cette reconstruction impose que l histoire ne soit pas réécrite à la sortie de cette crise Le SNPHARE se mobilise pour que la vérité sur cette crise soit faite

Non seulement le matériel de protection a été insuffisant, entraînant une politique erratique appuyée sur la pénurie plus que pour la science, avec pour conséquence des