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Quelques résultats nouveaux sur les noyaux de masse paire de strontium riches en neutrons

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Quelques résultats nouveaux sur les noyaux de masse paire de strontium riches en neutrons

M.-I. Macias-Marques, A. Johnson, R. Foucher, R. Henck

To cite this version:

M.-I. Macias-Marques, A. Johnson, R. Foucher, R. Henck. Quelques résultats nouveaux sur les noyaux de masse paire de strontium riches en neutrons. Journal de Physique, 1971, 32 (4), pp.237-241.

�10.1051/jphys:01971003204023700�. �jpa-00207050�

(2)

QUELQUES RÉSULTATS NOUVEAUX SUR LES NOYAUX DE MASSE PAIRE

DE STRONTIUM RICHES EN NEUTRONS

M.-I.

MACIAS-MARQUES (*),

A.

JOHNSON,

R. FOUCHER Institut de

Physique Nucléaire, Orsay

et R. HENCK

Centre de Recherches

Nucléaires, Strasbourg-Cronenbourg (Reçu

le 18 novembre

1970)

Résumé. 2014 Les transitions gamma émises lors de la

désintégration

des noyaux de rubidium riches en neutrons,

séparés isotopiquement

en

ligne,

de masse

paire,

90 à

96,

ont été détectées avec

une

jonction Ge(Li).

Des coïncidences 03B3 2014 03B3 ont été effectuées pour la

désintégration

Rb90 ~ Sr90.

Un schéma de niveaux pour le Sr90 est

proposé

et de la connaissance de

l’énergie

des

premiers

niveaux 2+ des Sr90,92,94,96 des conclusions sont tirées sur la déformation de ces noyaux et la

position

de la couche de neutrons

d5/2.

Abstract. 2014 The 03B3-ray spectra emitted in the

decay

of on line

mass-separated

neutron-rich

even-mass rubidium

isotopes,

between 90 and 96 have been studied

using

a

Ge(Li) detector ;

in

the case of Rb90 ~ Sr90

decay,

03B3 2014 y coincidences were

performed

and a level scheme for Sr90 is

proposed.

From the

energies

of the first 2+ levels of Sr90,92,94,96 conclusions are drawn about the deformation of these nuclei and about the

position

of the neutron

d5/2

sub-shell.

Classification :

Physics

Abstracts

12.10,

12.20

1. Introduction. - Nos recherches sur les

isotopes

de vies courtes

( N 5 mn) [1] entreprises

à

Orsay

ont commencé par l’étude

systématique

des désin-

tégrations

des noyaux de rubidium de masse > 90 et de leurs

dérivés,

ce

qui d’après

les

prévisions

de

Myers

et al.

[2], Seeger

et al.

[3]

et Arseniev et al.

[4]

devrait nous conduire à mettre en évidence une nou-

velle zone de déformation.

Les rubidium sont obtenus par fission de

l’U238

bombardé par les

protons

de 150 MeV du

synchro- cyclotron d’Orsay ;

un

spectromètre

de masse, à

source

thermoionique,

en

ligne

avec le faisceau de

protons

nous

permet

de sélectionner l’élément et la

masse à

étudier ;

les ions sont alors

transportés

dans

une

pièce

à faible bruit de fond où ils sont focalisés

sur un collecteur au moyen d’un

système

de lentilles

quadrupolaires électrostatiques.

Ce

montage

a été décrit antérieurement

[1].

Pour diminuer encore

plus

le bruit de

fond,

le faisceau de

protons

est

coupé pendant

le

temps

de

mesure ; un

système électronique

commande les

démarrages

et arrêts aussi bien du faisceau de

protons

que des instruments de mesure.

Les

périodes

des

Rb9o_9’

et dérivés ont été mesurés

[5] [6] ;

pour le

Rb9°

deux

périodes

ont été trouvées : 156 et 258 s ; la

période

courte existe dans une pro-

portion

que nous évaluons être de l’ordre de 30

% ;

il n’est pas exclu

qu’en plus

du

Rb9°

obtenu directe-

ment par

fission,

il s’en forme aussi par décroissance

du

Kr9°,

cas dans

lequel

la courte

période

est

beaucoup plus

abondante

[7].

Comme dans la fission les états de haut moment

angulaire

sont

favorisés,

nous en

concluons

que l’état de 258 s a le moment

angulaire

le

plus élevé ;

ceci est en accord avec le fait que dans la

désintégration Kr90 (0+)

-->

Rb9°

l’état de

plus

courte

période (qui

aurait le

plus

bas moment angu-

laire)

est le

plus produit.

La

désintégration

du

Rb9° provenant

du

Kr9°

a été

étudiée,

à l’aide de détecteurs à

scintillation,

par Johnson et al.

[8]

et Zherebin et al.

[9] ;

les résul-

tats obtenus sont en assez bon accord entre eux.

Néanmoins,

le noyau de

Sr9°

étant le

premier

de la

série des Sr

paires

riches en neutrons, il était nécessaire de confirmer et

compléter

le schéma de niveaux

proposé

pour le

Sr9°

en

partant

de

proportions

différentes des états

isomériques

et en utilisant des détecteurs

Ge(Li).

2.

Spectrométrie

gamma. - Les transitions gamma ont été détectées à l’aide d’une diode

Ge(Li)

de 23

cm3

ayant

une résolution de

4,6

keV sur la raie

d’énergie 1,33

MeV du

Co6° ;

pour les coïncidences y - y

nous avons utilisé en

plus

un

crystal INa(Tl)

de

3" x 3" en

montage intégral

Harshaw.

Les

spectres

ont été

analysés

par un codeur

d’ampli-

tude CA 13

Intertechnique

associé à un bloc

mémoire BM 96.

Nous avons déterminé les

rayonnements

y en coïncidence avec les transitions

(824

+

831) keV, 1,06

et

1,37

MeV et les

rayonnements Compton

des raies y de

plus

haute

énergie.

La

figure

1 montre

(*) Boursier du « Instituto de Alta Cultura », Portugal.

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphys:01971003204023700

(3)

238

le spectre direct et la

figure

2 celui en coïncidence

avec les transitions

(824

+

831)

keV.

Les résultats de

l’analyse

des

spectres

directs et en coïncidence sont

reportés

dans le tableau 1.

TABLEAU 1

FIG. 1. - Spectre des rayonnements y du Rb9o.

FIG. 2. - Rayonnements y en coïncidence avec les transitions (824 + 831) keV.

(4)

Pour établir le schéma de

niveaux,

nous avons, à l’aide du calculateur UNIVAC 1108

d’Orsay,

déterminé dans la liste des transitions

d’énergie

E ± dE celles

qui correspondent

à la somme de 2

ou 3 autres et recherché les niveaux se désexcitant

vers des niveaux connus ou alimentés par eux

(pro-

gramme de A. Bâcklin

[10]).

FIG. 3. - Schéma de niveaux du Sr9o.

L’existence d’un certain nombre de niveaux a été ainsi établie

(Fig. 3), compte

tenu des résultats obtenus par des mesures en coïncidences.

3. Discussion du schéma de niveaux. - NIVEAU DE

831 keV. -

correspond

à la transition gamma la

plus

intense.

NIVEAU DE 1 655 keV. - Une transition assez intense de 824 keV en coïncidence avec celle de 831 keV

nous amène à proposer un niveau à cette

énergie.

NIVEAUX

5 185,

4

644,

4

233,

4 136 et 3 383 keV. - Les transitions gamma

ayant

ces

énergies

ne sont pas

en coïncidence avec les gamma de

(824

+

831) keV, 1,06

et

1,37 MeV ;

étant donné par ailleurs la valeur de

Qo - (6,6 MeV)

nous faisons

correspondre

un

niveau à chacune.

NIVEAUX DE 5 286 ET 5 088 keV. - Les raies 4 455 keV et 4 257 keV étant en coïncidence avec la transition mixte

(824

+

831)

keV ne

peuvent provenir

que de la désexcitation vers un des deux

premiers

niveaux excités de niveaux

d’énergie

5 088

(ou 5 912)

keV

et 5 286

(ou 6110)

keV.

NIVEAU DE 4 365 keV. - La raie de 3 535 keV

est en coïncidence avec la transition de 831

keV ;

ces

énergies

additionnées donnent 4 366

keV ;

il

existe aussi une

transition, qui

n’est pas en coïncidence

avec celle de 831

keV,

et dont

l’énergie

est 4 365

keV ;

ceci nous conduit à admettre l’existence d’un niveau à cette

énergie.

NIVEAU DE 4 148 keV. - Ce niveau est

proposé

parce que la raie de 3 317 keV est en coïncidence

avec celle de 831 keV et est

trop

intense

(15 %)

pour

être

placée plus

haut dans le schéma.

NIVEAUX 4 335 ET 2 206 keV. - Nous avons d’une

part

une raie

d’énergie

3 504 keV en coïncidence

avec celle de 831 keV et d’autre

part

deux

raies,

dont

les

énergies

1 375 keV et 2 128 keV additionnées font 3 503

keV, qui

sont elles aussi en coïncidence

avec celle de 831 keV et en coïncidence une avec

l’autre ;

ceci nous a amené à penser que ces transitions

correspondaient

à deux cascades de désexcitation d’un même

niveau ;

comme la transition de 1 375 keV est très intense elle aboutit vraisemblablement au

premier

niveau excité.

NIVEAU DE 1891 keV. - La transition

d’énergie

1 060 keV est en coïncidence avec celle de 831 keV mais non avec celles de 824 keV et de 1 375

keV ;

étant donné son intensité

(12 %),

elle alimente très certainement le

premier

niveau excité.

NIVEAU DE 3 583 keV. - La transition de 2 752 keV est en coïncidence avec

(824 + 831) keV ;

vu son

intensité

(11 %)

nous admettons

qu’elle

alimente

le niveau de 831 keV.

NIVEAU DE 3 449 keV. - La transition de 1 243 keV étant en coïncidence avec celle de 1 375

keV,

nous

supposons

qu’elle

alimente le niveau de 2 206

keV ;

le niveau à 3 449 keV nous

permet

aussi de

placer

les

raies de 952 keV et 1 793 keV.

NIVEAU DE 2 526 keV. - Ce niveau est défini par les transitions 871 et 1 696 keV.

NIVEAU DE 4 404 keV. - La transition de 3 573 keV

peut

alimenter ou le

premier

ou le deuxième niveau

excité ;

le niveau à 4 404 keV

correspond

à la

première hypothèse.

NIVEAU A 2 947 keV. - La transition de 1 666 keV est en coïncidence avec la transition mixte de

(824

+

831) keV ;

elle

peut correspondre

à la désexcitation d’un niveau à 2 497 keV

qui

serait

partiellement

alimenté par la transition 952 keV.

Les raies

522, 722,

1

117, 1 271,

1 738 keV ne peu- vent pas être

placées

sans

ambiguïté.

Un niveau à

2 926 keV

permettrait

les transitions

et

il ne semble pas,

néanmoins,

que la raie de 722 keV

(5)

240

soit en coïncidence avec celle de 1 375 keV. Les autres

peuvent provenir

de niveaux entre

1,5

et 3 MeV

qui

semblent manquer si l’on compare aux noyaux

pairs

de Z et N voisins.

En ce

qui

concerne les transitions 4 193 et 4 209 keV

nous ne pouvons pas dire avec certitude si elles sont ou non en coïncidence avec les transitions

(824

+

831) ;

nous avons ainsi la

possibilité

de niveaux à 4 193

ou 5 024 ou 5 848 keV et à 4 209 ou 5 040 ou 5 864 keV.

Les niveaux excités

proposés

et leurs

énergies

sont,

en

général

en bon accord avec ceux que viennent de

publier

Mason et Johns

[11], qui

ont pu déterminer les coïncidences entre tous les

principaux

rayonne-

ments y. En ce

qui

concerne les intensités de ces

rayonnements,

il est intéressant de remarquer que

ceux donnés par

[11 ] comme ayant

la

période

de l’état

isomérique

sont sensiblement

plus

intenses dans nos

spectres,

tandis que ceux

qui

sont donnés comme

ayant

la

période

de l’état

fondamental,

sont, en

général,

moins intenses. Ceci est en accord avec le fait que dans la fission l’état de

plus

haut moment

angulaire

est

relativement

plus produit

que dans la décroissance du

Kr9°,

comme nous le disions

plus

haut.

Comme nous, Mason et Johns

[11]

ne

peuvent

encore donner les moments

angulaires

ni les

parités ; aussi,

ce travail

qui

fait

partie

d’un ensemble de recherches sur les noyaux o mous » se

poursuivra

par l’utilisation des corrélations

angulaires

y - y et de la conversion

interne,

pour la recherche des transitions

Eo

et

isomériques,

pour déterminer les moments

angulaires

et

parité

des niveaux excités de ces noyaux.

4. Premier niveau

2 +

des noyaux

pairs

de Sr. -

Avec le même

dispositif expérimental,

nous avons

détecté les

spectres

gamma émis lors de la désinté-

gration

des

Rb92,94,96

.

Un

premier

résultat de ces mesures est la connais-

sance des

énergies

du

premier

niveau

2+

des

Sr92,94,96 : 813,

835 et 813 keV

respectivement.

Nous avons

FIG.’4.

- Energie des premiers niveaux 2+ des noyaux pair-pair

entre Z = 36 et Z = 46.

reporté

ces valeurs sur la

figure 4,

en fonction du

nombre de neutrons, ainsi que celles des

énergies

des

premiers

niveaux

2+

des noyaux Z = 36 à Z =

46, prises

dans les références

[12]-[15].

Nous voyons que la fermeture de la couche

g9/2 (N

=

50),

se traduit par un maximum de

l’énergie

du niveau

2 +

pour les noyaux

ayant

ce nombre de

neutrons : un effet du même

type

se

présente

pour le Zr

(Z

=

40)

à la fermeture de la sous-couche

dS/2 (lV

=

56) ;

nos valeurs montrent que pour le

Sr, aussi,

il y a un

maximum,

bien que peu

accentué,

pour N =

56 ;

ceci

signifie

que pour Z = 38 la sous-

couche

d5/2

est encore sensiblement

éloignée

de la sui-

vante ;

pour le Mo

(Z

=

42),

le maximum est encore

moins

marqué

mais on observe une

brusque

diminu-

tion de

l’énergie après

N = 56. Pour le Ru

(Z

=

44),

il

n’y

a

plus

aucune discontinuité. Pour le Pd

(Z

=

46),

le même

effet,

mais

plus faible, apparaît

à N = 58

ce

qui

nous amène à penser que la couche

g7/2

est bien la

première

à être

remplie après

N =

50 ;

B.

Cujec [16]

avait mis en évidence par des réactions

(d, p)

et

(d, t)

que dans les

isotopes

de Pd la couche

gy/2

vient se

placer

au-dessous de la couche

ds/2.

L’effet de couche fermée à N = 56 avait

déjà

été

mis en évidence par Cohen et al.

[17]

pour le

Zr,

mais ces auteurs ne l’avaient pas trouvé pour le

Mo ; Bishop

et al.

[18]

à

partir

de

l’énergie

de

séparation

de

deux

neutrons, S2n,

ont pu mettre en évidence l’exis-

tence d’une

discontinuité,

bien que très

faible,

pour le

Mo98.

Nous avons observé aussi des discontinuités pour N = 56 dans les valeurs de

Qp-

des

désintégrations

Rb -+ Sr et Sr -+ Y

[19].

5. Déformations. - Le fait que le

premier

niveau

2+

des Sr entre les masses 90 et 96 se trouve à une

énergie supérieure

à 800

keV,

nous

indique

que ces noyaux

ne

présentent

pas une déformation

stable ;

ce résultat

n’est pas en désaccord avec les

prévisions

de Arseniev

et al.

[4] puisque

ces auteurs ont trouvé des faibles différences

d’énergie

entre la forme

aplatie

et

allongée

de ces noyaux

(Fig. 5) ;

il

pourrait s’agir

de noyaux

« mous » comme les

Pt,

Pd et Xe. Dans le tableau

II,

FIG. 5. - Différences d’énergie entre les formes aplatie et allongée d’après [4].

(6)

TABLEAU II

sont

indiquées

les valeurs du

paramètre

e, défini

par Nilsson

[20],

calculées par

[2], [3]

et

[4]

pour les noyaux de Sr. Pour

Myers

et al.

[2]

la seule forme

stable est la forme

allongée ; Seeger

et al.

[3]

ne discu-

tent pas le

signe

de la déformation. Dans les calculs de Arseniev et al.

[4]

et

Myers

et al.

[2],

il nous semble

que la stabilité de la forme

sphérique apportée

par la fermeture de la couche

dS/2

a été sous-estimée.

Ce travail a été effectué

grâce

à la collaboration instaurée avec les

équipes

de

spectrométrie

de masse

de Monsieur René Bernas et celle de Monsieur le Professeur Coche à

Strasbourg.

Nous les en remercions

bien vivement.

Nous sommes

également

très reconnaissants à

l’équipe

du

synchrocyclotron d’Orsay qui

a facilité

notre installation sur un des faisceaux de

particules

du

synchrocyclotron.

Enfin ce travail n’aurait pu avoir

lieu,

sans la

compé-

tence et le dévouement de Messieurs M. Bouet et J. Excoffon

qui

avaient la

charge

de l’entretien et de l’amélioration de toute l’installation du

spectromètre

en

ligne.

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Références

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