RÉSULTATS OBTENUS AU COURS DE L’ÉTUDE
DE QUELQUES FACTEURS IMPORTANTS DE L’INSÉMINATION ARTIFICIELLE OVINE
G. COLAS L. DAUZIER M.
COUROT,
R.ORTAVANT, J.-P.
SIGNORETLaboratoire de
Physiologie
de laReproduction,
Centre de Recherches vétérinaires et
zootechniques,
37 -Nouzilly
Laboratoire de
Zootechnie, École
nationalesupérieure agronomique,
Centre de Recherches
agronomiques
duMidi,
31 -M ontpellier
Institut national de la Recherche
agvonomique
SOMMAIRE
La recherche d’une
technique
d’insémination artificielle dansl’espèce
ovine a été orientée versl’étude du milieu de
dilution,
de la durée et de latempérature
de conservation du sperme et du nombrequotidien
d’interventions. Au cours de nosexpériences,
159 8
brebis de races Lacaune etIle-de-France ont été utilisées.
W Une
comparaison
entre le lait de vache écrémé et le CUE a révélé une différencesignifi-
cative en faveur du
premier
dilueur( 75 , 4
p. 100de mise bas contre66, 4
p. IOOaprès
inséminationpendant
une seulepériode d’oestrus,
P <o,oi).
2
° Dans ces
conditions,
latempérature
de -!-15 °C
assure unepréservation
satisfaisante dupouvoir
fécondant de la semencependant
les quatorzepremières
heures.Par contre, le refroidissement à +
4° C
entraîne une baisseimportante
de fécondance mais celle-ci ne s’accuse pasbeaucoup
au cours de la conservation.3
0 La fertilité augmente
significativement
avec lafréquence journalière
d’interventions(IL A./j :
51,7 p. ioode mise bas ;
21.A./j : 6¢,6 p.
IOO ; P <0 , 05 )
et la durée des chaleurs(6 1
p. ioo de mise bas pour les durées d’oestrus inférieures à 24h, 7 6, 5
p. ioo pour les autres ; I’ <o,oi).
Des différences
significatives
ont été observées entre les niveaux de fécondance des différents béliers( 39 , 4
p. 100 à7 6,7
p.100 )-
Avec la meilleure
méthode,
nous avonsenregistré
un taux de mise bassupérieur
à 75 p. IOO. Cerésultat, comparable
à celui que l’onpeut
obtenir avec la saillienaturelle, justifie l’exploitation,
dans le domaine
pratique,
de latechnique
d’insémination artificielle.INTRODUCTION
L’insémination artificielle chez les Ovins
estlargement répandue dans certains
payspossédant de très grands troupeaux. Cependant, les
résultatspubliés
sontparfois
discordants
etil
reste encorede nombreux problèmes
àrésoudre
avantd’envisager
l’application de
cettetechnique dans
un pays comme laFrance dont
la structurede
l’élevage
estfaite essentiellement de petites
unitésdispersées.
Si l’utilisation immédiate de la
semence pure ou peudiluée donne des résultats
trèssatisfaisants (KaxDrMO!mcz, r 953 ;
DAUZIER etal., 1954 ; S!s>~xMavT
etal., 19
6 2
; LUNC&dquo;-
etal., 19 6 2 ;
IVAKNEKKO etR AK , 19 () 4 ),
la conservation du spermes’accompagne généralement d’une baisse du
tauxde fertilité (S ALAMON
et RoBrn·-sow,
in62b). La littérature abonde
en travauxdans
cedomaine mais
rares sontles
publications qui donnent des indications précises.
I>eplus, les techniques rapportées
sont très
diverses, (D AUZI E R , 195 6 ; HA BIBUUK , zg6 3 ; 1 BE I ,jAKO V , 19 64 ; I,uNC.!
etal., 10 64...). ).
Or, l’intérêt présenté
parl’insémination artificielle ovine
apris récemment des dimensions nouvelles
en raisonde l’utilisation des progestagènes
pour lasynchroni-
sation
des
chaleurs etde la nécessité, dans le
casdu testage, de diffuser
la semencedes béliers de
la manière laplus large possible.
Nous avons donc été amenés àreprendre
cette
étude dans
sonensemble. Le présent article rend compte des essais entrepris depuis I oC) 4 .
MATÉRIEL
ETMETHODES
Quatre expériences
ont été réalisées au cours des annéesi g6 4
à19 66
sur un ensemble del 59 8
ani-maux : elles sont résumées dans le tableau I.
r. -4rzirrzau:v
expàimenlaux
Les
brebis, âgées
de i à 8 ans,appartenaient
au troupeauexpérinrental
du laboratoire(race
Ile-de-Frana)
ou à des éleveursprivés (race
Lacaune,région
duLarzac).
Dans tous les cas,l’appari-
tion des chaleurs était
spontanée.
Selon les
essais,
4à 6 béliers de ià
ans et demid’âge
ont été utilisés. Aucun d’eux n’avait faitl’objet
d’un entraînementpréalable
à la collecte auvagin
artificiel.2 . /):7!<!M!
Au cours des deux
premières expériences,
deux milieux de conservation ont été utilisés : le lait de vache écrémé reconstitué et le CUE(F OOTE , 195 8).
Lors de sapréparation,
le lait reconstitué(io
g depoudre —
go ml d’eau distillée + 30o mg desulfamides)
était maintenupendant
io minutesà une
température
de90° C environ, puis
refroidi(z 5
-_io<’(1)
et additionnéd’antibiotiques (io s
Utpénicilline
et ioo mgstreptomycine
pour laquantité préparée).
Le (&dquo;UEpréparé chaque jour
àpartir
de tampon salin et dejaune
d’oeuffrais,
recevait desantibiotiques
dans les mêmesproportions.
De la catalase
( 3 00 o UI/mg)
étaitincorporée
auxdilueurs,
à raison de 20!tg/iiil
de sperme dilué(H AFS
, ig6r ; F OOTE , 19 6 2 ). Ultérieurement,
seul le dilueur lait -f- catalase a été utilisé(tabl. i).
3
. Récohe et dilution de la semence
Les récoltes avaient lieu une fois par
jour :
un à troiséjaculats
par bélier étaient collectés àl’aide d’un
vagin
artificiel et aussitôtplacés
dans un bain-roarie(go°C).
La dilution suivait immédia-tement le contrôle de motilité et la mesure
photocolorimétrique
de la concentration. Le dilueur étaitajouté
à la semence dans le rapport3/1
dans lapremière expérience
ou de manière àparvenir
à uneconcentration finale de
6z 5
X io6spermatozoïdes
par ml dans les autres.4
.
Refroidissement et
conservation de la semenceAprès dilution,
le sperme était refroidi à +i j°C
en 30 minutes environ ou à +4 °C
en l h45 ’
et maintenu à ces
températures
par desampoules
d’acideacétique
ou deglace
en fusion. La vitessede refroidissement avait été déterminée au cours d’une étude
préalable
réalisée au laboratoire.j
. (.’0)!!0/M de la seiiieni-e
La motilité d’ensemble était notée de o à 5. La
majorité
deséjaculats
retenusprésentaient
unemotilité
supérieure
ouégale
à 4, 5. A cepremier
examen,s’ajoutaient
les mesures du volume et dela concentration en
spermatozoïdes
pourl’ajustement
de la dilution.Le sperme dilué faisait
l’objet
d’un nouveau contrôle(motilité
individuelle et pourcentage despermatozoïdes vivants)
avant d’être utilisé.6. Insémination
La détection des chaleurs était assurée une fois par
jour
par des bélierséquipés
de tablier. Les inséminations étaientrépétées pendant
toute la durée deschaleurs,
une ou deux fois parjour,
selonles essais
(tabl. i).
0 ,
2 ml de semence étaient mis en
place
àchaque insémination,
cequi,
dans les trois derniersessais, correspondait
àr2j ! ios spermatozoïdes
par intervention. Le sperme étaitdéposé
au fonddu
vagin
à l’aide d’unspéculum
tubulaire éclairant dans l’essaiI,
ou dans l’entrée du cervixgrâce
à un
spéculum gynécologique
dans les essais suivants.7
.
Analyse
des résultatsCes essais ont été conduits selon les
principes
del’analyse
factorielle pour les variables consi- dérées(béliers, élevages, traitements)
avecpermutation régulière
de chacune d’ellesplusieurs
foisau cours d’une même
période expérimentale.
Les données sont
analysées
selon la méthodeZ 2
de PEARSON.RÉSULTATS
Les résultats
sontexprimés
en tauxde mise
bascalculés après insémination
pendant
un oestrus.I
.
Comparaison des
dilueursLa comparaison des résultats obtenus
avecles différents dilueurs fait apparaître
un
écart hautement significatif
enfaveur du lait (P
< o,oi, tabl.2 ).
La
catalasen’améliore, d’une manière significative,
aucundes milieux de
conser-vation mais, dans l’ensemble,
soneffet paraît plutôt favorable. C’est pourquoi
nousl’avons utilisée dans les trois derniers essais (tabl. 2 ).
2
.
Durée de conservation
Dans
les deux premiers
lots(tabl. 3 ,
exp. III etIV), les interventions
ontété réali- sées
àdes
momentsdifférents
parrapport
audébut observé des chaleurs : le soir, c’est- à-dire dès le contrôle de l’oestrus
oule lendemain matin. I,’effet d’une
courtedurée de conservation ( 14 h) n’apparaît donc
pas ici à l’état pur.Il
semble cependant
quele pouvoir fécondant des spermatozoïdes diminue légè-
rement au cours
de
laconservation,
commel’indiquent les résultats obtenus dans les lots suivants (6q,o
p. 100contre5 8, 3 p. 100 ). Cette influence dépressive s’exerce égale-
ment sur
leur survie (fig. i).
3
.
Température de
conseyvationLe
spermeconservé
à latempérature de
+z 5 °C présente, chez
tousles béliers, le pourcentage le moins élevé de spermatozoïdes
morts(fig. 2 ).
Les écarts dans
les tauxde mise bas
ne sont passignificatifs dans l’essai
IV(58,8
p. 100de
M. B. ài5°C, 5 3 , 0
p. 100 à4 °C). Néanmoins,
lacomparaison des
résultats enregistrés dans les expériences
II et IIIfait ressortir
nettementl’effet défavorable de
latempérature !- 4 °C.
4
. Nombre
d’inséminations fia y jour
Comme l’indique le tableau 4 ,
lafertilité augmente
avec lafréquence journalière d’intervention (P
<0 , 05 ). Toutefois,
ilfaut préciser
que lenombre quotidien de spermatozoïdes déposés n’était
pasidentique
dansles deux
cas( 125
X io&dquo; contre25
o
Xio s ).
Il estdonc difficile de dissocier l’influence respective de
cesdeux facteurs.
5. Durée
d’oestrusQuelle
que soit la race, le taux de mise bas esttoujours plus élevé (1’
<o,oi)
chez les animaux dont
ladurée d’oestrus
estsupérieure
ouégale
à24 heures (tabl. 5 ).
6.
Élevages
Les troupeaux de
race Lacaune communs auxdeux essais
ontété réunis d’après
leur niveau de fertilité (tabl. 6).
Il est intéressantde
noter que lasupériorité des éle-
vages
du premier
groupeapparaît dans les résultats de chacune des expériences
entre-prises, quels
quesoient les traitements appliqués.
7. Bélievs
Le tableau 7 fait ressortir des différences de fécondance
élevées entrebéliers
(P
<o,oi). Toutefois,
cesécarts n’ont
pasla même importance dans
toutesles expé-
riences.
Dansles deux premiers essais,
enparticulier,
ils ne sont passignificatifs.
On trouve
aussi d’importantes variations dans les caractéristiques séminales
des béliers. Il
estcurieux de constater,
parexemple,
queles deux animaux dont le volume de
sperme et laquantité de spermatozoïdes
paréjaculat
ont les valeursles
plus faibles,
sontles moins féconds (béliers
n° 3 et6). Les interventions
avaient pour- tantété réalisées, dans
tousles
cas, avec unnombre identique de spermatozoïdes.
DISCUSSION
I
.
Milieu et température de conservation
Les
tauxde fertilité (essais
I etII) enregistrés
avecle C.
U.E. demeurent
assez constants(65, 7
p. 100contre68,5
p.100 ) bien
que,dans l’expérience II, la technique
de mise
enplace ait été plus précise
etle nombre
moyend’interventions
paranimal
supérieur ( 2 .g chez les brebis Ile-de-Fvance
contre3 , 7 chez les Lacaune).
Parcontre,
il existe des écarts sensibles
entreles résultats obtenus
avecle dilueur
aulait écrémé
et, dans les meilleurs lots, le pourcentage de mise bas atteint des valeurs comparables
à
celles
que l’on rencontre ensaillie naturelle.
S’il
estvrai
que lelait écrémé constitue
un bondilueur,
il fautsouligner
que sesqualités protectrices
àl’égard de
la semencedépendent de la température. Utilisé
à
-;- 4 °C, il n’assure plus
unaussi
bonmaintien du pouvoir fécondant (SALAMO.,!
etR
OBINSON
, 19 6 2 a).
Dans nosessais
invitro,
cetteaction défavorable du refroidisse-
ment à-+- 4 °C n’apparaît
que dansle pourcentage de spermatozoïdes vivants.
Ils’y ajoute vraisemblablement
unemodification irréversible
dumétabolisme cellulaire, causée
parl’abaissement de
latempérature du
sperme à-! 5 °C (O’SxEa
etW AL E S , 1966).
2 . Du y
ée
de conservationDe
nombreux
auteurs(T ERRILL , 1940 ; D AUZIER , 195 6 ; S!r,anroN
etRosm·soN, 19
6 2
b)
constatentchez
leBélier
unechute importante
dupouvoir fécondant
dèsles premières
24heures de conservation. Notre expérience
neconfirme
pasentièrement
ces
observations,
maiselle fait
toutde
mêmeapparaître
unléger effet dépressif (non significatif) de
cettedurée de
conservation sur lesqualités
fécondantesdes
sperma-tozoïdes.
3. Durée d’oeslrus
Comme
nousl’avons montré (tabl. 7 ), la fertilité de la Brebis augmente
avecla durée de l’oestrus. Toutefois,
nosexpériences
nepermettent
pasde préciser,
si cetteélévation
du tauxde conception
estdue
à unplus grand
nombred’interventions
(2, ou 6)
oude spermatozoïdes déposés ( 250 , 5 00 ,
ou75 0
X10 6 ).
4. Béliers
Le pouvoir fécondant du
spermede bélier peut difficilement être relié
à samoti-
litélorsque celle-ci
adéjà fait l’objet d’une sélection rigoureuse. Cependant,
dans cesconditions, l’examen du volume
etdu nombre
totalde spermatozoïdes des éjaculats
reflète peut-être
la valeurreproductive
d’unanimal,
commesemblent l’indiquer
nosrésultats (tabl. 7 ). Si elle
seconfirmait,
unetelle relation signifierait qu’une
augmen-tation de la production de
spermes’accompagne chez le Bélier d’une amélioration de
saqualité.
CONCLUSION
Les résultats obtenus
au coursde
cesexpériences
montrent quela meilleure
technique consiste
àutiliser du
sperme dilué dans dulait
écrémé etmaintenu
à latempérature de !-- r5!C pendant
unedurée
maximumde 14 heures. Si
cetteméthode doit
encoreêtre améliorée,
notamment en cequi
concerne laconservation de la
semence,elle peut dès maintenant être utilisée
avec succès dansle domaine pratique
et assurer un taux
de mise bas supérieur
à75
p. 100après
uneseule période d’insé-
mination.
Desessais ultérieurs
ontd’ailleurs confirmé
sonefficacité.
Reçu pour publicatio ll
en déceinbre19 6 7
REMERCIEMENTS
Cette
expérience
a été réaliséegrâce
à l’aide de la Confédérationgénérale
des Producteurs de Lait de Brebis et des Industriels deRoquefort (M.
Cottier et sestechniciens)
et des éleveursqui
ontbien voulu accepter de mettre leurs troupeaux à notre
disposition (MM. Bellas, Boudou, Camplo, Fabreguette, Rouquette
etSingla).
Nous tenons à leurexprimer
tous nos remerciements. L’aide de techniciens de la Station centrale deGénétique
animale de l’I. N. R. A. a étéparticulièrement appréciée.
Nous remercions aussi la Société des Caves deRoquefort.
SUMMARY
EFFECT OF DILUTER, TEMPERATURE AND DURATION OF SPERM STORAGE,
AND FREQUENCY OF INSEMINATIONS ON FERTILITY OF EWES
Four
experiments
were undertaken in the fields on 159 8
Lacaune and Ile-de-F’rance ewes in order tostudy
the effects ofdiluter,
temperature and duration of sperm storage, andfrequency
ofinseminations on
lambing performance (table I ).
The ewes were inseminated with 0.2ml of semen, diluted to
1/4
in the firstexperiment,
and withconstant number of
spermatotozoa
in the three other ones(6 25
X io6 perml). They
wererepeatedly
inseminated for the whole time of heat.
I—In
experiments
I and 2, two diluters werecompared :
skimmed cow milk(io
g ofpowder
-1- 9o ml of distilled water + 300mg ofsulfarnides)
andCUE ;
the two of them added withpenicillin (i
ooo IU perml)
andstreptomycin ( I
mg perml).
The ewes were inseminated twice aday
with semen stored at
I5 °C
for 14hours.The average
lambing
rate washigher
with milk : 75.4per cent, than with CI!E :66. 4
per cent(P
<o.oi).
The addition of catalase at 20y per ml of diluted semen resulted in aslight, not significant
increase in
fertility.
II-The use
of sperm
stored at4 °C
resulted in ageneral
decrease infertility,
confirmed withexperiment
4 where thecomparaison
between the twotemperatures
was taken up as a factorialexperiment. But
the difference remainedunsignificant : 5 8.8
per centlambings
atr j°C
versus !3.0 at4 °C.
A
longer ( 2 6 hours)
storage of sperm at4 °C
did notsignificantly
alter thelambing
rate.III - The
lambing
rate increased with thefrequency
of inseiiiinations : 51.7per cent for i inse- mination perday,
v.6 4 .6
per cent for 2(P
<0 . 05 ) ;
and with the duration of oestrus : 61.o per cent in ewes with a less than 24 hour heatduration,
v.7 6. 5
for the other ones(I’
<o.ol).
IV — There were differences in
fertility
between rams( 39 . 4
to7 6. 7
per cent, P <O . OI )
andbetween breeds
(P
<o.oi).
The
highest lambing
rate was more than 75per cent, whichequals
naturalmating.
It could be reached with thefollowing pattern :
milk + catalase
diluter,
125 X io6 spermatozoa per 0,2 ml
insemination, repeated
twice aday.
storage at
15 0 C
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