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Enseignement secondaire et le problème des élèves issus du primaire au Botswana:

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(1)

ENSEIGNEMENT SECONDAIRE EI' LE PROBL~ DES

~ ISstrS DU PRlMAIRE AU BDrSWANA

C.J.B.

White

r.S.E.S./C.E.A. Colloque sur des innovations en matiere d'enseignement en Afrique Sept embre 1971

(2)

corne. Sa situation geographique, eoologique et economique vaut d'etre soulignee, car elle constitue Ie context fondarnental des innovations realisees dans l'enseignement et que noua examinons dans ce document.

2. Le pays a une superficie de 712.000 kilometres carrest en

d'autres termes, approximativement la m~me dimension que la France our Ie Kenya. Cependant, la population totale n'atteint que Ie chiffre de 648.000 habitants dont

80%

repartis dans l'est Ie long de la ligne fer- roviaire reliant Le Cap

a

La Rhodesia. La majeure partie des terres est occupee par Ie desert du Kalahari, at Ie reate consiste essentiel- lement en brousse de divers types. La hauteur moyenne annuelle des

chutes de pluie est de 45 em mais elle varie fortement selon les regions.

Les etendues d'eau sont pratiquement inexistantes (A l'exception des Marais Okavango dans Ie nord-ouest), et Ie pays est presque entierement tributaire de ses ressourc6S souterraines. Les chutes de pluie suffi- sent

a

l'entretien des pAtures, oe qui, ajoute aux reserves souterrai- nes, fait du Botswana oriental une region particulierement propre

a

l'elevage. Toutefois, les chutes de pluie sont irregulieres at les fluctuations climatiques sont responsables de la frequente secheresse.

3.

L'agrioulture represente l'activite economique dominante,

puisque I' "agriculture" traditionnelle oecupe environ

85%

de la main- d'oeuvre. II n'existe

a

l'heure actuelle que 30.000 emplois salaries pour l'ensemble du Botswana, mais 20.000 ouvriers trouvent du travail dans les mines voisines dtAfrique du Sud. La decouverte de minerais, diamant, ouivre et nickel notamrnent, a transforme les perspeotives eco- nomiques du P~B; mais si les activites dans oe domaine doivent apporter des revenue substantials qui permettront au gouvernement de promouvoir

Ie developpement rural, elle ne resoudront cependant pas Ie probleme de l'emploi, Ie problema des eleves qui terminent l'ecole primaire. Avec un revenu national (1967-1968) d'environ 42 millions de R (25 millions de livres ou

335

millions de francs), Ie revenu annuel par habitant est de

65

R

(38

£ ou

500

FF) approximativement. Cela cree, naturellement, frd inegalites dans la repartition tant entre Ie secteur rural et Ie seoteur urban at m~me au sein du secteur rural.

(3)

2

Jusqu'au 30 septembre

1966,

Ie Botswana etait sous l'administratio~du Royaume-Uni et considere comme Protectorat du Betchouanaland. Depuis son independance, Ie pays a continue de recevoir de la Grande-Bretagne la majeure partie de son aide exterieure. Celle-ci lui permet de combler Ie deficit des depenses courantes et procure en merna temps des fonds pour les projets de developpement. Les revenus du pays meme ne oorrespondent qu'aux deux tiers des depenses courantes du budget. Mais ils devraient crottre rapidement et liberer ainsi Ie Botswana de sa dependance

a

l'egard de I'aide exterieure pour Ie financement du budget des

1913.

Mais l'aide au developpement restera necessaire.

II. LA SITUATION DE L'ENSEIGNEMENT ET L'INNOVATION

5.

C'est vers la fin de l'administration ooloniale installae

a

Mafeking (hors du territoire, en Afrique du Sud) que s'est eveille I'interet pour l'enseignement. Mais les epecialistes de I'UNESCO ont estime que "la politique pratiquee

a

l'egard des objectife essentials des methodes dtenseignement au Betchouanaland n'avait pas

ate

revisee

au cours des dernieres annees. II semblerait, cependant, que les objec- tifs de I'enseignement en Afrique, promulgues dans Ie Document No. 2374 du Secretaire d'Etat aux Colonies en

1925,

restent Ie fondement de la politique du Protectorat en matiere d'enseignementtl 1) Davant Ie pro- bleme critique pose par des methodes d'enseignement extremement sous- davaloppees at la penurie de personnel essential l'UNESCO a ate priee en 1964 par les gouvernements des Territoires de la Haute Commission de Betchouanaland, de Basoutoland et de Swaziland d'organiser una mission qui etudierait la situation de l'enseignement et presenterait des sugges- tions pour la planification

a

long terme et Ie financement du developpe- ment de l'enseignement. Le rapport present' en decembre

1964

constitue la premiere tentative importante d'analyse des beaoins dans Ie domaine de l'anseignement et il a servi de bawe

a

la planification ulterieure.

6. La situation generale de Itenseignement dana le Protectorat en 1965 etait la Buivante :

(4)

Primaire

247

66.061 1.651

792 47.9

Secondaire

9 1.307

66 11 16.6

Source: Rapport des Services dtb'nseignement pour 1965t 1966, Tableaux I et I I

11 y avait alors deux ecoles normales, l'une

a

Lobatse, l'autre

a

Serowe, toutes deux dirigees par les Services dtEnseignement de ce qUl

etait alors Ie Ministers du Travail et des Services Sociaux et allait devenir Ie Ministere de l'Education, de la sante et du Travail, puis en 1969 Ie Ministere de l'Education.

7.

Comme nons l'avons dit au paragraphe 3, la main-d'oeuvre est employee dans une proportion de

85%

par le seoteur economique tradition- nellement organise. Cetta situation reflete les dures realites de la vie au Botswana

a

Bon stade actuel de developpement et non les decisi- ons rationnelles prises par le peuple. C'est pourquoi l'avenir des nouveaux venus sur 1e marche de l'emp1oi differe tres peu des perspec- tives qui s'offraient

a

leurs predecesseurs. Ltexistence du probleme pose par les eleves quittant 1'eoole primaire n'est pas particulier au Botswana, c'est l'un des faits brutaux de la vie dans tous les pays dont Ie developpement est encore au niveau Ie plus bas. Les p~s pau- vres du monde ont

a

faire face

a

tout en ensemble de problemas alors qu'ils ne disposent pas des rnoyens de les resoudre. II faut etablir des priorites fondees sur l'evaluation des facteurs economiques, sooi- aux et politiques entrant en jen. Maia, si lion veut accelerer Ie developpement, l'objectif general de l'enseignement doit etre de pro- mouvoir les changements dans Ie domaine social. L'enseignement doit etre lie aux modifications du milieu socio-culturel, de maniere que l'on puisse enseigner de nouvelles connaissances et de nouvelles tech- niques, que lion reconnaisse la necessite du changement et favorise l l i m p l a n t a t i o n d'habitudes nouvelles." 7)

8. Les principes exposes ci-dessus soulignent les ideaux qui f~ident,

l'experience de l'Ecole de Swaneng Hill

a

Serowe. L'enseignement peut et doit contribuer au developpement equilibre de la societe, et i1 ne

(5)

4

stagit pas iei d'argent seulernent; il ne doit pas separer un s ec't eurv c.e la population d'un autre, il doit plut8t inciter Ie lettre

a

aiier

l'ana1phabete et I'illettre. C'est

a

des derniers que I'innovation de Swaneng est consacre.

9-

En

1969,

sur une population de 224.500 personnes agees de

J a 19

ans, 85.200 environ, soit 3~~, frequentaient l'ecole; 10.500 ant qUitte I'ecole la merne annea, dony 5.600 seulement avaient terrnine les

7

ans d'ecole prirnaire, et 1.332

(24%)

ont pu trouver place dans l'enseigne- ment secondaire. En d'autres termes, environ les trois quarts des ele- ves ayant termine l'ecole primaire ont dft rentrer dans leur famille et I'aider

a

vivre ou chercher du travail comme ouvriers emigrants dans les mines sud-africaines.

10. Quelles sont les reponses

a

ce problema.

a

ce sous-emploi genera- lise des ressources humaines? L'ecole primaire traditionnelle n'offre guere plus que la preparation aux etudes du second degree En depit de l'effort visant a. developper les programmes. "il est douteux que sept ans d1enseignement commen~ant

a

l'age de six ou sept ans puissent jamais suffire

a

preparer un enfant

a.

jouer un r81e effectif dans lteconomie". 2) On pourrait eventuellement augmenter Ie nombre des places dans les ecoles secondaires. Mais la solution resterait insuffisante. I I est vrai que la croissance rapide du nombre des inscriptions

a

l'ecole secondaire est Ie resultat majeur des efforts de developpement realises au cours des quatre ans d'independance. Cette expansion se justifie du point de ~~e economique puisqu'elle vise

a

compenser 1e manque de personnel qualifie et

a

repondre

a

la demande croissante de main-d'oeuvre specialisee due

a

l'acceleration du taux de croissance economique. Cependant, il existe deux objections

a

l'adoption de cette solution: premierement, l'economie ne peut fournir des emplois qu'a un nombre limite d'eleves du second degre; deuxiemement, Ie pays ne peut se permettre les depenses neces- saires

a

la croissance exigee par une telle politique, ni financierement ni physiquement. Puisque aucune de ces eventualites ne mantre la voie d'une solution pratique, la reponse semble devoir se trouver dans un type de formation professionnelle orientee de maniere

a

donner aux jeunes gens et aux jeunes filles les qualifications techniques repondant aux be- soins d'un milieu rural.

(6)

bourgade du Botswana, Serowe (environ 35.000 habitants) doit son exis- tence

a

la prevoyance,

a

l'energie at

a

l'initiative dtun homme,

Patrick van Rensburg, et de sa femme. Apres avoir connu d'humbles debuts en 1963 avec une seule salle de classe (construite par des volontaires) et trente eleves, elle compte maintenant plus de 450 ins- crits. La politique particuliere

a

l'8001e

a

l'8001e a ete salivent Ie resultat des necessites. Manquant dtargent, tant de oapital que de fonds de roulement, elle a eu des ses debuts recours au travail volon- taire des etudiants et du personnel, qui ont aide

a

construire et

a

entretenir l'institution. Une forte proportion du personnel est con- stituee de volontaires, oe qui reduit encore les frais. Ltecole s'efforce de mattre au point un programme repondant dans toute la mesure du possible aux besoins du p~s. Un tel objectif dem~ndait que l'on mette I'accent sur l'enseignement de sujets pratiques et que l10n inaugure un nouveau cours appele "Etudes de developpementlt

12. Comme mous I'avons deja dit, la grande majorite des eleves quittant Itecole primaire nta pas acces

a

Itenseignement secondaire conventionnel. La situation a ete decrite recemment de maniere elo- quente par un groupe d'Anglais qui stest rendu au Botswana en janvier

1969.

au debut de l'annee scolaire. ItDes jeunes gens venant de regions rurales eloignees et ayant parcouru des centaines de kilometres atten- daient toujours leur admission dans des ecoles secondaires urbaines

deja

combles, munis de lettres de recommendations de leurs directeurs d'ecole primaire. Parfois I'un dteux etait re~u, mais la plupart devraient attendre un an et peut-etre meme ne seraient-ils jamais admis". 3) Devant les difficultes de la situation, van Rensburg a estime que, dans une communaute telle que Serowe, I'ecole secondaire comptait un plus grand nambre de personnes capables de promouvoir Ie developpement rural, et par consequent d'augmenter Ie nombre dtemploisy

que Itensemble de la population. En outre, une amere experience lui avait appris, comme

a

toutes les institutions cherchant

a

trouver une aide exterieure, que s'il etait possible d'attirer des capitaux pour 1e financement de projets valables, les possibilites de se procurer des fonds pour les depenses courantes etaient beaucoup plus lin-litees.

C'est dans ce contexte que, en 1965, la premiere brigade a

ete

cr6ee.

(7)

6

14. Le programme de trois ans d!etude dans lequel se Lanca.i ent : es stagiaires comportait trois elements : travaux pratiques et formation pratique; cours professionnels; et eours academiques. La brigade est done tout

a

1a fois un etablissement de formation, une institution dt enseignement et une entreprise economique. Clest probablement 1'81e-

rnerrt de formation pratique qui distingue surtout les brigades des

ilutres organisations de formation des jeunes. Les travaux pratiques effectues par les stagiaires couvrent leurs frais dlentretien et Ie cout des etudes,

a

l'exception des salaires des moniteurs strangers.

Le programme permet effectivernent de couvrir la rnajorite des depenses courantes grace aux revenus qu'il cree. Ce fait est essentiel, car sans autofinancement un tel programme devrait dependre du budget de quelqu·un. Pour que les brigades contribuent

a

la solution du pro- bleme pose par les eleves sortant de l'ecole primaire, il ne fait pas

qu'elles doivent avoir recours comme tant d'autres organisations

a

des ressources financieres extremement limitees. En effet, si Ie systeme n'avait pas ete institue sur ces bases, il est probable que les diffi- cultes financieres de Swaneng auraient rendu sa creation impossible.

En bref, une brigade peut se definier ainsi: "une institution offrant

a~~ eleves quittant l'8cole prirnaire une formation technique ou profes- sionnelle de valeur tout en leur permettant de faire face au cout de cette formation". 4)

15.

Les stagiaires de la brigade consacrent quatre jours par

semaine aux travaux pratiques et passent Ie cinquieme en classe ou ils suivent des cours de formation professionnelle. Les cours academiques ont lieu Ie sair. Etant donne Ie niveau academique peu eleve des sta- giaires, il a

ete juga

necessaire de parfaire avant tout leurs connais- sances en anglais et en arithmetique afin de leur permettre de s'inte- grer

a

l'economie. De meme, mais pour dlautres raison, on a cru so~~ai­

table de faire suivre aux etudiants des brigades les "E.'tudes de Develop- pementtt inscrites au programme des etudiants du secteur plus traditi- onnel de Swaneng. Tous avaient besoin de mieux comprendre leur milieu, ses problemas, leur rale dans l'effort de developpement national et celui de leurs compatriotes.

(8)

des Jeunes

a

Serowe, telles que 1ti mpu l s i on initiale, sont venues de l'Ecole de Swaneng Hill. Vers la fin de 1966 une etude a ete entre- prise afin de determiner les secteurs de l'activite economique qui seraient interesses par des cours de merne nature que caux connes sur la construction. Les plus prometteurs semblaient etre l'agriculture, Ie textile, la menuiserie, Ie travail elemantaire du metal et la meca- nique. Mais Ie plus fondamentalement important est l'agriculture.

Puisque dans Ie proche avenir la plus grande partie de la population se verra dans l'obligation de vivre de l'agriculture, un programme de formation visant

a

donner aux jeunes les qualifications necessaires pour leur permettre de gagner des revenus raisonnables dans I'agricul- ture semblait offrir une solution satisfaisante au probleme des eleves quittant l'ecole prinaire. Mais i1 fallait que ce programme donne des resultats positifs et puisse se repeter. Un projet a ete mis au point en 1967 et finance par Ie gouvernement danois. De merne, en 1967,

I'atelier textile recrutait mee premieres stagiaires, touies des jeunes filles. Depuis lars, une section de menuiserie a

ete

creee et foncti- onne parallelement

a

la section de construction. Recemment, l'atelier de mecanique a commence de fabriquer des tables et des chaises de metal de modeles simples et negocie actuellement un contrat avec Ie gouverne- ment pour la reparation des vehicules gouvernementaux

a

Serowe.

17. II existe une serie d'entraves au developpement du systeme de formation par les brigades. En theoriet il y a une limite au nombre de constructeurs, rnenuisiers et ouvriers du textile susceptible d'etre absorbe par l'economie qui depend

a

son tour de la technologie, de la productivite et de la demande. Le point de saturation est cependant encore loin d'etre atteint. Et pour les agriculteurs, les limitations actuelles du marche ne sont guere apparentes, aussi existe-t-il des possibilites dtexpansion. La mise au point d'un programme satisfaisant pour la formation de travailleurs agricoles a

ete

coftteuse at longue.

En realite, Ie probleme ne reside pas tellement dans un desaccord sur les matieres

a

enseigner, mais dans la definition du caractere et de ltorga- nisation des activites qui suivent la periode de formation. La question sOlivent debattue de l'etablissement de I'eleve avec toutes les difficul-

(9)

8

tes qutil comporte est souvent Ie centre des discussions. Mais ceci noua ecarte quelque peu de notre sujet.

18. Coniues

a

Swaneng, par necessite, les brigades de la jeunesse luttent afin de trouver leur place dans le monde. La premier groupe de specialistes de la construction a termine les cours et les stagi- aires ont organise eux-memes avec un certain succes une cooperative qu'ils ont construite. Un groupe de travail1eurs agricoles a commence de preparer Ie terrain pour des travaux horticoles intensifs pres de la nouvelle zone minisre de Selebi-Pikwe. Ce qui rend importante l'experience realisee

a

Serowe, c'est Ie fait que les theories sur Ie rele de l'enseignement dans Ie developpement ant ete mises en pratique.

On s'efforce actuellement de mobi1iser les energies des jeunes du Bots- wana, afin d'accelerer Ie rythme du developpement rural. Jusqu'ici les aueces obtenus sont importants et l'experience stest propagee

a

d'autrea centres du pays. La gouvernement a adopte l'idee at a orga- nise, par l'intermediaire de son Service de developpement comrnunautaire, deux centres de formation des jeunes fondes sur Ie systeme des brigades.

On a cree una Commission nationale de coordination des brigades. On compte actuellement 500 etagiaires environ pour 23 brigades exeryant leurs activites dans huit domaines differentes.

19.

La personnel de Swaneng continue d'enseigner aux etudiants des brigades. Le personnel de I'ecole s'occupe aussi de l'administration et conseille 1es etudiants. De plus, l'eco1e effectue d'importants travaux de recherche sur les conts, les methodes, les projets, etc.

~~ la priorite est donnae

a

Ia campagna en faveur du metier d'accou-

cheuse inscrite au projet de Patrick van Rensburg at qui suscite 1fenthou- siasme de ses assistants, paree qu'ils sont conscients de l'importance d'un problema qui accable non seu1ement la population et 1e pays pour lequel ils travaillent mais aussi 1e reste des pays pauvres du monde entier.

(10)

2) 3) 4)

368

MARTINt A., RaEport sur lea Brigades au Botswana

PICKARD, Further Education in Botswana, 1969, para B.13 Le Rapport Martin, p. 8

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