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TD 4 : Compléments sur les suites et les séries - Corrigé

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Academic year: 2022

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(1)

TD 4 : Compléments sur les suites et les séries - Corrigé

Exercice 1 :

1) a) 2− 3+ 5 − 7 ~"#2 et 8+ 3 − 1 ~"#8 donc 2− 3+ 5 − 7

8+ 3 − 1 "#~ 2 8 ~"#

4 Comme lim'→"#

4 = +∞ alors lim'→"#2− 3+ 5 − 7

8+ 3 − 1 = +∞

b) + 2 ~"# et on démontre que -+ + 1 ~"#-

+ + 1

= / + + 1

= /1 + 1 + 1

→ 1 quand → +∞ donc -+ + 1 ~"#- On obtient alors 1' = + 2

+ + 1"#~

"#~

√ ~"# 1

√ Comme lim'→"# 1

√ = 0 alors lim'→"# + 2

+ + 1 = 0

c) ∀ ∈ ℕ, 1' = (ln( + 1) − ln())

+ 1 = ln 8 + 1 9

+ 1 =ln 81 + 19

+ 1 On sait que ln(1 + :') ~"#:' lorsque :' → 0

donc ln ;1 +1

< ~"#1

, on en déduit que ln ;1 +1

< ~"#

~"#

On démontre comme au b) que √+ 1 ~"#"#~

On en déduit que ln 81 + 19

+ 1 ~"#

~"#1 et donc lim'→"#(ln( + 1) − ln())

+ 1 = 1

2) + 2√

√ = + 2

√ × 1

√= + 2 "#~

"#~ 1

donc lim'→"#

+ 2√

√ = lim'→"#1

= 0 ∶ ainsi + 2

"#= ?@√A On en déduit que + 2

√ + √ ~"#√ et donc + + 2

"#~ √ . 3) 1' = √ + 1 − √ − 1

√ + 1 + √ − 1= @√ + 1 − √ − 1A@√ + 1 + √ − 1A

@√ + 1 + √ − 1A@√ + 1 + √ − 1A= @√ + 1A− @√ − 1A

@√ + 1 + √ − 1A

= ( + 1) − ( − 1)

@√ + 1 + √ − 1A = 2

@√ + 1 + √ − 1A = 2

C√ DE1 + 1 + E1 −1 FG

(2)

= 2

CDE1 1 E1 1 FG

) 2

CDE1 1 E1 1 FG

'→"#lim H/1 1 /1 1I ) 2 donc lim'→"#JH/1 1 /1 1IK

) 4 et donc lim'→"#1' ) 1 2

Exercice 2 :

1) On démontre ce résultat par récurrence : 1L =1 M 2 donc vrai au rang 1.

Hérédité : on suppose que 1' M2 pour un certain entier naturel non nul et on montre que 1'"L M 2 1' M2 ⇒ 1' 3 M 2 3 ⇒ 1' 3 M 1 M 0 ⇒ 1

1' 3 O 1 ⇒ 1

1' 3 M 1 ⇒ 1'"L M 2 Conclusion : pour tout entier naturel non nul , 1' M2.

2 Posons Q: R ↦ 1 1

R 3 définie et continue sur U∞; 3W et sur U3; ∞W Si (1') converge, comme 1' M2, alors sa limite ℓ vérifie ℓ Y 2

De plus Q est continue sur U∞; 2U donc continue en ℓ donc d’après le théorème du point fixe, ℓ est un point fixe de Q.

Q(R) = R ⇔1 1

R 3 ) R ⇔R 4 R7R 3

R 3 ) 0 ⇔R 2R 4

R 3 ) 0 ⇔7R 2

R 3 ) 0 ⇔ R ) 2 La fonction f admet pour unique point fixe le réel 2 : ℓ =2.

3 :'"L :' ) 1

1'"L 2 1

1' 2 ) 1 1' 4 1' 3 2

1

1' 2 ) 1

1' 4 21' 6 1' 3

1

1' 2

= 1

1' 2 1' 3

1

1' 2 ) 1' 3

1' 2 1

1' 2 )3 1'

1' 2 1

1' 2 )2 1' 1' 2 ) 1

La suite (:') est donc arithmétique de raison -1 et de premier terme :L = \L

]^= −1

∀ ∈ ℕ, :' ) :L 7 1` ) 1 7 171 ) 1 1 ) :' = 1

1' 2 ⇔ 1' 2 ) 1

:' ⇔ 1' ) 1

:' 2 ) 1 2

4) On en déduit que la suite (1') converge et que sa limite est 2 (ce qui avait été obtenu à la question 2 mais sans la convergence).

Exercice 3 : 1) On démontre ce résultat par récurrence : 1a b 0 donc vrai au rang 0.

Hérédité : on suppose que 1' b0 pour un certain entier naturel et on montre que 1'"L b0 1' b0 ⇒ 1' b 0 ⇒ 1' 1' b 0 ⇒ 1' 1'

2 b 0 ⇒ 1'"L b 0 Conclusion : pour tout entier naturel , 1' b 0.

(3)

2) a) f est la somme de deux fonctions strictement croissantes sur ℝ" donc Q est strictement croissante sur ℝ" (ou bien on calcule Qd(R) =L(1 3R O 0 sur ℝ" )

b Q7R R )R R

2 R ) R R

2 )R7R 1

2 ) R7R 17R 1

2 du signe de R 1 sur ℝ"

R 0 1 +∞

Q(R) − R 0 − 0 +

3) Si (1') converge, comme 1' b0, alors sa limite ℓ vérifie ℓ b 0

De plus Q est continue sur ℝ" donc continue en ℓ donc d’après le théorème du point fixe, ℓ est un point fixe de Q.

D’après ce qui précède, les points fixes de Q sur ℝ" sont 0 et 1 : valeurs possibles de ℓ sont donc 0 et 1.

4) a) Si 1a = 0, on démontre par une récurrence simple que la suite est constante égale à 0.

Si 1a =1, de même, la suite est constante égale à 1.

b) On démontre ce résultat par récurrence : 1a ∈U0; 1W donc vrai au rang 0.

Hérédité : on suppose que 1' ∈U0; 1W. pour un certain entier naturel et on montre que 1'"L ∈U0; 1W. 1' ∈U0; 1W ⇒ 0 M 1' M 1 ⇒⏟

f ghi hijkligmgni ljokhhpnig hqj Ua;LW

Q70 M Q71' M Q71 ⇒ 0 M 1'"L M 1

Conclusion : pour tout entier naturel , 1' ∈U0; 1W.

Pour tout ∈ ℕ, 1'"L− 1' = Q(1') − 1'. Or Q(R) − R M 0 sur U0; 1W d’après 1)b).

Ici, 1' ∈U0; 1W donc Q(1') − 1' M 0 donc 1'"L− 1' M0 : la suite (1') est décroissante.

La suite (1') est décroissante et minorée par 0 donc elle converge. D’après la question 2) sa limite est 0 ou 1 : il semble que ce soit 0, il faut le prouver.

0 M 1' M 1 donc au passage à la limite 0 Y ℓ Y 1 ce qui ne permet pas de conclure … Idée : on réduit l’intervalle de départ : 0 M 1' M 1a car la suite (1') est décroissante.

Au passage à la limite, 0 Y ℓ Y 1a M 1 : 0 Y ℓ M 1, on a réussi à éliminer la valeur 1 : la suite (1') converge vers 0.

5) Par récurrence comme au 3)b), on montre que pour tout , 1' O1. De même, on montre que la suite (1') est strictement croissante.

Intuitivement, il semble que la suite diverge démontrons le par l’absurde :

On suppose que le suite converge, sa limite est donc 0 ou 1. Or 1' O 1a car la suite est strictement croissante.

Par passage à la limite ℓ b 1a O1 ainsi ℓ O1 ce qui contredit que ℓ est égal à 0 ou 1.

Conclusion : la suite est divergente, et comme elle est croissante, sa limite est +∞.

Exercice 4 : Soit la suite (1') définie par son premier terme 1a b 1 et la relation de récurrence 1'"L = Q(1') où Q est la fonction définie sur ℝ" par Q(R) = R+r.

1) Montrer que, pour tout entier naturel , 1' est bien défini signifie que 1' s 0.

Montrer par récurrence que pour tout entier naturel , 1' b 1 permet de répondre à la question.

(4)

Astuce : on étudie le signe de Q(R) − 1 = R +2

R − 1 =R− R + 2

R =(R + 1)(R− R + 2)

R O 0 sur ℝ" Initialisation ∶ 1a ≥ 1 donc vrai au rang 0.

Hérédité : on suppose que 1' ≥ 1 pour un certain entier naturel et on montre que 1'"L ≥ 1 1'"L− 1 = Q71' − 1 > 0 car 1' ≥ 1, par hypothèse, donc 1'"L ≥ 1

Conclusion : pour tout entier naturel , 1' ≥ 1 et 1' est bien défini.

2 On étudie le signe de Q7R − R = R+2

R − R =R− R + 2

R =7R + 17R− 2R + 2

R > 0 sur ℝ" 1'"L− 1' = Q71' − 1' > 0 car 1' ≥ 1 > 0 : ainsi la suite 71' est strictement croissante.

3) Absurde : supposons que la suite 71' converge vers ℓ. D’après la question 1), ℓ ≥ 1.

D’après le théorème du point fixe, Q étant continue sur W1; +∞W donc en ℓ, la limite ℓ est un point fixe de Q.

Or Q7R − R > 0 sur ℝ" donc Q n’admet pas de point fixe sur ℝ" ce qui contredit la convergence de la suite 71'.

Conclusion : la suite 71' est donc divergente.

Exercice 5 : On s’inspire de l’exercice 3 :

On montre par récurrence que pour tout ∈ ℕ, 1' > 0 (immédiat)

On étudie les variations de la fonction Q définie sur ℝ" par Q7R =R+ 3R 3R+ 1 Q est dérivable sur ℝ" et Qd7R =73R+ 373R+ 1 − 6R7R+ 3R

73R+ 1 =3Rz− 6R+ 3

73R+ 1 = 37R− 1 73R+ 1 Qd7R > 0 sur ℝ" sauf en 0 et 1 donc Q est strictement croissante sur ℝ".

Q7R − R = R + 3R

3R+ 1 − R =R+ 3R − 3R − R

3R+ 1 = −2R + 2R

3R+ 1 =2R71 − R 3R+ 1 R 0 1 +∞

Q7R − R 0 + 0 −

Si la suite converge, sa limite ℓ est un point fixe : 0 ou 1.

On étudie les différents cas : 1a ∈]0; 1W, 1a = 1 et 1a > 1 1er cas : 1a ∈]0; 1W

Comme dans l’ex 3, on démontre que pour tout , 1' ∈]0; 1W et que 71' est croissante.

Ainsi elle converge. Sa limite est 0 ou 1. On élimine 0 en donnant l’encadrement : 1a < 1' < 1 qui, au passage à la limite se traduit par 1a ≤ ℓ ≤ 1 ⇒ ℓ ≥ 1a > 0 donc ℓ = 1.

2ème cas : 1a = 1 : la suite est constante égale à 1.

3ème cas : 1a > 1

Comme dans l’ex 3, on démontre que pour tout , 1' > 1 et que 71' est décroissante.

Ainsi elle converge. Sa limite est 0 ou 1 On élimine 0 avec l’inégalité 1' > 1 qui, au passage à la limite se traduit par ℓ ≥ 1 donc ℓ = 1.

(5)

Exercice Exercice Exercice Exercice 6666 : 1 }

+ ~

+ 1 = }7 + 1 + ~

7 + 1 =7} + ~ + } 7 + 1 Ldégalité 1' = 1

7 + 1 se traduit par 7} + ~ + }

7 + 1 = 1

7 + 1

et, par identification, } = 1 et } + ~ = 0 cdest − à − dire } = 1 et ~ = −1.

Conclusion ∶ ∀ ∈ ℕ, 1' = 1 − 1

+ 1 . 2 ' = ‚ 1ƒ

'

ƒ„L

= ‚ ;1 … − 1

… + 1< = 1 − 1

+ 1 , ainsi

'

ƒ„L

'→"#lim ' = 1

3 La série de terme général 1

7 + 1 est donc convergente et ‚ 1 7 + 1

"#

'„L

= 1

Exercice 7 : On s’inspire de l’exercice précédent.

On montre comme à ldex 6 que ∀ ∈ ℕ, 1

7 + 17 + 2 = 12

+ −1 + 1 +

12

+ 2 =1 2 ;1

+ −2

+ 1 + 1 + 2<

‚ 1

…7… + 17… + 2

'

ƒ„L

= ‚1 2 ;1

… + −2

… + 1 + 1 … + 2<

'

ƒ„L

= 1 2 ‚ ;1

… + −2

… + 1 + 1 … + 2<

'

ƒ„L

= 1 2 ‚ ;1

… − 1

… + 1 − 1

… + 1 + 1 … + 2<

'

ƒ„L

=1

2 C‚ ;1 … − 1

… + 1<

'

ƒ„L

+ ‚ ; 1

… + 2 − 1 … + 1<

'

ƒ„L

G

= 1

2 ;1 − 1

+ 1 + 1 + 2 −1

2< =1 2 ;1

2 − 1

+ 1 + 1

+ 2< →1

4 lorsque tens vers + ∞

'→"#lim ‚ 1

…7… + 17… + 2

'

ƒ„L

= 1 4

Exercice 8 : d’après EDHEC 1997 1) Si † = 0, on a 1' = @L‡

‡A= 1 donc la série diverge (condition nécessaire de convergence : le terme général doit tendre vers 0)

Si † = 1, on a 1' =@‡ˆ]L

‡ A= '"LL "#~ L' . Or la série de terme général L' diverge (série harmonique) donc par comparaison de séries à terme positif, la série de terme général 1' diverge aussi.

(6)

b) Par récurrence :

D’où l’égalité.

3. a) On calcule la difference

(7)

Exercice 9 :

∀ ∈ ℕ, '" ' ) ‚ 71ƒ}ƒ

'"

ƒ„a

‚71ƒ}ƒ

'

ƒ„a

) 71'"}'" 71'"L}'"L) }'" }'"L

Or 7}' est une suite décroissante donc }'"− }'"L≤ 0 donc '"− ' ≤0 et donc 7' décroît.

∀ ∈ ℕ, '" '"L ) ‚ 71ƒ}ƒ

'"

ƒ„a

‚ 71ƒ}ƒ

'"L

ƒ„a

) 71'"}'"— 12 2}'"

) }'" }'") }'" }'"b 0 car 7}' est une suite décroissante donc '"− '"L≥ 0 et donc 7'"L décroît.

'"L− '= ‚ 7−1ƒ}ƒ

'"L

ƒ„a

‚71ƒ}ƒ

'

ƒ„a

) 71'"L}'"L) }'"L→ 0

Les trois conditions de la définition sont réunies donc les suites 7' et 7'"L sont adjacentes.

On sait que deux suites adjacentes sont convergentes et ont la même limite.

De plus, si les deux suites extraites 7' et 7'"L convergent vers la même limite, alors la suite 7' converge.

Conclusion : La suite suite 7' converge ce qui signifie que la série de terme général 1' converge.

Application : La série de terme général 7^L' ‡ a la même forme que les séries étudiées ci-dessus : en effet,

7^L‡

' = 7−1'}' où 7}' est une suite décroissante de limite 0 : la série ∑7^L' ‡est donc convergente.

(8)

Exercice 10 :

On définit la suite 71' définie par 1a = √2 et pour tout ∈ ℕ, 1'"L = -2 + 1'

L’objectif est de d’étudier la convergence de la suite 71' et de déterminer sa limite.

Pour cela, on définit la fonction Q sur ℝ" par Q7R = √2 + R.

On montre par récurrence que pour tout ∈ ℕ, 1' > 0 (immédiat)

On étudie les variations de Q sur ℝ" ∶ Q est dérivable sur ℝ" et Qd7R = 1

2√2 + R> 0 Qd7R > 0 sur ℝ" donc Q est strictement croissante sur ℝ".

Q7R − R = √2 + R − R =@√2 + R − RA@√2 + R + RA

√2 + R + R = 2 + R − R

√2 + R + R =7R + 172 − R 3R+ 1 R 0 2 +∞

Q7R − R + 0 −

La fonction Q étant continue sur ℝ" , si la suite converge, sa limite ℓ est un point fixe . Ce ne peut être que 2.

Il reste donc à justifier que la suite 71' converge.

Idée : on démontre par récurrence que, pour tout ∈ ℕ, 0 < 1' < 2 ce qui est immédiat.

On étudie ensuite la monotonie de la suite 71' : 1'"L− 1' = Q71' − 1' > 0 d’après le tableau de signe ci-dessus sachant que 1' ∈ ]0; 2W.

La suite est croissante et majorée par 2 donc elle converge.

Sa limite est 2 (déjà justifié).

Conclusion : ‹2 + /2 + E2 + √2 + ⋯ = limn→"#1' = 2

Exercice 11 : d’après EDHEC 2000

(9)

Exercice 12 : d’après ESC 2001

(10)

5.

(11)

Exercice 13 : 1)

n=input(‘entrez la valeur de n :’) S=0

for k=1:n S=S+1/k^2 end

disp(u)

2)

n=input(‘entrez la valeur de n :’) P=1

for k=1:n P=P*(1+1/k^2) end

disp(P)

3 a

n=input(‘entrez la valeur de n :’) u=2

for k=1:n u=1-exp(-u) end

disp(u)

b

n=input(‘entrez la valeur de n :’) u=2

disp(u)

for k=1:n u=1-exp(-u) disp(u)

end

Exercice 14 :

epsilon=input(‘entrez la valeur de epsilon :’) u=1

n=0

while abs(u-sqrt(2))>=epsilon do u=1/2*(u+2/u) n=n+1

end disp(n)

Exercice 15 :

1) function [z]=min(a,b),if a<b then z=a else z=b endfunction

2) On utilise la propriété : …! = …7… − 1!

function [z]=fact(n),z=1, for k=1:n z=z*k, end endfunction

3) Si … > , 8…9 = 0, sinon 8…9 = !

…! 7 − …! =7 − 17 − 2 … 7 − … + 1

…7… − 1 … × 2 × 1 = − … + 1

1 × − … + 2

2 × … − 1 … − 1 ×

…

(12)

function [z]=coeffbin(n,k) if k>n then z=0

else z=1,for i=1:k z=z*(n-k+i)/i end

end

endfunction

Exercice 16 : Suite de Fibonacci

n=input(‘entrez la valeur de n :’) u=1

v=1 disp(u) disp(v)

for k=2:n w=v, v=u+v, u=w //on sauvegarde v dans w disp(v)

end

Exercice 17 : Conjecture de Syracuse

La condition u==2*floor(u/2) est vraie lorsque u est pair et fausse lorsque u est impair.

k=input(‘entrez la valeur de k :’) u=k

n=0

while u<>1 do n=n+1

if u==2*floor(u/2) then u=u/2 else u=3*u+1 end

end disp(n)

Exercice 18 : D’après ECRICOME 2014

1. Pour tout R > 0, ln71 + R > 0 donc Q7R > 0 sur ]0; +∞W et donc sur W0; +∞W.

Pour montrer que, pour tout entier naturel , 1' existe, il suffit de montrer que chacun des termes de la suite est strictement positif ce qui est immédiat par récurrence.

2. N=input(‘entrez la valeur de N :’) u=%e

for k=1:N u=u/log(1+u) end

disp(u)

Exercice 19 : D’après EDHEC 2013

1. (a) On démontre ce résultat par récurrence :0 ≤ 1a ≤ 1 donc vrai au rang 0.

Hérédité : on suppose que 0 ≤ 1' ≤ 1 pour un certain entier naturel et on montre que 0 ≤ 1'"L ≤ 1 0 ≤ 1' ≤ 1 ⇒ 0 ≤ 1' ≤ 1 ⇒ 1 ≤ 1'+ 1 ≤ 2 ⇒ 1

2 ≤1' + 1

2 ≤ 1 ⇒ 0 ≤ 1'"L ≤ 1 Conclusion : pour tout entier naturel , 0 ≤ 1' ≤ 1.

(13)

7b Pour tout ∈ ℕ, 1'"L− 1' =1' + 1

2 − 1' = 1' + 1 − 21'

2 =71'− 1 2 ≥ 0 on en déduit que la suite 71' est croissante.

(c) La suite 71' est croissante et majorée par 1 donc elle converge. Étant donné que la fonction définissant cette suite est une fonction polynôme donc continue sur ℝ, sa limite est une solution de l’équation :

R =R+ 1

2 ⇔R − 2R + 1

2 = 0 ⇔ R = 1 Conclusion : La suite 71' converge vers 1.

2. Inutile de tester l’inégalité 1 − 1' > 0 car elle est vraie pour tout entier . u=0

n=0

while 1-u>=10^-3 do u=(u^2+1)/2, n=n+1 end

disp(n)

Exercice 20 : D’après ECRICOME 2011

C’est la méthode appelée « dichotomie ». Définissons d’abord la fonction phi : function [z]=phi(x)

if x==0 then z=1

else z=1-x^2*log(x) end

endfunction

Puis programmons les termes des suites : a=sqrt(2),b=2

for k=1:7 if phi(a)*phi((a+b)/2)<0 then b=(a+b)/2 else a=(a+b)/2 end

end

disp(b,a)

Exercice 21 : D’après ECRICOME 2010 1. Voir corrigé ECRICOME 2010

2. On va raisonner par dichotomie, comme dans l’exercice 23 : on construit deux suites 7}' et 7~' qui encadrent , on calcule l’écart ~'− }' et on s’arrête lorsqu’il est inférieur ou égal à 10^.

La fonction ‘ étant décroissante, phi((a+b)/2)<1 signifie que ‘7} > 1 > ‘ 8’"“ 9 et donc que } <  <’"“

function [z]=phi(x), z=log(x)-log(x+1)+1/x endfunction

a=1/3,b=1/2

while b-a>10^-3 do if phi((a+b)/2)<1 then b=(a+b)/2 else a=(a+b)/2 end

end

disp(b,a)

(14)

Exercice 22 :

n=0, fact=1, erreur=1, s=1 while erreur >0,00001

n=n+1

fact=fact*n s=s+1/fact

erreur=1/(n*fact) end

disp(s)

Exercice 23 : 7a

u0=input(‘entrez la valeur de u0 :’) n=input(‘entrez la valeur de n :’) u(1)=0.5*sqrt(3+u0^2)

for k=1:n-1 u(k+1)=0.5*sqrt(3+u(k)^2) end

disp(u(n),’u(n)=’)

Ou avec la méthode classique :

u=input(‘entrez la valeur de u0 :’) n=input(‘entrez la valeur de n :’) for k=1:n u=0.5*sqrt(3+u^2)

end disp(u)

7b Il suffit de rajouter les instructions : s=sum(u)+u0;disp(s) (car u0 n’est pas compté dans les composantes du vecteur u)

Ou avec la méthode classique :

u=input(‘entrez la valeur de u0 :’) n=input(‘entrez la valeur de n :’) s=u

for k=1:n u=0.5*sqrt(3+u^2);s=s+u end

disp(s)

7c L’utilisation du vecteur u n’est pas très pratique, on utilisera la méthode classique : u=input(‘entrez la valeur de u0 :’)

n=1

while abs(u-1)>=10^-3 do n=n+1;u=0.5*sqrt(3+u^2) end

disp(n)

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