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Remuer ciel et terre. Apport du LiDAR à l'archéologie

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Academic year: 2022

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APPEL A PROJETS « ACTIONS DE RECHERCHE 2020 »

DEMANDE DE SUBVENTION

COLLOQUE 1. Fiche projet de la manifestation

Description de la manifestation

Nom de la manifestation

REMUER CIEL ET TERRE Apport du LiDAR à l’archéologie

Enjeux, méthodes et études de cas dans le GE et les régions

périphériques

Dates

11-12 décembre 2020

Lieu

Remiremont (88)

Nombre de conférenciers

invités

20

Nombre des membres du

comité scientifique

6

Nombre des membres du

comité d’organisation

3

Nombre de participants

escomptés

150 à 200

Budget prévisionnel global

de la manifestation

10 100,00 € (Dix mille cent euros)

Organisateurs

Unité organisatrice

EA 1132 – Hiscant-MA

Directeur.trice de l’unité de

recherche

Guy VOTTERO

Nom de l’organisateur.trice

Charles KRAEMER

Fonction

Ingénieur de recherche

Contact mail

Charles.kraemer@univ-lorraine.fr

Gestionnaire de l’unité de

recherche

Véronique Dieudonné

Contact mail

Véronique.dieudonne@univ- lorraine.fr

2.

Présentation de la manifestation scientifique

(Une page et demie) Thème

Douze ans après l’exécution, pionnière en France, d’un LiDAR archéologique sur le massif forestier du plateau de Haye (Grand-Est, Meurthe-et-Moselle), réalisé à l’initiative d’un chercheur du Service régional d’archéologie en collaboration avec l’INRA, cette méthode de prospection archéologique innovante, dont on a pu mesurer l’apport considérable, fut largement étendue à d’autres espaces, forestiers ou non. Dans la région Grand-Est, la dernière en date, sur le massif forestier du Fossard (Vosges) situé en contexte de moyenne montagne, a été mis en œuvre dans le cadre d’un projet de recherche pluridisciplinaire sur trois années (2018-2020) visant, entre autres, dans une démarche d’archéologie environnementale, à mesurer l’incidence qu’eut la première abbaye de Remiremont (Saint-Mont, Saint-Amé, Vosges) fondée au VIIe siècle dans un

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castrum antique, sur le peuplement de la région et la gestion des espaces agraires et forestiers.

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Etat de l’art et originalité de la manifestation

Le projet AGER fait écho au colloque pluridisciplinaire Vivre dans la montagne vosgienne au Moyen Âge. Conquête des espaces et culture matérielle, organisé à Gérardmer et à Munster les 30, 31/08 et 01/09/2012, (Kraemer, Koch 2017). Il s’inscrit également dans le prolongement des fouilles de l’abbaye alto médiévale, principal site archéologique de la région, dont l’un des espaces funéraires a été réexaminé de 2014 à 2016, dans le cadre d’un programme de recherche sur l’organisation topographique des abbayes de hauteur du premier millénaire (Kraemer, Chenal 2018).

Ainsi, dans une démarche d’archéologie environnementale, l’abbaye, le castrum antique dans lequel elle prit place et le prieuré qui lui a succédé jusqu’à la Révolution, ne sont plus étudiés pour eux-mêmes, mais comme des objets anthropiques, ayant contribué à impacter le paysage, naturel ou déjà anthropisé, dans lequel ils furent implantés. Plus largement, la question qui se pose est de savoir si, sur ce secteur de moyenne montagne au contact des Vosges cristallines et gréseuses, les forêts denses qui se sont développées après la disparition des glaciers, vers le dixième millénaire avant notre ère, ont subi depuis le Néolithique, les mêmes alternances de défrichements et de reforestations que d’autres régions (Chalvet 2011 ; Brosse, 2000).

Afin de répondre aux besoins de la démarche archéogéographique, laquelle se fonde pour l’essentiel sur l’analyse de documents planimétriques pour questionner sur la longue durée, sur la dynamique des réseaux viaires, des trames parcellaires et, d’une façon générale, des paysages, le choix a été fait de réaliser une cartographie LiDAR (Light Detection And Ranging) permettant, à partir d’un radar laser aéroporté, de réaliser des mesures à distance, y compris sous le plus épais des couverts forestiers, et d’obtenir un MNT (Modèle Numérique de Terrain) à grande échelle, susceptible, grâce à sa grande précision, de mettre en évidence la quasi-totalité des microreliefs du sol résultant de phénomènes naturels ou anthropiques, pas toujours perceptibles lors de prospections pédestres (Georges-Leroy et alii, 2011).

Expérimenté en Grande-Bretagne au début des années 2000, cette technologie innovante a, depuis, été mise en œuvre pour détecter, en milieu forestier comme en milieu ouvert, toutes sortes d’informations intéressants le géomorphologue, le géologue, le géographe, le pédologue, le phyto-sociologue, ainsi que l’archéologue et le géohistorien.

Problématique et objectifs

En s’adossant à un premier bilan d’étape du projet AGER (Archéologie et Géoarchéologie du premier Remiremont et de ses abords) lequel s’inscrit dans la longue durée, le colloque s’est fixé pour objectif de montrer l’apport du LiDAR à l’archéologie dans le Grand-Est et les régions périphériques depuis sa première utilisation sur une forêt du plateau lorrain en 2006.

Il participera, de ce fait, à la réflexion, engagée par ailleurs, sur la géohistoire et la géoarchéologie des paysages agraires et forestiers de la région Grand-Est en alimentant le débat d’études conduites dans les régions et pays voisins. D’une façon générale ce colloque sera une contribution aux questionnements sur les relations « Homme-Environnement », sur les interactions « socio-naturel », sur les modalités spatio-temporelles de l’anthropisation, sur la résilience des phénomènes, sur la durabilité des systèmes

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environnementaux, sur la relation entre l’« ancienneté des forêts » et la biodiversité …

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Axes de réflexion

Partant des préoccupations scientifiques du projet de recherche AGER le colloque s’organisera en troix axes :

1 - Géohistoire et géoarchéologie des paysages agraires 2 - LiDAR et pluridisciplinarité

3 - Réflexion sur les méthodes de traitement des images LiDAR réalisées sur des espaces aux reliefs contrastés et de détection automatique de formes

Inscription dans la stratégie scientifique du laboratoire et/du pôle

Ce colloque, prolongement d’une recherche financée depuis 2018 par le pôle TELL, la MSH Lorraine, la DRAC Grand-Est et des collectivités territoriales vosgiennes, procède d’une réflexion globale sur l’archéologie des moyennes montagnes et participe de l’histoire générale de la forêt en lien avec les évolutions climatiques et la dynamique de l’homme sur son milieu.

Pour toutes ces raisons, il es partie prenante de l’Axe 2 de l’EA 1132 – Hiscant-MA Pouvoirs et identités dans l'Antiquité et au Moyen Âge : espaces, cultures et techniques

3.

Stratégie de communication et de diffusion (Une demie page)

Avant le colloque : diffusion de l’appel à communication, médiatisation du colloque

Diffusion sur tous les organes de médiation spécifiques comme Calenda, Menestrel, et les réseaux sociaux à résonnance nationale et/ou internationale spécialisés dans le Moyen Âge comme le réseau des médiévistes le Groupe d’histoire des forêts française, la revue française des forêts, tous les organes spécialisés dans l’usage du scanner aéroporté, sans oublier les médias internes de l’Université de Lorraine

Pendant le colloque : captation, photos, vidéos, conférences grand public/concours

Un enregistrement vidéo des communications est envisagé pour une mise en ligne avec l’accord de chacun des contributeurs.

Organisé dans le cadre du 1400e anniversaire de la fondation de la première abbaye de Remiremont, ce colloque en clôturera la série de manifestations scientifiques et culturelles organisées sur l’année 2020. Pour cette raison il est naturellement ouvert à un public large, de passionés et d’érudits locaux.

Après le colloque : publication, diffusion médias, conclusions scientifiques

La publication des actes est prévue dans un délai d’un an après le colloque soit dans un revue spécialisée à comité de lecture, soit aux Editions universitaires lorraine dans la collection : Archéologie, Espaces, Patrimoines. A cet effet, une demande de financement sera à nouveau adressée au pôle TELL, en 2021.

Ce colloque est également un élément fort qui interviendra dans la décision de classement d’une partie du massif forestier du Fossard au titre des sites naturels (dossier en cours par la DREAL Grand-Est) voire comme « forêt d’exception ».

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Appel à communication et le programme

Colloque

REMUER CIEL ET TERRE Apport du LiDAR à l’archéologie

Enjeux, méthodes et études de cas dans le GE et les régions périphériques

11-12 décembre 2020 à Remiremont

Inventée dans les années 30, la télédection et télémétrie par imagerie laser permet de mesurer et d’obtenir des informations sur un objet, sans contact physique avec lui. Utilisée par la NASA en 1971 pour cartographier la Lune, cette technologie scanner aéroportée permet, grâce à la forte densité d’impulsions laser émises, de détecter tous les détails du sol, y compris les microreliefs. Sur Terre, son usage s’est progressivement étendu à la cartographie de grandes surfaces ou à celle de sites d’accès difficiles aux opérateurs de terrain, pour des applications touchant à de nombreux domaines, dont l’hydrologie, la foresterie, l’agriculture, l’étude des risques naturels et plus généralement de l’environnement et à l’archéologie, depuis l’expérience menée, en 2001, sur le site britannique de Stonehenge.

Exigé par les autorités dans le cadre d’un plan de gestion du site, ce relevé a, en effet, fourni des données archéologiques inédites et inattendues (Bewley et alii 2005). Dans le même temps, la mise au point d’algorithmes excluant de l’acquisition les retours d’onde n’ayant pas atteint le sol, permettait, «de voire au travers des arbres» (Amable et alii 2005). Les espaces forestiers jusqu’alors vierges ou presque de toute prospection, tant il était difficile d’y repérer les vestiges anthropiques, pouvaient désormais livrer leurs secrets.

On sait depuis, par le biais de missions fortement médiatisées conduites dans les vastes forêts tropicales de l’Asie du Sud-Est et d’Amérique du Sud, (la dernière, au Guatemala, datant de 2018) combien Le Lidar a bouleversé les perspectives

en passant de l’étude d’un site particulier

à celle des paysages alentour pour le remettre en contexte et transformé radicalement la compréhension et la gestion futures de l’environnement historique, En France, une des toutes premières expériences de ce genre et la première sur une grande superficie (env. 120 km²) a été conduite en 2006, dans la forêt de Haye, aux abords de Nancy, sous la houlette de Murielle Leroy- Georges du Service régional d’archéologie, en lien avec des chercheurs de l’INRA, afin de cartographier les vestiges d’habitats et de parcellaires et d’analyser l’impact de l’utilisation ancienne des sols sur l’état et le fonctionnement des écosystèmes forestiers (Georges-Leroy et al. 2011). D’autres acquisitions en collaboration avec l’ONF, des DREAL, quelques parcs régionaux, voire des régions et des départements ont, depuis, contribué à enrichir la carte archéologiques d’un bons nombre de territoires nationaux, couverts ou non.

Dans l’Est de la France, la cartographie LiDAR a été utilisée à de nombreuses reprises. La dernière en date, a été réalisée sur un massif forestier du versant lorrain du massif vosgien, entre Remiremont et Epinal. Elle visait, dans le cadre d’un projet de recherche pluridisciplinaire, à mesurer, par le biais de méthodes archéogéographiques l’impact qu’eut l’abbaye de Remiremont, fondée au VIIe siècle, sur la gestion du sol et l’évolution du paysage, dans un environnement de

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moyenne montagne, sans rien négliger des aménagements humains antérieurs et postérieurs à cette période.

Au terme de trois années de recherche, une restitution publique fera le point sur l’état d’avancement du projet AGER (Archéologie et Géoarchéologie du premier Remiremont et de ses abords) dans le cadre des manifestations scientifiques et culturelles organisées pour la célébration du 1400e anniversaire de la fondation de Remiremont. Ce colloque, sera également l’occasion d’un bilan sur l’apport du LiDAR dans la recherche archéologique du Grand Est et de ses régions et pays limitrophes - enjeux, méthodologie, études de cas - en privilégiant, par souci de comparaison, des interventions de chercheurs travaillant dans des secteurs au relief contrasté.

Bibliographie indicative

AMABLE et al. 2005 : Amable G.l, Devereux B., Crow P., Cliff A.D., «The potential of airborne LiDAR for detection of archaeological features under woodland canopies», Antiquity, 79 (305), 2005, p. 648-660. DOI:

10.1017/S0003598X00114589

BEPOIX, RICHARD 2019 : Bépoix S., Richard H. dir., La forêt au Moyen Âge, Paris, Les Belles lettres, 2019, 419 p.

BEWLEY, CRUTCHLEY 2005 : Bewley R.H., Crutchley S.P., Shell C.A. «New light on an ancient landscape: lidar survey in the Stonehenge World Heritage Site», Antiquity, 79 (305), 2005, p. 636-647.

BESSIERE, Guichard 2012 : Bessière F., Guichard V., « Chronique des recherches sur le Mont Beuvray : 2006-2008 », Revue archéologique de l’Est [Online], Tome 59-1 | 2010, Online erschienen am: 05 Januar 2012, abgerufen am 28 Januar 2020. URL : http://journals.openedition.org/rae/6502

BROSSE 2000 : Brosse Jacques, L’aventure des forêts d’Occident : de la Préhistoire à nos jours, Paris, éditions J.-C. Lattès, 2000, 504 p.

CHALVET 2011 : Chalvet M., Une histoire de la forêt, Paris, Seuil, 2011, 351 p.

CROZET et al. 2017 : CROZET A., LAPLAIGE C., RODIER X., « Une approche multidisciplinaire de la fabrique des paysages dans la longue durée dans les forêts de Blois, Russy, Boulogne et Chambord (Loir-et-Cher) », Projet de paysage, 2017, p. 2-24.

DE MATOS MACHADO et al. 2016 : DE MATOS MACHADO R., AMAT J.-P., ARNAUD- FASSETTA G., BÉTARD F., « Potentialités de l’outil LiDAR pour cartographier les vestiges de la Grande Guerre en milieu intra-forestier (bois des Caures, forêt domaniale de Verdun, Meuse) », EchoGéo, 38, 2016, 23 p.

FRUCHART 2014 : FRUCHART C., Analyse spatiale et temporelle des paysages de la forêt de Chailluz (Besançon, Doubs) de l’Antiquité à nos jours, thèse de doctorat, Besançon : Université de Franche-Comté, 4 vol.

GEORGES-LEROY et al. 2011 : GEORGES-LEROY M., BOCK J., DAMBRINE É., DUPOUEY

J.-L., « Apport du lidar à la connaissance de l’histoire de l’occupation du sol en forêt de Haye », ArcheoSciences. Revue d’archéométrie, 35, p. 117-129.

GEORGES-LEROY et al. 2013 : GEORGES-LEROY M., BOCK J., DAMBRINE É., DUPOUEY

J.-L., ETIENNE D., « LiDAR helps to decipher land-use history in Lorraine, France », in Understanding Landscapes, from Land Discovery to their Spatial Organization, Proceedings of the XVIth World Congress of the International Union of Prehistoric and Protohistoric Sciences in Florianopolis, Brazil, 4th-10th September 2011, BAR international series, 2541, Oxford : Archaeopress, 2013, p. 115-122.

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HESSE 2010 : Hesse R., « LiDAR‐derived Local Relief Models – a new tool for archaeological prospection », Archeological prospection, 17-2, 2010, p. 67-72.

JACQUEMOT 2014 : JACQUEMOT S., « Regard archéologique sur les villages martyrs de la Grande Guerre en Lorraine », Archéopages. Archéologie et société, 40, p. 140-147.

KRAEMER, CHENAL 2018 – Kraemer Ch., Chenal Th., « D’Amé et Macteflède à Imma. Approche topographique du monastère féminin du Romrtici mons entre le VIIe et le IXe siècle », dans Bully Sébastie, Dubreucq Alain, Bully Aurélia, dir., Colomban et son influence. Moines et monastère du haut Moyen Âge en Europe, [Actes du colloque «Construire l’europe, Colomban et son héritage», Luxeuil, 16- 20 septembre 2015], Rennes, Presses universitaires de Rennes, 2018, p. 331-352.

KRAEMER, KOCH 2017 – Kraemer Ch., Koch J. dir., Vivre dans la montagne vosgienne au Moyen Âge. Conquête des espaces et culture matérielle, Nancy, PuN - Edulor, 2017, 342 p.

KOKALJ, HESSE 2017 : Kokalj Z., Hesse R., Airborne laser scanning raster data visualization. A guide to good practice, Ljubljana, ArcLand International, 2017, 88 p.

KOKALJ, SOMRAK 2019 : KOKALJ Ž., SOMRAK M., « Why Not a Single Image ? Combining Visualizations to Facilitate Fieldwork and On-Screen Mapping », Remote Sensing, 11-7, 2019, 26 p.

LAPLAIGE 2012 : LAPLAIGE C., Comparaison de signaux (géophysique, LiDAR) utilisés dans l’étude des dynamiques anthropiques et naturelles, thèse de doctorat, Besançon : Université de Franche-Comté, 2 vol.

LE JEUNE et al. 2017 - Le Jeune Y. , Dardignac C. , David S. , « Bercé avant la forêt. Premiers résultats des traitemen,ts cartographiques et prospection LiDAR sur la forêt de Bercé (Sarthe) », Revue forestière française, 4-5, 2017, p. 519-544.

NUNINGER et al. 2010 : NUNINGER L., FRUCHART C., OPITZ R., « LiDAR : quel apport pour l’analyse des paysages ? », Bulletin AGER, 20, p. 34-43.

NUNINGER et al. 2016 - Nuninger L., Fruchart C., Laplaige Cl., Bépoix S., Opitz R., « Détection et analyse des structures archéologiques pour comprendre la forêt de Chailluz (Besançon) d’hier à aujourd’hui », dans Delobette Laurence, Delsalle Paul (dir), Histoire des paysages forestiers comtois et jurassiens, [Actes de la journée d'étude organisée à Lons-le-Saunier], Editions Franche-Bourgogne, 2016, p.35-51.

OPITZ, COWLEY 2013 : OPITZ R., COWLEY D., Interpreting Archaeological Topography : Lasers, 3D Data, Observation, Visualisation and Applications, Oxford, Oxbow Books, 2013, 288 p.

RASSAT et al. 2017 - Rassat S., Hugonnier L., Buridant J., Horen H., Brasseur B., Gallet-Moron E., Montoya C., Dardignac C., David S., Pandolfi B., « Atteindre l'histoire de la forêt de Compiègne par la télédétection aérienne et l'exploration des archives du sol », Histoire et Mesures, XXXII-2, 2017, p. 67-102.

Comité scientifique pressenti

Dardignac Cécile, Archéologue, Cheffe de projet ONF (cecile.dardignac@onf.fr) Georges-Leroy Murielle, Inspectrice du patrimoine, collège archéologie (murielle.leroy@culture.gouv.fr)

Harmand Dominique, Quaternariste, Professeur à l’Université de Lorraine, LOTERR (dominique.harmand@univ-lorraine.fr)

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Hesse Ralf, Doctor, chercheur au Landesamt für Denkmalpflege im Regierungspräsidium - Stuttgart (Allemagne) (Ralf.Hesse@rps.bwl.de)

Jacquemot Stéphanie, Ingénieure d’études, DRAC Grand-Est (Metz), (stephanie.jacquemot@culture.gouv.fr)

Laplaige Clément, Ingénieur de recherche Université François Rabelais, Tours, UMR 7324, CITERES/Laboratoire Archéologie et Territoire (clement.laplaige@univ- tours.fr)

Nuninger Laure, chargée de recherche CNRS, Laboratoire Chrono- environnement, UMR 6249 laure.nuninger@univ-fcome.fr

Pitz Rachel, Archéologue, MC à l’Université de Glasgow, spécialiste d’archéométrie spatiale (rachel.opitz@glasgow.ac.uk)

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Comité d’organisation

KRAEMER Charles, Ingénieur de recherche, Université de Lorraine, EA 1132 - Hiscant-MA, Pôle archéologique universitaire (PAU)

RITZ Simon, doctorant, Université de Lorraine, EA 1132 - Hiscant-MA, Pôle archéologique universitaire (PAU)

Secrétariat du colloque

VANSON Lucie - Université de Lorraine, EA 1132 - Hiscant-MA, Pôle archéologique universitaire (PAU)

Informations

Le colloque se déroulera à Remiremont les 11 et 12 décembre 2020

Le titre et le résumé d’une vingtaine de lignes de votre proposition de communication doivent être retournés, au plus tard le 30 juin 2020, par :

courrier postal à : Charles KRAEMER, HISCANT-MA Pôle Archéologique Universitaire

Bureau 338 91 avenue de la Libération

BP 454 54001 Nancy Cedex

courriel à :

Charles.kraemer@univ-lorraine.fr

Le texte de votre communication devra compter entre 25000 et 35000 signes, espaces compris avec un maximum de dix illustrations. Pour une publication rapide des actes, il devra être transmis, pour relecture par le comité scientifique, le 31 mars 2021 dernier délai.

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Budget prévisionnel

(En partant sur la base d’une vingtaine de communicants A : Acquis ; D : Demandé)

Dépenses Recettes

Nature Prix unitaire

en €

Total En €

Origine Montant

En € Prise en charge d’une

nuitée par intervenant 90,00 x 20 1 800,00 Droit d’inscription 800,00 (A) Prise en charge d’un

repas 30,00 x20 600,00 Université de Lorraine -

Hiscant-MA 1 000,00 (A)

Prise en charge de

deux buffets 25,00 x20 x2 j 1 000,00 Université de Lorraine – Pôle TELL

3 000,00 (D)

Pause-café 2 x 4,00€/j x 100 800,00 MSH Lorraine 3 000,00 (D)

Frais de déplacement 150,00 x 16 2 400,00 DRAC Lorraine 1 000,00 (A) Billet de train France-

Europe 350,00 x 4 700,00 Collectivités

territoriales 1 300,00 (A)

Location de salle 1 500,00 1 500,00

Communication 500,00 550,00

Location d’un bus pour la visite du site archéologique du premier Remiremont

750,00 750,00

Total 10 100,00 10 100,00 €

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