Louison
REV
Cette im 275 cm
EILLERE
mage ne pos sur 183 cm
MARI
ssède ni art m.
RINE POET
tiste ni date TIQUE
e mais elle mesure
Préface
Mon recueil de poèmes parle en général de la mer. J’ai choisi ce thème car pour moi la mer est à la fois calme et elle peu être énervée. Tous mes poèmes ne parlent pas de la mer comme celui de Victor Hugo que j’ai choisi car le « Soleil Couchant » me fait penser à la mer mais aussi car son poème est très beau. En revanche celui de Cécile Sauvage ne parle jamais de la mer mais je l’ai choisi car j’aime beaucoup les vers qui le composent.
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tableau s’ap re 1908 et servé au Na
ppelle « Sain 1912. Il m ational Musé
nt Georges esure 65,2 éum Wales,
majeur au cm de haut à Cardiff.
crépuscule t sur 92,4
» peint par cm de large
r Claude Mo e. Il est
onet
Premier poème (mur) La vague
Pour se faufiler Dans l’étroit canal
Oui menait au port avant les bassins,
Elles se pressaient, tes vagues, Lors de la marée,
Elles se bousculaient.
Elles avaient besoin Que l’interminable Soit fini pour elles.
GUILLEVIC, Carnac 1961
Deuxième poème (mur)
« SOLEILS COUCHANTS » (fragment) IV
Oh ! sur des ailes, dans les nues, Laissez-moi fuir ! laissez-moi fuir ! Loin des régions inconnues
C’est assez rêver et languir !
Laissez-moi fuir vers d’autres mondes C’est assez, dans les nuits profondes, Suivre un phare, chercher un mot.
C’est assez de songe et de doute.
Cette voix que d’en bas j’écoute, Peut –être on l’entend mieux là-haut.
Allons ! des ailes ou des voiles ! Allons ! un vaisseau tout armé ! Je veux voir les autres étoiles Et la croix du sud enflammé.
Peut-être dans cette autre terre Trouve-t-on la clef du mystère Caché sous l’ordre universel : Et peut-être aux fils de la lyre Est-il plus facile de lire
Dans cette autre page du ciel ! (août 1828)
Victor HUGO, Les Feuilles d’automne 1831
Troisième poème (mur)
« AIR » Oubli
porte fermée
Sur la terre inclinée Un arbre tremble Et seul Un oiseau chante Sur le toit
Il n’y a plus de lumière Que le soleil
Et les signes que font tes doigts
Pierre REVERDY, Plupart du temps 1945
Premier poème (de mon choix) La mer
Nérée Beauchemin
Loin des grands rochers noirs que baise la marée, La mer calme, la mer au murmure endormeur, Au large, tout là-bas, lente s’est retirée,
Et son sanglot d’amour dans l’air du soir se meurt.
La mer fauve, la mer vierge, la mer sauvage, Au profond, pour dormir, loin, bien loin du rivage Sous le seul regard pur du doux ciel étoilé.
La mer aime le ciel : c’est pour mieux lui redire, A l’écart, en secret, son immense tourment, Que la fauve amoureuse, au large se retire, Dans son lit de corail, d’ambre et de diamant.
Et la brise n’apporte à la terre jalouse, Qu’un souffle chuchoteur, vague, délicieux : L’âme des océans frémit comme une épouse Sous le chaste baiser des impassibles cieux.
BEAUCHEMIN, NEREE, « La mer », Les floraisons matutinales, Trois-Rivières, Victor Ayotte, 1897
Deuxième poème (mon choix)
Souvent le cœur qu’on croyait mort
Souvent le cœur qu’on croyait mort N’est qu’un animal endormi ;
Un air qui souffle un peu plus fort Va le réveiller à demi ;
Un rameau tombant de sa branche Le fait bondir sur ses jarrets Et, brillante, il voit sur les prés Lui sourire la lune blanche.
CECILE SAUVAGE, Mélancolie.
Premier poème (moi)
« La plage »
Sur la plage, où roulent les galets, Les vagues grandissent sous la tempête, Giclent sur les rochers,
Et se calment à l’arrêt du vent.
Le phare éclaire la nuit étoilée, Guidant les bateaux vers la fête Jusqu'à la plage illuminée.
Où brule un grand feu de camp.
REVEILLERE Louison 2017.
Ce t Bret
tableau a é tagne qui s
été peint p s’appelle ph
par Serge hare breto
DOCEUL.
on.
C’est une peinture dde