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Com ment in ves tir après la BCE

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Com ment in ves tir après la BCE

24 janvier 2015 07:00 Jennifer Nille

L’an nonce du pro gramme d’achats de la Banque cen trale eu ro péenne change la donne sur les mar chés. Cer tains ac tifs se voient dotés de pers pec tives plus at trayantes. D’autres, au contraire, sont à évi ter. Voici com ment in ves tir après l’an nonce du QE eu ro péen.

Obli ga tions

Cap sur le Por tu gal

À par tir de mars et jus qu’en sep tembre 2016 au moins, la Banque cen trale eu ro péenne va ache ter des obli ga tions des États de la zone euro. Les dé ten teurs de tels titres de vraient donc bé né fi cier de la hausse de leur cours. Pour Alexandre De Groote, ad mi nis tra teur dé lé gué de Pe ter cam Ins ti tu tio nal Bonds, les obli ga tions des pays les plus en det tés de la zone euro sont celles qui de vraient pro fi ter le plus de cette re mon tée des cours obli ga taires. "On s’at tend à ce que l’écart de ren de ment entre les obli ga tions des pays pé ri phé riques et celles de l’Al le magne di mi nue en core", ex plique-t-il. L’an nonce de l’EAPP ("ex - ten ded asset pur chase pro gramme", soit le pro gramme d’achats d’ac tifs étendu de la BCE) a déjà contri - bué à une forte dé tente des taux d’in té rêt jeudi et ven dredi. Par exemple, le taux des obli ga tions à dix ans de l’Ita lie et de l’Es pagne s’est contracté de plus de 0,15 point de pour cen tage en deux jours. Plus les taux des obli ga tions di mi nuent, plus leur cours pro gresse. Les in ves tis seurs en pos ses sion de ces titres ont donc déjà en re gis tré un gain. Mais cela de vrait conti nuer. "Les États pé ri phé riques paient les ren de ­ ments les plus éle vés", rap pelle Alexandre De Groote. "C’est là qu’il y a le po ten tiel de baisse de taux le plus élevé. Par consé quent, s’il y a des achats à faire, c’est sur la dette des pays pé ri phé riques." Mais on évi tera la dette grecque: il n’est pas cer tain qu’elle sera éli gible pour les achats de la BCE et le pays pré - sente un risque élevé. Par contre, la dette por tu gaise semble être une bonne af faire, selon Alexandre De Groote. "Parmi les pé ri phé riques, hors Grèce, c’est le pays qui paie le mieux", sou ligne-t-il. "Il est plus lent que l’Es pagne dans les ré formes éco no miques, mais il par vient à suivre. Il y a un an, le taux por ­ tu gais à dix ans était en core à 5,25%. Il est à pré sent à 2,4%. Il a donc été di visé par plus de deux. Et je crois qu’il y a en core du po ten tiel." Les achats de dette gou ver ne men tale par la BCE sont-ils sus cep - tibles d’in fluen cer aussi les obli ga tions d’en tre prises? "Il est un peu tard pour ache ter du pa pier sans risque, où les taux ont déjà bien di mi nué", ex plique Raphaël Gold was ser, de la so ciété Gold was ser Ex - change. "Dans les obli ga tions à haut ren de ment, par contre, c’est un bon mo ment pour en trer, pour ceux qui peuvent in ves tir dans ce type d’ac tifs." Ph.G.

Im mo bi lier

Le re tour du "rem part" et des taux en core plus bas

En toute lo gique, l’im mo bi lier de vrait sor tir ga gnant du "Quan ti ta tive Ea sing" eu ro péen, et ce pour une pre mière rai son bien simple: le re tour de l’in fla tion (l’ob jec tif de la BCE) fera aug men ter les prix no mi - naux des biens, ce qui per met tra aux pro prié taires d’en re gis trer à nou veau des plus­va lues "mé ca ­ niques" (en plus de celles qui ré sul te ront, éven tuel le ment, d’une sous-offre sur le mar ché).

Si ces plus-va lues sont nulles en termes réels, il faut gar der à l’es prit qu’une grande ma jo rité des em - prun teurs optent pour une for mule de cré dit à taux fixe. Or ils ne rem bour se ront pas da van tage à leur ban quier si les prix des mai sons grimpent.

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C’est d’au tant plus vrai qu’en Bel gique, les loyers sont au to ma ti que ment in dexés pour tenir compte de l’in fla tion. Chaque année, les pro prié taires per çoivent donc des loyers un peu plus éle vés alors que leurs charges de rem bour se ment men suelles res tent, elles, iden tiques.

C’est le fa meux "rem part contre l’in fla tion" dont on pare la brique, même si l’ex pé rience montre que les prix réels peuvent aussi bais ser en cas de forte in fla tion car les taux sont alors eux aussi très éle vés (ce fut le cas en Bel gique à la fin des an nées 1970 et au début des an nées 1980) et font fuir les in ves tis seurs, qui pré fèrent la tran quillité de pla ce ments sans risque comme un car net d’épargne, au ren de ment équi - valent.

Les taux, jus te ment, sont le troi sième biais, et peut-être le plus im por tant d’ailleurs, par le quel l’im mo - bi lier de vrait sor tir ga gnant de la nou velle po li tique de la Banque cen trale eu ro péenne, qui ne vise pas que la baisse de l’euro et le re tour d’une in fla tion mo dé rée, mais aussi un cré dit une fois de plus fa ci lité.

Les taux, déjà ex trê me ment bas, se re trou ve ront donc à nou veau sous pres sion et fe ront en core bais ­ ser les cré dits hy po thé caires.

De quoi rendre le cré dit im mo bi lier en core moins cher et donc aug men ter la force de frappe des ache - teurs, ce qui doit né ces sai re ment se tra duire par une hausse de prix sur le mar ché, toutes choses res tant égales par ailleurs.

Sur le ter rain, on confirme la forte de mande pour les pe tites mai sons de rap port de puis quelques an - nées. Une ten dance qui de vrait a priori se confir mer. J.­Y.K.

De vises

Un euro tou jours plus bas

L’euro a tou ché un plan cher face au dol lar ce ven dredi, à 1,13 USD après la dé ci sion de la BCE jeudi. Il faut re mon ter à 2003 pour trou ver un pa reil ni veau. Comme le sou ligne Koen Maes, res pon sable de la stra té gie chez Can driam, la de vise eu ro péenne a glissé de 1,40 à 1,13 USD en l’es pace de six mois. "Je ne vois aucun pro blème à ce que l’euro touche ra pi de ment la pa rité face au dol lar", com mente-t-il. "Ce n’est pas notre scé na rio de base, mais il faut consta ter une vraie ten dance sur la mon naie. L’ac tion de la Banque cen trale eu ro péenne va ap puyer cette ten dance", ajoute-t-il. Ste phen Jen, fon da teur du hedge funds SJP Macro Part ners, es time aussi que l’euro peut conti nuer à bais ser face au dol lar, mais aussi les autres de vises. "Lorsque la Ré serve Fé dé rale amé ri caine a dé ployé ses mul tiples quan ti ta tive ea sing et lorsque la Banque du Japon a lancé ses deux quan ti ta tive ea sing, les de vises de ces pays ont baissé par rap port aux autres. Mais l’euro risque aussi de subir un nou veau tour de pres sion avec un ren for ce ment du dol lar. Car la Fed doit dé sor mais com po ser avec une éco no mie amé ri caine qui tourne bien et s’ap prête à res ser rer ses taux d’in té rêt", in dique-t-il. "Jus qu’à pré sent, l’ac cent sur le mar ché des changes se fo ca lise sur l’euro. Mais il de vrait bas cu ler sur le dol lar. La Fed sera la pro ­ chaine banque cen trale à sus ci ter de l’émoi sur les mar chés", ajoute-t-il.

Mo ha med El-Erian, éco no miste en chef chez Al lianz, pré vient tou te fois des consé quences in at ten dues d’un euro faible. "His to ri que ment, les grands mou ve ments sur le mar ché des changes ont ten dance à cas ser la sta bi lité. On a vu la se maine der nière l’im pact de l’ap pré cia tion du franc suisse face à l’euro.

Les banques cen trales ca na dienne, da noise et in dienne ont dû abais ser leur taux d’in té rêt pour s’épar ­ gner des ef fets col la té raux d’une telle pro gres sion", écrit-il.

Mais Ste phen Jen re lève, lui, que la ré ac tion du franc suisse, puis la di mi nu tion du taux d’in té rêt da nois, s’ex plique sur tout par une vo lonté de la Suisse et du Da ne mark de pré ve nir les ef fets de la dé pré cia tion de l’euro.

Koen Maes es time ce pen dant que toutes les banques cen trales sont confron tées au pro blème de dé fla - tion, ce qui les conduit à abais ser leur taux d’in té rêt. "Le geste des autres banques cen trales n’est pas for cé ment lié à l’ac tion de la BCE", sou ligne-t-il.

Il ajoute que les in ves tis seurs cherchent sur tout à sor tir de l’euro pour in ves tir dans une autre de vise, à taux plus élevé. Et cette de vise, c’est le dol lar amé ri cain. J.N.

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Or

A titre de pré cau tion

Les cours de l’or en euros ont bondi de 17% de puis le début de l’an née. L’once d’or a at teint ce ven dredi 1145 euros. "Les gens croient que l’ac tion de la Banque Cen trale eu ro péenne va se ré per cu ter po si ti ve ­ ment sur l’in fla tion dans la zone euro. De plus, les taux réels de viennent né ga tifs. Cela ne coûte rien d dé te nir de l’or", sou ligne Koen Maes, res pon sable de la stra té gie chez Can driam. "Et la hausse du dol lar face à l’euro joue à fond pour la re mon tée des cours de l’or", ajoute-t-il.

Chez ING, Luc Char lier, in vest ment spe cia list, sou ligne que le thème de l’or comme de vise plus so lide que les autres mon naies re vient sur le de vant de la scène. "La po li tique mo né taire des banques cen ­ trales a eu d’énormes ré per cus sions sur le mar ché des changes, et pas seule ment sur l’euro", re lève-t-il.

"La po li tique menée par la BCE ap porte beau coup de doutes sur la qua lité in trin sèque de l’euro. Ceci donne un in ci tant sup plé men taire à dé te nir des ac tifs réels. Dans cette pé riode où la de vise est mal me ­ née, l’or re trouve du lustre. Mais il faut consta ter que l’or en dol lar n’a pas at teint le ni veau que l’or en euro ou en yen", ajoute-t-il.

Mais Koen Maes et Luc Char lier ne se montrent pas po si tifs pour l’or sur le long terme.

"Son rôle pri mor dial est de pro té ger de l’in fla tion. Or, hor mis aux Etats­Unis, les pays oc ci den taux se trouvent au bord de la dé fla tion. Alors, le cri tère de l’in fla tion ne joue pas pour ache ter de l’or", re lève Luc Char lier. "La pro gres sion des cours de l’or s’ex plique sur tout par les craintes de dé pré cia tion des mon naies. On a vu que même le franc suisse, qui est consi déré comme une de vise sûre, ne joue plus son rôle, de puis que la BNS a mon tré son in ca pa cité à dé fendre sa mon naie et a ca pi tulé", ajoute-t-il. "Ceci fait re pen ser au tre ment l’al lo ca tion d’ac tifs", pré cise-t-il. J.N.

Ac tions

Place à la prise de risque

La dé ci sion de la BCE d’ache ter des em prunts pu blics va sou te nir les ac tifs à risque, sou ligne Mo ha med El-Erian, éco no miste en chef d’Al lianz. San dra Van ders mis sen, spé cia liste en ac tions chez BNP Pa ri bas For tis, re lève que les mar chés d’ac tions ta blaient déjà sur une telle dé ci sion de puis quelques se maines.

"Ce flux de li qui di tés est po si tif pour les ac tions eu ro péennes", note-t-elle.

Quelles ac tions vont pro fi ter de ce quan ti ta tive ea sing? Youri Huy gen, ana lyste chez l’In ves tis seur, sou - ligne que tous les sec teurs pro fitent de ce quan ti ta tive ea sing. "Il fau drait plu tôt trou ver celui qui n’en pro fite pas. N’im porte quel sec teur grimpe, sauf celui de l’éner gie", pointe-t-il. "On constate que beau ­ coup de fonds de pri vate equity par viennent à lever du ca pi tal fa ci le ment pour ra che ter des so cié tés.

Et au jour d’hui, on a as sisté au ra chat de Te le fo nica par Hunt chin son Wam poa pour un mon tant im ­ por tant. Même les groupes su per en det tés par viennent à lever du ca pi tal à faibles coûts", re lève-t-il.

Selon lui, ce sont les sec teurs les plus frag men tés qui peuvent bé né fi cier de cette dy na mique de fu sions et ac qui si tions am biante, por tée par les très faibles taux d’in té rêt en Eu rope. Les té lé coms et les soins de santé sont selon lui les sec teurs les plus su jets à des fu sions.

San dra Van ders mis sen mise, elle, sur les so cié tés dont les coûts sont gé né rés en euros, mais dont les bé - né fices sont re ti rés en dol lars. "C’est le cas d’Air bus, par exemple". Les va leurs cy cliques, liées à la consom ma tion, fi gurent aussi parmi les so cié tés qui peuvent tirer pro fit du quan ti ta tive ea sing selon elle. Elle cite no tam ment le construc teur au to mo bile Volks wa gen. "Même des groupes de mé dias peuvent tirer leur épingle du jeu. Si les gens dis posent de plus de pou voir d’achat, no tam ment grâce à la baisse des cours du pé trole, ils consom me ront plus. Les groupes de pu bli cité peuvent en bé né fi cier", sou ligne l’ana lyste. "Le flux de li qui di tés de la CE va aider au dé mar rage de l’éco no mie de la zone euro.

Des so cié tés d’in té rim, comme Rans tad, sont bien pla cées pour en pro fi ter. Car lorsque l’éco no mie re ­ part, les en tre prises uti lisent plus de per son nel. Mais dans un monde plus vo la til, ce genre de tra vail a da van tage de place qu’au pa ra vant", in dique-t-elle.

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Mais elle ajoute qu’il est dif fi cile de trou ver des so cié tés qui vont pro fi ter vrai ment du quan ti ta tive ea - sing de la BCE. "Beau coup de so cié tés eu ro péennes ont dé ployé leurs ac tifs par tout dans le monde", re - lève-t-elle.

San dra Van ders mis sen es time que le sec teur ban caire eu ro péen peut lui aussi pro fi ter du quan ti ta tive ea sing de la BCE. "Mais il faut être sé lec tif. Les banques vont moins payer sur le li vret d’épargne et vont pou voir consen tir à plus d’em prunts. Tou te fois, quelques défis se posent pour le sec teur, à com ­ men cer par les élec tions en Grèce. Et puis, le dé clin des ma tières pre mières comme le pé trole et le cuivre peut avoir un im pact sur le book de tra ding des banques. Nous jouons ING et KBC, sans ou blier KBC An cora, qui pré sente une dé cote par rap port à KBC", note l’ana lyste.

Youri Huy gen pointe aussi les so cié tés im mo bi lières co tées. "Il est lo gique de voir ces so cié tés pro fi ter de la baisse conti nue des taux d’in té rêt. Une so ciété comme We reld have a un taux d’in té rêt sur sa dette de 1,7%. Quand on em prunte à un taux si bas, il n’est pas dif fi cile de dé ga ger des bé né fices", sou ligne-t- il.

En re vanche, le sec teur de l’éner gie n’a pas la fa veur des ana lystes. Il n’est d’ailleurs pas en forme. J.N.

Comptes d'épargne

Les taux bais se ront en core

Pour les li vrets d’épargne, ce n’est pas tel le ment les achats d’ac tifs de la Banque cen trale eu ro péenne qui au ront un effet, mais plu tôt la ré duc tion du taux des TLTRO, les opé ra tions ci blées de re fi nan ce ment à plus long terme. Ces prêts, des ti nés aux banques à la condi tion que celles-ci oc troient en re tour des cré - dits aux en tre prises et aux par ti cu liers, sont as sor tis d’un taux d’in té rêt lié au prin ci pal taux di rec teur de la zone euro. Jus qu’à pré sent, le taux des TLTRO était fixé à 10 points de base de plus que le taux de re - fi nan ce ment de la BCE, le quel se situe à 0,05%. Les banques ont donc accès à ces prêts à un taux de 0,15%. Mais jeudi, Mario Dra ghi, le pré sident de la BCE, a an noncé que le sur plus de 10 points de base se rait dé sor mais aban donné. Cela fait par tie des me sures d’as sou plis se ment pour lut ter contre la dé fla - tion. Les banques pour ront donc em prun ter dans le cadre des TLTRO à 0,05%. "Cela aura un im pact sur les comptes d’épargne", ana lyse An thony Baert, éco no miste chez ING Bel gique. "Via les TLTRO, les banques peuvent se re fi nan cer jus qu’en 2018. Le taux revu à la baisse se tra duira par une di mi nu tion des coûts de fi nan ce ment des banques, ce qui de vrait par consé quent af fec ter les taux sur les mar ­ chés." En effet, si les banques dis posent d’ar gent à coût ré duit au près de la BCE, elles ju ge ront qu’elles n’ont pas à conti nuer à payer cher pour se fi nan cer au près des épar gnants. Com bien de temps fau dra-t- il pour que cette me sure af fecte les ren de ments des li vrets? "Cela peut aller très vite", es time An thony Baert. "Cer taines banques ont en core ré duit leurs taux d’in té rêts au cours des der niers mois. Tout dé ­ pend de l’ins ti tu tion fi nan cière: cer taines peuvent être très ré ac tives; d’autres peuvent ré sis ter

quelques mois." De quoi en cou ra ger la prise de risque pour trou ver du ren de ment, ce qui consti tue aussi un ob jec tif de la banque cen trale. Ph.G.

[Sui vez Phi lippe Gal loy sur Twit ter en cli quant ici]

[Sui vez Jen ni fer Nille sur Twit ter en cli quant ici]

Source: L'Echo Publicité

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