• Aucun résultat trouvé

Effets de cohérence Zeeman dans une vapeur atomique excitée par des électrons lents

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2021

Partager "Effets de cohérence Zeeman dans une vapeur atomique excitée par des électrons lents"

Copied!
12
0
0

Texte intégral

(1)

HAL Id: jpa-00206458

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00206458

Submitted on 1 Jan 1966

HAL

is a multi-disciplinary open access archive for the deposit and dissemination of sci- entific research documents, whether they are pub- lished or not. The documents may come from teaching and research institutions in France or abroad, or from public or private research centers.

L’archive ouverte pluridisciplinaire

HAL, est

destinée au dépôt et à la diffusion de documents scientifiques de niveau recherche, publiés ou non, émanant des établissements d’enseignement et de recherche français ou étrangers, des laboratoires publics ou privés.

Effets de cohérence Zeeman dans une vapeur atomique excitée par des électrons lents

Odette Nedelec

To cite this version:

Odette Nedelec. Effets de cohérence Zeeman dans une vapeur atomique excitée par des électrons lents. Journal de Physique, 1966, 27 (11-12), pp.660-670. �10.1051/jphys:019660027011-12066000�.

�jpa-00206458�

(2)

660.

EFFETS DE

COHÉRENCE

ZEEMAN

DANS UNE VAPEUR

ATOMIQUE EXCITÉE

PAR DES

ÉLECTRONS

LENTS

Par ODETTE

NEDELEC,

Laboratoire de

Spectrométrie Physique,

Faculté des

Sciences,

Grenoble.

Résumé. 2014 On étudie les

phénomènes

résonnants observés sur la lumière de fluorescence issue d’un ensemble

unique

et

complet

de sous-niveaux Zeeman

équidistants

d’une vapeur

atomique

excitée. Ces effets sont

exprimés

en fonction de la lumière émise en

champ nul,

indé-

pendamment

du

procédé

d’excitation et du moment

cinétique

des niveaux. On considère suc-

cessivement le cas où le niveau

duquel

est issue la lumière observée est excité directement à

partir

du

fondamental, puis

le cas d’une désexcitation par cascade. En

présence

d’un

champ

de

radiofréquence,

les

équations

des diverses courbes de résonance sont obtenues sans avoir à résoudre

d’équations couplées.

Abstract.2014A

study

is made of the resonant effects observed on the fluorescent

light

emitted

from a

unique

and

complete

set of

equally spaced

Zeeman sublevels of an excited atomic gas.

These effects are

expressed

as a function of the

light

emitted in the absence of a

magnetic field, independently

from the excitation process and from the

angular

momenta of the levels.

We first consider a level

directly

excited from the

ground

state, then a cascade

decay.

Within

a radiofrequency field,

the resonant

equations

are calculated without

having

to solve

coupled equations.

PHYSIQUE 27, 1966,

Introduction. -

L’experience

de double réso-

nance de Brossel

[3]

a 6t6

transpos6e

4 1’excitation

électronique [2]

et

interpretee partiellement

dans ce

cas a 1’aide de la formule de

Majorana,

une inter-

pr6tation complete

avec cette methode n6cessitant la connaissance des

populations

des différents sous-

niveaux Zeeman.

Depuis,

divers autres effets r6son-

nants ont 6t6 mis en evidence par excitation

optique,

effets liés à la

presence

d’une « aimantation trans-

versale

globale

» dans la vapeur

[4].

Le but de cet

article est de

d6velopper

un formalisme

permettant

l’interpr6tation quantitative

des effets r6sonnants

obtenus

apr6s

excitation

6lectronique,

en tenant

compte

de la désexcitation par cascade.

Signalons

que des travaux r6cents

[8]

ont

permis

une

généra-

lisation de

1’expression

des effets r6sonnants dans

une vapeur

atomique

excitée par voie

optique.

Dans le cas d’une excitation

optique,

il est pos- sible de d6crire le

systeme

excite par une matrice densit6 et de calculer les intensit6s observ6es en

appliquant

les diff6rentes

r6gles

de 1’6mission lumi-

neuse

[4]. Or,

dans le cas de 1’excitation 6lectro-

nique,

il est difficile d’ecrire la matrice

d’excitation,

le processus d’excitation 6tant peu connu. Nous allons considérer la lumière de

fluorescence

issue d’un

ensemble

unique (1)

et

complet

de sous-niveaux

(1)

Nos résultats ne sont pas valables : si l’observa- tion porte sur

plusieurs

ensembles de cous-niveaux

Zeeman,

appartenant a des niveaux

hyperfins,

par

exemple ;

au

voisinage

d’un croisement de deux sous- niveaux appartenant a des niveaux differents

(voir [5]) ;

si un

champ

de

radiofrequence

6tablit des transitions appartenant a des niveaux differents.

Zeeman

iquidistants.

Nous supposerons que l’itat

fondamental

n’est ni

aligni,

ni orienti et que le seul temps de relaxation dans l’itat exciti est la durée de vie radiative. Dans ces

conditions,

nous montrons

que la lumiere de

fluorescence, apr6s

excitation

électronique,

peut etre décrite 4

partir

de

grandeurs

directement accessibles a

1’experience :

le taux de

polarisation

de la lumiere 6mise en

champ

nul et la

direction du

jet

d’61ectrons.

Le formalisme que nous utilisons au

depart

est

celui de la matrice

densit6,

mis au

point

par Barrat

et

Cohen-Tannoudji [4]

pour d6crire les divers effets r6sonnants

apparaissant

sur la lumiere 6mise par

une vapeur excitée par une

source optique

ordinaire

(lampe

a

décharge).

Dans une

premiere 6tape

nous

adaptons

ce formalisme de

fagon

a éviter de faire

intervenir la nature

physique

du

procédé

d’exci-

tation,

ainsi que les elements individuels de la matrice densit6

(paragraphe I).

Nous montrons

ensuite que la lumiere 6mise en

champ

nul

peut

6tre décrite a I’aide d’un nombre limit6 de

parametres expérimentaux (paragraphe II).

Puis nous 6tudions

1’6volution dans un

champ magnétique,

d’un niveau

excite directement a

partir

du fondamental

(para- graphe III)

ou excite par emission

spontanee

issue

d’un niveau

d’énergie supérieure (paragraphe IV).

1. Generalites sur le traitement

di6orique.

-

A)

COMPARAISON DE L’EXCITATION OPTIQUE ET ELEC- TRONIQUE. - L’excitation

électronique

telle que

nous la faisons dans nos cellules

(voir [2])

satisfait

aux conditions de validit6 de la th6orie utilis6e pour

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphys:019660027011-12066000

(3)

d6crire un etat excite par une source

optique

« large » [4].

Dans les deux cas :

- L’onde lumineuse 6mise par les atomes excites n’a pas de

phase

d6finie.

- La

dispersion d’energie A

de la raie excitatrice

ou du

jet

d’61ectrons est

grande

devant la

largeur

naturelle de 1’etat excite et devant 1’ecart Zeeman des

sous-niveaux ;

il en resulte que la « duree )) du processus d’excitation d’un atome,

qui

est de l’ordre

de 1

/A,

est un temps tres court devant les autres

temps

du

systeme (durée

de

vie, p6riode

de

Larmor) ;

en outre,

plusieurs

sous-niveaux peuvent etre excites simultan6ment dans le meme atome, les

populations

de ces niveaux 6tant

indépendantes

de l’intensit6

et de la direction des

champs magn6tiques appli- ques.

- L’intensit6 excitatrice est suffisamment faible pour n’avoir pas d’action ult6rieure sur 1’6tat excite.

Notons que 1’6mission de lumi6re par un atome est consideree

6galement

comme un processus instan-

tan6,

sa « duree )) 6tant de l’ordre de l’inverse de la

frequence

de la raie 6mise.

Les caract6res différents des modes d’excitation

optique

et

6lectronique

sont essentiellement :

- L’excitation

6lectronique

permet d’atteindre

non seulement le niveau de resonance

optique,

mais

n’importe quel

niveau

excite ;

il faudra donc tenir

compte des

ph6nom6nes

de d6sexcitation par cascade.

- L’excitation

électronique

de

produit qu’un aligne-

ment, c’est-a-dire que deux 6tats propres de

signes opposes (mL

et -

mL)

du meme moment orbital L

sont

6galement peuplés.

Des considerations

simples

de

symetrie permettent

de

justifier

cette pro-

pri6t6 [1].

La lumiere 6mise en

champ

nul est par- tiellement et

rectilignement polaris6e.

- Dans une excitation

optique, l’impulsion

du

photon

est

n6gligeable

devant

l’impulsion

des

atomes dont

l’ énergie ein6tique

est

l’ énergie

ther-

mique

4 la

temperature

ordinaire. Par c,ontre,

l’impulsion

de l’ilectron est du même ordre de

grandeur

que

l’impulsion

des atomes. La vitesse ainsi commu-

niqu6e

ne sera consideree que lors de 1’6valuation des limitations des dur6es de vie

atomiques

dues

aux collisions contre les

parois

des electrodes.

- L’intensit6 du courant est insufflsante pour permettre d’obtenir un « pompage

6lectronique

)) du

fondamental,

6tant donne que la relaxation des atomes est

complete

lors d’un choc contre les 6lee-

trodes.

B)

DESCRIPTION DE L’ETAT EXCITE. - Grace au

caractere instantane des processus d’excitation et

d’6mission,

la vitesse de variation de la matrice densite d6crivant 1’6tat excite est la somme de trois

termes

(voir [4]).

d (1)

dt

O"mm decrit le processus d’excitation. On posera

GO etant la matrice d’excitation.

d(3)

dt

amm, decrit l’évolution propre dans le niveau

dt

excite et est donn6 par le commutateur -

i(JC, o),

Je etant le Hamiltonien du niveau excite. Dans le

cas ou seul un

champ magnetique Ho dirig6

suivant

1’axe de

quantification

Oz est

applique,

les termes

de ce commutateur sont

egaux

à

a condition que le moment

ein6tique

total soit un

bon nombre

quantique.

we est la

pulsation

de

Larmor dans le niveau excite considere : coe = gV-B

Ho, g

= facteur de

Landé,

(LB =

magnéton

de

Bohr.

d(2)

décrit l’émission Nous

dt

amm, décrit l’émission

spontanee.

Nous Ie

prenons

6gal

4 -

famm’,

r etant l’inverse de la duree de vie r du niveau excite.

Pour d6crire 1’6tat excite par bombardement elec-

tronique,

il faudrait donc connaitre la matrice d’excitation aO.

Puisque

Ie

jet

d’electrons ne

possede

aucune direction

privil6gi6e

autour de sa direction

de

propagation,

et que nous supposons que l’état fondamental a la

symetrie sph6rique,

il en resulte

que le

systeme excite,

consid6r6 immédiatement

apr6s 1’excitation, poss6de

la

symétrie cylindrique

autour de la direction

du jet.

Si

le jet

est

parallele

a I’axe de

quantification Oz,

les

phases

des coef-

ficients am du

d6veloppement

de la fonction d’onde d’un atome excite

(t-O) - E am(t==O) 1m >

varient

m

de

façon

al6atoire d’un atome a

l’autre,

et la valeur

moyenne, pour 1’ensemble des atomes

excites,

des

produits a.(t.0) a’(t=O)

est nulle si m =1= m’. La

matrice

am(t=O) . a’(t=O)’

dicrivant l’excitation instan-

tanée,

est donc

diagonale

si le

jet

d’electrons est

parallèle

à l’axe de

quantification

Oz. Nous

1’ecrirons,

dans ce

cas, ago

Si la direction du

jet

est

quelconque

par rapport aux axes de

quantification,

nous obte-

nons la matrice cO en

transformant 6o

par rotation

(voir appendice) :

Cette transformation est valable en

presence

de

champ magn6tique, puisque

nous avons

suppose

que la

r6partition

des moments

cin6tiques

créés lors de

1’excitation est

indépendante

du

champ. Rappelons qu’aucune r6gle

de selection ne

permet

de d6ter- miner les termes de

ao.

Les axes de

quantification

seront d6finis de la

(4)

fugon

suivante : Oz a la direction et le sens du

champ magn6tique Ho ;

le

plan jet-champ

permet de determiner

Ox, perpendiculaire

4

Oz ; Oy

est

tel que le tri6dre

Ox, Oy,

Oz soit direct

( fig.1).

C)

INTENSITE LUMINEUSE OBSERVEE. -

Rap- pelons

que la

quantite

de lumi6re 6mise par unite de

temps

dans un

angle

solide A92 autour d’une direc- tion donn6e et avec un 6tat de

polarisation

ex donne

s’ecrit

[4],

a une constante

multiplicative

B

pres :

Toutes les constantes sont

group6es

dans le

terme

Io qui

est

proportionnel

a l’intensit6 totale 6mise et 4

l’angle

solide observe.

ex : est un vecteur unitaire

rep6rant

la

polari-

sation d’ observation.

(L :

d6signe

un sous-niveau du niveau

final.

D : est

l’op6rateur

moment

dipolaire 6lectrique.

Nous avons introduit la constante T’ pour norma-

liser la matrice densite.

Afin d’obtenir une

expression

des intensit6s obser- v6es

indépendante

des elements individuels de la matrice

densite,

nous

remplaçons

les coefficients de

Clebsch-Gordan, qui

sont

g6n6ralement utilisés,

par les

composantes

standard

Dq

de

l’op6rateur

moment

dipolaire 6lectrique

D. D est un

op6rateur

vectoriel

hermitique

et, par definition :

§, ’r),

sont les vecteurs unitaire des axes

Ox, Oy,

Oz.

(Notations

de Blatt et

Weisskopf).

L’intensite observ6e

peut

ainsi Atre mise sous la forme :

Le

probl6me

du calcul des intensit6s consiste à 6valuer la valeur moyenne dans I’atome de chacun des neuf

operateurs D q D:.

Les seules

polarisations

d’observation

qui

permettent d’observer les transi- tions

correspondant

a un seul

op6rateur Dq D+

sont 6+, a-- et 7u pures

qui

sont

orthogonales.

Le

produit

tensoriel de deux

op6rateurs

tensoriels irr6ductibles Tk1 et Tk8 peut etre mis sous forme

d’operateurs

tensoriels irréductibles Tk dont les

composantes

sont

[7] :

En utilisant la formule

(5)

et le fait

que Dq = T q 1) et DQ

=

(- 1)q D-a,

on peu construire des

op6ra-

teurs tensoriels irr6ductibles

TQ (k

=

0, 1, 2)

à

partir

de combinaisons linéaires des

Dq D:.

Confor-

mement aux notations utilis6es par d’autres

auteurs

[8]

nous

appelons ao

la valeur moyenne d’un

op6rateur Tk

_ -

Ces valeurs moyennes

repr6sentent respecti-

vement :

k = 0 : la

population globale

du niveau

(scalaire)

ou la lumi6re totale

6mise,

k = 1 : l’orientation

(3 composantes)

ou la

lumiere 6mise

polaris6e circulairement,

k = 2 :

Falignement (5 composantes)

ou la

lumiere 6mise

polaris6e rectilignement.

D’apr6s

le th6or6me de

Wigner-Eckart,

les élé-

ments de matrice

JmlTklJm’

> sont propor- tionnels aux coefficients de Clebsch-Gordan

Jkm’ql Jm

>. Un

opérateur Ta

a donc des élé-

ments de matrice entre des sous-niveaux tels que

m - m’ = q. Pour que chacun de ces

op6rateurs

soit defini de

facon precise,

il

faut,

en outre, calculer 1’element de matrice r6duit

correspondant

a

chaque

groupe k en fonction du moment

cin6tique

des

niveaux entre

lesquels

se fait la transition

[6].

En

fait,

nous verrons que ce calcul est inutile dans

notre cas, la

correspondance

etablie avec les

op6ra-

teurs

Dq Dt permettant d’exprimer

la valeur

moyenne de chacun de ces

op6rateurs Tkq

en fonction

de la lumiere 6mise en

champ

nul. Pour

exprimer

l’intensit6 observ6e a I’aide des

op6rateurs Tk

on

doit définir une fonction de la

polarisation

d’obser-

vation

O§(6x),

telle que :

(5)

663 Pour

cela,

on peut

proc6der

par

identification,

de

manière à obtenir les memes résultats

qu’avec (4).

Dans le cas d’une

polarisation

d’observation recti-

ligne, reperee

par les

angles polaires P’

et oc’

(angles d’Euler, fig. 3),

on obtient ainsi :

II.

Description

de la lumiere emise en

champ

nul.

- Nous d6crirons la lumiere 6mise en

champ

nul

par l’interm6diaire de valeurs moyennes

d’opera-

teurs.

On ne consid6rera ici que des

proc6d6s

d’excitation

poss6dant

un axe de

symétrie.

Pour que la

descrip-

tion de la lumière de fluorescence soit la

plus simple possible,

nous choisissons 1’axe de

quantification

Oz

selon 1’axe de

symetrie

de 1’excitation

(2) :

la matrice

d’excitation 6°

(= erg)

est

diagonale,

et les seuls

op6rateurs Dq D+ pouvant

avoir une valeur moyenne

non nulle sont alors les trois

op6rateurs

«

longi-

tudinaux o. Ces valeurs moyennes seront les «

polari-

sations de

difinition

» : :

Ces

polarisations

sont directement accessibles a

l’expérience:

il suffit de mesurer les intensités 6mises avec la

polarisation

propre a chacun de ces

trois

opérateurs,

le

champ magn6tique

6tant nul.

Dans le cas de 1’excitation

électronique,

la lumiere

6mise est

polarisee rectilignement (polarisation

par-

tielle) : Ia+

= 10-. L’état excite peut alors etre decrit a 1’aide seulement de deux

parametres.

Nous

adopterons

les intensités

Il

et

III qui d6signent respectivement

les intensités observ6es en

champ

nul avec une

polarisation //

ou 1 au

jet 6lectronique.

Les

polarisations

de d6finition seront donc

(voir [8]) :

(2)

Precisons la direction de (( l’axe de

symetrie

de

1’excitation », dans des cas

particuliers :

Excitation

electronique :

direction de

propagation

du

jet d’electrons ;

lumi6re naturelle : direction de propa-

gation

du

faisceau,

lumi6re

polarisee

circulairement : direction de

propagation

du

faisceau ;

lumi6re

polaris6e rectilignement :

direction du vecteur

6lectrique.

Ces

procedes d’excitation, qui poss6dent

un axe de

symétrie,

sont les seuls utilises en

pratique.

Ces notations conviennent

6galement

pour d6crire

un

systeme

excite par une lumiere dont la

polari-

sation

rectiligne

aurait même direction que le

jet

d’electrons ou par une lumière naturelle se propa- geant dans la meme direction que

le jet d’61ectrons,

c’est-a-dire tous modes d’excitation cr6ant un

aligne-

ment dans 1’etat excite.

Exprimons

les valeurs

moyennes des

op6rateurs Ta

a 1’aide de

[5],

de

[8],

et de

[9] :

Les valeurs moyennes des

op6rateurs,

d6crivant

1’excitation du

syst6me

par un

jet

faisant

I’angle Pi

avec 1’axe de

quantification,

seront :

Une

transformation

unitaire ne

changeant

pas la trace, nous pouvons

effectuer

la

transformation

sur

l’ 0 pérateur

et non sur la matrice densité :

En

resume,

la

description

de 1’etat excite necessite la connaissance de tous les termes de la matrice densite ou de la valeur moyenne d’un nombre

d’op6-

rateurs

orthogonaux 6gal

au nombre des termes de

la matrice densite. Le fait que l’observation

porte

sur une transition

dipolaire ilectrique (c’ est-à-dire

se

fait par l’interm6diaire d’un

photon

de moment

cin6tique 1)

entraine que la connaissance des valeurs moyennes de neuf

op6rateurs

au maximum

(Dq DQ

ou

Ta)

est n6cessaire pour d6crire la lumi6re de fluo-

rescence. De

plus,

la connaissance des

symgtries

dans

le

procidi

d’excitation et le choix de l’orientation des

axes de

quantification

permet de r6duire encore le nombre de

parametres

n6cessaires pour d6crire la lumiere 6mise en

champ

nul.

Si on peut trouver un axe de

quantification tel

que la matrice d’excitation soit

diagonale,

la lumière de

fluorescence s’exprime

en

fonction

seulement de trois

paramètres

que nous avons

appel6s

les

« polarisations

de d6finition )). Dans ce cas, la

description

de la

lumiere 6mise en

champ

nul par l’interm6diaire des

op6rateurs

tensoriels irréductibles utilise trois

(6)

donn6es

exprimees

en fonction des trois «

polarisa-

tions de definition )) :

L’intensiti totale

proportionnelle

h :

Le « taux

d’orientation »

:

Le « taux

d’alignement » :

:

Pll

-

P.L IPII + 2P.L-

L’excitation

electronique produisant

un

aligne-

ment pur, deux

parametres

suffisent pour d6crire la lumi6re émise : l’intensit6 totale et le taux d’ali- gnement fournis par les mesures de

Ill

et

Ij..

Rappelons qu’une

excitation

optique

est dite en

«

polarisation

incohérente » ou en «

polarisation

coherente )) selon que la matrice d’excitation est dia-

gonale

ou non

[4],

c’est-a-dire selon que les

op6ra-

teurs transversaux

(T k, q 0 0)

ont une valeur

moyenne nulle ou non nulle. De

même, l’excitation electronique

peut introduire de la « coherence hertzienne » dans un

systeme atomique,

a condition

que le

jet

d’electrons ne soit pas

parallele

a 1’axe de

quantification

Oz determine par la direction du

champ magnétique.

Les

phenomenes

observés par

excitation

optique

en

polarisation

« coh6rente » ou

« incohérente » peuvent

respectivement

se

généraliser

a 1’excitation

electronique

« transversale » ou

« longi-

tudinale ».

I I I.

Evolution

dans un seul niveau. -

A)

CHAMP

MAGNETIQUE DE DIRECTION FIXE. - Pour d6crire 1’evolution du

syst6me

sous 1’eflet d’un

champ magnétique,

on

prend

la direction du

champ magn6- tique

comme axe de

quantification.

Nous avons vu

qu’un

terme (Jmm’ de la matrice densit6 est alors solution de

1’6quation

différentielle

(voir (1)) :

Chaque op6rateur T"

intervenant dans

1’expres-

sion de l’intensit6

observ6e,

a des elements de matrice entre un ensemble de

couples

de sous-

niveaux dont la difference

(m

-

m’)

est

6gale

a q.

Le calcul de sa valeur moyenne

aQ

fait donc inter- venir les termes de la matrice densite tels que

m - m’ = - q. Par

consequent

La matrice d’excitation (j°

peut d6pendre

du

temps ; on pose

expression qui

d6finit

pk.

Si 1’excitation est

continue,

le calcul de

Tr [ cpO . T§]

est irnm6diat

((10), (11))

en fonction des

polari-

sations de definition.

Citons,

comme

experiences

de

ce type " la

dépolarisation magn6tique,

les reso-

nances obtenues en modulant l’intensit6 du

champ magn6tique Ho.

Si 1’excitation est

modul6e,

la fonc-

tion du temps se met en facteur sur tous les termes de la matrice d’excitation et il

suffira,

en outre, de connaitre cette fonction du temps pour determiner la valeur moyenne d’un

op6rateur quelconque ;

on

obtient dans le cas d’un

champ statique

Soit

Les

ph6nom6nes

r6sonnants observes dans un

champ statique,

1’excitation 6tant continue ou

modul6e en

intensité,

sont etudies en detail dans

[1].

Remarquons

que dans un

champ magnetique

de

direction

fixe,

seuls les

op6rateurs

transversaux

(q

;

0)

ont leur valeur moyenne modifi6e

(dans

le

sens d’une

diminution)

au cours de 1’evolution. II faudra

donc,

pour observer un

phenomene

r6sonnant

dans un

champ magnetique

de direction

fixe,

que 1’excitation introduise de la coherence hertzienne dans le

systeme atomique

et que la

polarisation

d’observation soit « coh6rente » faisant intervenir

un

op6rateur

transversal dont la valeur moyenne en

champ

nul est differente de zero.

B)

CHAMP DE RADIOFREQUENCE

2H 1

cos Wt PER-

PENDICULAIRE AU CHAMP STATIQUE

Ho.

- Les

exp6-

riences de ce type, li6es a une excitation

optique

sont bien connues. Si 1’excitation est en «

polari-

sation incoherente », la mesure du taux de

polari-

sation de la lumiere 6mise en fonction de l’intensit6 du

champ magnetique statique

conduit a des courbes

de resonance du type

Brossel-Majorana (1950) [3].

Dans le cas

general,

on peut

observer,

en outre, des modulations de la lumi6re 6mise

(light-beats).

La

th6orie de ces effets a ete faite par Barrat

[3]

et par Series et al.

[3] qui

ont vérifié

exp6rimentalement

un

grand

nombre de resonances de ce type dans le

cas d’un niveau J = 1. Nous allons montrer que,

quelle

que soit la nature

physique

de

l’excitation,

et

quels

que soient les moments

cinitiques

des

niveaux,

si les

polarisations

en

champ

nul sont les

memes,

on

obtiendra des courbes de risonance semblables.

Pour d6crire 1’evolution de l’atome

excite,

sous

1’effet des deux

champs magn6tiques,

on se ramenera

au cas d’un

champ magn6tique unique

en

quanti-

fiant dans le ref erentiel du

champ

effectif

[3]

tour-

(7)

nant a la

frequence

du

champ

de

radiofréquence (fig. 2).

Le

fait

de choisir le

champ effectif

comme axe

de

quantification Oz permet

le calcul immidiat de la

matrice

densité à l’ état stationnaire de

fagon

indé-

pendante

du moment

ein6tique

du niveau. La

méthode que nous d6crivons ici est presque ana-

logue

a celle de

Barrat,

a ceci

pres

que Barrat con-

serve la direction Oz du

champ Ho

pour axe de

quantification

dans le ref erentiel tournant. Les

nouveaux axes

(OZ, OX, OY)

que nous prenons pour

axes de

quantification (fig. 3)

sont obtenus a

partir

des axes

primitifs (Oz, Ox, Oy)

par rotation

d’angles

d’Euler oc =

cot,

= arc tg

H, _, y == HO-H

Y 0

(voir

appendice, fig. 3)

où H est tel que

gtlb H

= (ù.

Les diff6rentes

etapes

du calcul sont les suivantes :

- On

exprime

la matrice d’excitation a° =

6ezp

dans le référentiel tournant du

champ

effectif

- On calcule la matrice densite selon

l’équa-

tion

(13),

le

champ agissant

etant le

champ

effee-

tif

Hetp. Appelons

aeff la solution obtenue en

regime

stationnaire

(t » 1/r).

La matrice densite dans le ref erentiel de

1’experimentateur

est, en

regime

stationnaire :

-

Enfin,

on calcule l’intensit6 observ6e

(6q. (6)).

Pratiquement,

on

opere

dans l’ ordre inverse : la valeur moyenne

cr; de chaque op6rateur

devra etre

exprimée

en faisant intervenir la matrice densite dans le référentiel du

champ

effectif.

II faut connaitre comment

ag depend

du temps

pour

pouvoir

calculer la matrice densite O"eff. Posons :

q;ff

ne

depend

pas du temps.

Décomposons

les rotations faissant passer de

6egp

à

Jga (voir appendice) :

La rotation

(cx)

fait

apparaitre

des fonctions du temps sur les termes non

diagonaux

de

segp

D6composons

cette matrice en sous-matrices con- tenant des termes A une seule

fréquence n :

La transformation de l’une de ces sous-matrices dans la rotation

(?)

fournit la matrice

(pexp :

En tenant compte de 1’evolution du

syst6me (voir éq. (29)) :

- En reportant

(20)

dans

(17), 6q

peut etre mis

sous la forme :

En

effet, 1’expression

de la trace d’un

op6ra-

teur

Tq

fait intervenir les termes de la matrice densite O’eff tels que mil - m"’ = - q’ ; le terme d’6volution

correspondant

à

l’opérateur q’

sera done:

- D’autre part, en utilisant

1’6quation (19) :

La restriction

(m -

m’ =

n) portant

sur le choix

des termes de

aexp impose l’op6rateur T., qui

inter-

viendra dans la trace, c’est-h-dire

qui

a des elements

(8)

de matrice entre des sous-niveaux tels que

m -

m’ - - n, d’où q"

= - n. La valeur

moyenne d’un

op6rateur

dans le relerentiel de

1’experimentateur

est donc finalement :

(al-*-)o s’exprime

en fonction des

polarisations

de

definition

(10), (11).

(1)

decrit 1’excitation dans le r6f6rentiel tournant

du

champ effectif ;

Uq’,n décrit 1’evolution dans ce

meme

référentiel ;

les deux

premiers

termes d6cri-

vent le retour du r6f6rentiel de

1’experimentateur.

Cette formule

(22)

montre que les divers

types

de

resonance observes

dependent

des combinaisons de

- q"

et

q qui

servent a d6crire

1’(excitation (10), (11)

et l’ observation

(7) respectivement,

ces resonances

etat observables a la

frequence Iq - q’I w.

On

obtient ainsi :

- Pour 1’orientation : 5

types

de courbes obser- v6es aux

fréquences 0,

co, 2 w.

- Pour

l’ alignement :

13 types de courbes obser- v6es aux

fréquences 0,

co,

2 w, 3 w,

4 w.

La formule de

Majorana-Brossel [3]

est un cas

particulier

de

1’equation (22),

dans

laquelle q"’

= 0

(excitation longitudinale)

et q = 0

(observation

en

polarisation

incoherente ou a

frequence nulle).

C)

CONCLUSION. - De-cette

etude,

resumee dans les formules

(16)

et

(22)

et concernant la lumière 6mise

apr6s

evolution dans des

champs magn6- tiques

par un ensemble

unique

et

complet

de sous-

niveaux Zeeman sans effet de

cascade,

on peut d6duire un certain nombre de

faits, parmi lesquels

nous

soulignerons

ceux

qui

sont nouveaux ou

qui

ont

ete j ustifies

de

facon precise.

- L’intensité

observ6e, apr6s

evolution dans un

champ magnétique,

peut

s’exprimer

en fonction de l’intensit6 6mise en

champ

nul. L’intensite 6mise n’est pas fonction des elements individuels de la matrice

densite,

mais de trois combinaisons linéaires de ces elements

correspondant

a la

population totale,

a

l’orientation,

a

1’alignement,

d6crits a 1’aide des

op6rateurs

tensoriels irréductibles k =

0,

1 et 2. La

valeur moyenne de Tk=O) est invariante par rota-

tion,

ainsi que sous I’influence d’un

champ magn6- tique.

Des resonances ne peuvent donc etre obser- v6es que si 1’excitation cree une orientation

(k

=

1)

ou un

alignement (k

=

2),

et l’intensité des riso-

nances sera

proportionnelle

au taux d’orientation ou au taux

d’alignement.

- A l’intirieur de

chaque

ensemble k les

gquations

des courbes de résonance sont les mêmes et ne

dipen-

dent ni du moment

cinétique

du

niveau,

ni de la

matrice d’excitation. Ces deux derniers facteurs peuvent

cependant

intervenir dans la forme des courbes de resonance

observ6es,

dans le cas ou

l’exr,itat,ion ne

produit

pas une orientation ou un

alignement

purs : si l’observation

enregistre

la super-

position

de

signaux

des deux

f amilles,

le r6sultat

d6pendra

de la contribution de chacune d’elles.

- Tous les

phenomenes

r6sonnants obtenus

apr6s

excitation

électronique

sont

identiques

à ceux

qui

ont

ete decrits par excitation

optique

en lumière recti-

ligne [3].

La direction du

jet joue

le même rôle que la

direction de la

polarisation

excitatrice. La transition observ6e et Ie

procédé

d’excitation n’interviennent que dans la valeur du taux

d’alignement

dont

depend 1’amplitude

de 1’ensemble des courbes obtenues.

Quand

la relaxation dans le niveau r6sonnant n’est

plus uniquement

constituee par l’émission

spontanee,

des extensions de cette th6orie peuvent

etre

envisag6es

en utilisant les resultats de

1811-

IV.

gvolution

dans

plusieurs

niveaux successifs.

-

A)

RAPPELS ET GENERALITES. - Dans des

travaux ant6rieurs

[2]

la resonance d’un niveau de

configuration 3F4

a 6t6 observ6e sur la transition 6

3D3

- 6

3P2

du mercure. Cet effet a ete

interpr6t6

par la transmission de la

polarisation

dans une cas-

cade de désexcitation.

Depuis,

divers autres effets

r6sonnants ont ete mis en evidence sur la meme transition du mercure :

dépolarisation magnétique, precession

coh6rente par excitation

modul6e,

batte-

ments lumineux

[9].

Ces effets r6sonnants

apparais-

sent pour des valeurs du

champ magn6tique

corres-

pondant

aux conditions de

r6sonance,

non pas dans le niveau

6 3D3,

mais dans un niveau

superieur

de

configuration 3F4.

Nous donnons ici

l’interpr6tation

de ces effets de cascade en faisant intervenir la lumiere 6mise en

champ

nul.

Nous consid6rerons d’abord une cascade 4 deux transitions. Les niveaux

superieur,

intermediaire et

final,

ainsi que leurs moments

cin6tiques,

sont d6si-

gn6s

par

F,

D et P

respectivement,

un de leurs

sous-niveaux etant

designe

par

f , d,

p. On supposera

que le

niveau

supirieur

F est atteint directement par l’excitation

ilectronique,

et que D est

peuplé unique-

ment par émission

spontanée

à

partir

de F.

La variation de la matrice densite dans le niveau

D,

due a la

premiere

transition de d6sexci- tation

F --+ D,

est

[4] :

(9)

CP et 6D

representent

la matrice densite dans les niveaux F et D

respectivement.

Nous poserons :

aO-D 6tant la matrice d’excitation dans le niveau D.

B)

CHAMP MAGNETIQUE DE DIRECTION FIXE. - L’intensité excitatrice

pouvant

etre

modul6e,

posons :

expression qui

définit

pif .

Comme nous l’avons vu

précédemment (15),

la

matrice densite dans Ie niveau F est, en

régime

stationnaire

(t»

1

ff F) :

La matrice d’excitation dans D est obtenue en

reportant (24)

dans

(23).

Posons :

Un terme de la matrice d’excitation de D peut ainsi

s’6crire,

en tenant

compte

de 1’evolution dans F :

6oov serait la matrice d’excitation dans

D,

a condi-

tion que tous les

rF

UP soient

egaux

a

1,

c’est-a-dire

en dehors de toute evolution dans le niveau F.

(Ceci

est effectivement realise

quel

que soit

r p quand

le

champ magn6tique

et la

frequence

d’exci-

tation sont

nuls.)

La variation totale de la matrice densite dans

D,

due a 1’excitation par

F,

a 1’evolution dans le

champ magn6tique,

a la

désexcitation,

etant :

la matrice densite dans D est en

regime

stationnaire

La valeur moyenne de

l’opérateur Tl,l qui

decrit la

lumiere 6mise sur la transition D - P est donc

(voir eq. (16)) :

OOD

est une matrice

indépendante

du temps et Tr

[pi°D . Tj]

se calcule par l’intermédiaire des for- mules

(10), (11)

en fonction des

grandeurs III

et

Il

sur la transition D -* P. L’evolution du

systeme

pour une cascade a deux niveaux r6sonnants est

decrite par le

produit

de deux termes u de même

forme,

au lieu d’un seul dans le cas de 1’excitation directe

(formule (16)) :

la coherence introduite par le niveau F dans le niveau D ne peut

s’y

maintenir

que si une condition de resonance

analogue

4 celle

qui

est r6alis6e dans le niveau F est

6galement

r6ali-

sée dans le niveau

D ;

de meme pour une cascade a trois ou quatre niveaux r6sonnants

successifs,

il

y aurait trois ou quatre termes u. Les

equations

ainsi obtenues sont

explicit6es

enti6rement et les courbes de resonance construites

graphiquement,

dans le cas d’un

champ magn6tique statique, l’exci-

tation etant continue ou modul6e

[1].

C)

CHAMP DE RADIOFREQUENCE, PERPENDICU- LAIRE AU CHAMP STATIQUE. - Nous devons d6crire 1’evolution de 1’atome dans le référentiel tournant de

F, puis

dans le référentiel tournant de D

qui

different par l’orientation du

champ effectif,

que

nous

rep6rerons

par

PF

pour

F, PD

pour D.

Expri-

mons la valeur moyenne d’un

op6rateur Tq

dans le

niveau D en fonction de la matrice densite dans le référentiel tournant de

D,

en

proc6dant

comme

dans

(17) :

Posons :

En tenant compte de 1’6volution dans D

(voir eq. (30)) :

"

Le

probl6me

est done de determiner la valeur

moyenne

des différents

op6rateurs

d6crivant 1’exci- tation du niveau D dans le referentiel tournant de

D,

en tenant compte de 1’evolution dans le niveau F.

aOD)

et

6eg

sont les matrices d6crivant 1’excitation du

niveau D, exprim6es

dans le

référentiel

tournant

Références

Documents relatifs

La réduction des concentrés a entraîné une diminution de la production laitière significativement plus marquée sur multipares (-1,17 kg de lait/kg de concentré, p < 0,0001) que

Dans cette thèse, nous nous intéressons au problème de non-annulation aux valeurs centrales des fonctions L attachées aux formes primitives de poids k et de niveaux q.. Un

A partir de chaque photo, retrouve le nom du groupe de classification qui lui correspond et place la lettre associée en face des dernières syllabes du nom... N’oublie

Quand le jury de délibération constate, bien que la note de l’UE soit supérieure ou égale à 10/20, un déficit non-acceptable dans l’une ou plusieurs activité(s)

L’archive ouverte pluridisciplinaire HAL, est destinée au dépôt et à la diffusion de documents scientifiques de niveau recherche, publiés ou non, émanant des

Il faudrait faire une étude des électrons Auger de la couche L seule avec une résolution très é!evée et il faut continuer ces études sur d’autres substances

Le calcul se fait en deux étapes : calcul du parcours de l’électron dans la gélatine ; détermination du nombre de grains développables en moyenne.. LZ JOURNAL DE

Bien connue par résonance paramagnétique, la décomposition Zeeman du niveau de base de l’ion Co2+ dans un site octaédrique, a été interprétée théoriquement par