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Publication du 4e Baromètre VIDAL-CNOM sur l’utilisation des smartphones chez les médecins (Communiqué) – Toute La Veille Acteurs de Santé, le hub de l'info du secteur santé

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Academic year: 2022

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Texte intégral

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C O M M U N I Q U É D E P R E S S E V I D A L Issy-les-Moulineaux, le 5 avril 2016

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baromètre VIDAL – CNOM

L’utilisation des Smartphones chez les médecins

VIDAL a créé, en 2012, en partenariat avec le Conseil National de l’Ordre des Médecins (CNOM), l’« Observatoire des usages numériques en santé ».

Fin 2015, l’Observatoire a réalisé la 4e édition de ce baromètre auprès de 1 402 médecins utilisateurs de smartphones (étude réalisée par questionnaire adressé par e-mail). De nouvelles questions ont été rajoutées pour mieux cerner les attentes en matière d’applications mobiles santé et objets connectés.

Vous trouverez ci-dessous un résumé des principaux résultats et évolutions depuis 4 ans.

Tous les résultats de ce baromètre et des précédents sont compilés dans le fichier PDF joint à ce communiqué.

Depuis 4 ans, un renforcement de l’utilisation professionnelle du smartphone

Que leur smartphone soit un iPhone ou un Android, 65 % des médecins interrogés s’en servent pour prescrire (informations sur un médicament, une stratégie thérapeutique, etc.).

L’utilisation de certains sites

et applications professionnelles est en baisse

Du côté des sites professionnels visités à partir de leur smartphone, les médecins privilégient les sites sur les médicaments (77 %), d’actualités médicales (58 %) et de formation (39 %).

La consultation des autres catégories de sites est stable, à l’exception de celle des sites institutionnels, en forte baisse : 28 %, contre 51 % en février 2012.

Plus de la moitié (58 %) déclarent avoir installé des applications à usage professionnel, le plus souvent sur les médicaments (usage d’autres applications professionnelles en baisse).

Les médecins interrogés conseillent de plus en plus d’applications mobiles et d’objets connectés

à leurs patients

Les applications mobiles et objets connectés santé se multiplient, concernant davantage de domaines préventifs ou thérapeutiques. Les médecins interrogés en conseillent également un peu plus souvent à leurs patients :

18 % conseillent des applications à leurs patients, contre 8 % en 2013. Les applications les plus souvent conseillées concernent les suivis glycémique, nutritionnel, physique et tabagique.

16 % conseillent des objets connectés, contre 9 % en 2014. Les objets les plus conseillés sont des tensiomètres connectés, glucomètres et podomètres.

Mais ce conseil médical en augmentation concerne en général moins de 20 % de leurs patients.

L’observatoire VIDAL

Des usages numériques en santé

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C O M M U N I Q U É D E P R E S S E V I D A L

Pour les labelliser ou les recommander, une préférence marquée pour les sociétés savantes et autorités sanitaires

Nous avons demandé aux médecins les facteurs qui pourraient les inciter à conseiller davantage d’applications et objets connectés santé. Si le type de patient (jeune, technophile ou avec une maladie chronique) arrive logiquement en tête, l’éventuelle labellisation leur paraît un facteur plus influent que l’origine ou les modalités de promotion de ces applis ou objets connectés.

Nous leur avons ensuite demandé quelle labellisation ou recommandation « leur inspirait a priori le plus confiance » :

Applications : une « recommandation par une société savante » arrive en tête (79 %), talonnée par une « labellisation par une autorité de santé » (75 %).

Objets connectés : les résultats sont très proches de ceux des applications, avec cette fois-ci la labellisation par une autorité de santé en tête (79 %), puis une société savante (75 %).

Le domaine thérapeutique est également logiquement cité comme facteur favorisant le conseil d’une application ou d’un objet. Le coût pour le patient n’est pas mentionné par les applications, souvent gratuites, mais est par contre cité comme facteur incitatif par 35 % des médecins.

Pour le Dr Jean-Philippe Rivière (Vidal.fr), « ces résultats confirment que les médecins se sont durablement emparés de l’internet mobile et des applis pour leur pratique, mais aussi leur information et formation, bien plus qu’ils ne l’avaient fait avec le web santé à ses débuts ».

Le Dr Jacques Lucas, vice-président du Conseil national de l’Ordre des médecins, « relève deux élément nouveaux : l’augmentation du nombre de médecins qui conseillent à leurs patients des applis et objets connectés, et une forte attente de "labellisation" de ces moyens par une société savante ou une autorité de santé ».

A propos de VIDAL

VIDAL est leader dans le domaine de l’information et du bon usage sur les produits de santé.

Plus d’informations sur www.vidal.fr.

Conseil national de l’Ordre des médecins

Informations institutionnelles sur www.conseil-national.medecin.fr.

Notamment par la fenêtre e-santé : www.conseil-national.medecin.fr/e-sante/e-sante-1138.

Références

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