Evaluation et gestion du temps de travail en élevage porcin
Audrey TRICARD (1), Caroline DEPOUDENT (1), Marie‐Laurence GRANNEC (2)
(1) Chambre Régionale d’agriculture de Bretagne, 5 allée Sully, 29000 Quimper
(2) Chambre Régionale d’agriculture de Bretagne, Technopôle Atalante‐Champeaux, 35042 Rennex Cedex caroline.depoudent@bretagne.chambagri.fr
Evaluation et gestion du temps de travail en élevage porcin
Cette étude est une mise à jour des références de temps de travail suite au changement de conduite des truies gestantes. Une enquête a été réalisée auprès de 47 naisseurs‐engraisseurs bretons élevant de 105 à 950 truies (moyenne 285 truies, médiane 220 truies). Les temps de travaux ont été évalués en recueillant les semainiers d'activité de toutes les personnes intervenant sur l'atelier porcin. Ces données étaient complétées par une description détaillée des bâtiments, équipements et pratiques d'élevage.
Les caractéristiques des élevages efficaces et non efficaces en termes de temps de travail sont établies à partir de tests de comparaison de moyennes.
Le temps de travail moyen des naisseurs‐engraisseurs est de 18h12 par truie présente et par an (± 4h47). Le naissage représente 50 % du temps, le sevrage‐vente 33 % et les 17 % restant englobent les autres tâches. La taille de l’élevage et son automatisation sont les principaux facteurs influençant le temps de travail. Les gros élevages sont en moyenne plus efficaces (15h20 de travail par truie par an), mais il existe de petits cheptels où le temps de travail est inférieur à 15h20 par truie par an.
La main‐d'œuvre est plus souvent spécialisée dans les ateliers de plus de 400 truies (55 % vs 33%). Elle peut l'être dans les plus petites structures. L'amplitude horaire est faible pour 40 % des salariés. Les exploitants en revanche ajustent le plus souvent leur temps de travail quotidien aux évènements de la conduite.
Working time and time management in pig farms
This study updates standards about working time on pig farms after the mandatory implementation of group housing systems for pregnant sows. A survey was made on 47 Breton pig farms with 105 to 950 sows (285 sows on average, 220 sows on median).
Working time was estimated with week plannings completed by every worker. These data were completed by a farm description (buildings, equipments, breeding‐practices). The data are used in t‐test to characterize pig farms according to the labour efficiency.
Average working time in farrow‐to‐finish pig farms is 18h12 per sow and per year (± 4h47). Working time had decreased since the previous studies, but its distribution remained stable: 50 % of time for work with sows, 33 % for weaning‐to‐slaughter, 17 % for other tasks. Size and automation are the principal factors which influence working time. Larger pig farms are on average more work efficient (15h20 per sow and per year), but some smaller ones have a working time lower than 15h20 per sow and per year.
The workers are often more specialized on farms with more than 400 sows (55 % vs 33%). They may also be specialized in smaller farms. The working time range is low for 40 % of employees. On the contrary the employers adjust their working time to the daily tasks.
INTRODUCTION
La question du temps de travail en élevage porcin est régulièrement soulevée : d’une part, le travail est le deuxième poste du coût de revient (résultats GTE‐Tableau de bord de 2011) ; d’autre part, le travail salarié a augmenté pour atteindre 35% des ETP (équivalent temps‐plein) du secteur porcin en 2010 (Depoudent et al., 2014). Les éleveurs ont donc besoin de connaître le temps de travail sur l’élevage. C’est une information primordiale pour l’optimisation de la productivité du travail dans un contexte de diminution des marges et de recherche de meilleures conditions de travail. De plus, la mise en groupes des truies gestantes a conduit à des modifications des bâtiments et des pratiques.
L'objectif de notre enquête est double (1) actualiser l’évaluation du temps de travail en élevage porcin et analyser les différents facteurs d’influence et (2) caractériser l’organisation des collectifs de travail au sein de l'exploitation.
1. BIBLIOGRAPHIE
1.1. Evolution des temps de travaux dans les élevages porcins et facteurs de variation
Le temps de travail en élevage porcin a été mesuré par différentes enquêtes entre 1992 et 2010 (Le Borgne et al., 1994 ; Le Moan et al., 2003 ; Renaud, 2010). Elles montrent une réduction du temps de travail total de 27h24/truie/an en 1992 (Le Borgne et al., 1994) à 20h43/truie/an en 2010 (Renaud, 2010), soit une réduction de 24 %.
Ces études mettent également en évidence l’impact sur le temps de travail de la taille de l’élevage, de l’automatisation, de la spécialisation et du type de sol des bâtiments porcins.
Les éleveurs avec des troupeaux de plus de 400 truies passent 30 % de temps par truie en moins que les éleveurs de troupeaux de moins de 150 truies (Le Moan et al., 2003).
Les élevages qui ont un temps de travail faible ont un système plus automatisé et davantage de sols sur caillebotis que la moyenne (Le Borgne et al., 1994 ; Le Moan et al., 2003 ; Renaud, 2010). Par contre, le temps de travail est plus élevé dans les élevages utilisant beaucoup de paille. Enfin, ceux ayant un autre atelier animal ont un temps de travail supérieur à celui des élevages spécialisés en porc (Renaud, 2010).
1.2. Méthodes de recueil des temps de travaux
Dans le secteur de l’élevage, différentes méthodes ont été utilisées pour évaluer les temps de travaux. L’enregistrement par l’éleveur de ses activités sur une période de plusieurs semaines, a été longtemps la méthode pratiquée (Lacroix et Mollard, 1991). Elle permet de recueillir de nombreuses données de très bonne qualité, mais requiert une motivation élevée de la part des éleveurs, et un dédommagement financier. C’est pourquoi la plupart des études récentes (Le Moan et al., 2003 ; Renaud, 2010), ainsi que la GTE‐Tableau de Bord, ont utilisé une auto‐évaluation par l’éleveur du temps consacré à chaque tâche. Les temps recueillis sont cohérents avec le temps total consacré à l’atelier, et le recueil se fait sur site ou par correspondance.
Enfin, le « Bilan Travail » passe par le recueil des emplois du temps de tous les travailleurs sur une période représentative de l’activité de l’élevage, en distinguant le travail d’astreinte et le travail de saison. Cette méthode intègre l’ensemble de l’exploitation (ateliers animaux et cultures) et apporte une
vision du temps disponible. Pour l’atelier porcin, les temps sont recueillis via des semainiers couvrant l’intervalle entre deux mises bas (Grannec et al., 2010).
1.3. Organisation du travail
L’organisation du travail a également fait l’objet de différentes études. Les grands élevages, souvent en conduite 20 bandes, permettent de spécialiser les travailleurs (Martel et al., 2012).
Le travail à plusieurs engendre également un aménagement différent des rythmes de travail par rapport à une exploitation individuelle. Les collectifs permettent l’entraide qui réduit la charge individuelle lors des pics de travail et l’ajustement des horaires aux besoins de l’atelier et des personnes (Depoudent et Le Moan, 2010). Les salariés en élevage porcin apprécient leurs horaires de travail qu’ils jugent réguliers et conciliables avec leur vie de famille.
2. MATERIELS ET METHODES
2.1. Méthode de mesure du temps et de l'organisation du travail
Les entretiens réalisés s’appuient sur un questionnaire qui permet de décrire les caractéristiques de l’élevage : nombre de truies, automatisation, soins réalisés... Ce questionnaire est suivi par le remplissage de semainiers détaillant les activités réalisées. Le travail étant différent suivant la semaine, chaque personne intervenant sur l’atelier porcin doit remplir autant de semainiers qu’il y a de semaines dans l’intervalle entre deux bandes (par exemple, un élevage en 4 bandes, espacées de 5 semaines, avec 2 personnes travaillant à plein‐temps, nécessite de remplir 5 x 2 semainiers).
2.2. Construction de l’échantillon
47 élevages naisseurs‐engraisseurs bretons ont été enquêtés.
Les principaux critères d'échantillonnage sont (i) la dimension du cheptel porcin, les élevages étant choisis dans trois classes de taille (100‐200 truies, 200‐400 truies, et supérieur à 400 truies) afin d'obtenir une large répartition pour ce critère et (ii) un taux d’engraissement d’au moins 70 % pour se rapprocher le plus possible du cas naisseur‐engraisseur total.
La spécialisation des élevages a été définie d’après les critères de la typologie INOSYS (Follet, 2014). Seuls 13 élevages sont considérés comme des élevages de porcs spécialisés.
27 possèdent plus de 40 hectares de cultures, seuil au‐delà duquel les cultures sont considérées comme un atelier. Les 7 derniers élevages possèdent un atelier de vaches laitières.
Le style de chacun des éleveurs a également été recueilli d’après la caractérisation des quatre styles d’éleveurs proposée par Commandeur (2005) : l’« entrepreneur » qui recherche prioritairement les économies d’échelle et la rentabilité économique, le « technicien » qui recherche plutôt les performances techniques, le « patrimonial » qui souhaite une bonne qualité de vie et un ancrage territorial de son élevage familial et l’« animalier » qui privilégie le lien à l’animal. À partir de ces données, la présence ou l’absence de chaque style d’élevage dans l’exploitation a été enregistrée.
2.3. Analyse des données
Les semainiers de l'ensemble de l’équipe dans chaque élevage sont analysés pour obtenir le temps de travail et sa répartition par stade physiologique et par tâche.
Seul le temps lié strictement à l'atelier porcin est compté.
La gestion des effluents et des cultures, ainsi que la fabrication d'aliment à la ferme (FAF), ne sont pas prises en compte.
Le temps est découpé en trois catégories : le "naissage"
comprend l'ensemble des activités dans les locaux des truies et des jeunes porcelets en maternité alors que le "sevrage‐vente"
est composé des tâches depuis les locaux de sevrage jusqu'au départ des porcs. Les tâches "autres" sont l’entretien, la gestion, les réunions et autres temps d’échanges. Ces trois catégories sont elles‐mêmes découpées en tâches comme les
"activités quotidiennes" qui englobent l’alimentation, la surveillance, les soins et nettoyages quotidiens. Le temps de travail de chaque tâche est exprimé en heures par truie présente et par an et détermine une image de l’efficacité de l’élevage. Cette définition d’efficacité ne prend pas en compte les performances techniques. Une analyse descriptive des données est réalisée. Les élevages sont répartis en trois tiers sur la base du temps total/truie/an. Les deux groupes « tiers le plus efficace » et « tiers le moins efficace » ont été caractérisés à partir du logiciel R (R, 2014). Des tests du χ² d’indépendance et des analyses de variance à un facteur sont réalisés pour mettre en évidence les facteurs qui influent sur le temps de travail total. De plus, les caractéristiques des élevages qui ressortent dans chaque classe de temps sont mises en évidence par des tests de comparaison de moyennes ou des tests de comparaison des proportions. Dans un second temps, l’organisation du travail est étudiée suivant le type de main d’œuvre grâce aux mêmes tests statistiques.
3. RESULTATS ‐ DISCUSSION
3.1. Echantillon enquêté
Les cheptels des 47 élevages enquêtés comportent de 105 à 950 truies, soit un échantillon diversifié.
Le cheptel moyen était de 285 truies (médiane de 220 truies), avec 20 élevages ayant de 100 à 200 truies, 19 de 200 à 400 truies et 8 de plus de 400 truies. Le nombre de truies moyen est donc supérieur à la moyenne bretonne (230 truies, selon la GTE en 2013). Le taux d’engraissement est de 90 % en moyenne et est inférieur à l’objectif de 70 % dans seulement 2 élevages. Une diversité des systèmes a été respectée avec des conduites en 4, 5, 7, 10 et 20 bandes.
La main‐d’œuvre est également très diversifiée avec de 1 à 8 personnes qui travaillent sur l’élevage (3 personnes en moyenne). Des salariés non familiaux sont présents dans 32 élevages. Les 4 styles d’élevages sont présents mais les styles
« entrepreneurs » et « patrimoniaux » sont plus fréquents : ils sont présents dans 25 élevages chacun contre 14 pour le style
« technicien » et 8 pour « animalier ».
L’automatisation des systèmes d’abreuvement et d’alimentation est très fréquente. Pour les salles de verraterie, de gestantes, de post‐sevrage et d’engraissement la totalité ou quasi‐totalité des systèmes sont automatiques (moins de 3 élevages en distribution manuelle). La distribution d’aliment peut en revanche être manuelle dans les nurseries (6 élevages sur les 16 en disposant), les maternités (13 élevages) et/ou les quarantaines (30 élevages).
La paille est souvent utilisée en quarantaine (26 élevages) mais seulement 4 élevages utilisent de la paille pour au moins deux stades physiologiques. Pour les bâtiments en général, 22 élevages considèrent toutes leurs salles confortables pour travailler.
Les postes de lavage fixes sont aujourd’hui très présents (35 élevages équipés, au moins dans certaines salles). Cette caractérisation de l’échantillon montre l’automatisation importante en élevage porcin aujourd’hui et la prépondérance des systèmes sur caillebotis.
Tableau 1 – Temps de travail moyen et comparaison avec les groupes efficaces et moins efficaces (en h/truie présente/an)
Moyenne Tiers le plus efficace Tiers le moins efficace
Total temps de travail 18h12 (4h47) 14h05 (50 min) 23h23 (4h31)
Total Naissage 9h14 (3h07) 6h53 (1h11) 12h16 (3h02)
Activités quotidiennes 4h42 (2h14) 3h22 (1h00) 6h57 (2h12)
Mises‐Bas 2h07 (1h) 1h43 (38 min) 2h33 (1h17)
Reproduction 54 min (24 min) 38 min (15 min) 1h06 (28 min)
Lavage 50 min (20min) 41 min (20 min) 52 min (20 min)
Transfert 30 min (13 min) 20 min (10 min) 36 min (14 min)
Vaccination 12 min (6 min) 9 min (5 min) 13 min (6 min)
Total Sevrage‐vente 5h58 (2h14) 4h37 (1h08) 7h57 (2h25)
Activités quotidiennes 3h26 (1h46) 2h30 (1h02) 4h57 (1h55)
Transfert 1h06 (24 min) 55 min (16 min) 1h16 (30 min)
Lavage 1h04 (31 min) 53 min (28 min) 1h15 (39 min)
Vaccination 15 min (12 min) 11 min (10 min) 21 min (16 min)
Identification 8 min (7 min) 6 min (5 min) 8 min (7 min)
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3.2. Réduction du temps de travail et sa répartition
Le temps de travail moyen est de 18h12 par truie et par an, soit une réduction de 2h25 (‐ 12 %) depuis l’évaluation réalisée par Le Moan et al. en 2003 sur 67 naisseurs‐engraisseurs.
Les temps de travaux obtenus restent toujours très variables d’un élevage à l’autre, allant de 12h à 34h par truie et par an.
L’analyse des tâches en trois catégories (Tableau 1) met en évidence une stabilité dans la répartition du temps de travail, par rapport à 2003 (Le Moan et al., 2003). Le naissage représente 50 % du temps, suivi par le sevrage‐vente 33 % et les autres tâches 17 %. Les activités quotidiennes représentent en moyenne 45% du temps de travail total (46 % du temps, selon Renaud, 2010) et restent la tâche la plus chronophage.
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travail au cou r l’atelier porci t 33 exploita 10h par jour p ur deux. Ce r usure à moyen
des vacances s nécessitent ail d’astreinte es week‐end temps plein s construites : au n et deux tiers
s week‐ends m trois. Il y en a nds. Si parmi c : parents), la llent presque un profil de availlent tous
sur trois. Les tiellement pa ntégrer dans s courant dan oitants sur les end sur trois.
s‐à‐vis des ast ifs de travai acun.
tié des salarié ont polyvale u sein de l’équ spécialisation p s personnes s 400 truies con oin de polyvale
nent plus souv ion du travail rmet de gérer du binôme s és et exploita sur le poste p e maternité.
nées homogène urs travaillés d
ce entre la du ère minimum de 0 à 1h tra omogènes. Ce
% des travaille e (p=0,02) con
. Pour ceux‐ci casion de journ
iations de 2 à gée (p=0,02).
pour 3 salarié deux exploita . Ces amplitu aménagement urs de la sema
in sont cepend ants. Parmi e plus d’un jour rythme de tra n ou long term une organisat à réaliser et d s sont souv ur l’atelier po ucun week‐end s et plus des d mais 63 % d’en
a cependant 1 ces derniers, il majorité sont exclusivemen poste spécifiq les week‐end s week‐ends s
r les exploita la rotation s les élevages 14 réalisent
Il y a donc treintes du we
l favorisent s et ents.
uipe.
plus sont ntre ence
vent est r les sans ants ost‐
es de la
urée sur duit ette eurs, ntre les nées à 7h Des és et ants udes t de aine.
dant eux,
sur avail me.
tion de la vent orcin d de deux ntre 11 % y a des nt le que.
s et sont ants.
des s de des une eek‐
une
F La ont sala pre 11 un cet de tra l’él qui s’o d’é L’o et exp sur d’in enf des
•
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•
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Figure 3 – Nom gestion des v t au moins c ariés familiau ennent, quant
des 16 exploit cheptel de mo tte même taille congés par an vail de l’ateli evage facilite i peut gérer l’é rganiser des éleveurs qui tra
rganisation du la gestion des ploitant, mais r ce critère. Lo nformations fant, proximité s profils d‘orga
Commandeur M Depoudent C., Depoudent C., Bretagne, 12p.
Follet, 2014. L Bretagne, 8p.
Grannec M‐L., d’agriculture d Jordan A., Serv Lacroix A., Mo rurale, 20, 27‐4 Le Borgne M., Bretagne. Rapp Le Moan L., Pi 2003. Temps d Martel G., Dep d’attentes, de d Renaud H., 20 Toulouse, 83p.
R Core Team (2
mbre de week‐e vacances est é cinq semaines ux (4 person à eux, entre 0 tants qui ne p oins de 200 tru e d’élevage s’o n durant lesqu
er. Le nombr ou non la pri élevage seul u vacances q availlent sur l’a u travail est tr
s congés sont la comparaiso ors d’une proc
individuelles é géographiqu anisation plus c
M., 2005. Caract Le Moan L., 201 Grannec M‐L.,
La Bretagne ter Grimaud P., Jég e Bretagne Cham vière G., Journal
llard A., 1991. M 46.
Le Bris B, Quilli port d’étude, 30 chodo X., Roy H e travail en élev poudent C., Rogu
durée et de prod 010. Le temps d
2014). R: A langu
ends non trava également var s de vacances nnes sur 75)
0 jours et 5 sem rennent aucun uies. Pourtant organisent ent elles le reste d re de personn se de congés.
une semaine, i que lorsque
atelier porcin.
ès variable. La t très liées au on a été esse chaine étude, (Homme/Fe ue) pourrait p
complexe.
tériser les «style 10. Fidéliser et m Le Moan L., 201 rre d’élevage et gou J‐Y., Pineau mbre d’agricultu C., Dedieu B., Ch Mesurer le trava en J.P., 1994. Te 0p.
H., Quinio P.Y., K vage porcin. Cha
uet C., Gallot S.
ductivité. In : Nu de travail en éle uage and enviro
aillés sur l’ann riable. Les sala s sauf parfois . Les exploit maines de con n congé possè
3 exploitants re 3 et 5 sema de l’équipe gè nes travaillant S’il y a un sa l est plus facil c’est un co a charge de tr u statut salarié
ntiellement b la collecte de mme, avec/
ermettre d’ét
REFERENC
es d’élevage» da motiver une équ 14. Salariat en é
t diversité des C., Bastide M‐S ure des Pays de
hauvat S. 1996.
ail agricole. De emps de travau Kerguillec Renau
mbre d’agricult , Pineau C., 201 uméro spécial, T evage porcin : f nment for statis
ée ariés s les tants ngés.
dent avec aines re le t sur larié e de ouple avail é ou asée plus /sans ablir
CON L’en eng tota vari par L’au de r che effic Le d l’am effic ave seu nom exe ent trav trav sem eng trav Le c les f que obs trav amé REM Nou Sop et N a ét Bret Agr
CES BIBLIOGR
ans l’espace d’inf ipe de salariés. C élevage porcin :
systèmes : Typ S., Benoit F., 20
la Loire. Rappor Bilan des "Bilan l’enregistremen x : enquête dan ult E., Le Borgn ure de Bretagne 12. Le travail des Travail en élevag
facteurs de var stical computing
NCLUSION nquête sur le graisseurs bret al moyen actu iabilité. La réd
rapport au t ugmentation d réduction du t ptels soient e caces des développemen ménagement d cace. Au contr c du travail d’
lement dans mbre élevé d’
mple en fin d re investissem vail a égaleme vail sur certai maine ou de la gendrer à term
vail sur l’exploi conseil individ facteurs princi e l’analyse de l ervés montre vail dans les é
énagements p MERCIEMENT us remercions phie Chauvat d Nathalie Hostio
té réalisée ave tagne et du icole et rural.
RAPHIQUES
formation de l’é Chambres d’agr synthèse de qu pologie des syst 10. Référence t t d’étude. RMT t s Travail". Renco nt à la reconstitu ns 89 ateliers po e M., Le Cozler e et des Pays de s éleveurs avico ge Hostiou N. De riation et voies g. R Foundation f
temps de tr tons a permis el à 18h12 pa duction se pou temps de trav de la taille du
emps de trava efficaces, il y a élevages de nt de l’automa de bâtiments raire, le tiers p alimentation m
des élevages
’heures par t e carrière où ment et travail nt identifié de nes personne a journée. Elle me des difficu
itation.
duel en matièr ipaux identifié l’organisation.
nt une capaci élevages, soit
ossibles.
TS
les éleveurs ay de l’Institut de ou de l’INRA p ec le soutien f
Programme
éleveur porcin. J iculture de Breta uatre études bre
tèmes de produ ravail : Synthèse travail en élevag ontres Travail en ution analytique orcins de Bretag
Y., Pellois H., B la Loire. Rappor oles et porcins : edieu B., Baumo d’amélioration.
for Statistical Co
ravail auprès s d’évaluer le
r truie et par ursuit avec un vail en 2003 ( cheptel reste ail. Pourtant bi a parmi les éle
e moins d atisation des sy
confortables eu efficace co manuel plus im s de petite t ruie peut êtr
il y a souvent . L’analyse de es exploitation es est élevée e atteint des s ultés pour gér re de travail d s (taille et aut Les importan té d’améliorat par l’organisa
yant participé l’Élevage, Bor pour leur relec inancier du Co Régional de
ournée Rech. Po agne, rapport 46 etonnes. Chamb
uction. Chambr e détaillée filièr ge. 20p.
n Elevage, Clerm e. Cahiers d’éco gne. EDE‐Chamb Bartolomeu D., D
rt d’étude, 41p.
une grande div nt R. INRA Prod.
Mémoire de f omputing, Vienn
de 47 naisse temps de tra an avec une fo ne baisse de 1
(Le Moan, 20 le facteur maj ien que les gra evages du gro de 200 tru ystèmes ainsi
distingue le t mpte les éleva mportant, prés taille. Parfois e volontaire, t une substitut
l’organisation ns où la charge à l’échelle de euils qui peuv rer le volume doit donc intég
omatisation) a ts écarts toujo tion du temps ation, soit par
à l’étude. Mer ris Duflot de l’
cture. Cette ét onseil Régiona Développem
orcine, 37, 397‐4 6p.
bres d’agricultur res d’agriculture
e porcine. Cham mont‐Ferrand, 46 nomie et sociol bres d’agricultur Donet P., Sallard
ersité de stratég .Anim., 25, 113‐
in d’étude, Pur na, Austria.
urs‐
avail orte 12 % 03).
jeur ands oupe uies.
que tiers ages sent , le par tion n du e de e la vent e de grer ainsi ours s de r les
rci à
’IFIP tude l de ment
406.
e de e de mbre 6p.
ogie e de d R., gies, 126.
pan,