Stratégie globale
SYSTEME de CULTURE EXPE
à la recherche de systèmes très économes en phytosanitaires
Projet : HORTIPOT –
Mise au point d’itinéraires culturaux innovants pour réduire l’utilisation de produits phytosanitaires en production de plantes en pots, hors sol et sous abriSite : Arexhor Grand Est
Localisation : 28 rue du Chêne – 88700 ROVILLE AUX CHENES (48.38172, 6.605566)
Système DEPHY : Pélargonium Innovant
Contact : Marie-Anne JOUSSEMET (marie-anne.joussemet@astredhor.fr)
Culture de Pelargonium en Protection Biologique Intégrée
Site :station expérimentaleDurée de l’essai :2012 - 2017 Espèce :géranium (Pelargonium) Situation de production : hors sol et sous abris
Type de production :plantes en pot Conduite :innovante
Dispositif expérimental : 100 m² reconduits annuellement avec différentes variétés
Système de référence : un système de référence représentatif des pratiques des horticulteurs est présent sur le site. Ce système permet un calcul annuel de l’IFT de référence. Depuis 2016, ces données sont complétées par celles recueillies au sein du groupe DEPHY FERME Horticulture lorrain.
Par rapport au système de référence établi annuellement
Le mot du pilote de l’expérimentation
« Le choix du pélargonium est pleinement justifié au regard de son importance économique. Au cours de ces cinq années, les progrès ont été considérables d’autant plus qu’aucune référence n’était disponible et que tout était à construire. Le souci constant d’acquérir des résultats transférables en entreprise en a facilité l’appropriation par les producteurs. Ces derniers souhaitant aller plus loin, ils se sont ensuite réunis au sein d’un groupe DEPHY FERME. Pour les autres, la démarche est engagée à des niveaux variables. » M-A. JOUSSEMET
Origine du système
Objectif de réduction d’IFT
Mots clés
Maladies du sol – Pucerons – Thrips – Biotisation du substrat – Protection Biologique Intégrée – Températures basses
Localisation du système ( ) (autres sites du projet )
Efficience : amélioration de l’efficacité des traitements
Substitution : remplacement d’un ou plusieurs traitements phytosanitaires par un levier de gestion alternatif
Reconception : la cohérence d’ensemble est repensée, mobilisation de plusieurs leviers de gestion complémentaires
Horticulture
Projet HORTIPOT – Site Arexhor Grand Est – Système Pelargonium Innovant 2018 En 2016, 811 millions d’euros ont été consacrés à l’achat de végétaux d’extérieur. Le géranium représente à lui seul 13 % des sommes dépensées.
Qualifié souvent de plante de grand-mères, il arrive néanmoins sur la première marche du podium avec plus de 105 millions d’euros de vente (Source : Panel consommateurs Kantar TNS pour VAL’HOR et FranceAgriMer, données 2016). Ainsi, la quantité de géraniums produits en France est estimée à plus de 150 millions de pots. Le géranium reste donc une plante majeure de la gamme de printemps pour les entreprises horticoles.
Omniprésent chez les producteurs, il est la proie de nombreux bioagresseurs lesquels engendrent plus de 10 points d’IFT. La production de géraniums en ayant moins recours aux produits phytopharmaceutiques est donc un enjeu majeur.
Mode d’irrigation : tablettes de sub-irrigation avec recyclage.
Fertilisation : engrais à libération programmée sur une période de 5-6 mois.
4kg/m3d’Osmocote exact 11.11.18.
L’aspect esthétique conditionne en grande partie la réussite ou non de la commercialisation des géraniums. Une attention toute particulière a été portée lors de la conception du système pour mettre en œuvre tous les leviers possibles pour parvenir à une qualité de plantes commercialisables.
L’aspect économique a été pris en compte. Les systèmes proposés doivent permettre de maintenir la rentabilité des exploitations.
Caractéristiques du système
Objectifs du système
Les objectifs poursuivis par ce système sont de quatre ordres :
IFT Commercialisation
- Commercialiser 98 % des plantes mises en cultures
Qualité - Esthétique :
aucun symptôme de piqûre, de décoloration ou de déformation des feuilles et des fleurs - Agronomique :
croissance harmonieuse des géraniums sans
application de
régulateurs chimiques
Maîtrise des adventices - Maintenir les dessous des
tablettes propres sans adventice
Maîtrise des maladies
- Réduction de 50 %*
Toxicité des produits - Utilisation, en cas d’insuffisance de la Protection Biologique
Intégrée (PBI), des produits les moins toxiques pour les auxiliaires
Maîtrise des ravageurs - Maintenir l’état sanitaire
des racines
- Limiter les pourritures des feuilles dues au Botrytis
- Zéro tolérance de pucerons
- Tolérance de quelques thrips sans effet négatif visuel sur la plante
Marge opérationnelle
Temps de travail - Au moins identique
à celle obtenue dans le système de référence
- Tolérance d’un temps de main d’œuvre
supplémentaire de 10 à 15 %* pour le suivi de la PBI Agronomiques Maîtrise des bioagresseurs Environnementaux Socio-économiques
Projet HORTIPOT – Site Arexhor Grand Est – Système Pelargonium Innovant 2018
Espèce Variétés Substrat Contenant Densité Conditions
culturales
Pélargonium
8 Pelargonium peltatum (lierre) : Doblino Framboise, Great Balls of Fire
Blue, Great Balls Dark Red, Ville de Paris Red, …
4 Pelargonium hortorum (zonale) : Plougastel, Campina, Impressa,
Robina Pinnacle Dark Red
Référence TCH2 de la Société DUMONA
à base de tourbe blonde baltique et irlandaise et de fibre
de coco.
3 types de contenants :
3 densités
(densités finales): Cultures réalisées sous serre verre à
basses températures (7°C jour et 5°C
nuit) Pot de ø 10,5 cm 30 plantes/m2
Pot de ø 12 cm 22 plantes/m2
Pot de 3L 9 plantes/m²
Période culturale :(S = semaine)
S5 S7 S9 S11 S13 S15 S17 S19 S21
février mai
Rempotage
Culture de Pelargonium – Crédit photo : Arexhor Grand Est
* Par rapport au système de référence
- Amélioration des conditions de travail de par la réduction des applications Conditions de travail Infrastructures agro-écologiques : prairie et parcelle de pépinière autour de la serre.
mars avril
Résultats sur les campagnes de 2012 à 2017
Projet HORTIPOT – Site Arexhor Grand Est – Système Pelargonium Innovant 2018
0 20 40 60 80
2012 2013 2014 2015 2016 2017
%
Pourcentage de géraniums lierre comportant au moins un puceron au moment de la vente (système
Pélargonium Innovant et système de référence)
Innovant Référence
Année 2012 2013 2014 2015 2016 2017
Bilan des 6 années Sciarides
Champignons Rouille Botrytis Pucerons Thrips Telluriques
Aériens
Le puceron constitue le principal ravageur de la culture de pélargonium et est omniprésent. Il provoque des dégâts importants (crispations du feuillage, …) et sa présence est un motif de refus d’achat (centrale d’achats et clients au détail).
Le graphique ci-contre présente le pourcentage de plantes ayant au moins un puceron lors de la dernière notation, qui correspond au moment du début des ventes (fin avril). Dans le système Pélargonium Innovant, sur la période concernée, cela concerne en moyenne une plante sur cinq.
Dans le système innovant, les traitements réalisés en 2014 sont composés de produits de biocontrôle à 50 %/75 %. Les traitements réalisés en 2017 sont uniquement des produits de biocontrôle et représentent donc des IFT Verts. Dans le système de référence, les IFT sont uniquement chimiques. Le système innovant a permis à minima de réduire de 50 % l’IFT total en moyenne sur les 6 ans.
En 2014, la forte utilisation de fongicides est liée à la modification des techniques culturales (sous abri plastique et arrosage par aspersion) alors que classiquement la production a lieu sous serre verre.
0 2 4 6 8 10
2012 2013 2014 2015 2016 2017
IFT Evolution des IFT totaux (chimique + biocontrôle) dans les système Pélargonium Innovant et système de
référence
IFT Fongicide innovant IFT Insecticide innovant IFT Régulateur innovant IFT référence
La marge opérationnelle traduit la différence entre chiffre d’affaire en vente au détail et coûts de production (main d’œuvre et protection des plantes).
Le mode de conduite innovant est sans incidence sur la marge opérationnelle. Elle est équivalente à celle de la référence, quelle que soit l’année considérée.
Le code couleur est le reflet du niveau de satisfaction au regard des objectifs visés.
Une fleur verte symbolise une gestion satisfaisante du bioagresseur tout au long de la culture. Une fleur jaune privée d’un pétale signifie que certaines phases de production ont nécessité une vigilance particulière. Enfin, une fleur orange privée de deux pétales traduit une gestion difficile du bioagresseur.
> Maîtrise des bioagresseurs
Les mois de février à avril anormalement froids en 2013 ont fortement pénalisés l’installation des auxiliaires. De 2012 à 2017, les valeurs trouvées dans le système de référence ont augmenté pour arriver à 20 %. En effet, au fil des années, le système de référence a été de plus en plus conduit en raisonné (moins d’applications de traitements et plus en localisé) car c’est aussi le cas dans les exploitations. A partir de 2016, en termes de résultats, les deux systèmes se rejoignent et se stabilisent. Il est possible de démontrer qu’une gestion des pucerons en PBI est au moins aussi efficace qu’avec une conduite chimique.
> Performances
Donnée absente en 2015 pour le système de référence.
0 20 40 60
2012 2013 2014 2015 2016 2017
Marge opérationelle en €/m²
Evolution de la marge opérationnelle en €/m2 (système Pélargonium Innovant et système de référence)
Innovant Référence
Pour en savoir , consultez les fiches PROJET et les fiches SITE
Zoom sur le contrôle de la croissance des géraniums
Transfert en exploitations agricoles
Pistes d’améliorations du système et perspectives
Action pilotée par le ministère chargé de l'agriculture et le ministère chargé de l’environnement, avec l’appui financier de l’Agence française pour la biodiversité, par les crédits issus de la redevance pour pollutions diffuses attribués au
financement du plan Ecophyto.
Document réalisé par Marie Anne Joussemet, AREXHOR GRAND EST
La réussite du système Pélargonium Innovant est conditionnée par la combinaison de plusieurs leviers. Cette approche est plus complexe à intégrer par les professionnels et nécessite parfois une reconception du système de culture.
Des pistes d’améliorations de ce système de culture sont possibles notamment sur :
• le contrôle de le la croissance des plantes
o généralisation et automatisation de la stimulation mécanique (thigmomorphogénèse) ;
o suivi des différentes réponses à la stimulation mécanique selon les variétés au sein d’une même espèce ; o mesure de la synergie entre les régulations chimique et mécanique en vue d’une réduction des traitements.
• l’optimisation de la PBI
o en récréant une biodiversité (indigène ou introduite) au sein des cultures ; o en combinant stimulation mécanique, bandes engluées et flashs lumineux (LED).
• la plus-value attendue : intégration dans la démarche Géranium Label Rouge.
Les perspectives sont les suivantes :
• perfectionnement de ce système lors d’un projet DEPHY EXPE V2 avec un objectif d’IFT de ZERO ;
• appropriation des références obtenues par un maximum de producteurs.
Au fil des ans, la maîtrise de la mise en œuvre de la PBI s’est accompagnée d’une réduction significative de l’utilisation des produits phytosanitaires. Aujourd’hui, c’est l’affranchissement des régulateurs chimiques de croissance qui permettra d’aller plus loin dans la réduction des IFT, en effet ces derniers sont une constante dans le système de référence. Diverses pistes sont actuellement testées pour freiner la croissance des pélargoniums.
• Le choix variétal : les sociétés de jeunes plants proposent de plus en plus une classification des variétés selon leur mode de production (barquettes, petits pots et conteneurs plus volumineux pour les variétés à fort développement).
• La culture à basses températures (6 - 8°C) après une phase d’enracinement de 2 à 3 semaines à des températures de consigne de 12 - 14°C.
• Le passage régulier de lamelles de plastique qui « caressent » les plants, conduit à une croissance plus compacte et à un géranium plus ramifié (la thigmomorphogénèse) : installé sur un chariot d’arrosage, ce procédé est facilement mécanisable. De plus, dès que la plante n’est plus stimulée, elle retrouve sa croissance normale.
Cependant, dès à présent, certaines associations peuvent déjà être mises en place :
• décalage de la date de réception du jeune plant et sélection variétale pour réduire les sensibilités aux bioagresseurs et les régulateurs de croissance ;
• culture à basses températures (6 - 8°C) (après une phase d’enracinement) associée à une biotisation du substrat pour limiter les dépérissements racinaires par une meilleure résistance au froid (le cycle de développement des bioagresseurs est ralenti et les entre-nœuds raccourcis) ;
• intégration de la PBI dans le planning de culture : apport de nématodes contre les sciarides dès le rempotage des jeunes plants et d’auxiliaires parasitoïdes associés à des larves de chrysopes pour lutter contre les pucerons dès l’apparition des premiers ravageurs ;
• installation sur les chariots d’arrosage de panneaux englués et de lamelles caressantes : piégeage de masse des ravageurs et gestion de la ramification des géraniums.
Stratégie de gestion des maladies
Avertissement : seuls les principaux leviers mis en œuvre dans le cadre de l’expérimentation et permettant une réduction de l’utilisation des produits phytosanitaires sont présentés sur ce schéma. Il ne s’agit pas de la stratégie complète de gestion des maladies.
Contrôle cultural Contrôle génétique
Lutte biologique
Objectifs :
- 98 % de plantes saines, esthétiques et commercialisables ;
- maintenir l’état sanitaire des racines ; - limiter les pourritures des feuilles
dues au Botrytis.
Leviers Principes d’action Enseignements
Recours à des variétés sélectionnées par les obtenteurs pour leur résistance aux maladies.
Il s’agit le plus souvent d’une tolérance de la plante à la maladie et non d’une résistance. Des fongicides peuvent encore être nécessaires.
L’aération et la ventilation limitent l’humidité, qui sinon favorisent de nombreuses maladies aériennes dont le botrytis. Le distançage des pots permet une meilleure circulation de l’air et diminue l’humidité relative à proximité du feuillage.
Une aération fréquente des serres entre deux arrosages et un bon ressuyage du substrat participent aussi à cette amélioration.
Réduire le volume foliaire de la plante, favoriser la ramification. L’humidité relative au niveau de la plante est plus faible (meilleure circulation d’air) et les maladies évitées.
Retrait des fleurs fanées, sources de contamination au botrytis. La prophylaxie est efficace.
Maintenir le substrat sec (plantes à la limite du flétrissement). Création d’un milieu défavorable aux maladies racinaires car trop sec.
Incorporation à l’empotage de champignons bénéfiques dans le substrat afin d’empêcher l’installation de pathogènes, un 2ndapport peut être réalisé en cours de culture pour conforter la biotisation.
La biotisation préventive remplace efficacement les produits phytosanitaires. C’est un apport sous forme de spores diluées dans l’eau d’où une facilité d’utilisation par arrosage.
Consignes de chauffage à 7°C jour et 5°C nuit après les 15 jours d’enracinement des jeunes plants. Cela ralentit l’installation des pathogènes et permet au système racinaire de croître.
Economie de chauffage de l’ordre de 20 %. Pas d’attaque de pathogènes. Nécessite une bonne maîtrise de l’ensemble des autres facteurs pour éviter tout dérapage. Réduit l’amplitude thermique jour-nuit.
Projet HORTIPOT – Site Arexhor Grand Est – Système Pélargonium Innovant 2018
Maladies cibles : - aériennes : botrytis, rouille, Xanthomonas, virus TSWV ; - racinaires : pythium ;
- stress physiologiques : œdèmes.
Sélection variétale
Biotisation Températures
basses *
Ventilation, aération, distançage * Effleurage des variétés précoces Gestion
arrosage *
Biotisation Contrôle à
réception
Pincement
Février Mars Avril Mai
Sélection variétale Ventilation,
aération, distançage Pincement Effleurage des variétés précoces
Gestion arrosage Biotisation
Températures basses
*Levier appliqué à partir de ce moment et sur toute la durée de la culture
Pythium sur pelargonium (haut) et culture saine de pelargonium (bas) – Crédit photos : GIE FPSO
Avertissement : seuls les principaux leviers mis en œuvre dans le cadre de l’expérimentation et permettant une réduction de l’utilisation des produits phytosanitaires sont présentés sur ce schéma. Il ne s’agit pas de la stratégie complète de gestion des ravageurs.
Stratégie de gestion des ravageurs
Leviers Principes d’action Enseignements
Identification des coloris les plus attractifs pour les ravageurs (fleurs mauves-roses) afin d’apporter une surveillance accrue.
Les préférences alimentaires des ravageurs se vérifient. Les lâchers PBI sont renforcés sur les plantes plus sensibles.
Observation visuelle de l’état sanitaire des jeunes plants afin d’agir rapidement.
Indispensable avant de commencer la culture. En cas de détection de ravageurs, un traitement correctif en PBI (car températures chaudes en période d’enracinement) est réalisé. Estimation d’au moins 2 points d’IFT gagnés sur la durée de la culture.
Les cycles de développement des ravageurs s’allongent avec la baisse des températures. Les interventions sont donc retardées.
Le cycle des ravageurs est ralenti mais également celui des auxiliaires. Seule la PBI indigène est efficace car acclimatée.
Apport d’auxiliaires exogènes et maintien des populations indigènes. Deux types d’auxiliaires sont apportés : parasitoïdes (Aphidius) et prédateurs (chrysopes, N. cucumeris, A.swirskii). Les premiers sont en préventif et les seconds en curatifs. Les apports sont gérés à l’aide d’Outils d’Aide à la Décision.
Aucun insecticide n’est plus nécessaire sur la culture. Nécessite une certaine technicité pour définir les seuils de ravageur au-delà desquels il faut lâcher des auxiliaires. Les fournisseurs en PBI peuvent proposer des calendriers de lâchers.
Piégeage des pucerons ailés et thrips adultes. Permet une observation rapide des dynamiques de population de ravageurs. Les relevés sont hebdomadaires et le changement des panneaux intervient au moins une fois par mois (selon leurs contaminations).
Il existe une bonne corrélation entre les ravageurs piégés et ceux présents sur la culture. Les panneaux permettent un suivi facile des populations et un piégeage de celles-ci, limitant la dissémination des foyers.
Contrôle cultural Contrôle génétique
Lutte biologique
Lutte chimique
Lutte physique
Ravageurs cibles : Pucerons, thrips
Objectifs : - zéro pucerons visibles ;
- tolérance de légers dégâts visibles (pas de déformation de feuilles ni de décoloration de fleurs) de thrips et absence de virus.
Contrôle à réception
Mise en place
PBI * PBI parasitoïdes PBI prédateurs
Rattrapage éventuel chimique Températures basses *
Installation panneaux englués jaunes * Sélection variétale
Projet HORTIPOT – Site Arexhor Grand Est – Système Pélargonium Innovant 2018
Février Mars Avril Mai
Contrôle à réception Températures
basses
PBI
Panneaux englués jaunes
Colonie de pucerons, puceron parasité
Larve de chrysope Crédit photos : Arexhor Grand Est
*Levier appliqué à partir de ce moment et sur toute la durée de la culture
Sélection variétale