REMARQUES DES REPRÉSENTANTES DES ÉLÈVES

Ecole Elémentaire Anne Frank Les Molières

Compte rendu de l’UPI

Commission Menu n°1 – 05/10/2017

PARTICIPANTS

Représentante de la société Yvelines Restauration :

• Mme Amandine Marchand (Diététicienne) Représentante du personnel de cantine :

• Mme Malida Castanheira

Représentantes du personnel accompagnant les enfants :

• Mme Ginette Lambaud

Représentantes des parents d’élèves (UPI) :

• Mme Laure Puel (UPI Élémentaire)

• Mme Emmanuelle Labrosse-Bastien (UPI Élémentaire)

Représentante de la Mairie :

• Aucune :

Mme Dominique Binet, adjointe au maire, déléguée à la petite enfance et aux écoles, est excusée

Représentantes des élèves:

• Deux élèves de CM2 : Manon DEFOSSEZ et Lara SILVA FERREIRA

DÉROULEMENT DE LA RÉUNION

La réunion démarre à 15h45. La représentante de la société Yvelines restauration écoute tour à tour les remarques des enfants, des parents d’élèves et du personnel de cantine sur les repas de la période écoulée. S’ensuivent, suivant les cas, des aménagements du contenu des futurs repas, ou des explications en cas d’impossibilité d’effectuer les modifications demandées. La réunion se termine par la présentation des menus prévus pour la période suivante (une période représente 2 mois soit 40 menus). La réunion s’achève à 17h.

COMPTE-RENDU UPI

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• Les enfants demandent à ce qu’il y ait moins de carottes et d’épinards, ainsi que d’avoir plus de diversité dans les féculents qui sont en accompagnement ces jours-là.

Il n’est pas possible d’augmenter la portion de féculents afin de maintenir l’équilibre alimentaire. Les pommes de terre étant moins présentes dans les menus de la semaine, elles sont privilégiées en accompagnement des légumes.

Il y a systématiquement 1/3 de pommes de terre et 2/3 de légumes sauf pour les haricots verts où il y a 1/4 de pommes de terre et 3/4 de légumes.

Concernant les carottes, elles sont effectivement présentes sous forme crue (carottes râpées) et sous forme cuites dans les menus.

Mme Marchand prend note du souhait de privilégier les carottes râpées aux carottes cuites.

• Les enfants demandent à ce qu’il y ait plus de variétés de fruits le même jour afin d’avoir du choix, notamment lorsqu’il y a du raisin.

Il n’est pas possible de proposer plusieurs variétés de fruits le même jour pour des raisons d’équité entre enfants et des raisons logistiques.

Des fruits de saison sont proposés en alternance : actuellement pomme, poire, prune et raisin. A partir de novembre, il y aura des clémentines.

• Les enfants demandent à ce qu’il y ait plus de hamburgers, pizzas et glaces. Ils souhaiteraient également avoir des hot-dogs.

Il n’est pas possible de proposer des hamburgers les autres jours que le mercredi car cela prend trop de place dans les fours et nécessite une logistique particulière. C’est donc un souci d’organisation. Ils sont par conséquent proposés uniquement les mercredis car il y a moins d’effectifs.

Les pizzas sont proposées uniquement en entrée, en alternance avec les accras de morue et les crêpes au fromage. Il n’est pas possible d’en mettre plus souvent car c’est assez gras, ceci dans un souci de préservation de l’équilibre alimentaire.

Les glaces sont proposées en saison chaude.

Mme Marchand prend note du point concernant les hot-dogs afin d’en étudier la faisabilité.

• Les enfants demandent à ce qu’il y ait des fondants au chocolat et pas que des moelleux.

Mme Marchand étudie le point mais n’est pas sûre de disposer d’un tel produit. Il existe une tarte au chocolat mais pas forcément un gâteau à couper au chocolat.

Actuellement, il y a des moelleux au citron, au chocolat et au fromage blanc. Il y a également des crèmes dessert et des mousses au chocolat.

Il est possible de mettre des brownies au chocolat en remplacement des petits beurres par exemple pour proposer plus de gâteau au chocolat mais précise qu’il est important de maintenir une diversité de goût et de ne pas avoir que du chocolat.

• Les enfants demandent s’il est possible de mettre des sets de table sous les assiettes sur les tables.

Mme Lambaud ne pense pas que ce soit faisable.

• Les enfants demandent s’il est possible de ne pas débarrasser la table.

Mme Lambaud précise que c’est ceux qui veulent qui débarrassent la table selon le processus suivant : on tire un numéro qui correspond à une place à chaque table. C’est cet enfant qui doit débarrasser mais s’il ne veut vraiment pas, on change ou on partage pour que cela tourne entre eux. Il peut y avoir parfois un peu d’insistance auprès de l’enfant qui ne veut pas pour que ce ne soit pas toujours les mêmes qui débarrassent.

• Les enfants demandent s’il est possible d’être libre de choisir sa place à table.

Mme Lambaud précise qu’il y a 8 enfants par table, et qu’actuellement, un enfant peut se mettre avec 2 ou 3 enfants de son choix maximum. Au-delà de 3 enfants de la même classe par table cela devient difficilement gérable. Il y a parfois des exceptions lorsque les enfants sont très sages. Le mercredi comme il y a moins d’enfants c’est un peu plus souple également.

• Les enfants demandent s’il est possible d’avoir des verres en plastique.

Mme Lambaud précise que les verres sont en verre pour des questions d’hygiène car le lavage est facilité.

• Les enfants demandent s’il est possible de mettre des ventilateurs en cas de forte chaleur.

Mme Lambaud approuve et indique que c’est faisable quand il fait très chaud.

• Les enfants demandent s’il est possible de décorer la cantine aux moments des fêtes et notamment les tables.

Mme Lambaud trouve que c’est une bonne idée mais ce ne sera pas possible sur les tables à cause du manque de place pour les barquettes et des règles d’hygiène. Il est tout à fait possible de décorer la salle par contre, cela a déjà été fait auparavant en collaboration avec les NAP. Ceci pourrait donc être développé sur une activité NAP (en arts plastiques avec K-Rol par exemple).

• Les enfants indiquent qu’il n’y a pas toujours assez de sauce avec les crudités.

Mme Lambaud indique qu’il faut bien remuer les barquettes. Un rappel sera fait auprès des enfants avant de se servir afin que la sauce ne soit pas qu’au-dessous.

• Les enfants demandent s’il est possible d’avoir plus de sauce avec les plats.

Mme Marchand indique qu’il n’est pas possible de rajouter plus de sauce pour des raisons nutritionnelles. La sauce est mise pour que les plats ne soient pas secs mais il faut éviter les ajouts (ketchup, etc.)

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• Mme Lambaud indique que le poulet sauce béarnaise du 1^er jour de la rentrée était trop salé (retour des enfants).

Mme Marchand prend note.

• Mme Lambaud indique que la sauce salade avec la laitue iceberg était un peu trop vinaigrée pour les maternelles.

Mme Marchand prend note. Ceci n’est arrivé qu’une fois en début d’année scolaire.

• Mme Lambaud indique qu’il y a trop souvent des carottes et des betteraves.

Mme Marchand prend note mais indique que ce type d’entrée classique se mange très bien.

• Mme Lambaud indique qu’il y a trop souvent de compotes.

Mme Marchand prend note mais les enfants indiquent qu’ils aiment bien ça !

• Mme Lambaud indique que les tomates n’ont pas de goût et partent à la poubelle.

Mme Marchand indique que c’est sans doute parce que ce n’est plus la période. On va rentrer dans la période du chou et du céleri qui ne sont pas non plus très appréciés en général mais il y aura encore du concombre.

• Mme Lambaud indique que le sauté de bœuf était trop gras et caoutchouteux un mercredi. Elle précise également qu’il y a trop souvent du bœuf comme viande proposée, parfois même plusieurs jours de suite.

Mme Marchand prend note.

• Mme Lambaud indique que mardi il n’y avait pas assez de pain car il y avait du pâté en entrée

Mme Marchand indique qu’il n’est pas possible d’augmenter la quantité de pain en fonction du fait qu’il y ait en plus du pâté ou du potage. Il faut que les enfants puissent manger le reste du repas. C’est une quantité définie par enfant.

Pour un éventuel supplément de sauces, Mme Marchand précise que les quantités de sauce sont limitées.

• Mme Lambaud demande que le choix de céréales pour le gouter se porte plutôt vers des céréales de type "miel pops" que des

"corn flakes" car plus pratique à distribuer et plus appréciés des enfants (beaucoup moins fades).

Mme Marchand indique que le choix de céréales est fait par l’acheteur qui essaie de varier le type. Il est donc compliqué de définir à l’avance le choix. Il n’est néanmoins pas fait de cas par cas. Mme Marchand note le point afin d’informer l’acheteur que les "corn flakes" ne sont pas très appréciés des enfants.

• Mme Lambaud demande s’il est possible de disposer de barquettes plus grandes pour servir les céréales.

Mme Marchand indique qu’il n’y a pas de référence de barquette plus grande. Il faudrait que l’école dispose de bols. Mme Lambaud note le point et voit s’il est possible d’acheter des bols en plastique.

• Mme Lambaud indique que concernant le goûter les quantités sont insuffisantes. Les grands ont encore faim en élémentaire.

L’UPI confirme ce point et demandent si les quantités/grammages sont adaptées en fonction de l’âge de l’enfant.

Mme Marchand indique que les quantités/grammages ne sont pas adaptés selon l’âge de l’enfant, Yvelines Restauration suit la règlementation.

Compte tenu du fait que pour les deux écoles, c’est le menu de l’élémentaire qui est distribué (et non un menu maternelle et un menu élémentaire), un enfant de maternelle a donc les mêmes quantités qu’un enfant de CM1/CM2, et au sein de l’élémentaire, un enfant de CP a le même goûter qu’un enfant de CM1/CM2.

Mme Lambaud indique que lorsqu’il reste du pain du midi, celui-ci est proposé aux enfants. L’UPI indique que ce n’est pas non plus une solution que de faire manger beaucoup de pain aux enfants, surtout dans le respect de l’équilibre nutritionnel du goûter qui était une valeur forte dans la proposition faite au moment du sondage de la mairie.

L’UPI demande donc à Mme Lambaud de faire remonter le problème de quantité pour le goûter à Mme Binet et M. Le Maire afin qu’une solution soit rapidement trouvée car il n’est pas acceptable que les parents soient obligés de fournir un complément de goûter à leurs enfants qui n’ont pas assez à manger à cause d’un problème de quantités distribuées. Mme Lambaud va voir avec les élus de la mairie en charge du périscolaire si un complément (gâteau, etc.) peut être proposé par la mairie.

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(UPI)

• L’UPI indique que le riz est parfois très gras (ce n’est pas une sauce), certainement pour que le riz ne colle pas.

Mme Marchand indique que la sauce de la viande est mise dans la barquette pour que le riz ne soit pas sec mais il n’y a pas de gras ajouté. Mme Castanheira indique que c’est peut-être de l’eau car les barquettes sont fermées pour la cuisson.

• L’UPI demande s’il est possible lorsque les aliments sont sous forme de beignets/fritures (poissons panés, nuggets, etc.), d’avoir des produits avec le moins de gras possible même s’il y a une tolérance réglementaire à 15% de matières grasses.

Mme Marchand indique qu’il n’y a qu’une seule référence par produit et que sont sélectionnés les meilleurs produits en qualité en termes de matières grasses et sucre.

• L’UPI demande comment est fait le service à partir des barquettes où sont les légumes et les féculents pour éviter que les derniers à se servir n’aient plus de féculent par exemple.

Mme Lambaud indique que le personnel encadrant essaie de veiller à la bonne répartition des aliments pour éviter qu’un enfant n’ait pas de tout, mais cela peut malheureusement arriver exceptionnellement.

• L’UPI demande s’il est possible de disposer d’un autre conditionnement pour les céréales, sous forme de barre par exemple.

Mme Marchand indique que ce n’est pas possible. La spécificité des Molières de ne pas disposer d’un lieu pour manger à table ne peut pas être un critère retenu car les autres écoles ne sont pas dans ce cas.

• L’UPI demande s’il est possible de ne pas remplacer les fruits par 10 cl de jus de fruit et d’éviter les sucreries comme les oursons guimauve. Le projet de départ était un gouter équilibré basé sur des fruits, des laitages et des céréales.

Mme Marchand indique qu’il n’y a pas de marge de manœuvre pour modifier les goûters. Les goûters sont équilibrés en fonction du repas du midi. Si le midi il y a un fruit, il n’est pas possible de remettre un fruit, c’est pour cela qu’il y a un jus de fruit ou une confiture.

Concernant l’ourson guimauve, c’est pour faire plaisir aux enfants. Par contre, l’équilibre est pour la journée entière et pas à chaque repas. Mme Marchand indique qu’il est important de disposer d’une certaine variété.

• L’UPI demande à ce que le personnel encadrant fasse attention à ce qu’il y a ait suffisamment de cuillères et gobelets pour tous les enfants au moment du goûter, notamment pour les enfants de l’étude. Il est arrivé qu’il manque de quoi tartiner un fromage sur le pain et que les enfants soient obligés de faire des "mouillettes" avec leur pain.

Mme Lambaud indique qu’il y a en principe toujours des cuillères mises à disposition des enfants pour manger leur fromage et l’étaler sur le pain. Il a peut-être eu occasionnellement une erreur lors de la répartition entre l’étude et la garderie.

• L’UPI demande si les couverts sont les mêmes pour les maternelles et les élémentaires. En effet, il y a eu dernièrement un accident avec un couteau en maternelle.

Mme Lambaud indique que les couverts sont différents. Ceux des maternelles sont plus petits mais ne sont pas à bout rond.

Un modèle a été présenté en séance. En maternelle, les couteaux ont temporairement été supprimés suite à l’incident mais seront réintroduit prochainement.

• L’UPI demande si le nombre de personnes encadrants les enfants est suffisant lors des repas afin d’éviter que des incidents ne surviennent à nouveaux.

Mme Lambaud indique qu’il y a toujours 3 personnes pour encadrer chaque service conformément à la réglementation. Par contre, un accident peut malheureusement arrivé malgré la vigilance des encadrants.

• L’UPI demande s’il est possible de prévoir des brocs d’eau pour le goûter, notamment pour les enfants de l’étude, car actuellement, les enfants doivent aller remplir leur gobelet aux toilettes et donc traverser différentes salles et n’ont le droit d’y aller qu’une fois. De plus, s’il n’y a pas assez de gobelets, ils vont boire au robinet, ce qui n’est pas souhaitable, surtout avec les épidémies de gastroentérites à venir.

Mme Lambaud indique qu’il est tout à fait possible de prévoir des brocs d’eau. Ceci sera donc mis en place prochainement.

A cette occasion, Mme Lambaud nous informe que les savons au format collectif ont été commandés et vont être installés dans les toilettes après les vacances de la Toussaint.

• L’UPI demande où les enfants de l’étude qui actuellement prennent leur goûter dans la cour pourront prendre leur goûter quand le froid et les intempéries arriveront ? La cantine est-elle utilisable ? Les enfants de l’étude prennent leur goûter dans la cour pour le moment et les enfants de la garderie élémentaire prennent leur goûter dans la salle de garderie.

Mme Lambaud indique qu’il est envisagé d’utiliser la salle de la maternelle car le ménage est fait après mais que cela demande une logistique car il y a beaucoup d’enfants (60 enfants à l’étude et 30 enfants en maternelle, soit 90 enfants regroupés). Par contre, il n’y a pas de tables.

L’UPI indique que les goûters prévus par Yvelines Restauration sont des goûters à prendre assis à table et demandent donc s’il ne serait pas possible d’utiliser la cantine. Mme Lambaud indique que tout est possible, le trajet pour emmener les enfants à la cantine n’est pas un problème, ce qui pose problème c’est le ménage de la salle car la cantinière n’est plus là. L’UPI demande si les femmes de ménage qui interviennent à l’école ne pourraient pas le prendre en charge.

L’UPI demande donc à Mme Lambaud de faire remonter le problème du local pour prendre le goûter à Mme Binet et à M.

Le Maire car il n’est pas acceptable que les enfants de l’étude continuent à prendre ce type de goûter dans ces conditions, Yvelines Restauration ne pouvant pas adapter le conditionnement des goûters aux problématiques locales.

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Les remarques/précisions suivantes ont été formulées :

Mme Marchand précise que pour les carottes crème de petits pois, il s’agit d’une nouvelle sauce mise sur les carottes. Pour rappel, un encadré sur le menu signifie qu’il s’agit d’une nouvelle recette, un astérisque indique un repas avec du porc.

• L’UPI demande s’il est possible de varier la confiture proposée en proposant également des gelées Mme Marchand indique qu’elle doute que ce soit possible mais note le point.

• L’UPI demande s’il est possible de préciser la composition (les ingrédients) des barres de chocolat distribué au goûter Mme Marchand indique qu’elle nous transmettra la fiche technique correspondante.

A noter qu’il est prévu en alternance des barres au chocolat noir et des barres au chocolat au lait. L’UPI indique que les enfants mangent en général plus facilement le chocolat au lait que le chocolat noir, même si pour le moment il n’y a pas de retour d’expérience terrain suffisant sur le sujet.

• L’UPI demande s’il est possible de prévoir des yaourts nature avec sachet de sucre plutôt que d’avoir des yaourts sucrés.

Mme Marchand indique que c’est possible mais pas recommandé car par expérience sur le terrain, les enfants ne mélangent pas forcément bien le sucre dans le yaourt et mangent du coup que la partie haute qui est sucrée et pas la fin. Cela fait donc plus de gâchis. De plus les yaourts sucrés sont en réalité moins sucrés qu’un yaourt nature avec un sachet de sucre.

• L’UPI demande s’il est possible de préciser :

ce qu’est le "fromage ovale" -> Mme Marchand indique qu’il s’agit d’un fromage comme du caprice des dieux.

ce qu’est la "barre pâtissière" -> Mme Marchand indique qu’il s’agit d’un marbré nature, type barre bretonne.

ce qu’est la "brunoise légumes" -> Mme Marchand indique qu’il s’agit d’une jardinière de légume.

• L’UPI demande s’il est possible de remplacer le beurre et le miel par autre chose, notamment le beurre par du lait Mme Lambaud précise que la dernière fois, le beurre n’avait pas été donné car trop difficile à étaler à la cuillère.

Mme Marchand indique que le souci est que sur les goûters, il n’y a pas de modifications possibles mais va néanmoins en parler à sa responsable.

L’UPI remercie donc Mme Lambaud pour la solution qu’elle mettra en œuvre pour que nos enfants puissent manger correctement leur goûter le jour où il y a du pain avec du beurre et du miel.

• L’UPI demande s’il est néanmoins possible d’intervertir 2 goûters sur une semaine (exemple : semaine du 27/11 au 01/12, échange du gouter du lundi et du mercredi afin de diversifier davantage avec les palets bretons, la crème dessert vanille et le jus de fruit, au lieu du pain au lait, confiture et lait qui est sont très fréquents)

Mme Marchand voit avec ses responsables si cela est possible et nous informera.

Mme Lambaud précise qu’il serait souhaitable de privilégier le mercredi pour les goûters avec plus de préparation comme la baguette notamment.

• L’UPI s’étonnent de l’entrée "carottes râpées et ananas" et demandent si les enfants aiment cette entrée qui semble "osée" pour des enfants puisqu’elle associe du salé et du sucré.

Mme Marchand indique que les retours d’impressions sur cette entrée sont généralement positifs de la part des enfants.

• Mme Marchand propose de remplacer les biscuits "petit beurre" prévus en dessert du 15/12 par des brownies Cette proposition est validée à l’unanimité.

• L’UPI demande sous quel format vont être fournis les fruits au sirop du goûter du 19/12.

Mme Marchand précise qu’ils sont fournis dans des petites barquettes, les mêmes que celles des gâteaux au chocolat.

Mme Lambaud précise que ce n’est pas très pratique, Mme Marchand propose que les fruits soient mis dans les gobelets des enfants.

Les points sur lesquels Mme Marchand doit revenir seront transmis par mail à Mme Binet : o Faisabilité de proposer des hot-dogs

o Possibilité de fondants au chocolat

o Possibilité d’avoir en alternance des gelées et des confitures o Possibilité d’intervertir deux gouters sur une semaine o Fiche technique barres de chocolat

La prochaine réunion aura lieu le 07/12/2017 à 15h45 Compte rendu rédigé le 12/10/2017 par Laure PUEL – Représentante des Parents d’Élèves d’Élémentaire (UPI)