• Aucun résultat trouvé

Paraissant tous les vendredis à Bienne

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2022

Partager "Paraissant tous les vendredis à Bienne "

Copied!
10
0
0

Texte intégral

(1)

Première année. — N

0

12. Vendredi 11 mars 1887.

Suisse . . .; GIV.

Autres pays . 10 » 5 »

On s'abonne à tous les bureaux de posle

Paraissant tous les vendredis à Bienne

Provenant de Id Suisse . . 20 et. la ligne ï de l'étranger. . 25 » » Minimum d'une annonce 50 remîmes

Les annonces se paient d'avance

Prix du numéro 10 centimes & & Bureaux : Rue Neuve 38

a

Application (le nouveaux tarifs.

Nous avons reçu, trop tard pour pou- voir l'insérer et la commenter dans notre

•dernier numéro, une communication du Comité central de la Société des ouvriers faiseurs de cadrans, adressée au Comité central de la Société des fabricants de la même partie.

Cette pièce, que nous publions aujour- d'hui,, se présente un peu sous la forme d'une note comminatoire;'elle indique, a messieurs les patrons, le 21 mars com- me date fatale après laquelle de nou- veaux tarifs seraient appliqués par les ouvriers faiseurs de cadrans.

On se souvient, qu'au congrès des délé- gués ouvriers, le 23 janvier écoulé, il avait été pris la décision unanime de provoquer dans toutes les localités horlogères, une enquête sur les prix payés pour les diffé- rentes parties de la montre. Cette enquête fournira les matériaux nécessaires à. l'éta- blissement d'une statistique complète des prix de la main d'oeuvre et du travail ; fin mars a été indiqué comme date à la- quelle tous les éléments de cette statis- tique devront être remis entre les mains du secrétariat permanent.

C'était une sage résolution, car nous pensons qu'il est de toute nécessité de procéder, dans celle question du relève- ment des salaires, avec prudence, avec ensemble et surtout en parfaite connais- sance de cause.

Il ne faut pas perdre de vue que le relèvement des salaires, demandé avec une impatience que nous comprenons d'ailleurs, ne doit pas avoir pour consé- quence d'augmenter le prix de la montre dans une mesure qui ne permette plus son écoulement régulier et normal. Mé- connaître que le relèvement des salaires doit être subordonné à la possibilité de lutter avantageusement contre la concur- rence étrangère, serait s'exposer à de graves mécomptes.

Les délégués ouvriers au congrès du 23 janvier ont admis le seule méthode pra- tique qui soit à notre disposition : établir la statistique générale des prix payés actuellement ; en tirer les prix moyens de toutes les parties ; examiner quelles sont les parties qui ont le plus besoin d'être relevées et commencer par celles là ; cal- culer l'augmentation que ferait, sur le prix actuel de la montre, l'ensemble des au- gmentations désirées sur chacune des parties; enfin, cette donnée essentielle étant connue discuter, au sein du Comité central mixte de la Fédération, la pos- sibilité et l'opportunité d'appliquer les nouveaux tarifs.

Le calcul du.total de l'augmentation doit être connu avant qu'aucune augmen- tation partielle ne soit décrétée. Hors de cette règle que l'organisation fédérative indique et sans laquelle il n'y a pas d'or- ganisation fédérative possible, nous tra- vaillerons sans méthode, sans mesure, sans ensemble et sans qu'aucun résultat durable nous soit acquis.

Les délégués ouvriers au congrès du 23 janvier ont eu le sentiment exact de la situation, en décidant l'établissement d'une statistique générale des prix et en admettant que les augmentations recon- nues nécessaires devaient être appliquées avec ensemble, partout en même temps et après un examen attentif des consé- quences générales qui en découleront.

Si ebaque association ouvrière, devan- çant l'heure d'une application normale et possible des tarifs de relèvement impose aux fabricants ses tarifs particuliers, nous retombons en plein dans le particularisme duquel nous sentons tous la nécessité de sortir. Où seront alors ces sentiments d'union et de solidarité, base fondamen- tale et nécessaire de la Fédération hor- logère ?

Le Comité central des ouvriers faiseurs de cadrans formule aussi d'autres désirs : l'un relatif à la suppression du logement et de la pension donnés par quelques-uns

de leurs patrons à leurs ouvriers ; c'est une question de ménage intérieur qui se réglera facilement si, comme on nous le dit, le plus grand nombre dis patrons sont d'accord; l'autre tendant à la suppression de l'escompte dans les payements. Sur ce dernier point, nous sommes du même avis que le Comité des ouvriers faiseurs de cadrans et nous sommes bien persua- dés que la Fédération horlogère inscrira, dans son programme, que le payement des salaires doit être fait en espèces ayant cours légal dans le pays et sans aucune retenue sous forme d'escompte.

En exprimant notre opinion sur l'appli- cation de nouveaux tarifs, nous tenons à dire que nous ne visons pas plus la Société des ouvriers faiseurs de cadrans que toute autre qui, brûlant les étapes, chercherait à obtenir avant les autres une augmen- tation quelconque des prix.

Une course au clocher pour l'applica- tion ou l'imposition de tarifs de relève- ment pourrait, il est vrai, donner quelques satisfactions momentanées aux plus pres- sés ; mais risquerait d'enlever, à ceux qui se placent à un point de vue plus général, par conséquent plus solidaire, la possibilité d'obtenir à leur tour des avantages tout aussi sinon plus mérités.

Considérant la Fédération horlogère, son but et ses moyens d'action, nous envisageons être sur le terrain légal, en recommandant instamment aux sociétés ouvrières de s'en tenir aux décisions du congrès du 23 janvier. Les ouvriers fai- seurs de cadrans y étaient d'ailleurs re- présentés ; or, les résolutions du congrès ont été prises à l'unanimité des partici- pants et l'engagement d'attendre le résul- tat de l'étude attentive et raisonnée de la statistique que l'on établit dans ce moment nous semble découler logiquement de celle unanimité.

La Fédération horlogère eu est encore

à sa période d'incubation; certains tâton-

nements ne peuvent doue être évités; mais

nous considérerons tcujours comme un

(2)

HO

•-J 1

LA FÉDÉRATION HORLOGÈRE SUISSE devoir de signaler, aux associations patro-

nales et ouvrières, ce qui, dans leurs résolutions, nous paraîtra de nature à génerle développement régulier et normal d'une organisation que nous appelons tous de nos vœux les plus ardents.

NOUVELLES DES ASSOCIATIONS

On nous communique la pièce suivante :

Bienne, le 28 février 1887.

Le Comité central des ouvriers faiseurs de cadrans au Comité central des patrons fabri- cants de cadrans, à Ghaux-de-Fonds.

Messieurs,

Nos demandes n'ayant jusqu'à ce jour abouti à aucun résultat pratique, nous avons le droit et le devoir d'agir par nous-mêmes pour la réalisation de nos idées.

En conséquence, nous vous informons que les décisions suivantes ont été prises dans la session du Comité central du 27 courant, avec les représentants de chaque section ouvrière : 1° Mise en vigueur du règlement des ap- prentis pour le 6 mars prochain.

2° Abolition de l'escompte, pension et chambre chez les patrons à partir du l

o r

mars prochain.

3° Le tarif uniforme entre en vigueur le 21 mars.

Nous avons cherché d'entrer en relations avec vous pour régler ces questions d'un commun accord ; mais comme vous ne voulez pas vous prêter aux circonstances, qu'aucune réponse satisfaisante ne nous est encore par- venue, nous prenons la liberté d'agir par nous-mêmes et de maintenir les résolutions précitées qui ne pourront dans aucun cas nuire au développement de notre partie.

Veuillez bier agréer, Messieurs, nos salu- tations.

Au notti du Comité central :

Le Président, Le Secrétaire,

HENRI NUSSBAUV. ED. JACOT.

Fédération des chefs d'ateliers décorateurs de boîtes et cuvettes.

Une assemblée de 30 patrons graveurs re- présentant 5 sections formant un total de 150 membres, a eu lieu à St-Imier le 6 mars.

Voici les résolutions qui ont été prises : Fondation d'une Fédération des patrons graveurs ayant pour but de travailler à l'amé- lioration artistique et matérielle de la décora- tion et ce, de concert avec les ouvriers.

L'assemblée s'est prononcée à l'unanimité pour arriver à réaliser ce but : 1° de mettre les apprentissages sous la surveillance de la Fédération, 3° de chercher à établir un mode de travail uniforme.

Nous pensons qu'avec des moyens aussi puissants nos décorateurs réussiront.

Patrons monteurs de boîtes.

Les délégués de l'association suisse des patrons monteurs de boîtes, au nombre de 50, étaient réunis à' St-Imier, dimanche 6 mars, sous la présidence de M. F. Schlatter. Les nouveaux statuts de l'association ont été arrêtés et seront soumis à la ratification des sections. Une nouvelle assemblée aura lieu dans quinze jours.

L'assemblée des horlogers de Bassecourt et environs,

qui a eu lieu dimanche passé était peu revê- tue; néanmoins les trente trois horlogers pré- sents ont décidé à l'unanimité de se former en section et ont nommé un comité provisoire composé de sept membres, pris dans les dif-

férentes localités ; le comité chargé d'élaborer des statuts locaux, travaillera énergiquement au groupement de tous les horlogers en sec- tion. Etaient représentées à l'assemblée les localités de Bassecourt, Boécourt, Under- velier et Glovelier.

M. Arthur Beuchat a été désigné, comme délégué au congrès des faiseurs d'échappe- ments à Bienne le 13 et 14 mars. L. P.

j . Repasseurs et remonteurs.

La section de Corgémont rend attentifs tous les ouvriers de la localité et des environs travaillant sur la partie, qui ne sont pas en- core-membres de la Fédération, que la mise d'entrée reste fixée au prix minime de fr. 1 jusqu'aux 15 mars. Passé ce terme, elle sera

fixée à fr. 5;. 'Sf- -ά •'

Le Comité.

Une assemblée des ouvriers horlogers de Laengendorf,

comprenant 200 personnes, a eu lieu le 6 courant, sous la présidence de M. A. Lohner.

A l'unanimité, la formation d'une section de la Fédération borlogère suisse a été déci- jdée. M. Fritz Heng, de Bienne, délégué du

• Comité central et M. J. Enderli, rédacteur, à Granges, ont développé l'idée de la Fédération.

Sur la proposition de M. Tièche, une nouvelle assemblée aura lieu le 12 mars.

NOUVELLE

Voyage à l'intérieur d'une montre.

(Suite.j

Nous avons terminé notre description.

Est-ce à dire que nous n'ayions plus rien à apprendre de notre montre'? Au contraire, les impressions de voyagé doivent toujours porter leurs fruits. Ceux qui font les montres, peuvent et même doivent s'inspirer de ce qu'ils ont journellement dans la main et sous les yeux. Quelle magnifique image d'organi- sation sociale ne présente pas une montre?

Le barillet c'est Ie capitaliste ; la force motrice est le capital. Le rouage qui utilise ce capital, n'est-ce pas le corps ouvrier, faute duquel il resterait sans emploi, comme le ressort déve- lopperait sans utilité sa force dans le barillet, si le rouage ne venait pas la transmettre — par l'échappement — au balancier? Le ba- lancier représente le fabricant, régulateur du travail et, de cette coopération de différents organes, sort enfin la montre en marche, image de notre industrie horlogère.

Comme il ne suffit pas que la montre mar- che, mais qu'elle doit aussi être réglée, le spiral est l'accessoire obligé du balancier. Le spiral industriel c'est, pour ce qui nous con- cerne,les conditions commerciaIes,auxquelles la production industrielle doit être subordon- née.

Le balancier fabricant doit être doublé d'un spiral commerçant.

Lorsque chacun remplit bien sa fonction respective, montre ou industrie, tout marche et marche bien, mais si l'un des organes n'est pas dans son rôle, tout arrête et arrête ferme.

Vous savez qu'une montre a besoin d'huile, afin de diminuer les frottements et d'assurer une bonne marche et un réglage correct, le corps industriel a lui aussi, besoin d'une huile qui se nomme huile de bon vouloir, autre- ment dite huile d'équité. Des rouages établis d'une façon bien correcte, un mouvement basé sur des principes de justice et du laisser vivre, avec cela ' de l'huile en suffisance et nous aurons un teorps industriel horloger de belle et bonne marche, donnant à chacun, lorsque l'aiguillé atteint midi, la nourriture quoditienne en rénumération de son travail.

La montre me dit encore autre chose, c'est une question personnelle, il est vrai, mais en

voyage, les amitiés se contractent si rapide- ment que je puis bien, en ami, vous le com- muniquer — sous le sceau du secret, cela s'en- tend. — Elle me dit, en anglais encore (qui s'y serait attendu ?) :

Time is money,

que je traduis par : Vous avez abusé de la patience de vos bienveillants lecteurs. — Si cela,est « peut-être la montre a-t-elle mille fois raison», il ne me reste qu'à prier ces lecteurs, quoique bien dans leurs droits, s'ils se plai- gnent, de ne pas trop m'en vouloir, si je l u e suis mal acquitté de ma besogne de cicérone,, rôle improvisé si jamais il en fût et d'avoir oublié,en parcourant cet instrumenta mesurer le temps, que « le temps est de l'argent ».

JAMES PERRENOUD.

NOUVELLES DIVERSES

— Le Conseil fédéral a nommé consul gé- néral à Mexico, M. Charles Gourvoisier, du Locle.

Il a adopté une ordonnance sur la subdivi- sion de la Suisse en territoires et en étapes et sur l'exploitation des chemins de fer dans le cas d'une mise sur pied général de l'armée.

— Dans l'article intitulé L'horlogerie en

Allemagne, paru dans notre dernier numéro,,

une erreur typographique nous a fait dire que la loi suisse accepte 483/1000 pour 14 karats.

C'est 583/1000 qu'il faut lire; nos lecteurs auront déjà fait la rectification eux-mêmes.

— On sait que la réclame américaine n'a pas de limite. Cependant, on nous en signale un échantillon qui mérite d'être cité, non pour l'ingéniosité, mais pour faire connaître les procédés de quelques industriels. Ainsi la compagnie Waterbury, de New-York, ne craint pas de faire publier par des journaux allemands que la montre qu'elle fabrique sous le nom de Waterbury-remontoir et qu'elle livre au prix de 10 marks est bien supérieure aux remontoirs suisses du prix de 40 marks.

On peut lire cette annonce dans les principaux journaux d'Allemagne. Elle est contresignée d'un ingénieur de Dortmundqui affirme avoir expérimenté la chose au moyen de deux remontoirs suisses payés 30 à 40 marks.

Cette manoeuvre ne saurait atteindre notre fabrication qu'auprès d'un public excessive- ment crédule. Mais elle prouve l'acharnement de la concurrence américaine contre nos produits.

Aucune mesure ne sera superflue pour lutter contre ce dénigrement.

— Nous reproduisons du Moniteur de la

Bijouterie et de VHorlogerie, à Paris :

Sont applicables aux fabricants d'ouvrages dorés etargentés par les procédés galvaniques ou électro-chimiques, les articles 14 et 95 à 100 de la loi du 19 brumaire an VI, relatifs aux obligations des fabricants de plaqué. En conséquence, les fabricants d'ouvrages dorés ou argentés par les procédés ci-dessus, sont tenus de se servir exclusivement, pour mar- quer leurs produits, de poinçons dont la forme est un carré parfait ; néanmoins, par dérogation de l'art. 97 de la dite loi, ils sont dispensés d'insculper sur leurs ouvrages le mot doublé et la quantité d'or ou d'argent qui est superposée.

D'un côté, on le voit, l'on défend la fabrica- tion et la vente d'objets d'or et d'argent à bas- titre, même en France, et un décret permet de vendre du doré pour du doublé à tous venants.

Un simple bain galvanique permet de don-

ner au bijou une valeur qu'il ne possède pas;,

le doublé peut varier ainsi de 20 à 300 francs-

le kilog.

(3)

LA FÉDÉRATION HORLOGÈRE SUISSE I H

Le public est trompé par ce procédé, s'il n'est volé la plupart du temps.

Quant aux fabricants scrupuleux, conscien- cieux, honnêtes, voulant conserver à leur pays la réputation de l'industrie du doublé, comme les fabricants de bijoux d'or et d'ar- gent ont voulu le faire dans ces derniers temps, c'est pour eux la ruine, la faillite !

B r e v e t s d ' i n v e n t i o n . D'après \eMonde de la science et de l'industrie, la Suisse occupe

— en tenant compte de la population — le 3m c rang pour le nombre des brevets deman- dés en Autriche-Hongrie en 1883, le 2,uo rang pour ceux demandés en Angleterre en 1884, et ie3"10 rang pour ceux demandés aux Etats- Unis d'Amérique en 1885. — Et dire que nous attendons encore une loi sur la protection de la propriété industrielle !

B o u r s e d e s m é t a u x . — Londres, 2 mars.

Argent en barre à 461. st. — Cuivre Chili en barres, comptant, calme, à 39 1. st. 5 sh. ; dito 3 mois 39 1. st. 15 sh. — Etain ferme comptant, 1011. st. 17 sh. 6 d. ; 3 mois 102 1.

st. 15 sh. — Autres métaux. Plomb espagnol 121. st. 1 2 s h . 6 d . ; anglais en saumon 121. st.

17 sh. 6 d. Zinc 141. st. 5 s h . ordinaire; mar- ques spéciales 14 1. st. 10 sh. — Mercure. On a payé 7 1. st. 7 sh. 6 d. par bouteille en deuxièmes mains.

Glasgow, 2 mars.—Fonte. On a clôturé à 43 sh. 2 d. comptant et 45 sh. 5 d. courant.

T r a i t é d e c o m m e r c e a v e c l ' E s p a g n e . Sur la demande du conseil fédéral suisse, le gouvernement d'Espagne s'est déclaré prêt à proroger jusqu'en 1892 le traité de commerce échéant le 30 juin 1887, qui lie les deux pays.

C o m m e r c e d e s d é c h e t s d ' o r e t d ' a r - g e n t . — En exécution de la loi fédérale du 17 juin 1886 sur le commerce des déchets d'or et d'argent, le département fédéral du commerce a délivré à MM. Girard frères, acheteurs et fondeurs, à Renan, le registre prescrit par l'article 1er de la loi.

CORRESPONDANCES PARTICULIERES

Chaux-de-Fonds, le 9 mars 1887.

Monsieur le rédacteur,

Inclus, un prix courant que vous voudrez bien publier sans indiquer le nom de rémail- leur qui l'a signé ; ceci pour ne pas l'aider dans sa dangereuse réclame.

Je lui demanderai comment il peut offrir son travail à 10 centimes — pour ne parler que d'un chiffre — alors que nos émailleurs ne font que végéter en le faisant à 20 centimes.

Mais où donc prend-il cette différence? car je ne suppose pas — puisqu'il agrandit— qu'il va la sortir de sa poche.

Je ne lui demanderai pas s'il restera en- core de l'or à nos boites qu'il se propose d'émailler à si bas prix ; mais je lui demande

et ce que demandent les ouvriers, c'est que celui qui est établi et qui, par ce fait peut attendre des temps meilleurs, ne vienne pas offrir une baisse et encore une baisse de 5 0 % alors que personne ne la lui demande.

J'espère bien qu'en présence d'offres pa- reilles, messieurs les décorateurs sauront résister et que, au lieu d'augmenter le nom- bre déjà si grand des avilisseurs, ils feront acte de solidarité en réservant leur ouvrage

•a ceux qui pensent que l'ouvrier est aussi bon de vivre que celui qui a les moyens d'agrandir.

Recevez mes bonnes salutations.

A. N.

Genève, le 2 mars 1887.

Par suite d'agrandissement de mon atelier, je viens me recommander pour l'émàillBge,

la peinture et le niel de vos ouvrages, dont vous serez satisfait sous tous les rapports.

•ι Fond or

Guichet et filet d'émail noir ou bleu 0 10 Filet varié ,g 0 15 Façon et joaillerie 31 0 25

Fond argent

Guichet et filet d'émail noir-,ou bleu 0 25 Email en plein et varié [.. 0 30

Tramelan, le 8 mars 1887.

Monsieur le rédacteur,

Au vu de l'article paru dans l'Impartial et reproduit par le Journal du Jura, concer- nant certains fabricants de,Tramelan et des Breuleux qui ont vendu lés 26 et 28 février des montres a vils prix sur le marché de Chaux-de-Fonds, nous aimerions voir les journaux, indiquer les noms de ces avilisseurs toutes les fois que pareille chose arrivera.

Les fabricants honnêtes de Tramelan, qui appuient de toutes-leurs forces le mouvement qui se fait actuellement eh faveur, sinon du relèvement, au moins du niaintien des prix, sont mis dans cette catégorie de gâcheurs des prix ; c'est pourquoi nous croyons que publier leurs noms serait un des moyens les plus efficace pour les combattre et pour les arrêter dans la voie peu honnête où ils sont entrés.

Recevez, etc.

Quelques fabricants de Tramelan.

tienne, le 22 février 1887.

Monsieur le rédacteur,

Depuis que la construction de nombreuses lignes de chemin de fer a produit un grand développement des relations personnelles entre les acheteurs étrangers et les fabricants d'horlogerie suisses, la nature des rapports existant entre les fabricants et les chefs d'a- telier s'est sensiblement modifiée.

Autrefois, les chefs d'atelier n'avaient à faire qu'à l'établisseur. Les prix de l'ouvrage débattaient entre eux ; les différents genres de travail étaient examinés en commun et le fabricant était le pourvoyeur absolu de l'ate- lier. Aujourd'hui, il n'en est plus tout à fait ainsi.

Les acheteurs étrangers profitent des séjours de longue durée que beaucoup font chez nous, pour visiter les ateliers, s'enquérir du genre et de la qualité de l'ouvrage qu'on y produit, prendre note des prix qu'on a le tort de leur indiquer, arrivant ainsi à connaître exacte- ment le prix de revient des montres qu'ils achètent ou commissionnent.

Mais là ne se borne pas leur ingérence dans notre ménage intérieur. L'intermédiaire de l'établisseur leur paraît une superfétation. Ils passent des contrats avec les fabriques d'é- bauches, commissionnent eux-mêmes leurs boîtes aux ateliers, font de même pour la décoration, les cadrans et autres parties, puis chargent le fabricant ou parfois un remonteur quelconque, de réunir ces différentes parties et d'achever la montre.

Nous sommes trop respectueux du principe de la liberté individuelle pour ne pas recon- naître, aux chefs d'ateliers, le droit de traiter directement avec l'étranger. Mais, nous devons les blâmer de le faire à des conditions de prix aussi avantageuses que celles qu'ils consentent en faveur des fabricants, contribuant ainsi à transformer ces derniers en simples commis- sionnaires peu rétribués des acheteurs et cela, sans en tirer aucun profit.

Il nous semble plus régulier que chacun reste dans son rôle naturel, qui est pour l'ou- vrier de travailler pour le patron, pour le chef d'atelier de travailler pour l'établisseur et pour ce dernier, de traiter aux mieux, avec l'acheteur étranger, l'écoulement de ses pro- duits.

Les chefs d'ateliers y gagneraient et ils éviteraient ainsi l'une des causes d'émigration de notre industrie nationale. De plus, les fabricants ne seraient plus enserrés dans les étroites limites de prix de vente déjà suffisam- ment réduites par d'autre causes î

Nous n'allons pas trop loin, croyons-nous, en affirmant que la manière de faire que nous signalons est l'une des causes de l'abaisse- ment des salaires ; parce que le pour cent de bénéfice pris ordinairement, ne pouvant être calculé sur les parties que l'acheteur fait exécuter lui-même, le bénéfice total de la montre se trouve diminué et le fabricant, qui supporte quand même tous ses frais géné- raux, est obligé de reconstituer cette diffé- rence, en réalisant des économies sur le coût des parties de la montre qu'il fait exécuter directement.

Nous croyons faire une œuvre utile, en exprimant notre opinion sur cette question importante,et nous espérons que vous voudrez bien la soumettre à l'appréciation du public horloger par l'intermédiaire de votre organe.

Recevez, etc. R. B.

Madrid, le 5 mars 1887.

Monsieur le rédacteur,

L'agitation qui se fait actuellement en fabri- que pour le relèvement dès prix et dont je suis avec intérêt les différentes phases dans votre intéressant journal, procède, je le recon- nais, d'une excellente intention et je fais, comme d'ailleurs tous mes compatriotes établis en Espagne, les meilleurs vœux pour son succès.

Mais ce succès me semble subordonné à des conditions difficiles à atteindre et dont la principale serait, de la part des fédérés, l'ob- servation rigoureuse des engagements effectifs et moraux qu'ils prendront en entrant dans la future association.

• - L e relèvement graduel des salaires pour- rait bien, si on n'y procède pas avec beaucoup de prudence, se heurter à un écueil qui serait l'impossibilité pour les négociants étrangers, de pouvoir vendre les montres frappées d'une augmentation de prix. Nul n'ignore, que les affaires fort difficiles en ce moment, deviendraient tout à fait impossibles si une hausse subite et considérable des prix d'achat venait s'ajouter aux difficultés déjà multiples que nous avons à vaincre chaque jour. D'un autre côté, si l'on se place au point

de vue national — et l'on doit s'y placer — l'amélioration trop rapide du son des hor- logers suisses, risquerait de provoquer l'éta- blissement de notre industrie dans d'autres pays encore que ceux où elle a déjà émigré ce qui augmenterait la quantité déjà trop considérable des montres produites chaque année et renforcerait Ia concurrence étran- gère au détriment de l'industrie nationale.

Ce danger n'a d'ailleurs pas échappé à la perspicacité de ceux qui sont à la tête du mouvent et j'en vois la preuve dans maints articles du journal.

Je vois aussi avec plaisir qu'il n'est pas seulement question du relèvement des salaires, mais aussi et surtout de moraliser le travail, en modifiant certain es habitudes commerciales déplorables et en mettant les plus grands soins à Ia formation des apprentis, pour qu'ils puissent devenir des ouvriers dignes de ce nom et, cas échéant, de parfaits rhabilleurs.

L'idée est digne d'éloges et doit être éner- giquement soutenue. J'ai eu l'occasion de m'apercevoir, dans mes voyages en fabrique, que les lacunes du système des apprentissages se font sentir chez vous aussi bien que chez nous. Ici, un jeune homme qui a fait un apprentissage de 18 mois à deux ans se pré- sente comme ouvrier ou s'établit et cela sans I même savoir ce que c'est qu'une montre, car I leur apprentissage consiste le plus souvent

(4)

112 LA FÉDÉRATION HORLOGÈRE SUISSE

à faire des commissions et à-nettoyer des hor- loges allemandes. Voilà en quelles mains est tombée, en g r a n d e partie, notre commerce d'horlogerie; c'est u n e des causes de son incroyable avilissement.

Encore, n'est-il pas suffisant de former de bons apprentis ; l'important est que la pro- duction soit entre les mains de fabricants capables commercialement e t techniquement parlant ; or, peu sont l'un et l ' a u t r e et beau- coup ne sont ni l'un ni l'autre. J ' e n connais plusieurs, qui étaient de bons ouvriers peut- être, mais rien d e plus et qui, ayant réussi à trouver du crédit on ne sait comment, se sont mis à fabriquer des quantités énormes de montres sans se rendre seulement c o m p t e de la manière d'établir un écho, si m ê m e ils en établissent. Ils vendent à des prix dérisoires, et c'est à eux que l'on doit que le m a r c h é espagnol soit complètement abîmé.

Comment finissent ces producteurs-là 1 Par la faillite le plus souvent. C'est dans cette direction que les plus pressants efforts doivent être tentés et, puisque les g o u v e r n e m e n t s paraissent avoir des préoccupations plus p r e s - santes mais assurément moins utiles, la Fédé- ration horlogère fera u n grand bien en obte- nant, par tous les moyens, que les pénalités les plus sévères soient appliquées à ceux dont la ruine aura été causée par des ventes faites sans bénéfice ou au-dessous des prix de r e - vient. ;'-·

Un autre but essentiel à atteindre serait d'enrayer l'énorme production actuelle, qui n'a d'autre résultat que d'encombrer tous les m a r c h é s et d'avilir les prix de vente. A quoi sert de tant fabriquer, si l'on ne peut pas pas écouler1? Si une maison sérieuse, établie dans un pays n'y peut pas vendre, est-ce le premier venu qui y vendra. Oui, s'il vend en dessous des prix qu'il a payés en fabrique.

Mais, on est très large en Suisse, avec le premier venu, pourvu qu'il vienne de loin ; un lui livre u n e première fois au comptant, ensuite à crédit sans· s'informer de sa manière de faire son commerce de vente p u i s . . . vien- nent de grosses pertes qui ne sont u n e leçon pour personne.

Le bureau d'informations et de renseigne- ments qui sera au service de la Fédération, sera d'une utilité-incontestable à ce point de vue et contribuera, j ' e n suis persuadé, à g u é - rir notre commerce^d'horlogerie de l'une des plaies qui le rongenjt les mauvais crédits.

En terminant, j ' e x p r i m e toute ma sympathie pour l'œuvre patriotique qui est entreprise.

Nous en suivons | e développement avec le plus g r a n d intérêt et nous sommes persuadé crue, si l'on arrive h relier à la Fédération horlogère suisse, l'industrie, horlogère des pays voisins — ce qui est absolument néces- s a i r e — il en r é s u l t e r a u n g r a n d b i e n p o u r t o u s .

Recevez, Monsieur le rédacteur, m e s salu- tations cordiales. J. de B.

A V I S

V o u s | > r i o n e n o s a b o n n é e d u d e h o r s d e b i e n v o u l o i r n o u s f a i r e p a r v e n i r f r a n c o d ' i c i a u SO m a r s p r o c h a i n , l e m o n t a n t d e l ' a b o n n e m e n t p o u r ISS1? p a r fr. I O ( m a n d a t o u t i m b r e s - p o s t e ) . P a s s é c e t e r m e , l ' a b o n n e m e n t s e r a p r i s p a r m a n d a t c l ' e n c a i s s e m e n t .

u e s e r v i c e fies a n n o n c e s d e l à S O I i I - HA It Γ Π H O R I i O G K R E s e r a r e p r i s à p a r t i r d u p r o c h a i n n u m é r o d e l a E E I ) E H A T I O X H O R E i O G E R K .

l i e s s o c i é t é s , a s s o c i a t i o n s et c o r p o - r a t i o n s d e f a b r i c a n t s , d e p a t r o n s o u d ' o u v r i e r s s o n t i n f o r m é e s q u e l e j o u r n a l r e n d r a c o m p t e d e s d é c i s i o n s d e q u e l q u e i m p o r t a n c e p r i s e s d a n s l e u r s a s s e m b l é e s . — U n e x e m p l a i r e d u r è g l e m e n t d e c h a q u e s o c i é t é h o r - l o g è r e s e r a a u s s i r e ç u a v e c p l a i s i r .

P r i è r e d ' a d r e s s e r l e s c o m m u n i - c a t i o n s à l a R é d u c t i o n d e l a F E D E - R A T I O N H O K I i O G E R E S U I S S E , à B i e n n e .

Le rédacteur responsable : Fritz HUGUENIN.

T a b l e a u c o m p a r a t i f

des poinçonnements, plombages et essais effectués dans les bureaux suisses de contrôle

p e n d a n t l e s a η χα é e s 1 S S 3 à 1 S S «3

B u r e a u ^ ·

Boîtes de montres poinçonnées

1882 1883 I88t 1885 1886 Sojuie île chaque bureau

Boîtes refusées au poinçonnement

1882 1883 1884 1885 1886

Z u r i c h * · . : ' • · Canton de Berne :

Bienne . St-Imier . Madrelsch** . . . ' . . ·<

Noirmonl*** · Tramelun .*«». * * ' * f ' ; . .

Schaffliouse

Canlon de Neuchâtel :

Chaux-de-Fonds . . . . . .

Fleurier . I,ocle . . .

Neuclialel . . . Genève

Total

Pièces Pièces Pièces

173,847 99,369 23,023 77,845 34,879 286,539

35,181 103,771 23,405 52,848

140,743 128,318 143,415 96,298 41,405 310.604 41,700 121,153 23.566 53,793 911,307 1*101,055

156,291 126.802 142,903 48.005 69,797 51,634 315,070 60,559 129.423 23,336 50,900

132.158 99.513 137,735 53,970 55.488 43,596 278,679 55,787 103,275 19.499 42,131

232,356 154,713 141.847 89,293 82,189 50,639 304.107 51,010 131,749 11.116 37.952

15.2 11.1 10.7 3.5 o;9 4,0 27,2

• 4,5 10,7

1.9 4.3 1Ί74 !'021,831 •289 631 100,0

Pièces

198 614 13 186

1,818 566 160 208

Pièces

372 445 203 324

1,668 600 145 134

- 1,109

»80 867 7i6 122

2.174 427 12 142

Pièces i Pièces

697 567 561 264 272

3,131 396 94 I 126 219

Pièces

1,056 1,040 370 606 fi 13 2,080

301 356 72 251 3.763 3,891 6,439 7,177 6,745

B u r e a u x

Boîtes plombées

1882 1883

Zurich* . . . . Canlon de Berne :

Bienne . . ·. .- St-lmier . . . Madrelsch** . . Noirmonl*** . . Tramelan . . . Schaffliouse . . . Canton de Neuchâtel : Chaux-de-Fonds . Fleurier . . . . Locle . . . . Neuchâtel . . . Genève

Total

Pièces Pièces

14 1049 94 3382 4343

541 874 0,297

17

19 1988 2,024

1884 1885 Pièces Pièces

1886

Objets de bijouterie poinçonnés 1882 1883 1881 U

1!(IViMC I

1886 de chaque bureau I

Essais de commerce 1886 1883 1884 ι 1885

VojeiiBe de clique

bnreai Pièce s

371 25

404 Pièces

2599 10

27253 1763

378 199 189 6158 48,549

Pièces I Pièces 256 9804 2618

56

26439 2460 121 72 U S 3483 45,653

2368 161

13 27366 750 159 l'O 99 12178 52,994

Pièces I Pièces I 3413 - 2618

113 2 24246 738 91 163 121 11018

3926 181

23502 387 90 122 110 7154 42,553 35,472

% 6,0 6,3 0,0 0.2 0,0 0,0 57,2 2,7 0,4 0,3 0,3 26,0 100,0

Nombre Nombre I Nombre - ! 19 134 1109

880 192 3S3 489 4208 932 2715 491 6 11,435

1040 705 944 421 517 4089 814 1714 375 10

1180 705 1069 428 359 '.26 6376 790 1350 229 6

Nombre Nombre 141 i —

10,738 13,052 1112

604 1180 453 433 383 7661 979 101S 277 15

1110 749 1119 556 551 420 8081 892 914 156 26

0,5 8,5 5.9 7,1 2,2 3,4 3,5 .17,4 6,9 12,1 2,4 0,1 4,259 14,616 100,0

* Ouvert à fin novembre 1883, fermé à fin novembre Berne, le 10 février 1887.

1885. — ** Ouvert en octobre 1882. *** Ouvert le 1 " janvier 1884.

D é p a r t e m e n t f é d é r a l d u c o m m e r c e .

(5)

LA FÉDÉRATION HORLOGÈRE SUISSE H 3

AVIS-W

L e s annonces concernant les offres et demandes d'ouvriers ou d'employés pour l'hor- logerie, ainsi que les convocations d'assemblées d'associations patronales et ouvrières jouiront d'un p r i x de faveur et seront insérées à raison de 10 centimes la ligne ou son espace.

FABRICATION D'HORLOGERIE

en tous genres

ALEXIS HUGUENIN

^g St-IMIER S»

EXPORTATION

8

Spécialité : Genres anglais et autrichien

xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx

FABRIQUE DE CADRANS PAILLONlS / - * . *

sous cristal

' Spécialité 4e Fantaisie genres n e a v e a u x ÉMAUX QENBES LIMOGES c

Emaux varies

, p o u r o r e t a r f l e n t

tf Mosaïques

X

de Fonds et Bijouterie

sans cristal

X

• ^ y * ^ / " sans cristal ΛΛ

^X NIEL, APPLIQUÉS χ

iff*yr Peinture artistique J E

d'après photographie pour lottes de montres, cadrans bijouterie et orfèvrerie

lEXIPOIR.T.A.TIOIN" S

I E

xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx

ETABLISSEMENT METALLURGIQUE

A c h a t c l e c e n d r e s e t l i n g o t s s u r e s s a i F e n t e d e déchets d e t o u t e n a t u r e

et e s s a y e u r d e m a t i è r e s o r e t a r g e n t

A U F R A N G & G

- * * B I E I N T I T B ~t>- Dépôl de coke de St-Etienne — Charbons de bois

Creusets de toutes espèces

G R O S E T D É T A I L

K>*0*0*0*0*0*0*0*0*0£

MARCELIN REYMOND ?

57

Fabricant de contre-pivots

IiE

I J I I X .

Vallée d e J o u x (Vaud) 71 Contre-pivots tons genres, rubis, grenat, vermeil, verre.

Sertissages plaques contre-pivots toutes formes, huit, ^

chatons, coquerets, etc. Jy Ecuelles, Rosillons bleuis pour Bostons. Pierres pour aiguilles %J

δ Ouvrage soigné et courant — Prix avantageux •

• ; ; - » : • - € » e t ' * · .m. TT M « I»I f j

+040*0*0Φ0*0Φ0*040*0*0Φ

Fabrication d'Horlogerie

U Spécialité U

fi de 3

[ . pour .

π DAMES π]

J,

ψ Vignoble - R e b b e r g BIENNE

f | RÉGULATEURS [

^ et *•;

j RÉVEILS [

Grand c h o i x

-iPrix réduitsi

% Café a» fnudoht I

^ Schonste Uebersicht der Alpenkelte Sladt Biel _*^

* und Umgebung. »

Fabrication mécanique

de

BOITES de MONTRES

E N P L A Q U É OB à tout titre et en tous genres

R O B E R T GYGAX

St-IMIKR

T é l é p h o n e 28

I E ^ I B I R Z I Q Z T T E

2 9

DE

BOUCLES, PENDANTS ET CANONS OLIVES

Anneaux sor acier, métal on plaqué or A n n e a u x a r g e n t massifs e t

p l a q u é a r g e n t

Formes e n tous g e n r e s

J . UEBERSAX

1O, r u e J a q u e t Droz, CHAUX-DE-FONDS

Mention honorable à l'Exposition nationale d'Horlogerie en 1881

XJ

FiBWCATION Di BOITES BE MONTRES |

PLAQ,TJ1] OIR,

à tous titres et genres

87

GENÈVE

^'ΗΥΤΗΪ'ΗΥΜ'

(6)

I H LA FÉDÉRATION HORLOGÈRE SUISSE

FABRICATION DI BIJOUTERIE

I Spécialité de 5

^REMONTOIRS?.

en or, <j a 1» g Θ n t

et métal P I È C E S

de rechange

ET D'HORLOGERIE

A BIENNE

C H A I N E S I CLEFS ET MEDAILLONS '

en o r , j a r g e n t '

et I doublé

Chronomètres, chronographes simples et avec compteurs à minutes Répétitions et secondes indépendantes, montres sans aiguilles.

Seul représentant pour la Suisse de la fabrique de pendules et régulateurs

de G. LEUENBERGER, à Langnau. 9

FABRICATION D'AIGUILLES DE MONTRES

e n t o u s g e n r e s

ψ>

te

o qp

R u e d e l ' H ô p i t a l » 4 il, B I I Î X Y E Aiguilles poire depuis 6 lignes à 28 lignes.

Bel assortiment en aiguilles poire anglaises, espagnoles et américaines.

Aiguilles dessins variés, de toutes grandeurs.

» gothiques, de H à 22 lignes, dorées et bleues.

» Louis XV, gravées, depuis 8 à 26 lignes.

» chronographe, avec grandes seeoudes.

» à secondes, de toutesgrandeurs, soignées et ordinaires Petits el grands quantièmes

Découpage d'olivettes et de porte-charnières de iotites grandeurs.

Ouvrage soigné à des p r i x modérés. 82

mmmmmmmmmsÊmm

Fabrique d'Ebauches de Bienne

m 1 1

0

H

B

<j b

fi

οι Léon GA

H

FABRIQUE D'HÛEL0I1R

Spécialité

de

M

1

TJ

18 O

Remontoirs or 12 et 13 lignes y

P O U R ZD-A-IMIIES ^

|>

ST-IMIER O

(Suisse)

oï««o

»4 )«>

A BIENNK ( S U I S S E )

jEliaucuics e t f i n i s s a g e s à clefs et remontoirs depuis 13 à 20 lignes

Spécialité de Remontoirs au pendant

12 3U et 43 lig. cyl., 18 lig. cyl., 18,19el20 lig., ancres, lépines et savonnettes

Ouvrage soigne et conseieneieiix 32

I Fabrication de cadrans en émail g

^ ^ V I

Μι

i

s FABRIQUE DB BOITES ABGKT, GALONNE BT AGIBR g

en tous genres et tous litres

-^1WTAV-V

19

J. A. FROIDEVAUX

ISItIEIfHIB

USINE AU BRUHL

.· ΐψ ·. T é l é p h o n e .

f

i

ι·"Λο

>φφφφφφφφφφφφφφφ

X FABRIQUE D

5

MORLGGERiE £

φ (Garantie) 81 φ

I GEL MAITI-IABQEII

Φ <&

φ Quartier-Neuf 4 g B I E Λ

τ

Λ* E Quartier-Neuf 1 g X

Φ Φ Φ

!Spécialité Montres pour dames

GENRES A L L E M A N D S Φ Φ

(SpccLaCili do Çcm^ fantai5ie6- |

Emaux de couleurs genres paillonnés et sous fondant ^ ·

IJ. WYSS, FILSf: i

I CHAUX-DE-FONDS u |

β τ

E : I_.

E

n ο 3>r

Ε :

ά

Fabrique d'Horlogerie garantie

lit, ¥¥ILL1MI rai. ^ Br

Marque de fabrique MAWISKTSfSI (Suâwsse)

is T é l é p h o n e

SPECIALITE DE MONTRES POUR M I S

g f r t ^ S ^ or et aroenl

^é^T Grandes Pièces 18 à 20 lignes, Ancre

déposée Qualité bon courant et soigné

13

(7)

··

LA FÉDÉRATION HORLOGÈRE SUISSE 115

ss^^Î

S p é c i a l i t é d e 5

!MONTRES SOIGNEES

POURDAMES

ancres et Cylindres de 8 à 13 //gnes D I P L O M E ^ 1 1 1 1 1 1 ^ M É D A I L L E Z il r i e It I S S 3 ( « Ρ ί Ι Ι Ι Ι » ) A n v e r s 1 8 S G

H A L M A I I -H ...

M Avenno de la Gare Β Ι Ι Ε Ι Ν Γ Ι Ν Γ Ή ] A'™e d e l a G a r e

««-< Ht i C J « ~ %?*< '"' •». i ^ j r t "- V -/ T" ~ '

DtCORATIONS DE BOITES ET MUETTES

o r e t a r g e n t Monogrammes, Sujets et Reproduction de Portraits

taille douce et émail

JOAILLERIE, FILETS, TOURS D'HEURES

^ y Sv

en tous genres *S

&'

S

N I E L

5

A P P L I Q U E S

taille douce en couleur e t s u r g u i l l o c h i s /

Polissage

Φ

$> / Téléphone

/ W

F I N I S S A G ] de boîtes et cuvettes

o r et argent

OS ^ /

«

^

&

Acier

Ou

Iles

S p é c i a l i t é e x p o r t a t i o n

dorées, damasquinées

COMPOSITIONS

^NTIEMES, ^SECONDES

£

^

AIGUILLES ANGLAISES

I P O I I R / E i S 2

c

lèregitets et dessins variés COotlitJtncis

d é c o u p a g e s de Ressorts et de Plaques toutes épaisseurs

FABRIQUE D'HORLOGERIE

Spécialités pour I» France, l'Espagne et l'Italie

HORLOGERIE SOIGNÉE 7

ALFRED MONTBARON

St-DHEE (Suisse)

F A B R I C A T I O N

de

PENDANTS ET ANNEAUX

GOURONNES EN TOUS GENRES

MET 1ΡΊΜ m m

B I E N N E

21

ÉCOLE D'HORLOGERIE

de Bienne

Enseignement professionnel clans les deux langues.

Atelier spécial pour les jeunes gens désirant seulement apprendre les échappements.

Atelier de mécanique outillé d'après les plus nouveaux'système*.

T H Ê O B 1 K A P P L I Q U É E

. La nouvelle année scolaire commencera au moi? d'avril prochain.

Les parents qui désireraient placer leurs enfants sont priés de se faire inscrire dès maintenant.

I8 6 L A C O M M I S S I O N .

*1»

> • — " J O J I I >—*n' % - * " ' TJ —»^Ι~Ί/ '— vir^n ι-»°

U MANUFACTURE D'HORLOGERIE POEIl TOES PATS I

PROCÉDÉS MÉCANIQUES 6 ra E X P O R T A T I O N g

S a s H 5 H-

s

H 5

a 5

•5 a a 5

a 5

Pi a

s a s a

5 a

51

Georges FHREJIEIIÎ

LOCLE

15

I a 5

a 5

i

(SUISSE)

Remontoirs or, argent et galonné

A n c r e s e t C y l i n d r e s 1 1 " ' à « 0

, , v

T é l é p h o n e T é l é p h o n e

Tl (P τ

Q u a r t i e r - N e u f , 5 5 B I 3 Ξ TST I V 3 Ξ

jsr «

48

Fabrication d'Horlogerie garantie

l>p©©iisMlb© û® Isl©iEin©Œiib®àirs @T ©i snrg©iQt

d e 1 2 & 2 1 l i g n e s

Finissages de Genève pour ITj n n u | pièces de première qualité en 12 et | n ^ S U N + |

1 3 ] i g n e s

HAEGLER S C H W E I Z E R

B I E H \ E ( S u i s s e ) 4

(8)

116 LA FÉDÉRATION HORLOGÈRE SUISSE

OUTILS ET FOURNITURES D'HORLOGERIE"

Lina NADENBOUSCH s

« H O S B I E I T I T E D E T A I L ·

Caisses d'emballage en tous genres

ULYSSEJACOT,LOCLE

Téléphone

CD

• - . O <*>

S Β" "C Π 535 C

s I S O

Ri

5 S E 5 Z 5 2

ΙηρίΙ^ρίΙηρϋίηΓ^ίηΓϋίη^ΕϊτϊΏί/ΐΓϋίηΓ^ΡΰίίηΝ^Γ^^^^Γ^

EAÇRIQUE D'HORLOGERIE

PAR PROCEDES MECANIQUES

au

SYSTEME INTERCHANGEABLE

t

53 15

151 2 2 51

MBY & LMDlY

MADRETSCH, près BIENNE (Suisse)

Médailles aux expositions de Philadelphie, Paris, Rome, Chaux-de-Fonds, Bienne, Amsterdam et Anvers

Mention de i™ classe à l'exposition nationale de Zurich i883

f3[ïï^ljïî3ÎJirulnr^^r^^N^i^^r^t^^r^C^^f^^r^Cn IEl

H L DE BIENNE

(BIELERHOF)

17

v i s - à - v i s t i e l a g a r e

Établissement recommandable à MM. les voyageurs de c o m m e r c e , touristes aipsi qu'aux Sociétés.

Bonne cuisine — Vins naturels — Chambres à différents prix — Grandes salles — Bains et douches à l'hôtel — Table d'hôte à raidi 10 minutes

— Plats du jour — Restauration à la carte à toute heure — Exposition permanente de montres. Tous les mardis, marché d'horlogerie.

Se recommande C. R I E S E N - R I T T E R , propriétaire.

COMMERCE DE VINS

d'Espagne, de France et du Pays

: I V G R O S E T EJ]NT D E 3 T A . I L Expédition en caisse à partir de 6 bouteilles 23

R u e d e \ i d a u

Cai-Itetaimit i l Jim

P l a c e d u M a r c h é

"V7"iixs n a t u r e l s — B i è r e ο i l - v e r t e Samedis, tripes. \- Lundis, gâteau au fromage. — Fondues

à toute heure.

Se recommande au mieux. 22

G, KURTH.

xx*xxnuxxx*xx***u***nxx κ AU PLANTEUR *

J É BURNS P P . T T 7 Ο Γ Τ 7 BIENNE

^Z R u e d u C a n a l Γ X l I 1 Lk O JD JL/J R u e d u C a n i

H Spécialité en Tabacs et Cigares «*

^* d e t o u s p r i x e t d e t o u t e s p r o v e n a n c e s . ^ 2 Le plus grand et le plus bel assortiment dans tous les ^

) ( a r t i c l e s p o u r f u m e u r s e t p r i e e u r e . J K îtt PIPE8 en véritable écume de mer et tuyau merisier, depuis fr. 1.50 pièce % J ;

S CIGARES HATANNE de première qualité àfr. 18 le cent. 26

FROMAGES DE BELLELAY

( T ê t e s Λ& M o i n e s )

ο

GOTTLIEB LIENHARD

à B E L L E L A Y ( J u r a bernois, Suisse) 66

U (Ii

W I i ι T r j à Cleveland Π I i t(Amérique-du-N.) perfectionnées

de la Cie

la plus douce, rapide, élégante et solide de toutes les machines à coudre connues à ce jour, ainsi que des machines du système

« S i n g e r » perfectionné, des meilleures fabriques de l'Europe.

Grandes facilités de paiement, 3 fr. par semaine ou 10 °/„

d'escompte au comptant.

Huile fine pour machines à coudre ; s o i e , f i l , aiguilles pour tous les systèmes. — Machines à m a i n , d o u b l e p i q û r e , d e p u i s 45 fr. n e t .

KJlK-ViVi: S e u l D é p ô t B I l W i ;

K L Œ T I - B E U C L E R , M é c a n i c i e n

8 8 , R x i e d e l a O a r e , 8 8 20

DROGUERIE INDUSTRIELLE

SPÉCIALITÉS

p o u r F a b r i c a n t s de b o i t e s , D o r e u r s , N i c k e l e u r s , G r a v e u r s , F a b r i c a n t s d e c a d r a n s

BaiitM d e n i c k e l e x t r a b l a n c 101

Matières pour précipiter les lavements d'or et d'argent

G. ROMAN G

R u e Basse Τ ^ Τ Τ Π Τ \ Γ Τ ν Γ Τ Π Rue Basse

(9)

LA FÉDÉRATION HORLOGÈRE SUISSE 117 Pour conserver et maintenir les P a r q u e t s d e b o i s

«lui·, p l a n c h e r s d e s a p i n , e s c a l i e r s d e b o i s , employez la

EESINOLINE-LA-CLAIBE

Exiger la marque aux deux hiboux

**~ÈF

Exiger la marque aux deux hiboux

"W

Cette excellente préparation entretient admirablement le bois, auquel elle donne de la dureté. Elle empêche pendant un très long temps la

a formation de la poussière sur les planchers, et rend ainsi un service à 1 hygiène des habitations. Elle se laisse étendre facilement au moyen d'un chiffon de laine et sèche immédiatement sans laisser d'odeur. On l'emploie pour enduire et conserver les parquets et planchers des locaux où l'on circule beaucoup, comme les : F a b r i q u e s , A t e l i e r s , B u r e a u x M a g a s i n e , C a f é s - R e s t a u r a n t s , S a U e s d ' E c o l e s , etc.

Le bidon de deux litres

Le bidon de cinq litres . Fr. S , * 5 5,4O

Emballage perdu, franco pour la Suisse. Rabais par forte quantité.

Usine de Produits chimiques, La Claire, LOCLE

12

Magasin de Verrerie et Porcelaine '

15, rue du Quartier-Neuf, à IIIEHTIVE

A r t i c l e s d e m é n a g e e n t o u s g e n r e s . Déjeuners et Dîners complets

« ? n r S f „ i ^ IC eia , n· ' U nls e t dé c°r e s- - Verres de toutes sortes en cristal fin et ordinaire. Services de table, ferblanterie, etc.

LaInPe1S6PrO6 r è s *1 6 " * & s u sPe n s i o n s de première qualité garantie.

! " r i a c t r è s r é d u i t s i 25

DÉPÔT DE BOUTEILLES A VIN

UMB M i l 7

3 8 , R u e d e N i d a u e t B u e N e u v e , 3 8

-Φ-* B I E N N E « N * Vêtements de dessous, coton et laine

pour dames et messieurs

B a s e t C h a u s s e t t e s , G u ê t r e s

F A U X - G O L S

5

M A N C H E T T E S

Foulards, Cravates 63

E 3 t -u. i a cl et u s *

ο t i

^ ^ S ^ 2 ^ ^ S 2 ^ i ^ ® â 2 ^ ± ± 2 S 2 © £ 2 ^ ® S 2 ^ i - » « e ^ »i l -MSSgff

l e s p r i x

saille

IB

1

^ ITT^X s IIET

ETÏJ ZS

i

ISg

E t u

i s p e t t e r L t et p a r t i r d e S S e t ^

•ΤΡΨΑ H

ο \J '3Ë31 3»

V i s - à - v i e d e I n Ci a r e

Consommations de premier choix. Service actif et soigné.

Se recommande. U

F, SCHNEIDER.

La Rôtisserie de cafés

Fabrique d'Extrait de café

(fondée en 1816] • $ -o—

Marque de fabrique déposée

—o-

Fabrique d'Extrait de café

(fondée en 1816J

—o—

Marque de fabrique déposée

CHARLES KAUFMANN A BIENNE

recommande ses trois qualités exquises de café rôti en paquets de 1Js, 1/4 et 1I2 kilo, à fr. 1.20. 1.40, 1.60.

En vente dans les principaux magasins d'épicerie.

Les ménagères sont rendues attentives que mes cafés, malgré leur emballage parfait, sont expédiés à tous mes clients dans des caisses en fer-blanc, afin de leur conserver leur qualité et leur

arôme. 30

ARNOLD BENZ

61, H u e H a u t e , IHIvVYK

Spécialité d e fil d e fer r e c u i t , d u n° 0 a u n° 12 P . L. p o u r m o n t e u r s de b o î t e s . — Chaises à v i s . — Manches de limes et d e b u r i n s . — Laiton en fil, en b a r r e s et en plancnes. — P o i n t e s p o u r ,caisses d'emballage. — Ustensiles d e cuisine, d e m é n a g e et d e

:cave. — S e r r u r e s , fiches et charnières. — Paumelles et autres. —

Ferrements de portes, d e fenêtres, de jalousies. 2 4

F. C. MATILE

IiOClLE (Suisse)

•»»-BH 0 I J « « « «

Commission - Expédition - Roulage

Agent près des douanes françaises et suisses

à M o r t e a u e t a n L o c l e 72

AFFMKCHISSiMlNTS PliTfflUTFS DESTINATIONS

d'Etuis de Montres

en tous genres

SOEIiIi k Cie

CHAUX-DE-FONDS 46

G. JOHO

B E R N E 65

LIES D'HORLOGERIE

A f a r q u e C a d r a n Dans les bons magasins de fournitures

Dépôt général : G. JOHO1 B e r n e .

(10)

1IS LA FÉDÉRATION HORLOGÈRE SUISSE

On demande

pour une inrluslrie en pleine activité et de grand avenir, un commanditaire ou de préférence un asï-oi'ié connais- sant la. mni'iinii|ue. Quelques mille francs sei nient utiles au développe-

ment de celte industrie. 90 Adresser les offres sous initiales

A. K. 427. au bureau du journal.

A louer

38

pour Si-Georges 1887, à 20 minutes de bienne (Tramway), campagne avec vastes locaux et dépendances, ,16 chambres habitables, grande galerie servant actuellement "d'atelier, jar- dins, cour, terrasse, basse cour et verger. — Très convenable pour un chef d'atelier logeant lui-même ses ouvriers. — Eventuellement, force motrice.

Ι ι ο ι ι ΐ β M i l l i e r , Bienne.

ÉLECTRICITÉ

ff'Ib'Mubîigi

B I E N N E ( S u i s s e ) 89

APPAREILLAGE ÉLECTRIQUE SONNERIES, TÉLÉPHONES

E c l a i r a g e s y s t è m e E d i s o n

F. SCHENKER

SAINT-IMIER

D o r u r e , a r g e n t u r e e t n i c k e l a g e . Polissage et finissage de boîtes et

cuvettes.

R h a b i l l a g e p o u r h o r l o g e r s e t b i j o u t i e r s .

S p é c i a l i t é d ' i m i t a t i o n g a l o n n é e t d o r u r e s f o r t e s . D o r u r e s a r t i s t i q u e s , o r s d e c o u l e u r ,

v i e i l a r g e n t , etc. 37 Travail prompt et garanti.

C O M M E R C E E N G R O S

F. REYMOND & C IE A BIENNE

Métaux pour Horlogerie 94 L A I T O N I E T i T Z O T C E Î L

en planches, tôles, bandes, fils ronds et façonnés, carrures, lunettes, platines, rondelles, etc.

A L L I A G K S S P É C I A U X pour ébauches, boîtes, cuvettes, pendants et couronnes,

balanciers, aiguilles, etc.

L a i t o n a n g l a i s , m é t a l b l a n c , m é t a l j a u n e o u r o u g e

Agence de vente exclusive de la fonderie de KRIEiZ, près Lucerne

g J, Rodolphe GYGAX

CCI C=!

E-H

St-IMIER

- 3

1 MOJIlM DE BOITES 1

en tous genres

en 45

*-3

P=J

5â S P É C I A L I T É g

t î de CTJ.

*^ Boites a r g e n t

AVIS

79

aux

Fournitures d'horlogerie

B u r i n s en a c i e r d i a m a n t reconnus supérieurs par les premiers

horlogers de la Vallée de Joux.

S'adresser à la fabrique de rasoirs

BAUDNICOLE&C

I E

au Sentier, Vallée de Joux (Suisse).

PIUIINEIE I)E LAlGLE

Quartier-Neuf, Bienne, Quartier-Neuf S P É C I A I i I T K

d'essences de lavande surfine et grasse, pour peintres.

Produits chimiques garantis purs

pour doreurs et nickeleurs.

42 W. CKIGELMANN.

MICRO-TÉLÉPHONE

RÉGLEUR

Appareil électrique amplifiant les vibrations des montres et permettant de saisir, pour le réglage des pièces de précision,les frottements les plus nui- sibles ou autres défauts les plus légers.

P r i x avec téléphone en bois 2 5 fr.

» » o n éhonile,

qualité extra 3 0 fr.

Envoi contre remboursement ou contre mandai postal.

CAFÉ-RESTAURANT JARDIN D

5

ETE

tlillllli

tenu par W I L D - R . E 3 Y

-<S- B I E N N E - Φ * -

T e F é ρ ht ο « e ;n

GRANDE BRASSERIE

S A U L t C D E C O N C E R T

ί ' IBUmtank

Électricien-Fabricant 37 B I E N N E ( S u i s s e )

0COiISEIIIE, PiTBSHUE

cita-utâca-fc ton. 3c ùvcoxii e n tous acn-vci

S u c r e d e m a . l t

Leckerlis de B a I e

1

h qualité

côarameLs fins

DKSSERTS DE TOUTES ESPÈCES

P a s t i l l e s d e g o m m e en gros et en détail.

DROPS ET ROCKS

PERROT-ERNST

B i e n n e 40 8 9 , R u e d e l a G a r e . &Θ.

8, L· rj> lltel-de-Ie C H A U X - D E - F O N D S B, Rue de l'Hôtel-de-I NGE

S A I S O N D ' É T É

08

Grand Assortiment de Vêtements confectionnés

P o u r h o m m e s , j e v i n e s c r e n s e t e n f a n t s

P H I CO I T R A H T

Pardessus soignés pour hommes . . . de fr. 20 à 75 Pardessus soignés pour jeunes gens et enfants . » » 15 à 35 Habillements complets pour hommes . . » » 35 à 80 Habillements de catéchumènes . . . · » » 40 à 05 Habillements complets pour jeunes gens et enfants » » 15 à 40 Pantalons » » 7 à 20

Robes de chambre Paletots sac et vestons Paletots de bureau

de fr. 20 à 50

» » 18 à .15

» » 20 à .10 Gilets de chasse, spencers, chemises blanches et en couleur, caleçons, blouses, cravates, foulards et couvertures de voyage.

Spécialité d ' H a b i l l e m e n t s pour cadets. — G r a n d c h o i x d e d r a p e r i e s a n g l a i s e , f r a n r a i e e , e t a l l e m a n d e pour habillements sur mesure dans les prix de fr. 70 à 120.

T é l é p h o n e T é l é p h o n e

Imprimerie du Nouveau Pressverein de Bienne.

Références

Documents relatifs

» de l'étranger. Nous avons eu, souvent déjà, l'occasion de relever pour les combattre, les appré- ciations de ceux qui, satisfaits de leur position présente, et se préoccupant peu

Les fabricants ont un intérêt majeur à satis- faire leurs clients ; et, puisque vous cherchez un moyen de contrôle pour la qualité de leur fabrication et que vous croyez

3° Le bureau commercial et industriel (se- crétariat permanent). Assemblée de délégués des syndicats. L'assemblée des délégués est formée des représentants de tous les

En tous cas, nous pensons qu'il vaut encore mieux que la Fédération des ouvriers entre dans la Fédération générale pour qu'on puisse toujours s'entendre à l'amiable sur toutes les

délégués, qui a eu lieu à St-Imier les δ et 6 juin courant, réunissait-il une centaine de participants représentant 8 à i0,000 ouvriers. Quand on arriva au cinquième point de

Les sections ouvrières de la Fédération horlogère ont un effectif total, bien recon- nu et bien classé par professions de 9000 membres environ. Si l'on ajoute à ce chiffre un

Deutsche Ost-Afrikanische Gesellschuft (So- ciété allemande de l'Est de l'Afrique). Comme son titre l'indique, cette association ne s'oc- cupe que de l'Afrique, où elle a de vastes

Mais, comme nous ne sommes pas de ceux qui jettent le manche après la cognée, et que,- d'un autre côté, toute cette affaire nous sem- blait avoir un côté obscur que nous vou-