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Rapport d activité 2015

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Academic year: 2022

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Rapport d’activité

2015

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Sommaire

1. Qu’est-ce que la SEIVA ? ... 3

1.1. Ses objectifs : une structure d’information 1.3. Membres et fonctionnement

1.4. Projet et stratégie

2. Information ... 5

2.1. Groupe de travail Information 2.2. Bulletin Savoir & Comprendre 2.3. Site internet

2.4. Visites et rencontres

3. Expertises, analyses, stages, missions ... 9

3.1. Analyses

• Groupe de Travail Analyses

• Tableau de bord pluriannuel de suivi de l'environnement - 3.1.1. Eaux potables

- 3.1.2. Miel - 3.1.3. Sédiments

- 3.1.4. Mousse aquatique 4.2. Stages

4. Activités et collaborations extérieures ... 12

4.1. Commissions d’Information sur le CEA et le CSMV 4.2. ANCCLI

4.3. IRSN 4.4. ASN

5. Fonctionnement ... 13

5.1. Assemblée générale 2015 5.2. Comptes 2015

5.3. DLA

6. Annexes ... 15

6.1. Liste des membres

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1. Qu’est-ce que la SEIVA ?

1.1. Ses objectifs : une structure d’information

La SEIVA, association régie par la loi du 1er juillet 1901 et le décret du 16 août 1901, est née d’une volonté du Préfet de Côte d'Or de l'époque, Jacques BAREL, de mettre en place, le 29 janvier 1996, une structure d'échange et d'information entre les différents partenaires concernés par l’établissement du CEA de Valduc.

Conformément à ses nouveaux statuts (voir point 1.2), elle a une mission générale de suivi, d'information, de concertation et d'incitation à l'amélioration continue en matière de sûreté nucléaire, de radioprotection, de recherche et d'impact des activités du centre CEA de Valduc sur l'économie locale, l'environnement, les personnes et leur santé, dans la mesure où les sujets proposés ne portent pas sur les éléments confidentiels couverts par son classement d'installation nucléaire de base secrète par le Premier Ministre.

1.2. Membres et fonctionnement

L’assemblée générale réunit les membres : parlementaires, conseillers généraux et maires concernés, des personnalités qualifiées des milieux scientifiques, médical et associatif, des représentants du monde agricole et les services de l'Etat concerné. La presse y est également représentée. Les membres d'honneur et associés, le conseil scientifique, les services de l'Etat et le CEA sont invités permanents à la SEIVA mais ne prennent pas part aux votes.

Le conseil d'administration règle les affaires courantes de l'association et propose les actions.

Le conseil scientifique a pour fonction d'être force de proposition et d'épauler la SEIVA dans ses expertises et sa communication en apportant son avis sur les projets et résultats obtenus.

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La SEIVA s'est dotée de groupes de travail permanents ou temporaires.

Les groupes de travail permanents sont :

- le GT Analyses présidé par Jean-Pierre COUVERCELLE - le GT Information présidé par Catherine BURILLE

Personnel au 31 décembre 2015 :

Catherine SAUT chargée de mission 17,5h / semaine

Éric GIANNUZZI, chargé de mission Informatique 10h/semaine Modifications des membres en 2015 :

- Marc CHAMPION, chef de la division de Dijon de l’Autorité de Sûreté Nucléaire (ASN), remplace Alain RIVIERE et représente Thierry VATIN, qui remplace Corinne ETAIX en tant que directeur de la Direction Régionale de l’Environnement, de l’Aménagement et du Logement (DREAL) Bourgogne.

- Henri JULIEN devient membre d'honneur.

1.3. Projet et stratégie

1.3.1. Notre projet

La SEIVA a pour ambition d'être une structure de référence pour ce qui concerne son domaine d'activité, indépendante et adaptée aux questionnements des riverains. Pour cela elle concentrera ses moyens sur :

- sa crédibilité en termes d'indépendance et de neutralité, - sa crédibilité scientifique,

- la qualité et la fiabilité des informations émises, - sa légitimité.

1.3.2. Notre stratégie

La SEIVA se positionne comme une association indépendante du CEA.

La SEIVA a pour ambition d'être une structure de référence pour ce qui concerne son domaine d'activité : former et informer de manière neutre, indépendante et objective sur l'impact des activités du CEA de Valduc.

La SEIVA a pour ambition de répondre au questionnement des riverains par une information de qualité.

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2. Information

La SEIVA dispose de plusieurs outils d’information à destination du grand public : son bulletin Savoir & Comprendre, son site Internet, des conférences.

Par ailleurs, elle organise des actions à destination de ses membres, tous représentants locaux, qui relaient à leur tour aux personnes intéressées.

2.1. Groupes de travail « Information »

Le GT "Information" est présidé par Catherine BURILLE. C'est lui qui définit la stratégie de communication à présenter aux administrateurs, le contenu éditorial du bulletin Savoir &

Comprendre ainsi que l'ensemble de ses actions de communication (conférences, expositions…). Il ne s’est réuni pas réuni en 2015.

2.2. Bulletin Savoir & Comprendre

Notre bulletin « Savoir & Comprendre » est distribué gratuitement à tous les habitants des cantons entourant le CEA, aux salariés et retraités du CEA, aux entreprises extérieures travaillant sur le site, aux acteurs locaux et aux acteurs du monde du nucléaire, informe sur les activités de la SEIVA, le nucléaire, le CEA Valduc, et donne la parole à différentes personnalités. Les résultats des campagnes d’analyses y sont également publiés et commentés. Son tirage habituel est depuis 2006 élargi de 5 000 à 7 700 exemplaires.

Aire de distribution : 4 cantons autour de Valduc – Saint-Seine-l’Abbaye,

Grancey-le-Château, Aignay-le-Duc et d’Is-sur-Tille – soit pratiquement 5 000 foyers.

Aucun numéro n'a été publié en 2015.

2.3. Site internet

Adresse du site : www.seiva.fr

Le site est revu et mis à jour régulièrement afin de faciliter la visite de l’internaute.

4387 visiteurs différents ont effectués 6320 visites et consultés 12989 pages du site, soit en moyenne 527 visites et 1082 pages visitées chaque mois.

Les pages les plus visitées sont celles concernant Valduc et son environnement, ainsi que celles consacrées aux analyses et à notre bulletin Savoir et Comprendre.

2.4. Visites et rencontres

2.4.1. Visites du CEA Valduc

Les visites permettent aux membres de la Seiva de

pénétrer sur le centre et d’en comprendre le fonctionnement : 30 visites ont déjà eu lieu depuis 1996, sur les thèmes du traitement / entreposage des déchets, de la surveillance incendie, de la surveillance médicale, des études sur la criticité menées à l’IRSN, de l'intervention nucléaire...

Aucune visite n'a été effectuée en 2015.

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2.4.2. Rencontres

La SEIVA a effectué une série de rencontres en vue de présenter ses projets aux financeurs et collaborateurs potentiels, aux experts, ainsi qu’au Préfet :

- DREAL/ASN - 13/01 : relations SEIVA / Autorité de Sûreté Nucléaire - DRRT – 14/01 : financement des projets

- Loïc BOLLACHE, INRA - 22/01 : projet d’étude de la biodiversité autour de Valduc - CIRE/ARS - 24/04 : projet d’étude épidémiologique

- Conseil régional - 29/01 : financement des projets

- Préfet – 15/05 : relations Commission d’Information / SEIVA - SGAR – 09/07 : financement européen des projets

- Isabelle LAJOUX, Sénatrice de Côte d’Or (Marc HIERHOLZER) : financement du poste d’Elodie JANNIN

- Alain RIVIERE, ASN – 27/08 : financement du projet "tableau de bord"

La SEIVA a par ailleurs été sollicitée (rencontre d'Olivier PIERRARD, IRSN le 10/09 à Dijon) en vue de collaborer sur un test de dispositif autonome de prélèvement du tritium dans l'air breveté par l'IRSN.

3. Expertises, analyses, stages, missions

C’est sous la houlette du conseil scientifique et du Groupe de Travail Analyses que sont validées les actions nécessitant un soutien d’experts. Trois activités principales composent l’action d’expertise de la SEIVA : la campagne d’analyses annuelle, les expertises ponctuelles effectuées à la demande d’un tiers ou d’un membre de la SEIVA, les études effectuées par nos stagiaires. Cette année :

3.1. Analyses

Les analyses ont 2 objectifs : évaluer l'impact sanitaire et environnemental des activités du CEA, suivre l'évolution du marquage radioactif autour du Centre. Le GT Analyses propose un programme, validé par le conseil d’administration.

Les prélèvements sont effectués par le personnel de la SEIVA et analysés par ses propres laboratoires, tandis que le CEA effectue de son côté, selon un protocole d’accord établi entre les deux parties, les mêmes analyses avec ses propres laboratoires. Une réunion de comparaison des résultats est ensuite organisée afin de les valider. Jusqu’à ce jour, les résultats ont toujours été semblables, et c’est plutôt dans l’interprétation que des dissensions

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Depuis ses débuts, la SEIVA effectue des analyses de radioactivité afin de disposer de résultats indépendants du CEA : eaux potables et superficielles, aliments, air… Les teneurs en radioactivité artificielle, tritium principalement, autour du CEA de Valduc sont recherchées.

Si ces analyses permettent d’abonder la base de données de la SEIVA, sont-elles suffisantes pour connaître l’impact du CEA sur son environnement et, par extension, sur la santé des riverains ? De plus ces analyses ne sont pas systématiques en lieu et en temporalité, et se pose également la pertinence des critères des prélèvements et des méthodologies.

Le CEA a produit une étude d’impact de ses activités. Celle-ci fournit un chiffrage maximisé de l’impact afin d’englober les variations habituelles de rejets. Il effectue par ailleurs un suivi de l’environnement réglementaire qui porte sur l’air, les eaux superficielles, le lait, les végétaux, l’irradiation ambiante, l’eau de pluie…

Voir le suivi du CEA sur notre site internet ici

Les membres de la SEIVA souhaitent disposer d’une information plus complète et précise sur leur environnement, en vue de déterminer l’impact des rejets sur la santé.

Les membres de la SEIVA ont confié le 3 avril 2013 la réalisation d’un tableau de bord de suivi de l’environnement au Groupe de Travail Analyses de la SEIVA, piloté par Jean-Pierre COUVERCELLE, professeur de chimie à l’Université de Bourgogne.

Plusieurs buts sont recherchés : - Rationnaliser les prélèvements

- Rechercher des indicateurs pertinents, voire développer des méthodologies avec un esprit de rationalisation.

- Si possible pour le moyen terme réduire le cout des analyses tout en offrant une information scientifique de qualité.

Le cahier des charges suivant a été proposé à 2 laboratoires indépendants1 :

Mise en place d'un plan de suivi de l'environnement autour du centre CEA de Valduc En vue de déterminer l'impact des rejets sur la santé des riverains

- Identifier les marqueurs pertinents (radiologiques, chimiques) en fonction des rejets, - Identifier le temps de transfert des rejets à l'environnement,

- Identifier les échantillons pertinents en fonction du mode et du lieu de vie des riverains (autoconsommation, éloignement du centre, orientation par rapport au centre…),

- Identifier les conditions de prélèvement pertinentes (météo, saisons…),

- Identifier les points de prélèvement pertinents en fonction de la géologie, du relief…

- Proposer un plan de suivi sur une année, voire plusieurs années si nécessaire, - Livrer le mode de calcul de la dose annuelle.

L’Association pour le Contrôle de la Radioactivité dans l’Ouest (ACRO) a été choisie en raison de la qualité de son offre, de l’attention qu’elle a su porter à nous écouter et répondre à notre attente. Elle a présenté une proposition en février 2014, qui a été acceptée.

3.1.3. Campagne d’analyses de la radioactivité 2015

Cette année, le tritium a été recherché dans les eaux potables (9 points, voir ci-dessous) ainsi que dans 3 échantillons de miel. La radioactivité de sédiments prélevés dans des eaux superficielles a également été recherchée, tout cela en cohérence avec le tableau de bord pluriannuel de surveillance de l'environnement défini avec l'ACRO.

1 CRII RAD et ACRO

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Les eaux potables

Graphique : Comparaison des teneurs en tritium dans les eaux potables 1997/2014/2015 :

À l’exception des eaux collectées à la source Vau-le-bon sur la commune de Poiseul-la-Grange, on note pour les autres échantillons un marquage au tritium au-delà des niveaux naturels2. Les activités mesurées sont comprises entre 6,7 et 24,5 Bq/L. Aucune ne dépasse la valeur guide de 100 Bq/L prise en référence par la réglementation française3 pour la qualité des eaux de boissons.

Les valeurs obtenues sont comparables aux niveaux mesurés par la SEIVA4 en 2012 et 2013 dans le cadre de son suivi des eaux potables.

Concernant l’échantillon d’eau collecté sur la commune de Courtivron, les indices alpha et bêta total (résiduel) restent inférieurs aux limites de détection et par là-même aux valeurs de

référence5 pour ces paramètres (respectivement égales à 0,1 et 1 Bq/L).

Les aliments

Le tritium lié à la matière organique a été recherché dans 3 échantillons de miel : deux ont été prélevé à la ferme de Charme, sur le site de Valduc : l'un en juin, l'autre en septembre. Un troisième, prélevé en août, provient de la commune de Lamargelle.

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Ferme de Charme (juin 2015)

16 +/- 2 28 +/- 3 6,3 %

Ferme de Charme (septembre 2015)

44 +/- 9 68 +/- 13 0,0071 +/- 0,0011

kgH/kg sec Lamargelle (août

2015)

4,5 +/- 1,2 7,1 +/- 1,9 0,0071 +/- 0,0011

kgH/kg sec

Ces résultats montrent un marquage du miel par le tritium au-delà des niveaux habituellement rencontrés dans des lieux réputés non perturbés : en milieu continental non influencé, les concentrations en tritium6 ("bruit de fond") sont actuellement de 1 à 4 Bq/L d’eau de combustion compte tenu de la rémanence des retombées des essais nucléaires atmosphériques. Dans les matrices biologiques, la concentration totale de tritium est de 1 à 3 Bq/kg frais en milieu continental, avec une contribution variable des formes libre et liée.

Les sédiments

Résultats à venir en 2016 Les mousses aquatiques Résultats à venir en 2016

3.2. Stages

La SEIVA accueille depuis plusieurs années des stagiaires de tous niveaux pour une durée variant de deux à quatre mois. Ces stagiaires bénéficient d’un encadrement par leur maître de stage à l’Université, mais également par le Président du conseil scientifique le co-président Alain CAIGNOL et les chargées de mission et de communication. Ces rapports peuvent être demandés à la SEIVA ou téléchargés sur le site internet.

Aucun stagiaire n'a été accueilli en 2015.

4. Activités et collaborations extérieures

La SEIVA travaille en partenariat avec différents acteurs locaux et nationaux sur les sujets qui l’intéressent. En 2015, les liens noués se sont poursuivis.

4.1. Commission d'Information sur le CEA et le CSMV (centre spécial militaire de Valduc)

Le Président de la SEIVA est membre de ces deux commissions administratives, qui se sont réunies les 29 juin et 18 décembre 2015. Rappelons qu'un protocole d’accord précise que la SEIVA est à disposition de la CI pour toute demande d’expertise. Les comptes rendus de la CI du CEA sont en ligne sur le site internet de la SEIVA.

6 D’après Fiche radionucléides Tritium et environnement, 2012, IRSN.

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4.1.1. Enquête sur les habitudes d'information des riverains dans le périmètre PPI

La SEIVA a été sollicitée pour dépouiller les questionnaires remis aux habitants du périmètre (136) : elle a ainsi fourni les résultats de l'enquête et des représentations graphiques à la préfecture de Côte d'Or en vue de la présentation en commission.

4.1.2. Participation de la SEIVA à l'élaboration de l'ordre du jour

Les coprésidents de la SEIVA ont sollicité la préfecture afin de participer à l'élaboration des ordres du jour de la commission d'information du CEA de Valduc. Divers points ont ainsi été intégrés, et la SEIVA a présenté son tableau de bord de suivi pluriannuel de l'environnement.

4.2. ANCCLI

La SEIVA est membre et participe aux travaux de l’ANCCLI, l’Association nationale des comités et commissions locales d'information. Alain CAIGNOL est membre du Groupe Permanent Matières et Déchets Radioactifs (GPMDR).

Catherine SAUT est salariée à temps partiel de l'ANCCLI.

4.3. IRSN

Catherine SAUT est intervenue avec l'ACRO lors du séminaire "Santé Environnement" organisé conjointement par l'ANCCLI et l'IRSN, afin de présenter les résultats du suivi du tritium dans les produits de la ruche autour de Valduc, projet mené dans le cadre du tableau de bord pluriannuel de suivi de l'environnement.

4.4. ASN

Alain CAIGNOL a participé au titre de membre de l'ANCCLI représentant de la société civile au groupe de travail de l'ASN sur la gestion des déchets très faiblement radioactifs (TFA), dans le cadre de la rédaction du prochain plan national de gestion des matières et déchets radioactifs (PNGMDR)

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5. Fonctionnement

5.1. Assemblée générale

Celle-ci s’est tenue le 3 février 2015 et avait l’ordre du jour suivant :

1/ Approbation du projet de compte rendu de l'assemblée générale du 09 avril 2014 2/ Rapport moral du Président

3/ Rapport d'activité 2014 3.1/ Actions d’information

Bulletin Savoir & Comprendre Newsletters

Communiqués de presse Site internet

Réseaux sociaux : Page Facebook, Compte Twitter 3.2/ Commissions sur l’impact du centre

Commission Environnement

4. Expertises, analyses, stages, missions Analyses

- Mise en place d’un tableau de bord de suivi de l’environnement - Campagne d’analyses de la radioactivité 2014

Formation à la radio écologie

5. Activités et collaborations extérieures

Commission d’Information sur le CEA et le CSMV Exercice de crise 2014

ANCCLI

Pôle d’Économie Solidaire Visites et rencontres 4/ Rapport financier

5/ Projets 2015

5.1/ Groupe de Travail Analyses, études et expertises Tableau de bord de suivi de l’environnement Analyses 2015

5.2/ Groupe de Travail Information et communication Savoir et Comprendre

Exposition

5.3/ Création de Groupes de Travail Économie

Riverains

o Étude épidémiologique 6/ Budget prévisionnel 2015

7/ Questions diverses

7.1/ Point sur le questionnaire "habitudes d'information des riverains de Valduc"

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5.2. Comptes 2015

Recettes

Autorité de Sûreté Nucléaire (fonctionnement) 25 990 €

Conseil Général de Côte d'Or (fonctionnement) 2 500 €

Conseil Général de Côte d'Or (emploi) 22 500 €

Mairie de Dijon (locaux) 936 €

Total 51 926 €

Dépenses (hors caisse de régie 2000 €)

Bulletin Savoir & Comprendre, internet 37 €

Information et représentation 1 336 €

Expertises et analyses 1 759 €

Fonctionnement 1 742 €

Salaires 11 535 €

Charges sociales 10 436 €

Total 26 845 €

5.3. Dispositif local d'accompagnement (DLA)

La SEIVA a poursuivi la démarche DLA, portée par le Pôle d’Économie Solidaire, malgré le fait qu'elle n'ait pas trouvé de financement pour le contrat d'Elodie JANNIN, objectif initial de la demande.

L'étape "Projet associatif" a été assurée : celui-ci reste néanmoins à formaliser.

L'étape "Ressources humaines" a également été réalisée, elle a permis de répartir les missions et responsabilités des bénévoles et de la chargée de mission.

Les bilans de ces 2 étapes ont été présentés en 2015 au Pôle d’Économie Solidaire qui a statué sur l'opportunité d'aider la SEIVA dans sa recherche de financement et sur le suivi de la mise en œuvre de son nouveau fonctionnement. 6 séances de 3 heures ont été effectuées.

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6. Annexes

6.1. Liste des membres au 31 décembre 2015

Collège des personnalités assurant un mandat électif territorial

Catherine BURILLE, maire de LERY, et ses représentants éventuels choisis par le Conseil Municipal

Marc TUPIN, maire d’ECHALOT, et ses représentants éventuels choisis par le Conseil Municipal Pascal THEIS, maire de POISEUL LA GRANGE, et ses représentants éventuels choisis par le Conseil Municipal

Bernard PITRE, maire de LE MEIX, et ses représentants éventuels choisis par le Conseil Municipal

Florian PAQUET, maire de MOLOY, et ses représentants éventuels choisis par le Conseil Municipal

Bénigne COLSON, maire de FRENOIS, et ses représentants éventuels choisis par le Conseil Municipal

Marc HIERHOLZER, maire de LAMARGELLE, et ses représentants éventuels choisis par le Conseil Municipal

Charles SCHNEIDER, maire de SALIVES, et ses représentants éventuels choisis par le Conseil Municipal

Alain HOUPERT, sénateur de Côte d’Or

Catherine LOUIS, conseillère générale du canton de SAINT-SEINE-L'ABBAYE Charles BARRIERE, conseiller général du canton d’IS SUR TILLE

Henri JULIEN, conseiller général du canton d'AIGNAY – le - DUC

Marie Claude LHOMME, conseillère générale du canton de GRANCEY-LE-CHÂTEAU Anne Catherine LOISIER, sénatrice de Côte d’Or

François PATRIAT, président du Conseil Régional de Bourgogne, sénateur de Côte d’Or

François SAUVADET, président du Conseil Général de Côte d'Or, député de la 4ème circonscription Collège des associations de protection de l'environnement et de la santé

Francis ROBITAILLE, président du Comité de Liaison des Associations de Protection de l'Environnement et de la Nature (CLAPEN 21), représenté par Bernard DELAULLE Jean-Patrick MASSON, président du Comité VALDUC ou son représentant

Jean RAPENNE, président du Comité pour la transparence autour de Valduc, ou son représentant Pierre GUILLE, président de l'Union Fédérale des Consommateurs de Côte d'Or (UFC 21) ,

représenté par Richard COURTOT

Jean-Patrick MASSON, président d'Alterre Bourgogne ou son représentant

Jean Pierre FAVRE, président de l'Observatoire Régional de la Santé (ORS) de Bourgogne représenté par Bernadette LEMERY, directrice

Collège des institutions et organismes

Corinne ETAIX, directrice de la Direction Régionale de l'Environnement, l'Aménagement et le Logement Bourgogne (DREAL) représentée par Alain RIVIERE, chef de la division de Dijon de l’ASN

Jean Luc LINARD, directeur de la Direction Départementale des Territoires (DDT) de Côte d'Or, représenté par Véronique GENEVEY

Christophe LANNELONGUE, directeur de l'Agence Régionale de Santé (ARS) représenté par Isabelle GIRARD FROSSARD, responsable du pôle Prévention et Gestion des Risques et Alertes Sanitaires

Catherine MORIZOT, directeur de la Sécurité Intérieure (DSI), Préfecture de Côte d'Or ou son représentant

Lieutenant-Colonel Jean-Luc PAULY, directeur départemental des Services d'Incendie et de Secours (SDIS) de Côte d'Or ou son représentant

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Fabrice FAIVRE, président de la Fédération Départementale des Syndicats d'Exploitants Agricoles (FDSEA) de Côte d'Or, représenté par Thierry BESANCON

François BUGAUT, directeur du Centre CEA de Valduc ou son représentant

Jean-Pierre MOURAUX, président de l'Ordre des Médecins de Côte d'Or ou son représentant Alain DELGUTTE, président de l'Ordre des Pharmaciens de Bourgogne ou son représentant Le Directeur de la rédaction du Bien Public, représenté par Gilles DUPONT

Collège des personnalités qualifiées

Jean-Pierre COUVERCELLE, professeur de chimie, Institut de Chimie Moléculaire, Université de Bourgogne

M. André LARCENEUX, UFR géographie, Université de Bourgogne Paul ALIBERT, UFR biologie, Université de Bourgogne

Colette CAZET, habitante de PELLEREY

Alain CAIGNOL, ex – professeur de mathématiques

Marguerite BOUTELET, ex – maître de conférence en droit privé, Université de Bourgogne Véronique GUITTON, habitante de MOLOY

Cécile GREATTI, habitante de SALIVES Collège des membres associés

Jacques BOUCHARD, président de la Société Française d'Energie Nucléaire Bourgogne (SFEN), représenté par Jean-Claude NIEPCE et Jean REBIFFE

Jean Pierre BELLAT, professeur de chimie à l’Université de Bourgogne Christian BAY, maire d'AIGNAY LE DUC

Claude VENTICINQUE, maire de GRANCEY LE CHATEAU Bernard BONNUIT, ancien maire d'AIGNAY LE DUC

Cécilia FIALKOVOSKA, habitante de SALIVES Conseil scientifique

Président du conseil : Jean-Pierre COUVERCELLE, UFR chimie, Université de Bourgogne André LARCENEUX, UFR géographie, Université de Bourgogne

Paul ALIBERT, UFR biologie, Université de Bourgogne

Claire - Hélène BRACHAIS, maître de conférences en chimie à l’Université de Bourgogne

Jean-François BUONCRISTIANI, maître de conférences en géologie à l’Université de Bourgogne Michel FROMM, professeur de physique chimie à l’Université de Franche-Comté

Mickaël RIALLAND, maître de conférences en physiologie à l’Université de Bourgogne Elisabeth SCIORA, maître de conférences en chimie à l’Université de Bourgogne Conseil d’administration

Alain HOUPERT, coprésident Alain CAIGNOL, coprésident

Catherine BURILLE, vice-présidente Véronique GUITTON, vice-présidente

Gilles DUPONT

Jean-Pierre COUVERCELLE, invité permanent Bureau

Alain HOUPERT, coprésident

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