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Observations sur la position relative des terrains des Alpes suisses occidentales et des Alpes de la Savoie

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Observations sur la position relative des terrains des Alpes suisses occidentales et des Alpes de la Savoie

FAVRE, Alphonse

FAVRE, Alphonse. Observations sur la position relative des terrains des Alpes suisses

occidentales et des Alpes de la Savoie. Bulletin de la Société Géologique de France , 1847, vol. 4, 2e série, p. 996

Available at:

http://archive-ouverte.unige.ch/unige:107945

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1 / 1

(2)

OBSERYATIONS

Sur la position relatiae

cles

tematns des Alpes

su,isses

occidentales et des Alpes de Ia Sauoie,

,"T"i"T,ni; "T*,.1"13;.

(Communioation faite dans la séanco du 4 g avril dornier. )

IixrRAI'r DU BULLËTIN Dri LA soclÉ.rÉ

cÉoloctqun

Dtr FR^NCri, r. sdrie, t. IY, p.996, séance du 7 juin r8{7.

Si nous jetons un coup

d'æil

lapide sur les terrains

qui

forrnent les Alpes suisses occidentâles et les Alpes de la Savoie, en norts at- tachant surtout à détermirier' les lelations de position

qui

existent entl'e eux

,

nous trouvolls que ces lnontagnes sont cômpbsées de la rnanière suivânte :

Lo ?errains tle ctlstallisatiorr

- folmés par

des t'oches variées

lbrt

généralemerlt colinires,

et sur

lesquelles nous nc nous

ân€-

telons pas.

2u Roches

néttiinorphirlues.-

Ce sont des gneiss, desrnichschio- tes , des plotogynes schisteuses, etc. Ces roches reposent d'une lria- nière

itrégulière

sur le

terrain

de cristallisation,

3o Poudingue ou.tystème de Valor.çine en couchespuissautes çou- tenant souvent de I'anthracite. Dn génér'al ce systèrne est forrrré à sa pal'tie supérieure par des schistes, des grès ou des calcaires.tr'ès argileux

, renfennaut

beaucoup d'ernpreintes

de

fougèree; quel-

(3)

-2-

quefois ces dernières roches Inanquent pârce que dans les grands soulèvernents les loches argileuses sont plus facilelncnt colnprilnées que les âutles et disparaissent.

Je n'ai

poiut

encore eu l'occasïon d'obselvcr en Savoie cle clis- corclance

ènt'e ce

systèrne

à a.tlrracite,

et les roches ruétattror'- phiques (1).

-

4J Au-clbssus du systèrne cle Valolsine viennent les calcaires et les schistes plus ou uroins algileux du tcrtain iurassique, teltninés à

leur partie

infér'ieure par urre couche

de

carnieule

ou

calcaire magnésien celluleux. Ces

terrains

jurassiques sont à stratificatioÙ disàr'dante avec le sYstèrne de Yalorsine. On peut faire cette

ol:-

seryûtion sur

la rive

dl'oite

duRhône,

entre

llex

et Martig;ny' ['e Valais forure là uue imrneuse coupltle à peu près perpendiculaire

àla

tlirectiorr des terrainsdes

Alpes On y voit

(fig.

{)

que les

ter-

I\toBcLE

t-.".1.

\.)/ \J:\

-<_:,**(.

Tcrrains : N nummulitiquu,

C

orétaoé,

J

jurassiquo,

CÀ oarnieule,

Y système de Valolsino, P protogvne.

N

c J

r.ains clistallins ou.rnétauro|phiques

lbrtncnt tleux

clraînes

paral-

lèles

qui

s'enfo.r:cont sous les tet'r'ainssecorrda-iles

tlc

la chaîne .sep-

tentlionale

du Valais. Le systèrue de Yalorsine est cotuplis entle ces deux chaînes

ct

les recouvre sculernent en

partic,

tandis quc la calnieule sttrtrtontéc clcs ten'ains julassiqtlcs les enveloppe en- tièrernetrt, et

I'on

pcut

dile

qtle ces

tcrrains,

rnalgré les accidents auxquels

ilssont

sournis,

folnrcntuuc

espèce de vorite

qui

_s'étenct cles

bai,ls

de Lavey

i\

Saillou

ur

Yalais

' et qlri

s'élèvc dans lr:

nassif cle ,oo,ttugoà, courottné

pal la

clentde Molcles'

(,1) Cependant cette disoordance a étéindiquée dans les Alpes du Oairptrine', rlans le Bullctirt tle kt ^Slociéki x^<:olttgiqlu: tk: tr-ranu:

,

téu-

irionià Grsnoble , 4 8/l0,

t. XI

, ot dans mon ilémoiro sur les anthraoites des Alpos,

(4)

D'ailleuls la stlatification des

-3-

tert'ains jurassiques est trapsgresrive avec celle

du

système de Valolsine.

5o

Le tetain

crétucé repose sur

le terrain

jurassique.

[l

se sub- divise de

la

rnanièr'e suivante :

a.

Néocomîetz

qui

est caractérisé par

l'Ifoktster

con7)lailatus, et'

oir dans des blocs ellatiques on a trouvé Les Crioceras.

b. Pt'cntièrt: zotze dc rucliste.ç de

M. d'Orbigny'

ou calcaire à

l{ip-

pulites oa à Chanta Anrnonia.On

u'y voit

jaurais de Nurnrnulites.

Cette couche est celle

qui

a !e plus

d'influeqce sul le relief

du sol cles distlicts crétacés cles Alpes.

Elle foune en

général des arêtes derrtelées, tr'ès élcvées et tr'ès atides.

c. Tt:rrninulbien,

gau.lt ott' grès"t:ert

tr'èsriclreen

fossiles. I)ans çertaines localités

il

seurble alterncr avec des couches calcaires:

r/. il'I.

Studel a décrit dans le centle de la Suisse un terrain sous

le

rrorrr de calcairc ile Secçett. Ce

terraiu

n'existe

ni

dans les Alpes de Ia Suisse occidentale,

ni

clans celles de

la

Savoie.

r\ux Diable-

l'ets ? par exenrple

,

on peut placel

la

rnain cle uranièr'e qu'une de ses extrénrités lepose sur

le

grès

vert,

et

I'autre sur le

calcaire à .Nurnnrulites; souYent rnême les fossiles de ces deux couches sont rnélangées. Cette obsei'vation répétée dans plusieurs autles localités

i nclique bien la non-existence du calcaite tle Seeveu clans ces régions'

'fous

ces étag;es cln

terraiu

crétacé sont concorclants les uns avec les autt'es, mais ils sont à stratification tliscorclante avec les terrains juras$iques.

En

e{I'et, les

telrains

jurassiqtres

orlt

é{,é alfectés par des disiocations avânt

le

clépôt tles

tellains

crétacés. Ces disloca- l"ions sont attestées par'.

de

glancls corltoutnerrents.

lls

se voient

rlans le foncl de quelques unes cle ces plofoncles vallées

qui

laissent apelcevoil

la structule

intérieru'e des rnontagnes.

.

(les

contotrleutents, ou

pltr.tôt c€ contoumernent ? câr c'est un scul acciclent qu'on tetttarque en t.lillérentcs localités, est placé sur urre ligne

i\

pcu près clroite ct

palallèle

aux Alpes' Je

I'ai

observé sLr.r ulre

longucul

cte tlcize lierles envilon

, clont

le

poirrt le

plus.

scptentrional est

la tlcnt

cle

llaily,

au-clcs$us cles bains

de

l,avey (r'ivc choite clu Rlrône). Ccs coucl.tes cotrtottLttties Passent au-des- soLrs clu glandl rnassif de la ilent drr rl'lidi

,

et lepalaisscnt

au

sird- cst sousles g;laciers

tlu

urotrt

Ruan,

alr lbncl clc

la

Cornbe clc

Sixt;

ou

les lctLottvcégalelrentthns

lt plrltic

infér'ieult: tle la ttrontagnc des

Fiz,

du côtd tlc

Sixl

, ot\ lcs corrclres pr'éscntent I'artangelnent inrliqu,j dans

la

{i6. 2.

(5)

h

Fig. 2. Le

conknu'rtt:ncnt notrtnté

Futu:illts

rltr, Chtrrttct, ïu. .lts pentes du Ct'iou..

II

tr'it.2

ù

I

IV V

]II

| ?\\

c

\rl t

I.

Col d'Anternc,

IL

Los Fiz,

lII.

Le Colet,

IV,

Platot,

Torrains: J. jurassiquo, C. crétaoé.

VI

Y.

Petito Pelouze,

VI.

Passago des Tinos,

YII-YIII.

Forêt de sapins,

IX.

Lao de Gors.

r'.^_

lt,

c

0e glmrcl contournernent travelse alr-dessous clos utontagnes cles

Fiz , et se

fait voir à

ln célèbre cascade cle

I'Arpennaz, sur

les bolcls de I'Arve.

Enfin,

une cinquièrne localité oti la rnêrne observation peutêtl'e répétée est pr'ès de

la

Giétaz

,

clans la vallée de IVIégèvc. Dans tou- tes ces localités le contournement rles conches est situé clans les tellains jurassiques, tandis que

le

terrain cr'étacé recouvle ces dis- locations sans y participer.

6

Le calcaire à Nu.nntu,lite.r qrri a supporté toutes les clisloca-

fiols qui

ont donné au sol crétacé son

relief. En outre

des calac- tèr'es indiqués par

M. Leynrelie

pour

ce

ten'ain dans les Corbiè- res

(l), il fournit

dans les Alpcs les clcux obselvatious suivantes.

Nons lemalqtr.elons cl'altolcl

quc

ce

lerrairr contient

une colr- chc de charbon assez consiclérable pour.dtle exploitéc cn cpclques points. Les localités

sout,

en

allnnt

tlrr

N.*8.

au S.-O.

:

la chaîrrc clu

Titlis (2),

à

la limite

cles cantous de lJclne et.

cl'Uuterwakl;

(4.) IIIétttoit'e.s de la ,\toctëki aéologiqtu: tle Frant:c,20 sér.,

t.

L

(2)

Studer, lVlétnoitcl tle la,gociétei gioktg'ir1uc rlc Fntnce , 4r" sér-,

t. III,

p, 394. C'sst seulomonl un sohiste oarburé,

(6)

D

les hauteurs de Ileatenbelg et cl'Ilabkeren

({),

au

nortl

dr.r

lac

c[t:

Thoune

,

et

le

Mitta6-holr1,

cll rnidi

de

Flutigcn.

Ces localités sont indiquées pal

M.

le plofesseur Studer.

Il

en est cl'autles encore qne

i'ai

moi-rnêrne visitées, savoir

:

la célèbre couche des

I)iablerets,

ori le clrarbon se tl'olrve associé

au

Cerithiwn dittboli et

à

d'autres fossiles

,

la mine de

Pernant,

non

loin

d'Alrache

, rive

droite de

I'Alve.

Cette mine

a

été décrite par iVL

le

professer,u' Nccker', en {826 (2). J'ajoutelai seulernent à ses obselvations que la couche à fossiles est placée au contact et au-dessous du

vrai

calcaire à Nurn- rnulites, et

fait paltie

de ce

terrain.

l.a rnine de charbon du Petit-

Bolnant,

près Bouneville et celle d'Entlevel'gne,

sul la rive

rné-

ridionale du

lac d'Annecy. Ces

huit

localités

à peu

près aligrùes palallèlen'rent aux Âlpes

indiquent qu'il

s'était

formé,

à l'époque clu dépôt de- calcaire à Nummulites

, un terrain

ca,r'bonifère ayant une grancle éterrdue,

qui

a été sounris à des clislocations

et à

des.

dénudations.

Un sccond- calactère dn

telrain

à Nurnmulites qui a une

iurpor-

tance tlrénriqr-re

plus

grande est le suivant z cr: terntin cst intlëpen- rlant

par

ttn gisenent des tcrrains rrétacës qu.i

lui

.çont inférieurs.Ce fait

irnpoltantrnérite

quelques clétails. Les couches à Nurnrnulitcs sont, cornrne je

I'ai clit,

superposées an

tellaiu

albien et

ii

la

pre-

rnière zone de Rutlistes. Mais aux

Yoilons,

pr'ès Genève , les rt ches

nulurnulitiryes ,

sous forrrre cle grès (3) ? r'eposent

sul

Llne coucho peu épaisse cle calcaire j ulassique clont l'âge exact est intlételrniné , mais qui est slrpelposée à un calcaire incontestablernent oxfolclien.

Une discorclance analogue a été signalée par' ùL Charnousset clans

la

chaîne clu Nivolet

,

pr'ès

cl'Aix,

oir les roches Nurnurulitiques rcposent sur

le

calcaire

corallien,

et

il dit

les

avoir

vues dans la vallée de Thônes eu contact flvec

uh

calcaire

noir oxfoldien,

et cllre

M.

Sisnonrla leS a auc.ç dans Ie.ç ,4lpt:s mrtritintcs rcpos(ttt tnil- tdt sur la. tt'aie infth'ieu;"e, tançôt su.r lc néocorttien , et tantôt stu' des cottche.t juntssiques 11u,'il 1trésu,nre

éu'c

du

lias (l$.l)'un

autre côté

(,t)

Studer, fdent ,

p.388.

On

y

exploite du. oharbon tlopuis qua- rante ans.

(2) Bibliothèquc urtiçersclla de Genèr'c, Sorencos et

Àr[;, t XXXIII,

p

90.

(:l)

Dopuis plusiouls années

M.

Boué

a

signalé les Nummulites dans les grès aux Voilorts (Guidc du. gtiolog'ttt: ùo)'ut(,tLt', t.

II ,

p. 395).

J'ai pu répétel cettc ohservltion.

-

Les grès do

la

Valoretto, au pied de la dont du

Midi,

près Saint-l\[aulice en Valais, oontisnnent aussi dos Nummulites.

(h) Billhtin ù:

lrr ,loc, sr:ol. de ?'rortcc, 2u sér.,

t, I,

p. 624.

(7)

-6-

ffl

.

le professeur sturter a tlouvé le

tellain

à Nurnrnulites repo$ant dans

le cauton

cl'Appenzell

sul le calcaile de

Seeverr

r i[ui,

colrilne

je I'ai dit,

est strpérieul'

au.tellain

al]:ieD, darrs

les cnvi-

rons du lac de Thoune

,

sur

le calcaile

à

Rudistes, et au

mont

I,'auclon

,

près dc Gap

,

sur I'Oxfold-Clay.

, Tot

s

càs trînoignages

plouYent

clonc évideruruent I'inclépen- dance du

terlain

à Nurnmulites des Alpes'

7o Le Ftyst:h ou lc Macigno est

follné pat

cles grès fins, micacés ou talqueux, par cles grès quartzeux gl'ossiers r par des schistes ou rles brèches calcaires

qui

ont

palfois

une lesseullllance étonnante avec les roches dulias. Àpproxirnativement au tiers cle son épaisseul

ce tefi.ain coutient des calnieules et cles gypses cn couc h es. Jamais

je n'ai

trouvé de Nurnrnulites dans

le

rnacigno

' rnais

les déblis de

poissons

y

sont. abondauts dans quelques localités

: ce

sout tles

écailles,

des

nageoires

et de petites

mâchoires'

M'

r\gassiz- a

leconnu

quelquÀs uns de ces flagn'rents comule caractér'isant cles poissons de I'époque crétacée (L).

Ce telraiu paraîi identique au rnacigno

italien,

qnoique

M. Pillat

clans sc's norwellcs obsetvations

sul

le

tellain hétlurien,

le place

au,dessous du calcaile à

N[uiluulites

(2). cornrnc

lui

nous en avous l'econnu I'indéperrdance.

En elfet, lolsqu'ou

clretniue de

Saint-

.Ieoile à Sar,toens en Savoie,

on voit que le

rnacigllo

ou

flysch

s'étencl e n couches à peu pr'ès holizontales, quoique ondtrlées, sur

la live

gauche clu

Giffre.

Ces couches s'appuient au

N -0'

sut cles

."oucl,es'j.rrassiqles

,

et au

S.-Il.

sur. le calcaile à Nr,rrrm*lites

cpi

Ini-rnêrne est placé sur le calcaile à Chatna Antntonia. Cette

ob-

selvation constate

que le

rnacigno est indépeilclant clu calcaile à Nr.rrrrrnulitcs.

Pal

corlséquent ces.

deux telrain$, le urlcaire

à

Nniltilttr,lites ct lc rnacigtto , soill touri dcu;r intkitctttktnts

lcs

tt:n'ains t:n'ttttcés et intletltendunt,s I' un tle

l'rtutrc. '

,

La

pointe

de l\Ialcely qui

s'élève

à

1,280 mètres

euvilon

au- clcssus cle

la petite ville

cle Tauinge est

cntièret[ent

for'rnée par' lcs couches

ti peu

pr'ès

holizontales dont je

viens

tle parler'

Ce

nornbre donue

utlc idée

appr.'oxirnative cle l'épaisseur clr: ce

ter- rain. Or,

corntne

il

a subi toutes les dislocations

tlui

ont formé le

lelicf

actuel des

Alpes, il

est

plobahle

qqe PoLu'

avoir la vlaie

hautelr' i\ laqnt:llc se sont élevés anciennernent plusier-rrs des clis*

p

(l) Butt. rlt lt

Soc. grio!.

rk: litttrtt:rt, 2"

sôr'ie,

l8/r4, t. I

' 626,

(2).Ilértr.

(le ln ,roc. gtirtl. dc

lrrrtrtut,

20 sér',, 1846,

t, tl ,

p. 'l63 sul\',

et

(8)

tricts

calcaires de cette chaîne

-7- de

rnontagnes,

il lhut

ajouter' à la

hauteur actuelle

cles

aiguilles et

des pics

dont ils sont

hérissés l'épaisseur des

telrains qui ont

été sournis aux mêrnes rnodifica-

tions. Ainsi il thut ajouter â l'énonne hauteur de la

Pointe-

Percée (2) , forrnée par le calcaire à Chama

Antnonia,

l'épaisseur' clu

terrain nurnrnulitique et

celle

de

rnacigno

I

et au

Iluet

dont la cirne est jurassique

il faut reportel

les terrains crétacés et num-

mulitiques ainsi

que les

1,300

rnètres de macigno. Les loches de ce dernier

terrain

étant assez

friables,

une

partie

a

dti

s'éclouler au nloment d"u soulèvement

,

mais

il

est probable que dans quel- ques points elles

ont

subsisté, et que ce n'est que peu à

peu,

par' dénudations

et

par' éboulements,

que

certaines

aiguilles

se sont abaissées à la hauteur encor€ considérable

qu'elles

atteignent au-

jourd'hui.

(3) Cetto haute sommité est plaoéo à la limite do la vallée du Repo- soir, ot n'a jamais été mesuré0.

lrrrir. '- lmprirrerie dr L. ilrrrrnrr, rur Jacob, S0.

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