• Aucun résultat trouvé

Histoire et vécu contraceptifs des femmes de 18 à 40 ans en 2015

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2022

Partager "Histoire et vécu contraceptifs des femmes de 18 à 40 ans en 2015"

Copied!
4
0
0

Texte intégral

(1)

La Lettre du Gynécologue • N° 401 - mars-avril 2016 | 41

GYNÉCO ET SOCIÉTÉ

Histoire et vécu contraceptifs des femmes de 18 à 40 ans

en 2015

G. André1, P. Descamps2, C. Jamin3, M.A. Koenig Loiseau4, T. Linet5, C. Solignac6

D’aprés les résultats de l’étude Kantar Health réalisée avec le soutien de Gedeon Richter France

1 Strasbourg.

2 Service de gynécologie-obstétrique, CHU d’Angers.

3 Paris.

4 Paris.

5 Centre hospitalier Loire Vendée Océan, Challans.

6 Gedeon Richter France.

D

evant l’évolution des pratiques médicales et des besoins des femmes, nous avons voulu appréhender leur vécu et leurs perceptions vis-à-vis de la contraception. Une attention particulière a été portée sur les méthodes alternatives aux estroprogestatifs oraux. Selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), 53,1 % des femmes françaises entre 15 et 49 ans, mariées ou vivant en couple, et prenant une contra ception, utilisaient en 2015 une pilule (contra ception orale combinée [COC] ou pilule uniquement progestative) [1].

Cette donnée constitue une spécificité du modèle contraceptif français. En effet, en dehors de la stérili- sation féminine, le dispositif intra-utérin (DIU) est le premier choix contraceptif au niveau mondial, utilisé par 21,9 % des femmes en couple de 15 à 49 ans sous contraception (1).

La pilule demeure le mode contraceptif le plus utilisé car elle bénéficie, depuis plusieurs décennies, d’un bon indice de satisfaction en Europe (2). Elle est perçue comme efficace, pratique, confortable et, dans une moindre mesure, peu contraignante au quotidien, comme rapporté par l’Inpes en 2007 (3).

Pour autant, cette satisfaction ne doit pas masquer un réel recul de l’utilisation des contraceptifs oraux, observé en France depuis les années 2000 et qui s’est amplifié sur la période 2012-2013 à la suite de la “crise de la pilule” (4, 5).

Le schéma contraceptif français évolue

Le modèle contraceptif français a changé, avec une diminution nette de l’utilisation des estroprogestatifs pour aller, au mieux, vers le DIU ou d’autres méthodes hormonales (implant, dispositif transdermique ou anneau vaginal) [4, 5]. Il est cependant regrettable de noter que certaines femmes se sont orientées également spontanément vers des méthodes

contraceptives reconnues comme moins efficaces, telles que le préservatif masculin utilisé seul ou les méthodes naturelles (dates, retrait) [5].

Parmi les critères d’adhésion à une méthode de contraception, la liberté de l’arrêter au moment de son choix et une prise non quotidienne apparaissent comme importants (6). En effet, les oublis de prise, outre le fait qu’ils réduisent l’efficacité contraceptive réelle de la pilule, sont sources d’angoisse pour les femmes. Une étude espagnole a récemment évalué que l’observance parfaite sous contraception orale ne concernerait que 35 % des utilisatrices, et que les oublis étaient réguliers pour 75 % d’entre elles (7).

Pour beaucoup de femmes, l’absence d’interruption des prises permet de limiter les risques d’oubli (8, 9).

Dans ce contexte, la contraception “à moyen terme”, hebdomadaire ou mensuelle, c’est-à-dire le dispositif transdermique ou l’anneau vaginal, est une alternative dont le point fort est un rythme de prise faci litant l’observance (7, 10).

Histoire et vécu contraceptifs des femmes : l’enquête

Une enquête quantitative a été réalisée à l’aide d’un questionnaire administré en ligne (système CAWI) auprès de 800 femmes françaises de 18 à 40 ans interrogées entre le 15 et le 28 décembre 2015. La représentativité de l’échantillon a été assurée par la méthode des quotas (11) sur les critères sociodémographiques habituels – catégories d’âge entre 18 et 40 ans, régions et catégories d’agglomération de résidence, profession – et également sur les différents types de contraception.

L’analyse s’est concentrée sur 537 femmes éligibles à court terme à une contraception estroprogestative (groupe principal). De plus, une analyse du parcours contraceptif de 20 femmes sous contraception à moyen terme a été réalisée.

0041_LGY 41 19/04/2016 10:34:36

(2)

42 | La Lettre du Gynécologue • N° 401 - mars-avril 2016

GYNÉCO ET SOCIÉTÉ

Connaissance et utilisation des modes de contraception

Plus de la moitié des femmes interrogées déclarent utiliser une contraception régulière. Pour 71 % d’entre elles, soit 38 % de la population totale (tableau), la contraception est une COC (81 %) ou une pilule uniquement progestative (19 %).

Les femmes prenant une contraception régulière sur prescription médicale – pilule, contraception à moyen terme ou contraception à long terme – sont principalement suivies par un gynécologue (57 %, 66 % et 76 %, respectivement). Celui-ci a également initié la contraception en cours pour la majorité d’entre elles (57 %, 66 % et 78 %, respecti vement).

Au total, 476 femmes du groupe principal (88,7 %) ont utilisé au moins 1 fois une pilule comme méthode contraceptive.

Principaux critères de choix et évaluation des moyens de contraception

Les femmes interrogées déclarent que l’efficacité (pour 83 %), la tolérance à long terme (74 %) et à court terme (73 %), l’adaptation au mode de vie (72 %) et le mode de prise/d’utilisation (72 %) sont les critères de choix les plus importants.

Le DIU/ SIU se distingue des autres moyens de contraception, car il bénéficie des notes d’évaluation les plus élevées sur tous les critères de choix

proposés (notés de 0 à 10). La pilule recueille des avis plutôt favorables sur 3 des 5 critères les plus importants : l’efficacité, l’adaptation au mode de vie et le mode de prise. L’appréciation de la tolérance, à long et court terme, obtient des notes moyennes et l’un des points faibles de la pilule est lié à l’incerti- tude de protection en cas d’oubli (figure 1). Le dispositif transdermique obtient des notes allant de 4,7 à 5,8 sur 10. L’ensemble des femmes lui reconnaissent 2 atouts, l’autonomie et le confort du partenaire (figure 1). Les principales inquiétudes liées à ce mode de contraception sont le risque de décollement (pour 65 % des femmes de la population principale), le manque ou la perte d’efficacité (62 %) et une mauvaise tolérance cutanée (rougeurs, démangeaisons) [57 %]. Les attentes principales pour ce mode de contraception sont l’efficacité (56 %), le maintien en place sans décollement (43 %) et la prise en considération de son prix (32 %). L’anneau vaginal obtient également des notes d’évaluation moyennes (notes allant de 4,2 à 5,9 sur 10) pour l’ensemble des femmes. Comparé au dispositif transdermique, les critères, dans leur ensemble, sont moins bien notés. L’anneau vaginal est cependant jugé plus discret que le dispositif transdermique.

Satisfaction à l’égard de la pilule

La pilule rassure 2 femmes sur 3, qu’elles aient été utilisatrices dans le passé ou qu’elles le soient Tableau. Connaissance des modes de contraception et proportion d’utilisatrices. Connaissance globale obtenue en réponse aux questions : “Quels sont tous les moyens de contraception que vous connaissez, même si vous ne les avez jamais utilisés ?”

puis “Et, parmi les moyens de contraception présentés ci-dessous, quels sont ceux que vous connaissez, même si vous ne les avez jamais utilisés ?” Proportion d’utilisatrices obtenue en réponse aux questions “En matière de contraception, parmi les propositions suivantes, laquelle correspond le mieux à votre situation actuelle ?” puis “Quel moyen de contraception prenez-vous actuellement ?” Base : ensemble des 800 femmes interrogées.

Contraception actuellement utilisée Connaissance globale Proportion d’utilisatrices

Contraception régulière 100 % 54 %

• Pilule 100 % 38 %

• DIU

96 % 7 %

• SIU 4 %

• Implant 81 % 4 %

• Anneau vaginal 69 % 1 %

• Dispositif transdermique 69 % < 1 %

Contraception occasionnelle 73 % 14 %

Méthodes naturelles 5 % 4 %

Contraception définitive (ligature des trompes, stérilisation) 4 % 2 %

Injectable 1 %

Aucune (absence de besoin) 26 %

0042_LGY 42 19/04/2016 10:34:37

(3)

La Lettre du Gynécologue • N° 401 - mars-avril 2016 | 43

Importance moyenne Pilule Dispositif transdermique Anneau vaginal DIU/SIU Autres bénéfices 10

Autonomie

Prix, remboursement

Discrétion

Confort du partenaire

Efficacité

Tolérance

Adaptation au mode de vie

Mode de prise, d’utilisation Protection en cas d’oubli Rythme de prise,

de changement 5

0

Autres bénéfices

Prix, remboursement

Discrétion

Confort du partenaire

Efficacité

Tolérance

Adaptation au mode de vie

Mode de prise, d’utilisation Protection en cas d’oubli Rythme de prise,

de changement

Pilule Contraception moyen terme 10

5

0

GYNÉCO ET SOCIÉTÉ

actuellement (n = 476), car elle existe depuis longtemps (67 %) et 57 % d’entre elles estiment qu’elle est adaptée à leur mode de vie. En revanche, elles sont plus de la moitié à déclarer une perte de confiance vis-à-vis de la pilule depuis la polé- mique française de 2013 dans les médias (52 %) et à trouver qu’elle est trop contraignante (52 %), tout en décidant de continuer à l’utiliser malgré ces contraintes (43 %). Ces femmes expriment une lassitude par rapport à la prise de pilule (64 %), une

“peur de prendre des hormones sur le long terme”

(63 %) et, pour deux tiers d’entre elles, une crainte permanente d’oubli (66 %) ou une inquiétude en cas d’oubli (70 %).

67 % des utilisatrices de pilule déclarent l’oublier

Plus de 2 femmes sur 3 (67 %) utilisatrices de pilule, dans le passé ou actuellement, déclarent l’oublier, et 30 % reconnaissent au moins 1 oubli par mois.

Quant à l’horaire de prise, plus de 3 femmes sur 4 reconnaissent ne pas toujours le respecter.

En parallèle, seules 49 % de ces femmes ont une idée juste de sa durée d’efficacité en cas de décalage de l’horaire de prise ; 39 % l’estiment entre 13 et 24 heures et 10 % à plus de 1 jour.

Parmi les femmes actuellement sous pilule (n = 267), 36 % ont décalé au moins 1 prise de 12 heures ou plus et 28 % ont manqué la prise d’au moins 1 com- primé lors du dernier cycle. Plus de la moitié (58 %) des 122 femmes concernées par un oubli lors du dernier cycle déclarent n’avoir eu recours ni à un moyen de contraception supplémentaire (utilisé par 30 %), ni à une pilule du lendemain (prise par 12 %).

Les femmes utilisant actuellement une pilule se montrent très satisfaites (notes comprises entre 7,7 et 8,3 sur 10) sur les principaux critères de choix d’un contraceptif (figure 2). La perception des femmes quant à la possibilité d’être protégées en cas d’oubli est cependant notée comme le point faible de ce mode de contraception.

Opinion des utilisatrices de contraception à moyen terme versus les utilisatrices de pilule La perception des utilisatrices de contraception à moyen terme est très bonne, avec des notes allant de 8,8 à 9,3 sur 10 pour les principaux critères de choix d’une contraception (figure 2). De même, la satisfaction des utilisatrices de dispositif trans- dermique ou d’anneau vaginal est globalement meilleure que celle des utilisatrices de pilule, et ce surtout si l’on considère les critères principaux de

Figure 1. Importance des critères entrant dans le choix d’une contraception. L’importance moyenne (notée de 0 à 10) est obtenue d’après les réponses à la question : “Parmi la liste de caractéristiques suivantes, lesquelles sont importantes pour vous dans le choix de votre contraception ?” ; et l’opinion des femmes sur la pilule, le dispositif transdermique, l’anneau vaginal et le DIU/ SIU est obtenue d’après les réponses à la question “En ce qui concerne les critères cités, comment évaluez-vous chacun des moyens de contraception suivants” ; notes de 0 à 10. Base : 537 femmes de la population principale.

Figure 2. Satisfaction des utilisatrices à l’égard de leur contraception actuelle. Questions :

“Dans quelle mesure êtes-vous satisfaite de votre contraception actuelle sur chacun des aspects suivants ?” Note de 0 à 10. Bases : 267 femmes sous pilule et 20 femmes sous contraception moyen terme (dispositif transdermique ou anneau vaginal).

0043_LGY 43 19/04/2016 10:34:37

(4)

44 | La Lettre du Gynécologue • N° 401 - mars-avril 2016

GYNÉCO ET SOCIÉTÉ

choix d’une contraception (efficacité, tolérance, adaptation au mode de vie et mode de prise/d’utili- sation). Il est à noter que 85 % des femmes sous anneau vaginal ou dispositif transdermique ont déjà utilisé une pilule.

La pilule : une situation paradoxale

Cette enquête sur l’utilisation des différents modes de contraception et la perception qu’en ont les Françaises actualise notre regard sur le paysage contraceptif français. Ses résultats s’inscrivent dans la lignée des précédentes études sur la contraception (5) et confirment que la pilule est toujours un moyen perçu comme efficace par l’ensemble des femmes interrogées. Leur opinion sur la pilule est positive sur l’ensemble des critères jugés les plus importants dans le choix d’une contraception, à savoir efficacité, tolérance à long et court termes, compatibilité avec le mode de vie, mode de prise/d’utilisation. L’ancienneté et l’expérience d’utilisation en France de ce mode de contraception apparaît d’ailleurs comme l’une des raisons principales qui rassurent les utilisatrices.

Pourtant la problématique de l’oubli ou du retard de prise reste très actuelle, source de préoccupations et de comportements à risque, et questionne sur une éventuelle lassitude face au mode de prise quotidien (9, 12-14). Ceci souligne la situation paradoxale d’un mode de contraception à la fois largement répandu et apprécié, mais associé à un sentiment d’inquiétude, voire de lassitude pour celles qui l’utilisent régulièrement depuis de nombreuses années.

Nécessité d’une information complète

La contraception hormonale à moyen terme, compa- rable en bien des points à la pilule, représente une alternative intéressante répondant aux critères de choix les plus importants aux yeux des utilisatrices potentielles. La présente enquête met en évidence une faible notoriété spontanée des dispositifs trans- dermiques, liée au faible nombre d’utilisatrices en France. Pourtant, les utilisatrices de contraceptif à moyen terme (dispositif transdermique ou anneau vaginal) – même si la plupart prenaient une pilule auparavant – sont globalement plus satisfaites de leur contraception actuelle que ne le sont les femmes actuellement sous pilule. Cette double observation confirme l’importance de délivrer une information complète aux femmes souhaitant démarrer ou pour- suivre une contraception (15, 16).

Dans ce nouveau contexte, il est important de développer l’information sur les alternatives à la contraception hormonale à court terme en prise quotidienne, en insistant sur l’un des avantages de cette contraception à moyen terme, afin d’optimiser l’observance en s’affranchissant de la prise quoti- dienne (17). Au demeurant, les recommandations de la Haute Autorité de santé (18) indiquent que le choix du contraceptif doit s’appuyer sur des élé- ments permettant d’aboutir à une décision éclairée par le dialogue avec le médecin prescripteur ; sachant qu’un mode de contraception est pleinement effi- cace lorsqu’il est adapté à l’utilisatrice en tenant compte de ses critères médicaux propres, mais aussi de son contexte éco nomique, socio logique

et psychologique. ■

Remerciements Les auteurs remercient la société Kantar Health pour la réalisation de l’enquête et l’analyse statistique des données.

Gabriel André déclare avoir des liens d’intérêts avec Gedeon Richter, Pfizer, Besins, MSD, Iprad.

Philippe Descamps déclare avoir des liens d’intérêts avec Gedeon Richter, Ethicon endosurgery, Coloplast, Sanofi-Pasteur MSD, Boston Scientific.

Marie-Agnès Koenig Loiseau déclare avoir des liens d’intérêts avec Gedeon Richter, Besins, Daichi Sankyo.

Christian Jamin déclare avoir des liens d’intérêts avec MSD, Teva, Gedeon Richter.

Teddy Linet déclare avoir des liens d’intérêts avec MSD, Gedeon Richter, CCD, HRA.

1. United Nations DoEaSA, Population Division. Trends in contraceptive use worldwide 2015. United Nations, Depart- ment of Economic and Social Affairs PD; 2015.

2. Skouby SO. Contraceptive use and behavior in the 21st century: a comprehensive study across five European countries.

Eur J Contracept Reprod Health Care 2010;15 Suppl 2:S42-53.

3. Gall B, Jouanic É. Les Français et la contraception.

INPES-BVA, 2007 2 mars 2007. Disponible en ligne : http://

choisirsacontraception.fr/pdf/francais_et_contraception.pdf 4. Bajos N, Bohet A, Le Guen M, Moreau C. La contraception en France : nouveau contexte, nouvelles pratiques ? INED - Populations & sociétés, bulletin mensuel d’information de l’Institut national d’études démographiques 2012;492.

5. Bajos N, Rouzaud-Cornabas M, Panjo H, Bohet A, Moreau C. La crise de la pilule en France : vers un nouveau modèle contraceptif ? INED - Populations & sociétés, bul- letin mensuel d’information de l’Institut national d’études démographiques 2014;511.

6. Mansour D. International survey to assess women’s attitudes regarding choice of daily versus nondaily female hormonal contraception. Int J Womens Health 2014;6:367-75.

7. Martinez-Astorquiza-Ortiz de Zarate T, Diaz-Martin T, Martinez- Astorquiza-Corral; TMIA Study Investigators. Evalua- tion of factors associated with noncompliance in users of com- bined hormonal contraceptive methods: a cross-sectional study:

results from the MIA study. BMC Womens Health 2013;13:38.

8. Picavet C. Skipping the pill-free interval: data from a Dutch national sample. Contraception 2014;89(1):28-30.

9. Aubeny E, Buhler M, Colau JC, Vicaut E, Zadikian M, Childs M.

The Coraliance study: non-compliant behavior. Results after a 6-month follow-up of patients on oral contraceptives.

Eur J Contracept Reprod Health Care 2004;9(4):267-77.

10. Egarter C, Frey Tirri B, Bitzer J et al. Women’s perceptions and reasons for choosing the pill, patch, or ring in the CHOICE study: a cross-sectional survey of contraceptive method selection after counseling. BMC Womens Health 2013;13:9.

11. Deville J. A theory of the quota surveys. Survey methodo- logy 1991;17:163-81.

12. Aubeny E, Buhler M, Colau JC, Vicaut E, Zadikian M, Childs M. Oral contraception: patterns of non-compliance.

The Coraliance study. Eur J Contracept Reprod Health Care 2002;7(3):155-61.

13. Bajos N, Leridon H, Goulard H, Oustry P, Job-Spira N.

Contraception: from accessibility to efficiency. Hum Reprod 2003;18(5):994-9.

14. Inpes (Institut national de prévention et d’éducation pour la santé). Contraception : les Françaises utilisent-elles un contraceptif adapté à leur mode de vie ? Ministère du travail, de l’emploi et de la santé, 2011.

15. Bitzer J, Cupanik V, Fait T et al. Factors influencing women’s selection of combined hormonal contraceptive methods after counselling in 11 countries: results from a subanalysis of the CHOICE study. Eur J Contracept Reprod Health Care 2013;18(5):372-80.

16. Bitzer J, Gemzell-Danielsson K, Roumen F, Marintcheva-Petrova M, van Bakel B, Oddens BJ. The CHOICE study: effect of counselling on the selection of combined hormonal contraceptive methods in 11 countries.

Eur J Contracept Reprod Health Care 2012;17(1):65-78.

17. Nelson AL. Transdermal contraception methods:

today’s patches and new options on the horizon. Expert Opin Pharmacother 2015;16(6):863-73.

18. HAS (Haute Autorité de santé). Contraception : pres- criptions et conseils aux femmes. Fiche Mémo. Saint-Denis La Plaine : HAS; juillet 2013, mise à jour janvier 2015.

Références bibliographiques

0044_LGY 44 19/04/2016 10:34:37

Références

Documents relatifs

-dans le lobe gauche , on retrouve un rehaussement de petites lésions nodulaires de même niveau que celui de l'aorte... temps

Après avoir présenté les équations gouvernant le mouvement de notre système réduit à deux phases en déséquilibre thermique et de vitesse matérielle, nous allons essayer

To determine whether various anatomical regions exhibit different vitamin D production capacities, assessed as production per percentage of BSA, this study initially

Comparison of the- oretical results with different choices of the nuclear average potential: standard choice, isospin- and energy-independent potential (full line with

- manque d’éducation (manque de temps, absence support adapté) ou non adaptée au patient - manque de communication avec autres intervenants ou avec patient/entourage (barrière de

At this micro-tribo-contact scales (i.e. AFM contact scales), glass fibers show the same tribological behavior as at the macro-tribo- contact scales at dry conditions where the

De même, l’Aslec n’est plus trop présente dans les murs des Anciens Abattoirs, par le fait que les différentes Associations sont autonomes… Par contre, la

Pour augmenter la sensibilité de l’examen, on peut le coupler à la recherche de sang occulte dans les selles avec réalisation d’une coloscopie complète en cas de