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Les histoires inspirantes soufflées à mon oreille par les élémentaux

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Academic year: 2022

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Texte intégral

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Story telling :

Succession de petites histoires m’amenant à la synthèse et l’écriture de ma légende personnelle.

Les objectifs de ces petites histoires sont entre autre : Connection enfant intérieur

Contacter ses rêves

Intégration de toutes ses parties ombre et lumière Transformer plomb en or.

Les histoires inspirantes soufflées à

mon oreille par les élémentaux

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Histoire 1

« Qu’est ce qui nous éloigne ou nous rapproche de cette richesse et lumière intérieure ? Comment le rien nous met-il au contact de notre spiritualité ?

Comment allier spiritualité et matière ? »

 « Le tout dans le rien, le rien dans le tout »

 « La richesse ne réside pas dans l’accumulation de biens; ceux qui ne possèdent rien possèdent l’étincelle d’une richesse inestimable en eux et ça se voit dans leur yeux »

Je laissais filer des grains de sables entre mes doigts et je ne sais si ce furent les va et vient incessants des vagues ou le grain de sable lui-même qui me chuchota cette histoire

« J’avais 13 ans et je vivais chez mes parents une vie que je pensais partagée par tous sur cette terre.

Une vie conventionnelle.

J’allais à l’école, je vivais dans une maison confortable avec mon petit frère et mes deux parents.

Je ne comprenais pas trop le sens de la vie que l’on voulait me transmettre :

« Tu travailles, tu as de l’argent, tu vis ».

Je ne supposais pas qu’un voyage allait bouleverser totalement ces croyances, cette vision du monde et, me reconnecter à ce que mon âme me soufflait et que je n’entendais déjà plus au portail de l’adolescence.

Je suis partie parcourir le Maroc avec mes parents et mon frère et, une panne de véhicule (elles peuvent durer longtemps au Maroc) nous a contraints à poursuivre à pied et modifier l’itinéraire.

De là, l’immensité s’est offerte. Des paysages grandioses, magiques d’abondance ou hommes et femmes vivaient de rien aux regards empreints de bonté et bonheur…Cette lumière que je n’avais encore jamais vu dans le regard d’un européen.

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Une connexion à l’essentiel et l’instant que nous n’avions plus.

Cela a été radical pour moi.

Du haut de mes 13 ans j’ai conclu « La matière, le surplus nous empêche d’ETRE » et j’ai opté pour une fidélité au jeûne (ramadam) pendant plus d’un an que l’on nomme chez nous « anorexie mentale ».

J’ai recontacté ce jour-là une donnée qui allait être fondamentale pour le reste de mon cheminement.

« Le tout dans le rien, le rien dans le tout »

« Ceux qui en apparence ne possèdent rien ; possèdent une richesse inestimable en eux » De là, ma vie a retrouvé du sens. »

« Qu’est ce qui nous éloigne ou nous rapproche de cette richesse et lumière intérieure ? Comment le rien nous met-il au contact de notre spiritualité ?

Comment allier spiritualité et matière ? »

HISTOIRE 2

« Dans l’épais brouillard, il suffit d’une lueur pour changer le cours de ta vie »

 Foi /gratitude

 Utiliser développement personnel

 Trouver des ressources quand tout semble foutu

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Etendue au soleil, je me sens partir vers une douce torpeur et j’entends l’histoire des rayons du soleil

« Depuis petite, j’avais la croyance que les trésors de la conscience se révèlent à nous dans les situations extrêmes et excessives.

Dans le dépassement du corps (recherche inconsciente de spiritualité tout comme les drogues), la lumière nous parvient.

Avec ma partie tête brulée aux commandes, je suis partie en Ariège faire le pic de St Barthélémy alors que les avis météo invitaient fermement à rester cloisonnés chez soi, une grosse tempête se préparait.

Il était midi (heure à laquelle on entreprend rarement le début d’une ascension), tout le monde

redescendait et regagnait sa voiture, un garde forestier interloqué m’a mise en garde de l’ours blessé qui se trouvait vers St Barthélémy, et de l’avis de tempête.

Je suis montée. Je me suis égarée. Entre panique, faim, je me suis posée ai retrouvé mon chemin pour parvenir à l’Etang du Diable en contrebas du pic, à une heure tardive.

Ereintée, j’ai choisi d’établir domicile ici, négligeant de bien stabiliser la tente…

La nuit la pleine lune éclairait magnifiquement l’étendue et, je me suis sentie vulnérable devant tous ces animaux noctambules intrigués par ma présence, incluant l’ours passant à quelques mètres de moi…

Alors que de coutume la présence animale me rassure plutôt.

Je n’ai pas fermé l’œil de la nuit et vers 5h j’ai dû aller renforcer tous les ancrages de ma tente qui, sous les bourrasques se levant, commençait à se transformer en parachute. Je me suis assoupie vers 6 heures du matin.

Lorsque j’ai réouvert les yeux, une surprise de taille m’attendait.

J’étais plongée dans la plus parfaite obscurité alors que la nuit durant j’avais profité d’une visibilité digne du jour.

J’ai entrouvert la porte de mon abri…. je ne distinguais quoi que ce soit à 5 cm !

Le cauchemar du montagnard : j’étais prise au piège par le brouillard épais, dense m’invitant à rester là alors qu’une tempête s’annonçait clairement.

C’était mon heure.

Tergiversée entre espoir, doutes, mental en ébullition…

Au bout d’une heure, je savais qu’il me fallait agir d’une manière ou d’une autre.

Si je restais là je ne donnais pas cher de ma peau sous la tempête violente en pleine montagne, si je bougeais je risquais au mieux de me perdre ni voyant rien, au pire la chute.

Et là…Une petite voix intérieure : « tu connais la Loi de L’Attraction » affirme ce que tu veux, vibre-le, remercie pour l’avoir obtenu…Crée ta réalité »

C’est maintenant, dans les bouquins ça ne sert à rien, c’est maintenant !

J’ai calé ma vibration au plus haut qu’il m’était possible de croire (pas évident pour une fille d’athée élevée à hypra cartésianisme) et affirmer :

« Je veux 1 éclaircie, 1 seule éclaircie et je descends en 2h30 ce que j’ai monté en 7 h »

« J’ai une éclaircie et je descends en 2H 30 » »L’éclaircie est là, je descends facilement »

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Répété, répété, affirmé jusqu’à ce que….

Entre le brouillard encore dense, le noir des nuages, les grondements de l’orage, une lumière apparaisse…

Avec une dextérité que je ne me connaissais pas j’ai rangé et plié ma tente en un temps record, dévalé la montagne sans me retourner avec une confiance absolue sur ce sentier non balisé

En 2H30 j’étais devant le refuge au bas de la montagne devant un berger qui me toisait comme si il avait vu un extraterrestre.

Merci merci merci la vie ! »

« Dans l’épais brouillard, il suffit d’une lueur pour changer le cours de ta vie » Histoire 3 :

« Nous sommes des êtres lumineux et puissants et l’énergie, la vie va au-delà de ce que nous voyons. Ouvrons nos champs de perception au service des âmes en souffrance.

Canaux de lumière nous sommes. »

 Acceptation accueil de l’intangible

 Humain : canal multidimentionnel

 Augmenter sa vibration

Etendue en plein champ au côté de Lilou l’ânesse, tête bercée par la cadence respiratoire de son ventre et battements de son cœur…L’apaisement porte en lui une histoire et son message, je l’écoute

attentivement…

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Voici l’histoire d’un prince et d’une princesse, la princesse raconte

« Te souviens-tu de ses premières paroles ?

Elles résonnent encore à mes oreilles comme si elles avaient été un signal d’alarme que j’avais négligé.

Elles étaient adressées à ma meilleure amie à mon égard : « Elle est belle à se damner ».

Furent-elles l’annonce d’une prophétie ?

Il a choisi d’emménager dans l’appartement siamois au mien, à côté du mien comme dans Fanfan d’Alexandre Jardin.

Nous avons cheminé 2années ensemble…

Deux années de danses de la destruction et de la construction, de la vie et de la mort, du soleil et de la pluie

Une fusion nous liait.

J’ai opté pour nous libérer l’un l’autre, et dans un élan de vie, j’ai choisi de rompre nos liens.

3 mois plus tard il choisissait la mort par pendaison à quelques jours des festivités de noël.

Je ne crois pas avoir reçu plus gros choc dans mon existence qui a d’ailleurs était bouleversée à jamais.

Un long chemin sur la culpabilité, le chagrin, l’impuissance, le bourreau, la victime qui sont des émotions à vibration basse et maintiennent l’âme du défunt entre 2 mondes.

Dans mon quotidien pendant 1 année j’ai appris à cohabiter avec la peur, parfois la terreur devant des robinets d’eau qui s’ouvrent tout seuls en parfaite autonomie, des tableaux qui changent de place…

Une ambiance de désespoir devenue le lien entre le Vivant et le Mort.

De culture et éducation très cartésienne, j’ai uniquement pensé que la folie était devenue capitaine de mon bateau…

Jusqu’au jour où, lors d’une formation de Lise Bourbeau, je me répandais en pleurs devant mon incapacité à répondre à des QCM tout bête, consciente que ma vie était désormais entre parenthèse.

L’intervenante m’a seulement dit : « voici les coordonnées d’une personne qui travaille avec les énergies du bas astral, j’ai été la voir dans des conditions semblables aux tiennes, cela a changé le cours de ma vie »

Ce fût le début d’un parcours initiatique sur la compréhension et la conscience de notre capacité multidimentionnelle.

L’énergie est partout et ne s’arrête pas au corps au tangible.

Je suis parvenue à entendre son appel au secours « Il voulait être en paix, monter, partir »et avec nos vibrations de douleur et culpabilité nous le maintenions entre 2 mondes.

Ma vie, suite à la rencontre avec cette femme a changé du tout au tout.

Le climat de tension extrême s’est transformé en sérénité et paix profonde où les objets ont cessé de danser.

Je me plais de plus en plus à utiliser mon corps comme un canal de lumière et pouvoir participer à aider les âmes à partir en paix quand j’en sens l’appel. »

« Nous sommes des êtres lumineux et puissants et l’énergie, la vie va au-delà de ce que nous voyons. Ouvrons nos champs de perception au service des âmes en souffrance.

Canaux de lumière nous sommes. »

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Histoire 4

« Lorsque nous posons une intention de tout notre cœur…La tête peut oublier, l’univers, lui, n’oublie pas. »

 Le pouvoir de l’intention

 Créer du lien

Les enfants impatients s’agenouillèrent auprès de grand père feu afin qu’il lui murmure l’histoire de Honorine son arrière arrière-grand-mère :

« Un jour il y a 7 ans, je ne sais même pas comment, mon cœur et mon âme se sont ligués ont mené mon corps dans un cercle chamanique prévoyant connexion à soi par les plantes Tabac et Ayahuesca.

J’ai affirmé clairement ma position : « Je n’étais pas là pour consommer à tout prix des plantes, j’étais enfin plus en paix avec mon corps et ne souhaitais pas vomir et être indisposée »

Je pensais que la transe par la danse, les chants, le feu suffiraient à ma quête du moment : « Contacter l’amour céleste, l’union de feu et appréhender l’état d’androgynie originelle ».

Oui, j’étais là pour harmoniser masculin divin et féminin sacré.

Alors que je m’attendais au rejet le plus total de mes paroles et désapprobation du groupe, le chamane accueillit mes paroles avec reconnaissance et joie palpables.

Il insista sur le fait d’avoir comme moi une intention ferme et claire, et le fait qu’il n’était pas un dealer et qu’il ne donnait pas forcément de plantes s’il ne le sentait pas.

Située à la fin du cercle, alors que beaucoup vomissaient, je me sentais déjà comme « transcendée » par les chants divins du chamane. Avec mon accord, me fut servi double rasade que ce fusse pour la première cérémonie au tabac et la deuxième le lendemain avec ayahuesca.

Je flottais entre images de pomme croquée, de vierge Marie, éléphant doré, et un corps masculin flottant au-dessus de moi.

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Les visions de l’épouse du chamane me concernant, convergeaient totalement avec les miennes :

-Pour la cérémonie du tabac « j’étais dans une forêt amazonienne, les parties intimes bandées, entourée par des femmes médecines interdisant l’entrée à un homme qui tambourinait à l’entrée. »

-Pour le cercle avec ayahuesca : « j’étais dans la même posture avec les parties intimes libérées et elles laissaient l’homme s’approcher et nous nous soufflions dans la bouche. »

De là, ma vie a été chamboulée avec des ruptures violentes amoureuses comme professionnelles ou physiques.

Beaucoup de choses ont lâché avec et sans moi.

J’ai poursuivi avec des quêtes de visions, retraites sur 10 jours en pleine nature, cérémonies au peyoth.

Et, lors de ma dernière rupture amoureuse j’ai tout stoppé.

La dernière chose que j’eusse en mémoire de mes élans « chamanesques »

J’étais seule dans une sweat lodge, étant lunaire, et j’ai dit « Je demande l’expérience qui me permettra d’être centrée, aller à l’essentiel »

Trois mois plus tard, j’étais enceinte.

Amnésie, j’ai tout enfoui au fond de mon cerveau sous scellé. Stop.

J’ai tout oublié, sept années se sont écoulées jusqu’à ce que….

Lors d’un entretien sur la reconnection à son souffle (talent naturel impersonnel comme le nomme le créateur du concept G.Whispelaere), mon interlocutrice âme sœur insiste à connaître mon parcours chamanistique. D’abord hostile et fermée à l’idée de replonger là-dedans, j’aurai vite conclu et réduit mon expérience au fracas si un silence lumineux n’avait pas surgit…

Le silence doux du lien qui vient apporter sa lumière maternelle et enveloppante.

Tout est devenu évident, le fil d’Ariane apporte cohérence.

Novembre 2009 je pose l’intention « Comprendre l’amour céleste, appréhender fusion du féminin sacré et masculin divin » accompagnée par le Tabac qui représente l’énergie du Père et l’ayahuesca qui représente l’énergie de la Mère.

Aujourd’hui, je crée un programme d’évolution personnelle « Fusionner son couple intérieur et le rayonner à l’extérieur ».

« Lorsque nous posons une intention de tout notre cœur…La tête peut oublier, l’univers,

lui, n’oublie pas. »

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Histoire 5

Que nous apprend cette histoire ?

 L’enfant lien de compréhension et d’amour entre Féminin et Masculin principe fondateur.

 Générateur du meilleur en soi

L’enfant ouvre une nouvelle subtilité et dimension de communication cœur à cœur.

L’initiation s’offre aussi dans la simplicité du quotidien La révélation la plus forte s’offre là où on ne la cherche pas.

Au bord de l’eau, adossée au rocher j’entends la mémoire de la pierre qui me soutient.

Vrombissantes, j’accueille les tonalités de la voix profonde qui s’élève

«J’ai parcouru le temps les épreuves en quête de sensation La plus grosse initiation de ma vie m’a fauché en pleine inertie.

Ma plus révélatrice expérience initiatique fût : « Donner la vie »

En donnant la vie, j’ai failli provoquer deux morts : celle de ma fille et la mienne.

Assoiffée d’idéal et d’intégrité, j’avais opté pour un accouchement naturel à domicile qui s’est terminé en pugilat à l’hôpital avec césarienne en urgence après 4 jours de contractions et vomissements sans

ouverture du col.

Pas prête, en lutte à l’intérieur, j’ai créé cette réalité à l’extérieur, mais à l’époque je n’en avais pas conscience.

Une enfant en colère qui avait failli perdre la vie en naissant était née.

Je ne l’avais ni entendue, ni écoutée dans mon ventre lui dérobant déjà son pouvoir créateur et libre arbitre.

Depuis, je comprends l’enfant qui est née et martèle, voir scande son pouvoir créateur et libre arbitre à coup de hurlements constants et vomissements compulsifs dès que contraintes ou forces lui sont imposées.

Dans l’incompréhension du stratagème d’abord, nous avons traversé 2 ans ½ de pleurs incessants, colères respectifs avec éclatement de la cellule conjugale au bout de 8 mois.

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Jusqu’à ce qu’un jour le burn-out, le désamour me mènent au vide, au bord de la falaise.

Je ne m’alimentais plus faute de pleurs, de cris et de temps, ne dormais plus, j’allaitais et travaillais en guise de pause.

Je m’aventurais dans le cycle infernal où il n’y a plus d’arrêt et transition, plus de nuit, plus de jour…Confusion absolue

Solitude extrême et incompréhension à l’époque.

Famille et amies éloignées, j’avais compris que je devais faire ce chemin seule.

Mon meilleur ami et parrain de ma fille et une nounou, formidables, étaient là, à l’époque, pour me relayer et la garder pendant mes heures de travail.

Tel forest gump je marchais pour l’endormir, pour promener mon chien pendant mes temps de pause, sautais partout pendant mes temps de labeur (prof de fitness)…Je marchais ivre de lassitude…

Et, un jour, j’ai appelé au secours les élémentaux, la nature, ma sagesse intérieure…

La réponse s’est fait entendre immédiatement : « Le prana c’est maintenant,

C’est maintenant que dans le rien il y a aussi le tout. .

C’est maintenant que j’accepte l’expérience que la vie me donne, parce que j’en ai la force.

Dans tout ce qui se présente à moi, il y a de l’or, à moi de comprendre ! C’est ça, où j’en meurs à petit feu »

Certes cela ne s’est pas fait en un jour, mais j’ai cessé de lutter et tout s’est transformé en souffle porteur.

Je me suis ouverte au trésor qui s’offrait à mes yeux.

Ce joyau venu aussi pour me reconnecter à mon pouvoir créateur, à l’affirmation, puissance incarnée de quelques centimètres.

Plus de douceur pour elle, m’a permis davantage de douceur pour moi-même.

Accompagner et entendre cette enfant de la vie m’a permis de panser les plaies de mon propre enfant intérieur, à me positionner entre Masculin et Féminin dans leur noblesse pour équilibrer ce trio transformé en duo. Elle m’a appris à méditer dans l’action, mettre du souffle et reénergétiser une machine à bout de course.

La naissance, la parentalité si l’on se donne l’occasion, le temps de lire entre les lignes sont l’occasion d’une initiation et compréhension hors du commun.

J’ai appris à respecter encore plus, tout être vivant qu’il soit doté de parole ou non, grand, gros, petit, végétal ou minéral.

L’enfant ouvre une nouvelle subtilité et dimension de communication cœur à cœur.

L’initiation s’offre aussi dans la simplicité du quotidien

La révélation la plus forte s’offre là où on ne la cherche pas.

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Histoire 6 :

La Mort devient l’humus du Vivant L’énergie d’amour est immortelle

Nos mots, nos pensées sont comme des prières. Répétées, elles sont exaucées et deviennent réalité

Allongée sur le sol, face à la terre, un peu comme le faisaient nos frères indiens, j’entends l’amour de Gaïa qui me chante la mélodie de la vie et la mort. Ecoute mon histoire me murmure-t-elle…

« Mon papa menait une vie frugale entre connexion à la nature, voyage, lecture, coureur cycliste en son temps.

Il aimait se qualifier d’ours et clamer son désamour de l’être humain qui traduisait une profonde incompréhension du bipède.

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Personnage engagé, charismatique, atypique doté d’une personnalité absolument unique et créée de toutes pièces.

Petit à petit son anxiété, émotivité n’ont cessé de prendre de l’ampleur.

Son émotionnel régnait en maître et il ne cessait d’affirmer et ressasser son amour pour les chiens, les animaux et son antipathie pour l’humain.

Soudain, son cœur s’est pincé, l’entrainant dans une vulnérabilité face à son corps qui pour la première fois le trahissait, pour lui transmettre un message.

Plus puissamment encore, dans l’incompréhension la plus totale de ce qui lui arrivait, il a soutenu ses convictions de déception et chagrin de l’humanité, et une seconde alerte d’infarctus a pointé son nez.

Son désarroi et incompréhension face au mal a entrainé davantage de provocations et agressivité, il entrait peu à peu dans une souffrance émotionnelle constante.

De blagues légères sur la mort, ou affirmations hebdomadaires comme « Quand je serai mort je veux être empaillé », un nouveau refrain a vu le jour « Si un jour j’ai un cancer du pancréas, je me tire une balle » Trois années plus tard, il décédait d’un cancer du pancréas foudroyant, laissant un vide immense.

Il est parti en paix, en pleine conscience et compréhension.

Je ne saurai expliquer comment son énergie coule en moi, comment sa mort est devenue un humus qui me nourrit constamment, comme si mon âme demeurait connectée à la sienne.

Le père incarnant le matériel et la matière : « Qui que tu sois deviens-le, me dit-il » Il a tracé avec plus de force encore mon chemin de compréhension et conscience.

J’ai vu mon père mourir sous mes yeux de ses pensées.

Il m’a donné l’impulsion choc pour faire vivre ce à quoi j’ai toujours cru.

Ce héros lumineux porte un message pour toi dans son histoire.

« Le jugement c’est rien, c’est du poison, chacun mène sa vie comme il l’entend. »

La Mort devient l’humus du Vivant L’énergie d’amour est immortelle

Nos mots, nos pensées sont comme des prières. Répétées, elles sont exaucées et deviennent réalité

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