• Aucun résultat trouvé

Première réunion du Groupe de travail sur l emploi vert et les changements climatiques. (Bruxelles, le 17 juin 2008) Sommaire

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2022

Partager "Première réunion du Groupe de travail sur l emploi vert et les changements climatiques. (Bruxelles, le 17 juin 2008) Sommaire"

Copied!
9
0
0

Texte intégral

(1)

Première réunion du Groupe de travail sur l’emploi vert et les changements climatiques

(Bruxelles, le 17 juin 2008) Sommaire

En décembre 2007, la 3e réunion du Conseil général de la CSI a convenu de l’établissement d’un « Groupe de travail syndical en charge de la mise en œuvre de la campagne Emplois verts et de la supervision des activités convenues, y compris celles du Groupe de travail syndical ad hoc sur le changement climatique. » Le Conseil général a souligne, en particulier, la nécessité d’assurer une représentation adéquate pour les affiliées des pays en développement et les femmes au sein du Groupe de travail, de même que dans le cadre des autres activités organisées dans ce domaine.

La première rencontre du Groupe de travail sur l’emploi vert et les changements climatiques a donc eu lieu le 17 juin 2008, à Bruxelles. Elle a réuni trois membres du Bureau exécutif de la CSI de chaque région – CSI Afrique, CSI Asie/Pacifique, CSI-TUCA et CRPE –, ainsi que des représentants des FSI et de la TUAC (tous les membres n’ont pas pu assister à la première réunion.) Les présidents des groupes de travail existants au sein du Groupe de travail sur les changements climatiques susmentionné ont été invités à participer, à la lumière des compétences spécifiques qu’ils pourraient contribuer aux activités du Groupe de travail.

Mme Sharan Burrow, présidente de la CSI, a présidé la session. Une liste complète des participants est jointe en annexe I.

L’ordre du jour de la première réunion du Groupe de travail incluait les points suivants:

1. Le rôle du Groupe de travail dans le cadre de la réponse syndicale au changement climatique

2. « Emploi vert », changements climatiques et emploi 3. Changements climatiques et priorités syndicales

4. Vers un protocole post-Kyoto: Participation au processus de l’ONU

(2)

5. Agenda futur du Groupe de travail

(3)

1. Le rôle du Groupe de travail dans le cadre de la réponse syndicale au changement climatique

Le secrétariat de la CSI a introduit la nécessité d’une réponse syndicale internationale coordonnée aux défis du changement climatique. L’incidence des changements climatiques, qui se fait d’ores et déjà fortement ressentir sur la vie des travailleurs et de leurs communautés, est susceptible de s’aggraver, tant en termes de la fréquence des phénomènes climatiques extrêmes que des mesures visant à la réduction des émissions des gaz à effet de serre.

L’accent a été mis sur la nécessité de renforcer la sensibilisation publique aux enjeux sociaux tributaires des changements climatiques (emploi, revenu, migration, etc..) et d’intégrer ceux-ci à la prise de décision à tous les niveaux – selon les termes de la décision du Conseil général de la CSI: « de s’engager pleinement et activement dans des actions à l’appui de l’adoption d’un cadre international exhaustif post-2012, pour apporter une réponse au changement climatique, pour mener à bien les réductions des émissions de gaz à effet de serre (GES) qui en résultent et pour générer des perspectives d’emploi durables, au travers d’une stratégie efficace de promotion des emplois verts. »

Il a été souligné que les syndicats avaient entrepris un rôle de plus en plus proactif en réponse aux changements climatiques, et ce, à la fois au niveau national et international. Le Groupe de travail syndical ad hoc, établi en 2007, a contribué au développement d’une perspective syndicale internationale sur le changement climatique et encourage les organisations affiliées à participer aux programmes de l’ONU sur les changements climatiques.

Le débat a clairement fait ressortir qu’il était nécessaire pour les gouvernements de tenir compte des considérations sociales dans le cadre de leur prises de décisions et pour le mouvement syndical d’apporter son aide à la transition vers une société respectueuse de l’environnement. Ceci a souligné le besoin d’une action syndicale coordonnée à niveau international, qui tienne toutefois aussi compte des réalités à niveau national.

D’autre part, l’accent a été mis sur le fait qu’il était important de suivre les considérations scientifiques sur lesquelles sont fondées les recommandations de la CCNUCC, notamment eu égard aux objectifs projetés pour 2020 afférents aux émissions de gaz à effet de serre.

Une proposition a été présentée visant à l’inclusion d’une référence expresse dans le texte du mandat du Groupe de travail aux deux principaux objectifs de la décision du Conseil général (à savoir: participation à un accord exhaustif post- 2012 relatif aux réductions des émissions de gaz à effet de serre et promotion d’une stratégie pour des Emplois verts.) D’autres membres ont mis en exergue l’importance de ces questions dans le cadre de leur ordre du jour national.

Il a été convenu que le Groupe de travail devrait:

1. Coordonner une campagne Emplois verts et changements climatiques, conformément au mandat dont il a été investi par le Conseil général, pour

(4)

superviser les activités convenues; soumettre des recommandations au Conseil général concernant la mise en pratique et les possibilités de dotation pour une telle campagne;

2. Etre présidé et se composer, pour l’essentiel, de membres du Bureau exécutif, avec des services assurés par le secrétariat de la CSI et le groupe de travail ad hoc sur le changement climatique;

3. Se réunir immédiatement avant ou à la suite d’autres réunions de la CSI;

4. Présenter des rapports de progrès concernant la mise en pratique des objectifs par pays, par région et par secteur, selon le cas;

5. Explorer la meilleure approche en vue de l’intervention d’experts non syndicaux (ex. Experts de l’ONU, académiciens, ONG) dans les activités du Groupe de travail et, le cas échéant, du Conseil général.

2. « Emploi vert », changements climatiques et emploi

Dans son introduction, le secrétariat de la CSI a brièvement passé en revue les liens existant entre l’emploi et les changements climatiques, concernant trois domaines en particulier:

- Les impacts des événements associés aux changements climatiques (impacts sur l’agriculture, la pêche, le tourisme et les infrastructures urbaines);

- Les impacts associés à l’adaptation aux changements climatiques, qui peuvent être positifs (investissement dans les travaux publics, la santé, la gestion de l’eau) ou négatifs (perturbations économiques et sociales);

-

Et enfin, les impacts sur l’emploi des politiques relatives à la réduction des émissions.

En ce qui concerne ce dernier point, il convient de faire une distinction entre les secteurs à fort capital énergétique, qui nécessiteront des mesures d’accompagnement pour parer aux pertes de revenus des travailleurs, et l’ « économie à faible émission de carbone », qui ouvre la porte à la création d’emplois, de même qu’à la transformation et à l’amélioration des emplois existants.

Diverses questions ont été abordées lors de cette discussion: la croissance des possibilités d’emploi dans les nouveaux secteurs, la nécessité d’améliorer et de

« rendre plus verts » les systèmes de production traditionnels; pour ce qui a trait aux secteurs connexes en difficulté, veiller à ne pas sous-estimer les difficultés auxquelles se trouvent confrontés les secteurs à énergie intensive, entre autre.

Les participants ont souligné les progrès accomplis dans le domaine de la prise de décision dans la région Asie/Pacifique, où la CSI-Asie/Pacifique a organisé une première conférence syndicale régionale importante sur le thème « Protection de l’environnement, développement durable et emploi » (Bangkok, 25-26 mars 2008). L’accent a été mis sur l’importance des conseils fournis aux organisations affiliées pour les aider dans leurs efforts de plaidoyer à niveau national et le renforcement de leurs activités de formation. Les modes de vie à faible émission

(5)

de carbone et la sensibilisation au respect de l’environnement des travailleurs en tant que consommateurs figuraient également parmi les thèmes abordés lors de la conférence.

De nombreux participants ont attiré l’attention sur l’importance de l’innovation, de la technologie et de la recherche et du développement, de même que sur la nécessité de promouvoir des politiques de développement et de re- développement des compétences. Le rôle du secteur public dans le cadre de la gestion de la transition et la réponse aux événements en rapport avec les changements climatiques ont été mis en exergue.

Au fur et à mesure des discussions, les participants se sont pris d’un véritable sentiment d’urgence, qui a suscité un appel en faveur d’une responsabilisation accrue aux conséquences des décisions politiques, notamment face aux situations extrêmement préoccupantes qui se vivent dans des pays comme le Bangladesh ou les petits Etats insulaires en développement, où la vie de millions de personnes est en danger à cause de la montée du niveau de la mer.

Un éventail d’actions syndicales ont été soulignées pour leur pertinence dans le contexte de ce débat: Le lancement d’un rapport conjoint PNUE/OIT/CSI sur l’Emploi vert, dont la sortie est prévue pour le 24 septembre; les activités de formation en cours s’adressant aux syndicats de pays en développement et organisées à travers le programme PNUE/Sustainlabour sur le travail et l’environnement; l’exploitation efficace de l’excellente étude sur l’emploi et le changement climatique, publiée par la CSI en juin 2007.

Concernant la capacité des syndicats d’influencer l’actuel agenda du changement climatique, les participants ont reconnu les difficultés en vue de l’intégration des enjeux sociaux mais ont aussi souligné les progrès notables engrangés lors de diverses réunions, notamment, la Conférence des ministres du Travail du G8, à Niigata, en mai 2008. Les conclusions de cette rencontre pourraient être employées en tant qu’instrument pour accroître la visibilité des propositions syndicales aux négociations de la CCNUCC.

3. Changements climatiques et priorités syndicales

Dans ce point de l’ordre du jour, introduit par le secrétariat de la CSI, l’accent est mis sur la nécessité d’une intégration du changement climatique aux autres activités syndicales, notamment le développement, la réduction de la pauvreté, la santé et la sécurité et la lutte contre le VIH/Sida. L’importance d’une participation accrue des autres instances de la CSI, notamment le Comité des femmes, a également été soulignée. Il a également été question de liens étroits entre les propositions politiques relatives aux changements climatiques au sein du mouvement syndical et des autres fora (notamment l’investissement, la réglementation, la participation, le travail décent.)

Le débat a permis de mettre en lumière de nombreuses situations où les syndicats ont intégré les changements climatiques dans leurs politiques nationales, notamment:

(6)

- L’inclusion de cette problématique à l’ordre du jour des négociations collectives (par exemple, en ce qui concerne la mobilité durable),

- Le travail mené en concertation avec des organisations non gouvernementales (y compris des évaluations à moyen terme du coût des politiques en matière d’achat, qui reflètent le coût des produits en termes de leur impact d’émission).

- La factorisation des questions environnementales dans le cadre des politiques syndicales et le développement de positions spécifiques eu égard à l’énergie et aux changements climatiques,

- La promotion d’initiatives « pour des lieux de travail plus verts » ou d’une économie bio,

- Encourager les jeunes membres à jouer un rôle actif concernant les thématiques environnementales au sein de leur syndicat, entre autre.

Une note de prudence a, cependant, été émise: Bien que des synergies existent, il convient de ne pas sous-estimer les conflits potentiels pouvant survenir au sein du mouvement syndical concernant ces questions (que ce soit entre différents secteurs, différentes générations, voire entre travailleuses et travailleurs du Nord et du Sud.)

Des arguments ont été avancés à l’appui d’une réponse réglementaire au changement climatique et du fait qu’il était essentiel que les syndicats marquent clairement leur opposition à une approche de décision politique qui consisterait à

« abandonner le marché en guise de solution. »

Une des conclusions initiales à laquelle les participants sont parvenus au terme de leur discussion était que les membres du Groupe de travail se devaient d’attirer l’attention sur l’urgence de débats réguliers sur le changement climatique, à la fois au sein de leurs organisations et auprès d’autres partenaires, ainsi qu’auprès des autres membres du Conseil général. La présidente de la CSI a lancé un appel à l’action urgente dans ce domaine, qui doit figurer au centre de l’action syndicale à tous les niveaux, partout dans le monde.

4. Vers le protocole post-Kyoto: Participation au processus de l’ONU

Le secrétariat de la CSI a évoqué dans ses grandes lignes, le rôle joué par les syndicats dans le cadre des négociations des Nations unies sur les changements climatiques, notamment en représentant les intérêts des travailleurs et des communautés d’aujourd’hui et de demain et en militant en faveur de l’intégration des priorités syndicales dans les débats d’où elles seraient autrement exclues.

Ceci sous-entend que les priorités syndicales lors des négociations de l’ONU étaient multiples:

- Promouvoir un accord mondial ambitieux sur le changement climatique, qui protégera la planète contre les conséquences irréversibles du changement climatique;

(7)

- Préconiser l’intégration de l’emploi et des objectifs liés à la transition équitable dans les processus de décisions politiques;

- Promouvoir le dialogue social et la participation des syndicats aux décisions;

-

Accorder plus d’importance au rôle des lieux de travail dans le cadre de l’action sur le changement climatique.

Dans le contexte de négociations futures, les syndicats seront appelés à œuvrer en faveur d’un consensus sur diverses questions, dont, notamment: L’objectif de réduction des émissions post-2012, les engagements en matière de réduction des émissions pour les pays industrialisés, les mesures de réduction des émissions pour les pays en développement, les transferts et le développement de technologies et enfin l’investissement et les flux financiers.

L’accent a notamment été mis sur une action nationale centrée sur ces négociations. Les communications nationales avec la CCNUCC ont été considérées vitales et le rôle des points focaux de la CCNUCC a été souligné. Les syndicats ont été appelés à régulièrement communiquer avec ces derniers.

Les participants ont reconnu que les syndicats avaient accompli des progrès notables en atteignant un degré élevé de consensus sur des politiques ambitieuses en matière de changement climatique, de même qu’en ce qui concerne les objectifs de réduction des émissions de gaz à effet de serre. Les questions liées à la solidarité sont essentielles pour faire en sorte que le progrès politique aille au-delà de la simple promotion d’arguments du type « avantage au premier motionnaire », pour amener les gouvernements et l’industrie à s’attaquer aux changements climatiques.

Les parties étaient d’accord sur le fait que l’élaboration de politiques syndicales spécifiques sur les négociations afférentes aux changements climatiques demeurait une priorité à charge du Groupe de travail sur le changement climatique.

Une attention particulière a été accordée à la garantie d’une représentation régionale au sein du Groupe de travail et au renforcement par le Groupe de travail de notre contribution aux négociations sur le changement climatique. Dans ce contexte, il est nécessaire d’envisager le renforcement de projets syndicaux de coopération en cours sur des thèmes comme la « transition équitable. »

Les syndicats auraient dû aboutir à un accord mis à jour concernant les objectifs de réduction des émissions. Outre l’objectif préalablement établi de 85% de réduction des émissions d’ici 2050, approuvé par le Conseil général de la CSI, l’objectif avancé par l’IPCC, soit une réduction des émissions de 25-40% d’ici 2020 pour les pays de l’Annexe I serait proposé en vue d’une discussion entre les affiliées lors de la présentation du prochain projet de résolution à la COP14.

En ce qui concerne ce dernier point, en particulier, il a été souligné que des discussions complémentaires devraient avoir lieu pour influencer les prochains événements et décisions à l’occasion de la 14e Conférence des parties à la

(8)

CCNUCC (Poznan, Pologne, 1-12 décembre 2008), immédiatement avant la prochaine réunion du Groupe de travail de la CSI.

Solidarnosc (Pologne) et LO-Danemark (organisatrices des conférences de la CCNUCC en 2008 et 2009 respectivement) se sont, toutes deux, déclarées désireuses de contribuer à la réussite des préparatifs en vue de la contribution syndicale à ces conférences.

5. Agenda futur du Groupe de travail

Ayant convenu de poursuivre son action sur le changement climatique, le Groupe de travail s’est proposé de:

1. Mener un travail de sensibilisation au niveau national sur des thèmes directement ou indirectement liés au changement climatique;

2. Promouvoir des politiques respectueuses de l’environnement qui pourraient conduire à des transformations positives dans le monde du travail (y compris la création d’emplois verts) et œuvrer en faveur de société viables;

3. Examiner, depuis une perspective à plus long terme, comment les syndicats peuvent intégrer les questions environnementales dans des politiques qui garantissent une existence plus saine aux travailleurs/travailleuses et à leurs communautés;

4. Assurer la supervision d’autres activités connexes de la CSI, y compris celles du Groupe de travail ad hoc sur les changements climatiques, de même que les activités de recherche, d’éducation et de formation;

5. Encourager la collaboration entre les syndicats et les gouvernements, les employeurs et la société civile.

6.

Organiser des discussions concernant les politiques syndicales afférentes aux changements climatiques et aux questions spécifiques y associées, y compris les propositions et interventions politiques dans le cadre des consultations de l’ONU sur un nouveau traité qui promeuve l’ordre du jour syndical concernant les principales priorités actuelles: adaptation, mitigation, flux financiers et transferts de technologies.

(9)

Annexe I – Participants à la Première réunion du Groupe de travail syndical sur l’emploi vert et les changements climatiques

Membres du Groupe de travail CSI-Afrique

1. Kwasi Adu-Amankwah CSI-TUCA

2. Victor Baez

3. Jose Antonio Felicio

4. Penny Schantz (représentant John Sweeney) CSI-Asie/Pacifique

5. Noriyuki Suzuki

6. Sharan Burrow (présidente) CRPE

7. Sophie Dupressoir (représentant John Monks)

8. Mikhail Shmakov (accompagné par Evgueny Sidorov) FSI et TUAC

9. John Evans

10.Svend Robinson (représentant Peter Waldorff) 11.Ali Howes (représentant David Cockroft)

Autres membres du Bureau exécutif: Fred van Leeuwen (IE), Naomi Okamoto accompagnée par Chihiro Ikusawa et Akiko Okubo (JTUC-RENGO, Japon),

Stephen Benedict (CTC, Canada).

Organisations hôtes de la COP: Marie-Louise Knuppert et Erik Nielsen (LO, Danemark), Agneszka Dojlido (Solidarnosc, Pologne)

Représentants du Groupe de travail syndical ad hoc sur le changement climatique: Phil Pearson (TUC, Grande-Bretagne), Laura Martin (Sustainlabour), Anne Panneels (FGTB, Belgique) et Tina Loeffelsend (IG-BAU, Allemagne).

CGU: Jim Baker

CSI: Guy Ryder, Jaap Wienen, James Howard, Lucien Royer, Anabella Rosemberg et Ramon Vivanco.

Excuses et absences de membres du Groupe de travail Rabiatou Serah Diallo

Zwelinzima Vavi Rekson Silaban Diana Holland

Références

Documents relatifs

3) Préparation d’une note d’expression de nos souhaits d’évolution du questionnaire des EAR, en lien avec les besoins des utilisateurs repérés par le groupe. 4) Besoins

Tour de table : présentation des participants et recueil des réactions sur le projet de mandat ; 3. Organisation des travaux du groupe ; calendrier et contenu des réunions

Secrétariat général du Cnis : Timbre H030 - 18, Bd. plan au verso) 139 rue de Bercy - 75012 PARIS1. Métro

Raphaëlle BELLANDO, Professeure à l’Université d’Orléans, Directrice du Laboratoire d'Économie d'Orléans Renaud LACROIX, Directeur de l’ingénierie et de la maîtrise

Rapporteurs : Ronan MAHIEU, Chef du Département des Comptes Nationaux, Insee.. Jean-Pierre VILLETELLE, Chef du Service d’Études et de Prévision, Banque

Eurostat a fait le point sur la révision légère de la nomenclature de produits internationale CPC (CPC ver. 2.1) préparée par le Sous-groupe technique du Groupe d’experts de l’ONU

La même année, le commissariat général du Plan, présidé par Henri Guaino, estimait le nombre de personnes touchées par le chômage à sept millions, en ajoutant aux chômeurs BIT

Dans ses recommandations, le groupe de travail « Statistiques structurelles fondées sur les groupes d’entreprise et leurs sous-groupes 1 » demandait que soit engagé un