• Aucun résultat trouvé

Définition des stratégies et des actions à mettre en œuvre pour conforter les filières viande bovine du Massif Central

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2022

Partager "Définition des stratégies et des actions à mettre en œuvre pour conforter les filières viande bovine du Massif Central"

Copied!
7
0
0

Texte intégral

(1)

BLEZAT CONSULTING SARL au capital de 7622 € - Siret 423 106 756 00012

18, rue Pasteur - 69007 LYON

Tel :+33 (0)4 78 69 84 69 – Fax :+33 (0)4 78 72 28 65 Email : contact@blezatconsulting.fr – Site : http://www.blezatconsulting.fr

Définition des stratégies et des actions à mettre en œuvre pour conforter les filières viande bovine du Massif Central

BLEZAT CONSULTING

Siret 423 106 756 00012 - NAF 7022Z 69007 LYON – France

Fax :+33 (0)4 78 72 28 65 Site : http://www.blezatconsulting.fr

SARL au capital de 8 000 € - SIRET 538 26, rue Henri Dunant

Tel : +33 .4 73 62 06 89 / +33 .6 89 35 73 99 Email : francois.anglade@acadil.fr

Définition des stratégies et des actions à mettre en œuvre pour conforter les filières viande bovine du Massif Central

Note de synthèse

Septembre 2013

ACADIL

SIRET 538 286 857 00015 – APE 7022Z rue Henri Dunant – 63540 ROMAGNAT – France

4 73 62 06 89 / +33 .6 89 35 73 99 francois.anglade@acadil.fr – Site : http://www.acadil.fr

Définition des stratégies et des actions à

mettre en œuvre pour conforter les

filières viande bovine du Massif Central

(2)

MACEO | BLEZAT CONSULTING - ACADIL Stratégies Filières Bovines Massif Central

2

INTRODUCTION ET CONTEXTE

Objectifs du travail effectué et méthodologie employée

Cette quatrième phase de la mission de « définition des stratégies et des actions à mettre en œuvre pour conforter les filières viande bovine du massif central » cherche à faire partager une stratégie de développement au niveau de l’ensemble des acteurs de la filière de viande bovine du Massif Central, avec une hiérarchisation des enjeux et une déclinaison en actions.

Cette mission a rassemblé les acteurs par bassins de production (Charolais, Limousin et Sud Massif Central), autour de 3 à 4 ateliers par bassin, enrichis par la conduite d’entretiens individuels. Ainsi, ce sont au total 71 acteurs de la filière qui ont contribué à ce travail, sur une période de janvier à mai 2013.

Un contexte de la mission particulier qui a pu peser sur les orientations à prendre

Le travail réalisé se situe dans un contexte très particulier. La filière qui a subi depuis plus d’une décennie de fortes secousses, notamment au niveau de crises sanitaires, est soumise à un effet de ciseau impactant directement les revenus de chaque maillon de la filière :

Hausse sans précédent des coûts de production et pression à la baisse des prix à l’autre bout de la chaine de valeur : un consommateur, impacté par la crise, qui amplifie les tendances de baisse globale de la consommation de produits carnés avec des reports d’achats vers la volaille et la charcuterie),

• Le différentiel de revenu avec les filières végétales s’accentue. Les moyens de production sont réorientés de l’animal vers le végétal avec baisse de la production et des investissements productifs,

Evolution du cheptel français de VA>36 mois (source : IDELE, Bulletin Economique de la filière bvine

n°5, mai 2013)

Evolution du cheptel de VA>36 mois dans les 18 départements du Massif Central (source IDELE-

SIDAM, Phase 1 de cette étude)

(3)

MACEO | BLEZAT CONSULTING - ACADIL Stratégies Filières Bovines Massif Central

3 La réduction des marges et des profits entraîne un mouvement de concentration, avec une diminution à terme du nombre d’acteurs et une réduction problématique de l’envergure de la filière.

Enfin, on observe des variations extrêmement fortes des débouchés et des prix par segment de marché, avec en toile de fond :

• une baisse de la consommation de viande bovine en France

• une remise en cause progressive de la valeur apportée par la filière italienne (baisse des débouchés en volumes et de la valeur)

• une filière allaitante amenée à prendre la place d’une partie du minerai issu du troupeau laitier qui se positionne plus dans une logique de coproduit

Cette situation inédite (basculement des équilibres de marchés) conjugue une raréfaction de l’offre, qui maintient les niveaux de prix dans le gras, et une difficulté à faire coïncider cette offre avec une demande volatile, en baisse en volumes et en marge, et de moins en moins solvable.

Les perturbations et signaux contradictoires déstructurent les stratégies au long cours alors que la filière doit trouver de nouvelles perspectives. En effet, les enjeux socio-économiques et territoriaux ne manquent pas pour cette filière, si indispensable à conforter, qui reste vitale pour toute l’économie du Massif Central (60 000 emplois).

ENJEUX MAJEURS ET AXES STRATEGIQUES RETENUS

Quelle stratégie ? Pour quels produits ?

Au niveau des stratégies concernant la demande, les acteurs de la filière (notamment à l’aval) n’ont pas eu de discours unitaire concernant les perspectives de marché et ses incidences sur l’offre. En effet, les positions sont parfois divergentes sur l’importance de privilégier le marché national par rapport à l’export, ou au contraire, faire de l’international un des principaux relais de croissance. Concernant le type d’animaux désiré ou optimal, là non plus les discours ne sont pas forcément convergents, surtout quand on doit prendre en compte la diversité des triptyques produits/acteurs/marchés et celles des équilibres matière à réaliser.

Cependant, la tendance majoritaire tournerait autour de 3 axes :

Retrouver de la valeur sur le principal marché (France) en maîtrisant les coûts, en étant réactif face aux fluctuations des demandes du marché et en investissant sur l’innovation

Soutenir les capacités d’engraissement avec un marché du maigre qui devrait être appelé à se réduire (notamment à l’export sur des marchés traditionnels, avec des reports à valider sur le marché français)

Trouver des relais de croissance à l’export, tout en acceptant les contraintes de ces nouveaux débouchés.

(4)

MACEO | BLEZAT CONSULTING - ACADIL Stratégies Filières Bovines Massif Central

4 Malgré tout, des priorités stratégiques consensuelles, fortes et structurantes pour l’avenir

Le croisement des expressions des acteurs, des priorités affirmées et réaffirmées, des enjeux sous-jacents font émerger trois enjeux:

• CONFORTER LA PRODUCTION est l’urgence absolue, dans un contexte actuel très prégnant, de tension sur l’offre et de renversement de dynamique (arrêt de la croissance du cheptel allaitant et début de mouvement de décapitalisation)

• INNOVER et DEVELOPPER LA VALEUR AJOUTEE est nécessaire pour assurer des revenus à l’ensemble des maillons de la filière. Sans cette optique, la gestion de la raréfaction de l’offre se fera uniquement par une disparition d’acteurs et des phases de restructuration, voire de disparition de certains maillons de la filière

• RENFORCER LA LOGIQUE DE FILIERE ET LES OUTILS A SON SERVICE a été une optique transversale, démontrée par le travail collectif réalisé par l’ensemble des acteurs de la filière lors des ateliers. Il est nécessaire de partager les perspectives et les défis à relever collectivement plutôt que de laisser chaque maillon gérer individuellement ses problématiques.

Les principaux axes stratégiques retenus répondent à ces 3 enjeux majeurs et ont été déclinés en 34 actions.

CONFORTER LA PRODUCTION Conserver un maximum de vaches

Maintenir la SAU dédiée à l'élevage et sécuriser l’autonomie fourragère

Développer l’engraissement Renouveler les actifs

Optimiser la productivité sous toutes ses formes INNOVER ET DEVELOPPER LA

VALEUR AJOUTEE

Appuyer les locomotives qualité

Inventer et valoriser une marque liée à l’herbe

Renforcer l’innovation au sein des entreprises de la filière Appuyer les démarches liées à l’export

Exploiter les outils de la génétique

Mobiliser l’appui technique sur des chantiers prioritaires (autonomie fourragère, productivité, rentabilité)

RENFORCER LA LOGIQUE DE FILIERE ET LES OUTILS A SON SERVICE

Exploiter des outils partagés de signaux d’offre et de marché Stimuler des mécanismes de sécurisation de la filière Sécuriser le potentiel de transformation

L’ensemble de cette démarche doit continuer sur la dynamique inscrite et initier des chantiers concrets, avec des pilotes pour chaque action envisagée.

MACEO et ses partenaires doivent restent tête de file à l’échelle du Massif Central pour veiller à la déclinaison opérationnelle de l’ensemble des démarches engagées et validées par le comité de pilotage.

(5)

MACEO | BLEZAT CONSULTING - ACADIL Stratégies Filières Bovines Massif Central

5

TROIS GRANDES ALTERNATIVES POUR METTRE EN ŒUVRE LES ACTIONS DECOULANT DE LA STRATEGIE ELABOREE

Les stratégies énoncées par les acteurs doivent reposer sur un plan de relance ou d’adaptation dont l’envergure nécessite la mise en place de leviers structurants et facilement identifiables.

Le plan de relance élaboré peut se décliner à plusieurs niveaux en fonction de l’ambition des acteurs et des moyens qui lui seront attribués.

Ambition de Niveau 1 : Engagement financier limité et concentré sur quelques chantiers prioritaires nécessitant des moyens mesurés

Le plan est ici concentré sur des actions à faible coût, mais qui semblent toutefois générer un effet de levier important (y compris à long terme).

Dans ce cas, 3 séries d’actions sont envisagés :

• Des actions liées à l’herbe et à l’optimisation de l’autonomie alimentaire en valorisant la ressource essentielle du Massif Central, l’herbe. Elles visent à réduire la dépendance aux achats d’aliments dont le prix et de moins en moins contrôlable.

o Promouvoir la culture de l’ « herbe » (Action n°151) o Promouvoir la finition à l’ « herbe » (Action n°133)

o Construire un programme lié à l’Autonomie Fourragère au niveau des 3 bassins étudiés, en capitalisant les initiatives existantes (Action n°261)

En complément des actions ci-dessus, la valorisation de produits typés « herbe » :

o Lancer une étude marketing : faisabilité et positionnement d'une marque liée l'herbe et au Massif Central (Action n°221)

D’autres actions peuvent avoir un lien fort pour stimuler ce type de production : o Encourager la finition des animaux sur l’exploitation (Action n°131) o Développer l’irrigation (Action n°122)

• Des actions cherchant à développer « l’esprit filière » pour renforcer l’échange d’information entre acteurs de la filière et partager les indicateurs d’offre et de demande à tous les niveaux dans un objectif d’adaptation et d’anticipation :

o Améliorer/créer les tableaux de bords mensuels, avec des informations qualitatives et quantitatives (Action n°311)

o Assurer une diffusion des informations jusqu’à l’éleveur (Action n°312)

o Assurer la remontée des déclarations de naissances aux acteurs de l’aval (Actionn°313) o Apporter des outils d’aide à la décision (Action n°331)

• Quelques actions liées à la maîtrise des coûts :

o Développer un esprit de production (Action n°152)

o Accélérer le déploiement, au niveau du Massif Central, d’outils développés récemment : CAPECO & COUPROD (Action n°262)

Sur 6 ans, ces actions ont un coût compris entre 6 à 6,6 M€ pour l’ensemble du Massif, en dehors des actions liées à l’irrigation ou à l’encouragement à la finition des animaux dont le coût dépend du nombre de sites ou d’animaux concernés.

(6)

MACEO | BLEZAT CONSULTING - ACADIL Stratégies Filières Bovines Massif Central

6 production et le renouvellement des actifs

Au-delà des actions précédentes de l’ambition de niveau 1 qui sont reprises dans ce plan plus global, d’autres actions sont activées :

• des actions liées au soutien à la transmission/reprise et au renouvellement des actifs : o Stimuler le financement de cheptel par des tiers (Action n°112)

o Financer le capital de la transmission (cheptel de souche) par un crédit vendeur (Action n°142)

o Créer un fond d’investissement « Bovelliance » (Action n°143) o Promouvoir le salariat en élevage (Action n°144)

• des actions liées à l’encouragement à la finition des animaux (production de viande finie) par le renouvellement, la modernisation, voire le développement des capacités d’engraissement :

o Encourager la finition des animaux sur l’exploitation (Action n°131) o Création d’ateliers d’engraissement spécialisés (Action n°132)

Pour un programme de six ans, ces actions ont un coût global de l’ordre de 77 M€ pour l’ensemble du Massif. L’essentiel de ces coûts est lié au développement de l’engraissement.

Ambition de Niveau 3 : Engagement de grande ampleur, mobilisant tous les leviers disponibles

La majorité des actions décrites pourraient être mobilisées au moyen de 5 leviers massifs, associant l’ESPRIT FILIERE à la création de quatre fonds : un FONDS D’INVESTISSEMENT, un FONDS DE GARANTIE ET DE SECURISATION, un FONDS DE COMMERCIALISATION ET DE PROMOTION et un FONDS D’INNOVATION.

Le financement de cette relance massive nécessite un maximum de conditions de mises en œuvre : un consensus sans faille de la filière, une mise en cohérence à l’échelle du Massif Central de certaines actions régionales, qui mériteraient d’être étendues, des logiques de financement dépassant le stage régional.

Ce niveau d’engagement nécessite aussi la mise en œuvre d’actions qui peuvent être structurantes à terme et qui reposent plus sur une plus forte implication des acteurs dans le fonctionnement de la filière ainsi que la mobilisation des moyens humains existants au service des principales orientations prises.

Le coût global de ce niveau d’ambition pour un programme de 6 ans peut atteindre 460 M€ ; le plan de modernisation du parc de bâtiments (PMBE 3) en constitue une part importante (352 M€), plus de deux fois supérieure à celui du plan précédent. Les différents fonds ont des besoins de dotation très différents :

• ESPRIT FILIERE : 1,8 M€

• FONDS D’INVESTISSEMENT : 405,9 M€ (dont 352 M€ de PMBE3)

• FONDS DE GARANTIE ET DE SECURISATION : 25,8 M€

• FONDS DE COMMERCIALISATION ET DE PROMOTION : 1,2 à 1,9 M€

• FONDS D’INNOVATION : 25,5 à 26,4 M€

DES OUTILS, DES DEMARCHES OPERATIONNELLES ET DES STRATEGIES QUI ONT TOUTES LEUR LEGITIMITE A LECHELLE DES

3 BASSINS DETUDE ET DU MASSIF CENTRAL

Même si chacun des territoires a des spécificités, les principaux enjeux sont partagés à l’échelle du Massif.

Alors qu’un certain pan de la politique de soutien à l’agriculture et à l’agroalimentaire se régionalise, il est nécessaire de renforcer les synergies entre territoires et d’envisager un plan d’action large et ambitieux.

Le futur contrat de Massif devra prendre en compte les défis qui attendent la filière, qui prend un nouveau virage, et dégager des moyens pour développer des actions structurantes précédemment évoquées.

(7)

112. Stimuler le financement de cheptel par des tiers fond de garantie (10 000 bovins/an) 30 €/bovin 300 k€ 1,8 M€

121. Autoriser un retournement partiel et limité des prairies permanentes 100 000 ha concernés lobbying lobbying

122. Développer l’irrigation 30 études /an études 225 k€ 1,35 M€

30 projets/an réalisations 420 k€ 2,52 M€

123. Mettre en place des MAE spécifiques pour maintenir l’élevage à l’herbe (parcelles à faible potentiel) 1 étude / bassin diagnostics préalables 75 k€ 75 k€

131. Encourager la finition d’animaux chez les naisseurs 100 000 bovins garantis/an fond sécurisation 4 000 k€ 24 M€

100 000 places créées en 6 ans 200 €/place créée 3 400 k€ 20,4 M€

132. Création d’ateliers d’engraissement spécialisés 10 000 places créées en 6 ans 200 €/place 330 k€ 2 M€

133. Promouvoir la finition à l’herbe. Créer un cluster herbe programme expérimental 50% du coût 100 à 200 k€ 0,6 à 1,2 M€

141. Moderniser les outils de production en élevage (bâtiment, matériel et équipements) modernisation bâtiments 20% du parc en 6 ans 59 000 k€ 352 M€

142. Financer le capital de la transmission (cheptel de souche) par un crédit vendeur lobbying lobbying

143. Créer un fond d’investissement « Bovelliance » étude de faisabilité 80% de 100 000 € 80 k€ 0,08 M€

144. Promouvoir le salariat en élevage 2 000 emplois en 6 ans aide de 7 500 €/emploi 2 500 k€ 15 M€

groupements d'employeurs (500) gestion : 1 200 €/emploi 600 k€ 3,6 M€

151. Promouvoir la culture de l’herbe, créer un cluster herbe cluster "herbe" 50% animation 30 k€ 0,18 M€

conseil "herbe" 20 départements 300 k€ 1,8 M€

152. Développer l’esprit de la production action de sensibilisation néant néant

211. Renforcer la traçabilité à destination du consommateur final en utilisant les NTIC 3 ou 4 filières tests étude de faisabilité 50 à 60 k€ 0,15 à 0,2 M€

212. Soutenir le développement de produits « élaborés » valorisant le label appel à projets d'innovation 12 projets sur 6 ans 60 à 100 k€ 0,36 à 0,6 M€

213.Renforcer les moyens en marketing des structures de promotion des SOQ appui marketting 10 ODG 50 à 65 k€ 0,3 à 0,4 M€

214. Démonter l’intérêt d’une offre d’animaux maigres proposant des garanties sanitaires et techniques étude marketing 100% de 50 k€ 50 k€ 50 k€

221. Lancer une étude marketing : faisabilité et positionnement d'une marque liée à l'herbe et au Massif Central (valorisation

du cluster herbe) étude de marché et de faisabilité 100% 100 k€ 0,1 M€

231. Créer un fonds spécifique à la filière viande du Massif Central ainsi que son animation dédiée chargé de mission innovation MC 2 ans 60 k€ 0,12 M€

Projets de développement 50%, 3 projets/an 225 k€ 1,35 M€

241. Soutenir les démarches de promotion collective des races à viande à l’international stratégie export 50%,6 entreprises 100 à 120 k€ 100 à 120 k€

salons internationaux 4 à 5 salons/an 60 à 125 k€ 0,36 à 0,75 M€

242. Donner aux opérateurs régionaux les moyens de prospecter des marchés émergents missions export (5 à 6/an) 50% coût 25 à 45 k€ 0,15 à 0,27 M€

251.Favoriser les échanges entre les acteurs de la filière au sein des Organismes de Sélection implication et sensibilisation

50% cout de 4 1/4ETP

+réunions… 100 k€ 0,6 M€

252. Favoriser le développement de l’IA et des techniques de reproduction incitation financière 150 k 0,9 M€

253. Favoriser l’utilisation de taureaux de monte naturelle certifiés incitation achat taureaux certifiés 150 à 300 €/taureau 400 k€ 2,4 M€

254. Favoriser la récolte de performances des animaux appui technique + incitation 210 k€ 1,26 M€

255. Soutenir la recherche et l’innovation en génétique (génomique) recherche génotypage 200 k€ 1,2 M€

261. Construire un programme lié à l’Autonomie Fourragère au niveau des 3 bassins étudiés, en capitalisant les initiatives existantes (cluster herbe)

4 000 diagnostics d'autonomie

fourragère financé à 50% 333 k€ 2M€

cluster "herbe" 50% d'1/2 ETP 30 k€ 0,18 M€

262. Accélérer le déploiement, au niveau du Massif Central, d’outils développés récemment : CAPECO & COUPROD campagne de promotion 100% 100 k€ 0,1 M€

263. Optimiser les potentialités zootechniques appui technique existant néant néant

311. Améliorer/créer les tableaux de bords mensuels existants, avec des informations qualitatives et quantitatives animation Interbev néant néant

312. Assurer une diffusion des informations jusqu’à l’éleveur mobilisation réseau participation financement 80 k€ 0,48 M€

313. Assurer la remontée des déclarations de naissances aux acteurs de l’aval mobilisation réseau néant néant

321. Etendre le système de fonds de sécurisation initié en Rhône-Alpes à l’ensemble des bassins 100 000 bovins garantis/an fond sécurisation 4 000 k€ 24 M€

331. Apporter des outils d’aide à la décision études ponctuelles 1 à 4 études /an 100 k€ 0,6 M€

332. Soutenir les projets d’investissement porteurs de valeur ajoutée aide aux investissements 20% des investissements 1 500 k€ 9 M€

Références

Documents relatifs

Pour le Massif central, ce changement de straté- gie économique implique le développe- ment de circuits de finition des animaux (essentiellement issus du troupeau allai- tant),

Nous a ainsi été démontré par l’exemple l’importance de certaines filières, dites stratégiques, et pour lesquelles notre indépendance semble nécessaire.. Mais, si le groupe

Il va tout à la fois nous falloir (Préconisation n°1), favoriser une alimentation saine et durable et contribuer à la souveraineté alimentaire mondiale ; préserver

Une tâche primordiale mais ardue : car il ne s’agit pas seulement d’organiser la reconstruction industrielle et la croissance économique de notre pays, comme dans le second

Nous avons au contraire besoin d’échanges européens et internationaux et nous attendons de l’Europe qu’elle affirme, par son budget et par ses politiques, des

3 Prévalence de la tuberculose bovine dans les zones d’intervention du Projet d’Appui à la Filière Lait et Viande (PAFILAV): Cas des communes de kétou, pobè, comè et

+ Activités mentales (tester si une égalité est vraie ; vérifier si un nombre est solution d’une équation ; reconnaissance d’une équation pouvant aider à la résolution d’un

II y maintient une activité agricole en combinant de vastes superficies à rente foncière faible, la vente locale partie de la production (circuits courts) et la