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Comment la forêt est-elle surveillée et protégée?

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Academic year: 2022

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HAL Id: hal-03423878

https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-03423878

Submitted on 10 Nov 2021

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Comment la forêt est-elle surveillée et protégée?

Marcel Coutrot

To cite this version:

Marcel Coutrot. Comment la forêt est-elle surveillée et protégée?. Revue forestière française,

AgroParisTech, 1985, 37 (S), pp.127-132. �10.4267/2042/21848�. �hal-03423878�

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M . COUTROT

regards sur la santé

de nos forêts

A

COMMENT LA FORET EST-ELLE SURVEILLÉE ET PROTÉGÉE?

N.D.L .R . -- - -

L'article ci-dessous a pour but de décrire l'organisation de la pro- tection sanitaire et la manière dont elle a fonctionné, de 1973 à maintenant.

Des réflexions sur une meilleure protection de nos forêts sont en cours et le système va être modifié dans un proche avenir . Il n'est pas encore possible, aujourd'hui, au moment de mettre sous presse,

d'en préciser les moyens et les modalités d'action . Nos lecteurs seront tenus au courant dès que la nouvelle organisation se mettra en place.

Pour répondre aux besoins de notre économie moderne, l'évolution obligatoire de la forêt française a conduit évidemment les forestiers à modifier leur attitude de gestion.

La mise en oeuvre en 1973 de la surveillance phytosanitaire de la forêt, définie par la circulaire S .F . n° 3 035 du 28 novembre 1973, est révélatrice de cette prise de conscience pour assurer la protection sanitaire.

Des impératifs de productivité (recours à la monoculture, à des reboisements ou enrichissements avec des essences exotiques), de rentabilité (abandon de certaines pratiques culturales et de produits invendus sur le parterre des exploitations), de récréativité (ouverture de la forêt au public avec son cortège de nuisances) modifient les équilibres biologiques et rendent fatalement la forêt plus vulnérable.

COMMENT ALORS S'ASSURER CONTRE CES RISQUES NOUVEAUX ?

Un colloque tenu en 1969 à Pont-à-Mousson, en affirmant cette impérieuse nécessité, avait estimé que, dans l'état actuel de nos connaissances et des acquis de la recherche, notre savoir et notre savoir-faire, eu égard à la complexité de l'écosystème forestier et

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aux difficultés pratiques et financières pour la mise en oeuvre en forêt de traitements biologiques ou chimiques, devaient conduire pour le moins à « prévenir et limiter l'étendue du risque

Ainsi, à la différence de l'objectif recherché en agriculture ou en arboriculture, où l'agresseur peut être détruit, l'objectif moins ambitieux pour la forêt vise souvent, soit à réduire le risque de contagion vers les peuplements sains, soit dans les peuplements infestés à contenir l'agresseur au-dessous du seuil admissible suivant la fonction assignée au peuplement, production ligneuse, récréativité, loisirs, etc.

Cela explique que, dans une première étape du moins, l'organisation ait recherché à améliorer la protection phytosanitaire de la forêt, par le biais d'une surveillance préventive accrue et d'une auscultation permanente de la forêt, permettant des diagnostics précoces et des interventions limitées à des traitements localisés, effectués au moment opportun, au stade dangereux qui précède les grands dégâts.

Ces objectifs sous-tendent l'organisation retenue en 1973 pour la mise en oeuvre d'une surveillance phytosanitaire qui passe par trois étapes :

— une bonne observation, vigilante et constante, quadrillant le territoire forestier, faite par des observateurs avertis ;

— un bon diagnostic, fiable et rapide, permettant à partir de ces observations, l'identification de l'agent pathogène, la définition de son impact et de son évolution potentielle ;

— l'énoncé d'un remède qui, suivant le diagnostic, peut se traduire de deux façons :

. un traitement différé par la mise en place d'un réseau d'observations rendues nécessaires pour contrôler la dynamique de l'agresseur et orienter ensuite la décision de lutte ;

. la mise en oeuvre immédiate, soit d'un traitement sylvicole pour modifier dans un sens défavora- ble à l'agresseur le milieu, ou la plante hôte autrement dit le peuplement forestier, soit d'un traitement biologique ou chimique pour détruire l'agresseur lui-même dans des conditions pratiques et financières acceptables par le gestionnaire forestier.

COMMENT CETTE DÉMARCHE EST-ELLE ASSURÉE PAR LE DISPOSITIF MIS EN PLACE EN 1973 ?

Pour la mise en oeuvre de ces trois étapes de la surveillance, le dispositif retenu s'appuie sur trois échelons :

— un échelon d'observation qui regroupe tous les forestiers de terrain, sans distinction d'apparte- nance administrative, Service régional d'Aménagement forestier (S .R .A.F .), Direction départementale de l'Agriculture (D .D .A .), Office national des Forêts (O .N .F .), Centre régional de la Propriété forestière (C .R .P .F .), propriétaires forestiers privés :

— un échelon administratif coordinateur, le S .R .A .F . ;

— un échelon technique, la Division ' Protection de la Nature » (à Grenoble) du Centre national du Machinisme agricole du Génie rural, des Eaux et des Forêts (C .E .M .A.G .R .E.F .), en liaison avec l'Institut national de la Recherche agronomique et le Service de la Protection des Végétaux.

L'observation

Le colloque de Pont-à-Mousson a très justement rappelé que la protection phytosanitaire est l'affaire des forestiers et qu'ils sont les plus aptes à collecter les observations dès l'instant qu'ils ont été sensibilisés pour éveiller chez eux le bon réflexe, c'est-à-dire voir au bon moment pour recueillir des informations fiables indispensables à l'élaboration d'un bon diagnostic.

Au cours de la dernière décennie, cette action a été remplie par le C .E .M.A .G .R .E .F ., notamment par la diffusion de fiches techniques illustrées, décrivant les principaux agresseurs, leurs caractéristiques

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biologiques et la forme de leurs dégâts, par des sessions annuelles de formation, auxquelles participent les agents forestiers de terrain, par des notes d'information adressées périodiquement aux gestion- naires, par un encadrement des observateurs organisés en réseau de surveillance de certains ravageurs.

Le diagnostic

Les observations consignées sur une fiche renseignée sont adressées directement par l'observateur au C .E .M .A.G .R .E .F . de Grenoble, avec des échantillons des dégâts . L'agresseur biologique éventuel est alors identifié par une équipe composée de trois spécialistes encadrés par un forestier (un entomolo- giste, un phytopathologiste, un technicien spécialisé et un ingénieur du Génie rural, des Eaux et des Forêts de formation forestière) . Le diagnostic est aussitôt porté à la connaissance de l'observateur, en même temps d'ailleurs qu'à celle de l'ingénieur en chef du S .R .A .F . et du supérieur hiérarchique de l'observateur.

Relativement facile s'il est d'origine biotique, le diagnostic s'avère, il est vrai, beaucoup plus délicat s'il est d'origine abiotique ou s'il met en cause le comportement physiologique de la plante hôte, l'arbre.

En effet, si les symptômes d'attaque par un agent biotique sont assez souvent connus, il est déjà plus difficile de déceler l'arbre sain de celui qui est affecté par des troubles physiologiques, dont les manifestations spécifiques ne sont pas perceptibles par l'oeil.

Le remède

C'est là bien évidemment ce qu'attendent les forestiers, mais c'est aussi le stade le plus délicat de l'intervention et les difficultés sont nombreuses.

. Difficulté de choix du remède

Si tant est que l'état actuel des travaux de recherche offre des possibilités de choix, en forêt la décision est toujours délicate en raison de la multiplicité des organismes vivants et de la difficulté d'analyser toutes leurs inter-relations . Faute de connaître parfaitement la dynamique de l'agresseur, ou les conséquences de l'action que l'on se propose d'entreprendre sur le milieu, faune associée ou plante hôte, donc le peuplement forestier, l'intervention demeure souvent un pari raisonné sur l'avenir.

On peut donc être conduit à différer l'application d'un des remèdes possibles et à conseiller la mise en place d'un dispositif d'observations complémentaires pour mieux évaluer le risque potentiel avant d'engager une action de lutte (par exemple caractéristiques qualitatives de l'insecte, sexe ratio, fertilité des œufs, parasitisme, contrôle et fréquence des infestations).

s Difficulté de mise en oeuvre du remède

Quand l'entomologiste ou le phytopathologiste offrent des possibilités d'intervention, ils n'ont pas pour autant qualité pour trancher . La décision appartient en définitive au forestier lui-même qui, en fonction de l'étendue du risque annoncé, en fonction des possibilités pratiques d'intervention, en fonction des

incidences financières, apprécie l'opportunité de l'intervention.

Le traitement peut, en effet, être écarté en raison de la difficulté d'atteindre l'ennemi désigné, soit que le terrain soit trop accidenté pour pénétrer avec les engins de traitement, soit que l'ennemi visé se cache dans une partie de l'arbre difficile à traiter avec les produits destructeurs, soit que les matériels nécessaires soient difficilement mobilisables au moment opportun pour l'intervention . Au surplus, le type d ' intervention souhaitable peut ne pas être retenu en raison d'impératifs financiers, du coût du traitement au regard de la productivité de la forêt ou de l'impossibilité de mobiliser les fonds nécessaires à l'intervention en temps voulu .

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COMMENT ET DANS QUELLE MESURE L'ORGANISATION MISE EN PLACE EN 1973 PEUT-ELLE RÉPONDRE AUX PROBLÈMES ?

Bien évidemment, l'éloignement de Grenoble ne permet pas, dans la majorité des cas, la rencontre souhaitable sur le terrain du pathologiste et du gestionnaire forestier lui-même, et le conseil de traitement est alors établi par une simple concertation faite à Grenoble et s'appuyant sur l'analyse de la fiche de renseignements fournie par l'observateur forestier.

S'il s'agit d'un jeune reboisement, le conseil de traitement proposé à partir du diagnostic et de l'analyse du contexte forestier reposant sur la fiche de renseignements peut généralement permettre au gestion- naire de prendre sa décision . En effet, si l'enjeu est la pérennité du jeune peuplement, vraisemblable- ment condamné en cas de non intervention, le pari peut être pris facilement.

La concertation sur le terrain devient par contre très souhaitable dans d'autres cas, lorsqu'il s'agit par exemple d'une attaque de défoliateur dans un peuplement adulte . Un examen attentif des facteurs antagonistes, capables de réduire naturellement la gradation des populations du ravageur et une appréciation de l'intensité de la défoliation que peut supporter passagèrement le peuplement au prix d'une perte d'accroissement oblige à une évaluation des risques respectifs faite conjointement par le pathologiste et le forestier. En dernier ressort, c'est au forestier ainsi renseigné sur les potentialités du prédateur qu'il appartient de décider s'il doit intervenir ou accepter les conditions passagères d'affaiblis- sement du peuplement concerné.

Il n'est pas rare que cette concertation conduise à renoncer raisonnablement à un traitement : des attaques de Bombyx (Lymantria dispar), de Lophyre (Diprion pinis), de Tordeuses (Tortrix viridana et Zeiraphera diniana), de Processionnaire du Pin (Thaumetopoea pityocampa) en ont souvent apporté l'exemple.

A contrario, il n'est pas rare aussi que, faute d'une telle concertation, on ait à déplorer des traitements inutiles entrepris à la seule initiative du forestier cédant à la tentation de mise en oeuvre de traitements spectaculaires, mais illusoires.

COMMENT AMÉLIORER LES STRUCTURES MISES EN PLACE EN 1973 ?

Les exemples qui viennent d'être cités montrent que l'organisation existante ne peut répondre parfaite- ment à toutes les situations ; force est donc de l'améliorer mais l'intérêt est de la maintenir, faute de quoi le fruit de réflexes acquis par une longue campagne de sensibilisation des forestiers serait vite perdu . Il n'en reste pas moins qu'elle doit être confortée aux trois niveaux de l'intervention, celui de l'observation, du diagnostic et surtout du remède.

Comment y parvenir ?

. Par le développement de recherches offrant aux praticiens des possibilités d'intervention plus nombreuses

Il suffit de parcourir les fiches techniques illustrées du C .E .M .A.G .R .E .F. pour mesurer le chemin qui reste à parcourir . Pour de nombreux ennemis de la forêt, on dispose souvent d'études précises sur la biologie de l'agresseur, préalable indispensable bien sûr pour le combattre, mais le choix des moyens offerts est souvent étroit et se limite alors à conseiller au forestier de bonnes règles de sylviculture et d'hygiène des peuplements . C'est important, certes, pour prévenir la contagion, mais il est des situations où ce n'est pas suffisant pour l'endiguer.

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En dépit des progrès faits dans la connaissance du comportement biologique de quelques ennemis de la forêt, l'écosystème forestier abrite une multitude d'organismes vivants, aux inter-relations diversifiées, et bien souvent, le savoir » offert aux praticiens sur la biologie de quelques-uns d'entre eux ne suffit pas pour autant pour passer au savoir-faire ».

Cette indigence se rencontre tout particulièrement lorsque la cause <, présumée » de l'affaiblissement de l'arbre est d'ordre physiologique, mais elle n'est pas rare aussi dans d'autres domaines où la recherche a été pourtant plus active . Un exemple récent illustre aussi cette situation, celui du dépérissement des forêts imputé aux pluies acides qui ne permet pas d'apporter au forestier des réponses convaincantes.

Est-il besoin d'ajouter que, pour décider de l'opportunité d'un traitement micro-biologique onéreux, disposer de recherches très fines sur la biologie ou la dynamique d'un agent biotique ne suffit pas pour autant, si parallèlement n'ont pas été conduits des travaux sur l'estimation économique des dégâts causés au peuplement forestier par cet agent . Or, cette double préoccupation, qui relève de chercheurs de qualifications différentes, est rarement retenue.

D'où l'attitude prudente retenue en 1973, qu'un représentant de la Direction des Forêts exprimait en ces termes :

« Il ne saurait être question de définir aujourd'hui les structures d'un véritable service de surveillance et de protection . »

Qu'en est-il aujourd'hui ? En dépit des résultats acquis au cours de cette décennie, bon nombre de secteurs de recherche qui intéressent le forestier ne sont pas couverts ou sont parvenus à un niveau qui n'autorise pas à s'écarter des principes qui sous-tendent l'organisation en place.

En matière forestière, la tâche des chercheurs est difficile en raison de la diversité et de la complexité des problèmes . Elle nécessite probablement des moyens beaucoup plus larges avec la prise en considération du souhait des forestiers d'intensifier les recherches pouvant élargir les moyens de lutte directe contre les déprédateurs les plus dommageables à la forêt du XX e siècle.

. Par une intensification de l'équipe spécialisée, nécessaire aux forestiers pour passer du < savoir » au savoir-faire »

Pour passer de la recherche à son application, il y a un art particulier à la forêt qui a inspiré les dispositions prises en 1973 et il n'est pas inutile d'en rappeler le principe fondamental mis en exergue dans l'introduction des cahiers de fiches techniques illustrées diffusés par le C .E.M .A.G .R .E .F . en 1973 :

« La complexité du milieu forestier ne permet pas l'énoncé des règles directement applicables par le gestionnaire ; une analyse préalable du contexte forestier et un examen des conséquences de l'interven- tion selon un mode de pensée particulier à la sylviculture président obligatoirement à toute intervention de lutte intégrée en forêt ».

Sans rejoindre complètement certains écologistes partisans d'une surveillance phytosanitaire statique, se réclamant en toutes circonstances des facteurs naturels de régulation des ravageurs et écartant systématiquement toutes interventions dont on ne maîtriserait pas complètement le savoir-faire, il est utopique, quand bien même on disposerait demain de moyens de lutte directe plus nombreux, de songer à passer à une étape supérieure de la protection phytosanitaire en forêt par la généralisation de traitements répétitifs . Dans des cas bien particuliers, l'intervention s'impose à l'évidence, cas des jeunes boisements créés artificiellement et menacés de disparaître, par exemple face à la pullulation d'un ravageur . Devant la nature du risque, il n'est souvent pas d'autres alternatives que le traitement chimique ou micro-biologique pour sauver la plantation d'une mort certaine, et au demeurant, la préoccupation de ne pas porter atteinte aux équilibres biologiques ne revêt pas la même importance que dans une forêt âgée . La même attitude se justifie aussi à l'égard de peupleraies ou de cultures accélérées d'arbres, noyers, merisiers, eucalyptus, etc.

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A l'inverse, dans un peuplement forestier âgé où l'ennemi n'est parfois responsable que de pertes temporaires d'accroissement, les facteurs naturels de régulation, voire l'application plus rigoureuse de règles de sylviculture, peuvent résoudre une situation temporairement compromise . La concertation d'un spécialiste des problèmes phytosanitaires et du forestier gestionnaire devient alors nécessaire pour un examen attentif avant d'engager éventuellement l'intervention susceptible de limiter les dégâts à un niveau tolérable.

Des progrès considérables ont été accomplis depuis 1973 pour assurer une meilleure protection sanitaire des forêts françaises . Le passage très souhaitable à un niveau supérieur d'efficacité exige une volonté affirmée et soutenue de donner à la recherche des moyens plus importants, en particulier pour développer les techniques de lutte contre les prédateurs essentiels, et de mettre en place une organisation pérenne avec les outils indispensables pour assurer plus largement le transfert des connaissances nouvelles, développer des structures de surveillance, pouvoir intervenir, et, ainsi mieux protéger et défendre la forêt .

M .000TROT

Ingénieur en Chef du G.R .E .F.

CENTRE NATIONAL DU MACHINISME AGRICOLE DU GÉNIE RURAL, DES EAUX ET DES FORETS

Groupement de Grenoble Division Protection de la Nature Domaine Universitaire - B .P. 76 38402 SAINT-MARTIN-D'HERES

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