Publisher’s version / Version de l'éditeur: Note d'information sur la construction, 1985-03-01
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Habitations à faible consommation d'énergie dans les prairies : étude
de quelques caractéristiques essentielles
Dumont, R. S.; Orr, H. W.; Lux, M. E.
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ISSN 0702-5224
HABITATIONS
A
FALBLE CONSOMMLLTIOND'
GWERGLE
DANS LES PRAIRIESetude de quelques caractgristiques essentielles.
R.S. Dumont, H.W- Orr et M.E. Lux
,. u,. :
Ottawa., mars 1985
COMSEIL NATIONAL DE RECHERGNES DU CANADA
DIVISION DES RECHERCHES EN
B A T Z M E ~
HABITATIUHS
FAIBLE CONSUMMATION D' ~ N E R G I E DAN3 LES PRAIRIES6tude de quelques caractEristiques essentielles
Pa=
R.S. Uumont, H.W. Orr e t M.E- Lux
Ottawa mars 1985
H A B I T A ~ O N S
i
TAIBLE CONSOEWLTIMP D ~ N E R G I E DANS LES PRAIRIES Etude de quelques caractSristfques essentiellesPa=
R.S. Dumont, H.W. Orr e t M.E. Lux
INTRODUCTION
Depuis 1973, l'augmentation rapide des c d t s Energstiques a poussg
I
rgduire la consommation d'gnergie dans tous l e s secteurs de lt6conomie. le march4 de l'habitation a vu apparartra des maisons dont l'enveloppe
a d l i o r k permet. d e r a u i r e consid'erablernent les besoins en chauffage des locaux. Ces maisons ont recu plusfeurs noms : "maiscns
a
f a i b l econsomation d'energie", "maisons surisol&s", "maisms
3
boa rendement Energgtique" ou "maisons peu gnergivores". Cet arti-cle resume et simplifie les documents c i t h aux rgfgrences 5, 6 et 8.L'expression "maisons
a.
f a i b l e cansomation d ' h e r g i e " sera u t i l i s g e .L ' a d j e c t i f "surisol5" n'est pas tout
3
fait exact, car Les maisons 3 f a i b l e consommation dt6aergie comprennent parfois des caract6rlstiques qui n'ont rien 3 voir avec la renforcernentr de Ifisolation : GtanchEit'e 3 l ' a i r ,coatrdle de
l a
ventilation avec rGcup6ratian de chaleur, fenetres orientgesau sud pour capter 1'Energie s o l a i r e ou installations de cltauffage 3 haue rendemeat.
Yks caract6rtstiques dtEconomie dT6oergie choiaies pour la plupart des malsons
a
faibfe consommation dans la rggian dea Prairies s o n t :lr6tanch&it6
d
l'air, une plus grande Spaisseur d'isolant, un Schangeur de chaleur a i r a i r et des fengtres sur la f a ~ a d e sud. La rgfgrence 5 offre unc description p l u s d g t a i l l g e de ces maisons,kfi~k16
2
L'AIU11 eziste plusieurs mgthodes pour assurer ltEtanchSit6
a
Itair des habitations; la p l u s courante dam la rGgian d e s P r a i r i e s a SEE j u s q u ' i c il'installation d'ane p e l l i c u l e de polygthylsne cumme pare-vapeur e t
pare-vent combtnk. I1 f aut vef l l e r particull&rement au c a l f eutrage des
j o i n t s a f i n d'assurer la continuit6 de cet Scran. Un produit drEtanch6iti5 peu coateux 3 base de butyle, vendu camme produit dlQtanchGit'e. acoustique, scelle les feuilles de polySthylCne les unes aux autres. Chaque joint dans
le p o l y E t h p l h e doit &re
fixS
solideuient entre les g l h e a t s rigides. Dep l u s , on c h o i s i t habituellement des portes et des fengtres qui sont relatfvement gtanches 3 l'ais.
*
A Saskatoon, une quarantaioe de maisons 3 f a i b l e conso-tion dtEnexgIe
constmites selon ces mgthodes dlbtanchGisation, ont s u b i un essai de m i s e en d~~ression. ~n ventilateur install6 3 .l'entre'e des maisons a soumis ces dernisres
a
uae pression nEgarive allapt jusqut3 envf r o n 100 P a .IR
dtibit volume d'air a 6ti5 notg, et la surface de f u i t e Equivalente calculge selon la nome pertinente de l'0f f i c e des n~rmes gsngrales du ~ a n a d a . ~ Lergsultat des essais e s t i n d i q d au tableau 1 , ainsi que la moyenne des rzsultats obtenus pour quelques rnafsons de construction courante quf ne
poss&daient pas ces caract:&riatiques spEcfales dt6tancKitE 5 l'air. La
surface de fuite gquivalente des maisoas 3 Eaible consommation 6tait en moyenne
47
p . cent moins &tendue que c e l l e des maisons normales. C'est pourquol on juge habituellement Gcessaire da contrsler la ventilation a f i n de prgserver l a q u a l i t d de l'air des maisons a d l i o r 6 e s .Lorsque lr&taneh6it6 5 I'ait e s t assurge, il e s t p o s s i b l e d'utiliser un Echangeur d e chaleur air-air dam lequel la chafeur du f l o t d'alr 6vacu6 prgchauf f e ltair neuf .8 k n s llOuest canadf en, des maisons t y p e s ont E t B
dotdes dr6changeurs de chaleur ddnt le d 5 b i t de calcul oscille entre 30 et
100 L / s d'air (entre 60 et ZOO pcm). I1 exfste plusieurs fabricants canadlens dt6changeurs de chaleur a i r a l r , a i n s f qutun grand nornbre de producteurs euro@ens et n o d - a d r i c a i n s
-
Dans les rsgions 03 lestempiiratures baissent sous zgro, l e s Schangeurs de chaleur sont gGai5ralement munis d'un cycle de dggivrage autamatique a f i n d'6lirniner les dgfits de givre et de glace
2
l'intgrieur des appareils. Pour un 6chantlllon dc 5 gchangeurs de chaleur mis 3 l'essai p a t le Lawrence Berkeley Laboratory, entre 43 et 75 p. cent environ de la chaleur sensible prgsente E t a i t rranefErGe de l ' a i r Gvacu6 2 Itair neuf.1°SURISOLATZON
La deuxisme caractgristique de ce programme d'gconomle dvi5nergie consiste 3 renforcer l'i~olation*~ Dans ltauest canadien, l e s maisons 3
faible consommation sont habituellement eorrstruires avec des murs t r g s
E p a i s , a f i n de permettre la pose d e deux ou trois f o l s plus d ' i s o l a n t que ne llexige la norme minimum. LC tableau 2 indique les r5sistances therrniques dofinties
2
la pluparr de ces maisons.Un grand nombre de conceptions murales ont
St&
6laborges pour permettre cette surisolation. P l u s i e u r s combinaisons e t v a r i . a t i o n s s o n t p a s s i b l e s , mais les trois types de rmrs l e s p l u s courants, tels qutillust.r6s 3 lafigure 1 sont :
I . le m r
2
pateaux simples avec revgtement extgrieur i s u l a n t ;2. le mur
2
poteaux simples avec fourrures int6rieures horizontales enbois;
3. le mur b poteaux jume16s.~
Dans les deux derniers cas, le pare-vapeur et le pare-vent sont souvent placgs 5 lvint&rieur du mr. A f n s f , le risque est moins grand qu'ils soient traversgs par les fils Electriques et la tuyauterie ou endomages pendant la construction. La tgfgrence 8 donne une d e s c r i p t i o n p l u s d g t a i l l g e de l a construction des lmrs 5 poteaux s i m p l e s e t 5 potaaux jumel8s.
Le tableau 3 teproduit l e s donnEes d t u n a r t i c l e par Dmont et Orr sur le c ~ D t (pour 2978-1981) de murs
a
ossature de bois isolks axant unergsistance thermique entre KSI 2,l (R12) e t R S I 10,6 (R60) .8
Par souci dt6conomie, un i s o l a n t en matelas ou en vrac e s t
ordinairement employ5 pour le plafond. D e s matelas de f i b r e de verre, auxquels est parfois ajautE un revetement i s o l a n t r i g i d e , sont le plus souvent u t i l i s h s pour les murs. Dans le cas des murs de sous-sol,
s ' e s t S p a n d u e . Lorsque les murs de sous-sol sont en bgton, la technique la p l u s courante conslste 2 e n f e m e r des matelas de fibre de verre dans un rrmr 3 ossature de b o i s Erig6 contre le BUT de bGton, 3 ltfnt6rieur. Certains entrepreneurs ajoutent des isolants rigides extsrieurs sur la partie hors
Lerre d e s mrs de sous-sol en bgtan. Lorsque les planchers de sous-sol en bEton sont i s o l i k , du p o l y s t y r h e rigide, souvent du genre extrudg 2
c e l l u l e s femEes, est posE avant la coulge du bston. Pour les constructions avec v l d e s sanitaires sous des planchers de bois, les matelas de fibre d e verre sont les i s o l a n t s les p l u s courants.
Le troisiZme Gl6ment de ce programme drEconomie dtEnergie e s t la f e n e s t r a t i o n au sud q u i permet d e profiter des apports solaires gratuits.8 Les nouvelles maisons sont p l a n i f i g ~ s de fason qu'au m i n s 7 5 p. cent des
f e n g t r e s soient orient'ees au sud. A ltintGrieur de la plupart d e s maisons 3 faible consommatlon construites jusqu'a maintenant, les murs et les plafonds
s o n t revetus de plaques de p l a t r e ordinaires et l e s planchers sont en bois. Dans quelques constructions, on a essay6 d'augmenter Le tendement thermique des i5lGments intiirieurs afin q u ' i l s c a p t e n t l'gnergie s o l a i r e entrant par les fenPtres o r i e n t g e s au sud. Si les ouvettures vitrges qui donnent au s u d sont grandes, d'importantes variations de tempsrature peuvent se produire.
L'aire des fenetres sur la faqade sud e s t la pluparr du temps
relativement p e t i t e , Le rapport entre l ' a i r e des f e n g t r e s au sud et l'aire d e plancher t o t a l e est g5nGralement de 6 p. cent. A i n s i , on donne aux maisons ayant uae a i r e de plancher t o t a l e , sous-sol c o m p r i s , de 200 mstres carrks e n v i r o n 12 rnstres carriis de fenstres au sud.
Afin d'augmenter l'apport thermique net des fengtres sur la facade s u d , des triples vitrages ou des v o l e t s d'isolation peuvent Etre install&. Iks porte-$-faux ou d e s auvents prgviennent un t r o p grand apport de chaleur pendant Ies mois d 7 G t E en rgduisant Itincidence du rayonnement solaire
d i r e c t par l e s fenstres en face sud. Un auvent f i x e e s t souvent p l a & 3 ces fenstres de t e l l e sorte qu'il laisse entrer t o u t l e s o l e i l , du dgbut de novembre aux premisres semaines de fGvrier. IdEalement, le protecteur e x t g r i e u r d e v r a i t Etre mobile mais, pour d e s raisons d'architecture et d e s i m p l i c i t 6 , l'auvent e s t gEnEralement ffxe.
L e s apports d e chaleur par l e s fengtres du c8tG sud varient s e l o n
l'endroit et l'gpoque de llann&; si on en t5tablit La moyenne pour la saison de chauffe, les apports s o l a i r e s contribuent entte 25 et 50 p . cent de la chaleur t o t a l e t e q u i s e pour chauffer les locaux.
APPORTS DE CBALEUR INTERNES
Les apports i n t e r n e s fournissent souvent one bonne partfe de la chaleur r e q u i s e pour chauffer les locaax dans les maisons B f a i b l e consommation d'gnergie. Au Canada, une maison type resoit un apport de chaleur i n t e r n e d ' e n v i r o n 1 kilowatt, rgparti sur une pgriode de 24 heures. L e s sources sont les lampes, les a p p a r e i l s glectriques, l'eau chaude et, enfin, la
chaleur dEgagSe par les occupants. 11 n'est p a s rare que dans les maisons 5
internes fournissen~ environ 40 p . cent de la chaleur reqoise annnellement pour le chauffage d e s locaux.
.
A mesure que le rendement d e s appareils Glectriques et d e s
installations d'eau chaede slamGliorera, il e s t probable que les apports d e chaleur internes diminuerant.
Un c e r t a i n nombre d'gtudes ont E t C rt3alisGes sur la performance des maisons 3 f a i b l e consommation d1Gaergie. Un article paru en 1980 p r s s e n t e les rgsultats pour un groupe de 1 3 maisons s i t u g e s 3 Saskatoon. l La
consommation energgtique pour 1e chauffage des locaux a 6 t G mesur'ee pour une pgriode d'un an. La moyenne pour les 13 misons g t a i t de 218 kI3/m2
( 5 , 6 k ~ h / ~ i ~ ) , a l o r s que pour des maisons canstruttes avant 1970 la moyenne E t a i t de 632 M J / ~ ~ (L6,3 kWhipi2 ). Durant 11ann6e de contrate, Ies
degrgs-jours de chaleur se sont Glevgs 3 5663°C-jours (base 1 8 ' ~ ) . Compte tenu du p r i x de ltGnergie actuel (1982), 1e codt annuel du chauffage pour Tes maisons traditionnelles varierait e n t r e 600 e t 1 500 $ ou plus; pour les maisons B faible consommation dT6nergle, 11 correspondrait environ au tiers d e c e t t e some.
La
meilleure consomation Cnergctique enregistrGe pour ce dernier groupe a 6tG de 121 M J / ~ ~ ( 3 , l k ~ h / ~ i ~ ) pour la p g r i o d e decont rale.
Un c e r t a i n nombre d'erreurs d e conception ont StE tenues responsables d e la consoamation plutiSt Glevge d e p l u s i e u r s de ces maisons
"A
f a i b l e consomation df6nergie". P a r d ces errcurs :1. une surface vitrge trop grande au sud, causant u n e importante dgperdftion d e chaleur l a nuit e t une surchauffe durant les j o u r s e n s o l e i l l E s ;
2 . des murs et des plaachers de sous-sol peu f s o l S s , entraPnant d e grandes pertes d e chaleur saisonniSres;
3. une 6tanchSitG 3 l'air iasuffisante due 3 des d g t a i l s d'ex5cution inadsquats ou
2
une mauvaise i n s t a l l a t i o n du pare-vapeur e t du pare-vent;4. la pose d ' u n vitrage d o u b l e plutat que d'un vitrage t r i p l e ou d l u n vltrage double aver fsolation nocturne;
5. des surplombs m a 1 conqus aux fenCtres en face sud, bloquant le rayonnement s o l a t r e pendant la safson d e chauffe.
Si certains propriGtaires d'habitatioas 5 f a i b l e consomation ont construit ou achet6 leur maison en se fondant sur le critgre d l u n meilleur confort ou de l a f a c i l f t g de chauffage, l a diminution de la facture de chauffage n t e n e s t p a s moins un facteur important. Ia note t r a i t a n t du
"Cofit des mesures d q 6 c o n o d e d'gnergie dans les habitations neuves8", parue en 1982, prEsente d e s donnses sur les cozts diff5rcatiels eatralfngs par les caractEristiques d'gconomie d'gnergie : meilleure gtanchgitg 5 l'air,
gchangeur de chaleur, meilleure isolation des murs, du p l a f o n d et du
planchet, fengtres 3 c r i p l e v i t r a g e , e t c . Un des tableaux de la n o t e montre les proprigtzs thermiques d'une maison thgorique, c o n s t r u i t e selon l e s
normes minimales puis am6liarEe. Les besoins annuels en chauffage de la m i s o n passent de 510
~ ~ l r n ~
37 4
MJ/mz.Le
cotit des am6liorotions s'elsve 3 5 020 $ (environ 10 p. cent du coet dc construction de la maison). Letableau 4 indique quellcs caract~ristiques permettent d'obtenir cette rEduction de la consomation dt6nergie.
Pour certaines des maisons 3 faible c~~~sommation, des Sconomies ont
6tS
r E a l i s k s sur le coiit d'installatjoa du ehauffage, puisque les besoinscalorifiques de p a i n t e sont rEdaits de beaucoup par rapport 2 ceux d'une
habitation cuurante. Dans l'exemple t h h r i q u e d6j3 mentioan5, la perte de chaleur priivue de la maison p a s s e de 10,8 kW pour la maison conform aux normes minimales
a
4,2 IcW pour la maison 3 faible consommatian, Gtant donu6 une temp6rature extiirleure de-34°C.
On a rgussi 3 rGduTre de beaucoup le besoin de chauffage des locaux d e s maisons 3 f a i b l e consommation d16nergie csnstruites jusquta maintenant. Un certain nombre de gali is at ions techniques pourrait augmenter encore
davantage l a rentabilitE de ces maisons. 11 faudrait en particulier
amiZliorer la rSsistance thermique des fengtres. Actuellement, une fengtre 3 t r i p l e vitrage avec lames d'air de 12,7 mm dispose d'une rgsistance
thermique d'environ 0,57 win2-
"c;
ceci e s t bien f nfgrieur 3 la r6sistancedes murs et des p l a f o n d s des maisms Zi f a l b l e cossanmration, qui varie entre 5 et 10 w / ~ ~ - O C . D'autres f aceeurs paurraient permettre d'aecrartre la
r e n t a b i l i t ' e de ces maisons, conme par exemple la production en sgrie
dt&changeurs de chaleur air-air, pour en rEduire le prfx. En 1982, le prix dtachat et d'installation d r u n Gchangeur de chaleur pour une maison type o s c i l l a i t entre 7 5 0 e t 1 000 $ environ.
Pour on certain nombre d e maisons S f a i b l e consommation, la note
annuelle dteau chaude e s t p l u s Slev& que c e l l e du chauffage des locaux, ce qui indique m autre secteur possible dla&liarations et dt&conomies.
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Residential A i r-to-Ai r Heat Exchangers: Test He t hods and R e s u l t s
,
LBL Repgrt 12280, University of California, a t Berkeley, 1981.TABLEAU 1 ~ S U L T A T E DBS ESSAIS DE MISE EN D ~ I B S S I O N D'UN
CHANTI ILL ON
DE HAISONS A SASKATOOHSurface de f u i t e Nombre tie maisons mises i g e des raaisms bquivalente (m2) 8 ltessai
Maisons 3 faible consomation dtEnergie 0,0330 Maisons courantes Avant 1945 0,1078 1946-1960 0,0709 1961-1980 0,062 1 - - - . - . . . . Murs hors terre
Pl af onds
Murs sous terre Planchers (au-dessus
d'un vide sanitaire) Planchers (isolant
sous
le
bgton) Valets des fengtresTABLEAU 3 C O ~ T DES PinRS POOR DES NIVEAUX CROISSANTS D'ISOLATLON
M s i s tance Coat des mrs*
thermlque par unit& de
d e s nturs superficie
Type de construction des murs (w/m2- " C ) ($/m2)
2 . Mur de base
poteaux simples de 38 x 89 mm
avec matelas de f i b r e de verre 2 ~ 1
2. Poteaux simples de 38 x 89 m
avec matelas de fibre de verre e t
rcv8tement mousse isolant de valeur RSI 1 , 4
3. P,oteaux simples de 38 x 140
mm
avec rbatelas de f i b r e de verre e trev6tement mousse isolant de valeur RSI 1,s
4. Poteaux jumelss de 38 x 89 mm avec matelas de fibre d e verre; gpaisseur totale d'isolant =
247 mm
5. Poteaux jumelgs de 3 8 x 89 nrm
avec matelas d e f i b r e de verrk; Gpaisseur totale dlisolaat =
450 mm
LO,
6 35,16*Ne comprend p a s 1e cofit: d e s plaques de platre intErieures et de la finition extgrieure, mais comprend l e s coats supplfmentalres de f i n i t i o n , de toiture et de bardage entratnEs par la plus grande Epaisseur des mrs.
Maison t y p e Maison $ f a i b l e consommation RSsis tance therrnique (w/m2- "C)
Plaf ond 4 , 9 Murs 2,2 Fens t rcs 0,30 Murs du sous-sol hors terre sous terre P lancher
Renouvellemnt d'air par heure
Orientation de la fengtre S N E 0 Perte de chaleur de c a l c u l 3 -34°C ( k ~ ) 0 , 2 (avec Gc hangeu r de chaleur) FenEtres 3 double FenGtres 3 t r i p l e
v i t r a g e vi t rage
Besoin annuel de chauffage des 99 G3 14 GJ
locaux pour une annGe normale (27 400 kwh) (3 940 kwh) 3 Saskatoon; tempErature
intErieure de 21°C et apport 510 w / m 2 74