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Marcel GUILLAUME. Projet d'amélioration de l'alimentation en eau potable de la commune de DABO (Moselle) et de ses annexes.

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de DABO (Moselle) et de ses annexes.

22 Octobre 1952

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n

n

18- Localités à desservir et Quantité.

La population à alimenter comprend les localités de DABO, SCHAEFERHOF, LA HOUBE, KELLERT, et dans un avenir rapproché, également les hameaux de ROTHRNBU1IL et du GRAND BALLERSTEIN.

1936 1952

DABO I454 habitants 1387 habitants + 500 saisonniers LA HOUBE 408 " 392 n + 450 "

11ELLERT 378 " 373 " + 100 BALLER3TEI1Í. (100) " (100) " / ROTHEHBUHL.. (75) " (75) " / SCHAEFERHOF. 655 " 693 " + 100

3O7O habitants 3020 habitants + 1150 saisonniers Soit une population de 3020 habitants à laquelle vient se greffer durant les mois d'été une population saisonnière de 1150 personnes environ.

Les besoins en eau potable sont estimés au total à 800 m$ / jour à répartir de la façon suivante entre les différentes lo- calités :

DABO (Ord.BALLERoTEIN, ROTHENBDHL) 400 m 3 / jour LA HOUBE 150 "

KELLERT ICO "

3CHAEF3RHQÏ 150

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Ces chiffres tiennent compte de la population saisonnière amenée à séjourner dans la région durant la belle saison.

Situation actuelle de l'alimentation en eau potable.

Deux sources sont actuellement utilisées pour l'alimentation en eau potable.

L'une des sources de la MOSSIG d'une part dont les eaux sont dirigées par gravité sur DABQ, LA HOUBE et KELLERT et d'autre part la source dite de "HORENZMATT" qui alimente ordinairement la mai- son forestière de HORENZMATT mais qui provisoirement est utilisée par la localité de SCHAEFERHOF en l'absence d'autres ressources en eau potable (3CHAEFEHHOF en temps ordinaire utilisait une source émergeant à la» cote }G0 aux pieds du SICKSpTKOPF dans la vallée du KLEIRTxiAL, les eaux étaient amenées par gravité dans une con- duite de 70 mm de diamètre, mais par suite de la détérioration de cette canalisation toute l'eau se perd en cours de route et l'ins- tallation demeure entièrement à refaire).

Le hameau du GRAIïD BALLEBSTEIN, perché au sommet du GRAND BALLSRSTEIN, dispose de quelques sources insignifiantes sommaire- ment captées dans des formations superficie-Iles dont les eaux sont plus que douteuses.

ROTHENBUHL est alimenté de même par quelques sources de ver- sant peu importantes qui tarissent plus ou moins durant l'été.

Les sources de la MOSSIO et de HOREHZMATT dont le débit suf- firait à combler les besoins en dehors de la période d'étiage

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(Juin-Jui11et-Août-Septembre) sont, ainsi que la grande majorité des sources du même type de la région, sujettes à d'assez gran- des fluctuations saisonnières, c'est ainsi que durant cette pé- riode :

a) La source de la UO3SIG voit son débit s'abaisser jusqu'à 3,8 1/seconde , soit 328 m3/jour (mesuré aux automnes 1933» 1947 et 1949) ce qui correspond à peine à la moitié du débit néces- saire à DABO, HELLEM1 et LA HO'JBE (65O m3/jour) à cette époque de l'année.

b) La source de HQ3EKZLATT a un débit d'étiage de 0,34 1/seconde

= 30 m3/jour (mesuré le }0 Août 1949) alors que le débit néces- saire pour öCiLftEiTKRHOF serait de l'ordre de 150 mvjour.

c) De même la source du ÜICKERTKQPF a un débit pouvant tomber au voisinage de 1 litre/seconde = 86 m3/jour (Août 1952) ce qui est encore insuffisant pour SCIÎAEFERHOF.

Pour remédier à cet état de fait il est envisagé de créer un ou plusieurs appoints d'eau supplémentaires destinés durant la période d'étiage à combler le déficit de 350 m3/jour environ pour DABO, HELLERT et LA HOUBE - 100 à 120 m3/jour pour 5CHAE- FEHHOF.

En ce qui concerne ÜAB0, HELLERT et LA HCÜBE cet apport supplémentaire pourrait éventuellement être recherché dans le captage de la source de SCHNEEMATT, source voisine de la source

de la M0S3IG mais en contrebas de 70 m environ et distante de 400 m à vol d'oiseau.

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Le débit d'étiage serait sensiblement égal à celui de la source actuellement utilisée et le captage n'offrirait pas de difficultés spéciales la source émergeant au pied du versant directement des assises inférieures du Grès Vosgien (à 220 m environ sous le

Grand Conglomérat). Néanmoins, outre les difficultés résultant de la situation en contrebas de cette source (70 m environ) et de la nécessité de refouler l'eau dans le réservoir existant sans disposer de source d'énergie électrique à proximité, l'at- tention est attirée sur le fait que cette solution s'avère encore très précaire et fournirait au plus juste le débit actuellement recherché 650 m3/jour sans garantir l'éventualité où les besoins en eau potable de DABO, LA HOUBE et HELLEHT viendraient à s'ac- croitre encore en période d'étiage.

Il iif existe par ailleurs pas d'autres sources suffisantes dont on puisse envisager le captage en vue d'alimenter DABO directement. y

La plus importante, à proximité immédiate de DABO, appelée KMTZEIBBUIÎNEN , fournirait un débit d'étiage intéressant 2,5 à 3 1/seconde environ. Située au fond d'un vallon secondaire de la vallée du KLEINTHAL, à 300 m environ à vol d'oiseau du clo- cher de DABO, en direction Nord-Est elle émerge à la cote + 425 environ des assises moyennes du Grès Vosgien à 130 - 140 m en dessous du Grand-Conglomérat. Malheureusement l'utilisation de cette source, à elle seule encore insuffisante, ne peut-être que fortement déconseillée pour une question de sécurité bactériolo- gique des eaux.

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Elle se trouve en effet à l'aplomb des habitations de DABO et du déversement des eaux d'égout en contrebas de 25 m seulement, ce qui, vu l'importance en cet endroit des risques de contamination ne constitue pas une marge de sécurité suffisante.

RECHERCHE D'EAU P A R FORAGE.

La solution proposée dans la présente étude consiste en

ce qui concerne DABO - HELLERT - LA HOUBE à assurer par un forage convenablement emplacé dans la réserve aquifère, profonde, du Grès Vosgien, une alimentation autonome de DABO basée sur un débit de 40 m^/lo. soit 400 m^/jour. Cette solution adoptée en période d'étiage permettrait de réserver la source de la MOSSIG uniquement pour l'alimentation de LA HOUBE et HELLERT. Elle pour-

rait même être adoptée de façon permanente en cas de déficience de la conduite d'amenée actuelle.

En ce qui concerne SCHAEFERHOF, une solution du même type que pour DALBO est envisagée avec un forage à proximité de la localité assurant un débit de 150 m3/jour (15 à 20 m3/h)

Conditions géologiques et hydrogéologiques de la région.

Le sous-sol de la région est entièrement constitué par le Grès Vosgien. Cette formation dont la puissance est ici voisine de 300 m est essentiellement constituée par des Grès siliceux en bancs épais, à stratification fortement entrecroisée.

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Sur cette masse de grès reposent les assises dures et résis- tantes du Grand Conglomérat renfermant en abondance des galets roulés de quartz et de quartzites, puissantes d'environ 20 m , et dont quelques lambeaux respectés par l'érosion forment le couron- nement du SCHL033BERG (rocher de DABO) du SIChERTAOFF, du HOCHKOPF du LAMGHAEDTKOFF et du GRAHD BALLERSTEIN.

Grâce à ce repère stratigraphique dans la masse par ailleurs assez uniforme de ces grès rouges, il est possible de déterminer le plongement d'ensemble des assises, assez accusé (de l'ordre de 60 m par km) et dirigé vers le Bord-Ouest.

La formation du Grès Vosgien est essentiellement perméable, cette perméabilité tient à la nature même de la roche, souvent poreuse, parfois sableuse, et surtout à l'existence de nombreuses fissures soit dans le sens vertical (diaclases et failles) soit dans le sens horizontal (joints de stratification). Une partie des eaux atmosphériques arrivant à la surface des grès parvient ainsi à pénétrer facilement dans la masse par infiltration. Ces eaux se rassemblent en profondeur où elles occupent tous les in- terstices libres de la roche et censtituent utie nappe aquifère profonde, dont le trop plein s'épanche en sources plus ou moins nombreuses et abondantes, situées dans le fond des vallées les plus profondes de la région. C'est à ce type de sources qu'appartien- nent les sources de la région de DABO. Ces écoulement par les

sources règle la position de la surface hydrostatique, ou surface au-dessous de laquelle l'eau reste pratiquement immobile.

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Les points bas de la surface hydrostatique coïncident ainsi avec le fond des vallées les plus profondément entaillées, ses parties hautes reproduisent, en les atténuant fortement, les iné- galités du relief et se tiennent parfois à une certaine distance au-dessous du thalweg des vallées moins profondes (vallées sèches),

Toutefois la totalité des eaux d'infiltration n'atteint pas ce bassin aquifère profond. Des lits argileux intercalés ou des bancs moins fracturés offrent un obstacle, au moins partiel, à la descente de l*eau et provoquent la formation de sources à diverses hauteurs sur les versants particulièrement dans la partie infé-

rieure du Grès Vosgien (130 m sous le Grand Conglomérat) où des niveaux argileux sont plus développés que dans la partie supé-

1

ri eure.

Dans la région de DABO, les versants sont principalement

j

ouverts dans la partie supérieure du Grès Vosgien peu argileuse

¡

et bien fissurée, ce qui explique que de telles sources sont assez rares.

Par contre, dans le bassin aquifère profond lui-iàêrae, la présent de telles assises peut maintenir, par un jeu complexe de pertes de charges, une certaine indépendance entre les dif- férents niveaux de cette nappe.

Dans certains cas, la pression augmente avec la profondeur, lorsque les bancs successivement rencontrés au cours de l'appro- fondissement affleurent à des altitudes de plus en plus élevées.

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Dans d'autres cas, si ces affleurements sont à des cotes de plus en plus basses, c'est l'inverse qui peut se produire.

Dans ce dernier cas cependant, la distance entre ces affleure- ments moins élevés et le forage peut compenser dans une certaine mesure la baisse de pression hydrostatique résultant d'une telle disposition des assises.

Emplacements de forage.

DABO

On peut proposer, pour l'exécution du forage de D A B Q , les deux emplacements suivants, reportés sur la carte au 1/20.000 ci-jointe.

Emplacement I

SCKSLhiSKECK, dans la vallée du MUHLTHAL, un peu à l'aval du rac- cordement du vallon de ZIÍ/JVÍERI'ELD, en rive gauche du MUHLTHAL, et en contrehaut de 4 à 5 m du fond du thalweg.

Plate-forme de sondage à aménager par quelques travaux de terrassement.

L'orifice du sondage se trouverait au voisinage de la cote + j59û en bordure Nord d'un sentier forestier montant sur DABO par le vallon de ZIiaiEHFEIJD.

Coupe géologique - profondeur.

Le forage sera entièrement ouvert dans la division inférieure du Grès Vosgien, le point de départ se trouvant approximativement à 170 mètres en-dessous du Grand Conglomérat.

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La profondeur à prévoir pour -'utilisation, complète des ressources de la formation, et l'obtention des meilleures condi- tions de débit est de 100 m. environ.

Eventuellement, le forage pourrait être arrêté plus tôt suivant les résultats d'essais à effectuer vers 50 et 80 mètres de profondeur.

Cependant cette éventualité est ici peu probable, étant données les conditions a priori moins favorables de la division inférieure du Grès Vosgien plus riche en bancs argileux que la division supérieure.

Hiveau piézomëtrique - Conditions de débit.

Le niveau piézométrique dans le forage doit être attendu ici entre les cotes 38O et 385 soit entre 5 et 10 mètres de l'orifice.

Il est peu vraisemblable que ce niveau se relève beaucoup en cours d'approfondissement, tout au moins jusqu'à la profon- deur de 50 ou 60 mètres.

Au-dessous de 60 mètres de l'orifice du forage, les assises intéressées n'ont pas de zones d'affleurement plus à l'aval dans les vallées environnantes mais affleurent par contre largement à fond de vallée (plus à l'Est dans la vallée du HOSLSTHAL) à des cotes plus' élevées que l'orifice du forage.

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Cependant, compte tenu de 1 ' éloignement des affleurements (3 km environ à vol d'oiseau) et des pertes de charges importantes inhérentes à la nature même du Grès Vosgien inférieur, il est peu probable que cette influence se fasse encore sentir sensible ment par xaa. relèvement du niveau piézométrique dans le foragjs, à l'emplacement proposé.

On doit s'attendre à obtenir le débit recherché (40 m3/h) avec une dénivellation de pompage de 40 mètres environ, ce qui situerait le plan d'eau en cours d'exploitation entre les cotes 340 et 345. Il a1 est pas impossible néanmoins que dans un cas favorable ce débit soit obtenu avec une dénivellation moindre, de l'ordre de 20 à 30 m par exemple mais la probabilité reste faible en regard des circonstances locales existantes et compa- rativement à ce que l'on sait déjà sur les ressources aquifères des assises inférieures du Grès Vosgien dans la région (forage de SOUCHT, Moselle, 1952 - forages de la région de BITCHE par exemple).

Données concernant l'exécution.

0 - 8 m forage en 650 mm; tubage en 550, rivé, 5 rnm. avec gaine de ciment pour l'élimination des eaux super- ficielles et la stabilité de la tête du forage.

8 - 100 m forage en 5^5 ^ '* cette partie du forage ne serait en principe pas tubée, le grès offrant une stabilité suffisante.

Essais de pompage de 72 h , aspiration h. )0 m. du fond

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ment à la cuillère avec observation de la courbe de remontée aux profondeurs de 40 , 60 et 80 m .

Emplacement II

Sous HOvYEG , à la jonction des vallons du KLEINTHAL et du H0H- 7YECKTHAL, en contrehaut de 4 m environ du fond du thalweg, au

Sud du point coté 377 de la carte au 1/20.000 soit à la cote 381 environ.

Ce qui a été dit pour 1'emplacement I reste valable éga- lement pour cet emplacement qui se présente dans des conditions analogues, légèrement moins favorables cependant.

Le niveau piézoraétrique peut être attendu ici entre les cotes 365 et 370, soit entre 10 et 15 mètres de la surface.

La profondeur à prévoir serait légèrement supérieure ,120 mètres environ, liée à des conditions d'alimentation de la nappe

• en profondeur plus restreinte que pour l'emplacement I. Ici non plus une éventualité plus favorable n'est pas exclue à priori quoique fort peu probable.

Conditions d'exécution comme pour l'emplacement I.

Qualité des eaux»

On doit s'attendre a rencontrer des eaux avec une faible teneur en sels minéraux de l'ordre de 50 mmg par litre et d'une dureté totale comprise entre 3 et 5=, température voisine de 9e

centigrades.

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Exploitation du forage

Pour les 2 emplacements prévus une station élevâtoire de- vrait ramener les eaux à la cote 530 environ dans un réservoir

situé sur les flancs du SCHL03SHEEG, par exemple - le PETIT BALLERSTEIN n'offrant pas une altitude suffisante (sommet à

la cote $10 environ) la dénivellation totale à vaincre serait donc de l'ordre de 180 m environ à partir du plan d'eau et de 140 m environ à partir de l'orifice du forage. Pour peu encou- rageantes qu'apparaissent ces conditions, en dehors de captage de la source de SCHNEEMATT, iï n'apparaît pas ici de solution plus avantageuse.

Dans l'éventualité peu probable d'un résultat plus favo- rable du forage, l'emplacement II permettrait d'envisager l'ali- mentation de CCHAEiî'EPiHCF par gravité avec une canalisation le 4 km environ.Pour l'alimentation de BGTHEN3UHL (15 à 20 m3/jour) les 2 emplacements présentent le même intérêt car l'eau pourrait être ramenée par syphon de la cote 530 du réservoir de DABO à la cote 500 suffisante pour alimenter HOTHENBÜHL, on ferait ainsi l'économie d'une station de pompage refoulant directement l'eau sur ROTiiSKBUHL.

SCH&EFERHDF

Les conditions hydrogéologiques sont ici légèrement meil- leures que pour le forage dé DABO; les 2 emplacements de fora- ges suivants ont été retenus à proximité de SCHAEFERHOF.

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Emplacement I

Dans la vallée de la ZORN, à proximité de la verrerie

S T A M P T , en rive droite de la ZOBÎï Cote de l'orifice + 250 environ Coupe géologique, profondeur.

Le forage serait entièrement ouvert dand la division in- férieure du Grès Vosgien, l'orifice se trouvant à l60 m environ sous la base du Grand Conglomérat.

La profondeur à prévoir serait de 50 m environ en vue

d'obtenir un débit de 15 à 20 m v h dans les meilleures conditions Niveau piézométrique, conditions de débit.

Le niveau piézométrique doit être attendu à la cote 245 soit à 5 ffl de l'orifice lu forage, un débit de 20 m'/h, pouvant être obtenu avec un plan d'eau abaissé de 20 m soit à la cote 225 environ. De meilleures conditions de débit peuvent ici être espérées; par exemple le débit de 20 m3/li pourrait être obtenu avec un abaissement du plan d'eau de 10 m seulement.

Données concernant l'exécution du forage.

0 - 10 m forage en 65O mm ; tubage en 550, rivé, 5 aan.

gaine de ciment pour l'élimination des eaux super- ficielles

10 - 50 m forage en 54-5 n"a (diamètre garanti) ; non tube

Essai de pompage de 72 h.

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Emplacement II

Sensiblement en direction E du clocher de SCHAEFEBUOi1 à 55O m environ à vol d'oiseau, dans la vallée du GRO3STHAL en rive gau- che du ruisseau et en contrehaut de 5 m environ sur le fond du thalweg,soit a la cote 265 environ.

Cet emplacement se présente dans des conditions à priori lé- gèrement moins favorables que pour l'emplacement I. La cote se

situerait à 180 m environ sous la base du Grand Conglomérat, la profondeur à prévoir serait de 50 à 60 m environ avec un niveau piézoïnétrique voisin de la cote 2^5» soit à 10 m en-dessous de l'o- rifice.

Conditions de débit et données concernant l'exécution, comme pour l'emplacement I.

Ici encore pour les 2 emplacements une station élévatoire devrait refouler l'eau dans un réservoir au voisinage de la cote 35O soit une dénivellation de 100 m environ à partir de la tête du forage.

Il est bien entendu que le choix entre les différents empla- cements possibles serait guidé par les considérations de prix de revient de l'installation de distribution, néanmoins au cas où ces considérations ne joueraient que sur une faible différence, les emplacements I pour DABO et SCHAEKSRHOF seraient à préférer.

7

Marcel GUILLAÜLÍE

Ingénieur Géologue au Bureau des Recherches Géologiques et Géophysiques

PARIS, le 24 Août I9.52

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