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Il n est jamais seul, celui qui va vers la lumière ou celui qui pense toujours à laquelle il a droit!

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Academic year: 2022

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Texte intégral

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Il nest jamais seul, celui qui va vers la lumière ou celui qui pense toujours à laquelle il a droit !

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Elle était là dans la pénombre depuis un très long moment, elle ne savait ni combien de temps elle se trouvait là, ni quelle heure pouvait-il être.

Elle avait entendu, bien des fois le crissement du verrou de la lourde porte se refermer sur elle, son lugubre grincement raisonnait encore dans ses oreilles. Ce qu’elle comprenait, c’est qu’elle était ici, dans cette cave obscure, seul un petit rayon de lumière filtrait par une lucarne. Le temps pour elle n’avait aucune importance, du moins ici, elle ne recevait ni coup, ni brimade. Sauf la faim, la sortait de sa torpeur.

Pleurer, encore pleurer… c’est tout ce qu’elle savait faire. Ses sanglots et ses douleurs lui tenaient compagnie pour un temps et parfois à bout de force, elle s’endormait, sur sa vieille et crasseuse couverture, qui ressemblait à un chiffon. Mais, aujourd’hui, elle ne pouvait plus pleurer, dans ses yeux rougis, il n’y avait plus de larme, elles ne ruisselaient plus sur ses joues irritées par tant de frottements et de gifles. En sanglotant sa respiration devenait saccadée et son petit corps bien faible se

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trouvait secoué. Dans cette souffrance physique et morale, l’angoisse lui faisait tordre ses mains froides et douloureuses. Elles les avaient protégées des coups, sa tête et son dos.

Elle se disait: pourquoi suis-je battue ? qu’ai-je fais de mal ? À toutes ces questions, elle ne trouvait pas de réponse. Pourquoi attirait-elle, sur elle, tant de méchanceté ?

Personne ne venait partager son malheur, sa douleur. Elle ne voyait et ne croyait en personne pour apaiser son chagrin. Seul, son cœur tapait très fort dans sa poitrine, il semblait de jour en jour s’affaiblir, malgré tout cela elle rêvait. Que peut rêver une petite fille de son âge ? Elle rêvait d’abord que les gens autour d’elle seraient gentils où elle ne serait plus battue, un monde merveilleux, elle ferait tout pour faire plaisir aux personnes qui l’aimeraient… mais existait-il ce monde ? Elle y croyait parce que dans son imaginaire elle le voyait.

Les yeux clos, seule, abandonnée, dans la pénombre de son cachot, elle se mit à sucer ses doigts les plus douloureux et la tiédeur de sa bouche finit par adoucir un peu la souffrance sur ses plaies les plus profondes et s’endormit doucement… rêva qu’une fille blonde, de son âge, lui tendait la main. Les couleurs pastel de son songe étaient pleins d’amour et de douceur à partager. Ce monde qui aurait dû être le sien.

Toutes les deux couraient dans un grand champ fleuri au milieu d’une multitude de couleurs, main dans la main, sans douleur, sans faim.

Mais, le rêve est un monde merveilleux qui ne dure que trop peu. Il faut se réveiller et revenir à la dure

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réalité, avec des hivers très durs et froids, des étés sans soleil, ni chaleur, ni de joie dans son cœur. Ces années-là furent l’hiver de son enfance. Les seules paroles qui lui étaient adressées venaient de sa patronne, des mots d’insultes et de dégradation.

Cette personne ne connaissait point de morale et encore moins de pitié, elle n’avait pour cette enfant que mépris et haine. Mais, où trouvait-elle toute cette méchanceté. De qui avait-elle hérité ? De mémoire d’anciens, personne ne la comprenait… On eut put croire que par moments elle fut possédée du démon.

Ses crises étaient tellement fortes et impressionnantes, puisque imprévisibles. Sa voix semblait éraillée. Ses yeux, si on la regardait de plus près, étaient d’un joli vert perçant, mais qui envoyaient en période de crise des jets de colère, qui vous glaçaient dés son premier regard. On aurait dit que dans ces moments-là, qu’ils sortaient de leurs orbites.

Elle terrifiait tous ceux qui s’approchaient d’elle, même par « temps dit calme », dit presque normal.

Toutes les personnes qui s’adressaient à elle en avaient un peu peur, et surtout nul n’aurait eu idée de la contrarier, qu’elle eut raison ou tord.

Cette femme, une paysanne sans âge, grande maigre et sèche, pouvait avoir la cinquantaine, mais en paraissait aisément dix de plus. Toujours habillé de noir, depuis plus de quinze ans, depuis la mort de ses parents, disparus la même année. Ce noir, la rendait encore plus sévère. Ses cheveux poivre et sel, retenus en arrière par un petit chignon, dégageait son front bombé et un nez légèrement retroussé. Ses joues rougies par le froid de l’hiver devenaient violacées, l’été, brûlées par le soleil, prenaient une couleur cuivrée.

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La Marie, connue de tout le monde aux alentours, n’avait pas une très bonne réputation. On la disait avare, sale et surtout pas prêteuse de son bien. Elle s’était marié vers trente cinq ans, avec ce pauvre domestique, qui était loué dans la ferme du bas de la Charmoise. Vaillant et volontaire, il croyait avoir trouvé une famille lui qui n’en avait pas, il s’était bien trompé le pauvre garçon ! Ils n’avaient pas eu d’enfant, heureusement pour eux.

Que seraient-ils devenus avec une mère au caractère aussi difficile ?

La Charmoise, ce petit hameau de trois maisons, ressemblait à un petit village avec leurs dépendances:

granges et hangars. Les fermes se trouvaient assez éloignées les unes des autres, ce qui permettait à chacun d’avoir sa vie, son indépendance et tous pouvaient se cacher et s’ignorer un peu.

Blottie, dans un vallon verdoyant, elle se cachait du vent du nord. Le chemin qui conduisait à Charmoise s’arrêtait là, après c’était les champs. Il descendait vers le ruisseau et vers la petite route qui reliait Ste Croix à La Fabrègue. L’enfant ne se rappelait pas si un jour elle l’avait emprunté.

Pour aller à Ste Croix, tous passaient à pied, pour raccourcir, par le sentier le long des champs, les uns derrière les autres. Pas question de se faire aider pour alléger la marche, où de se donner la main. De toute façon ce n’était pas la Marie qui allait aider la fillette ! Ce petit passage voyait passer du monde pour les fêtes religieuses, pour les enterrements et quelques fois le dimanche. Il fallait compter un bon quart d’heure pour arriver à l’église de Ste Croix.

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Sur les coteaux poussaient le blé, l’orge ou l’avoine, qui balancés par le vent d’été faisait mûrir la moisson.

En descendant vers la vallée on pouvait y voir des prés verdoyants. Après la fenaison, les bêtes trouvaient une herbe tendre et verte. Les oiseaux qu’ils soient : passereaux, merles où pies… trouvaient de la nourriture et du calme pour y faire leur nid. Pas loin, la forêt de châtaigniers pour se réfugier où se cacher par grand froid. Quelques arbres fruitiers entouraient les fermes, des peupliers et des hêtres finissaient d’embellir le paysage.

Par le sentier, au dessus de la maison, Colombe, la petite fille, le prenait de temps en temps, en cachette de tous, elle le parcourait en courant ou plus tôt en fuyant, parfois dans les blés tout aussi grand qu’elle.

Elle fuyait la furie de la Marie qui criait après elle, pour éviter les coups elle courait… courait. Si bien qu’un jour elle se retrouva devant l’église de Ste Croix. Cet édifice ressemblait plus à une grande chapelle qu’à une église. Elle était un peu à l’écart du village, donc Colombe n’était passé devant aucune maison. Le sentier s’arrêtait là, et après il se transformait à nouveau en chemin, pour arriver vers le centre du village.

Elle s’arrêta, devant cette imposante porte, eut un moment de réflexion, puis se décida à la pousser.

Cela lui demanda un grand effort, tant elle était lourde pour elle.

Journée mémorable pour elle, mais elle ne le sait pas encore à ce moment-là. Qu’ici, elle trouva immédiatement le calme et la paix se sentit, comme protégée. Elle oublia ses douleurs, ses souffrances.

Pour la première fois elle aura fortement une

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impression de paix, d’être aimé. Ce sentiment elle ne le retrouvera que peu de fois dans sa vie.

Dans cette bâtisse, aux murs si hauts pour sa petite taille, elle n’eut nullement peur de cette pénombre qui envahissait ce lieu. Ses yeux étaient habitués à l’obscurité dans son cachot. Les grandes statues ne l’effrayaient point, elle les avait aperçu un soir de Noël. Les murs et la voûte de l’église avaient moins de lumière qu’aujourd’hui. Des chaises en paille parfaitement alignées dans un grand silence, donnait une sensation de calme, d’ordre et de sérénité. Sur les vieux vitraux, des personnages de la Bible étalaient leurs vêtements aux couleurs chatoyantes ; mais elle ignorait totalement qui ils étaient.

Colombe devenait une petite fille avec des sensations étranges du bonheur. L’avait-elle connu un jour ? Savait-elle ce que cela voulait dire ? L’enfance était-elle perdue à jamais pour elle ?

Quand l’on a moins de six ans et que l’on ne connaît que la violence, la méchanceté, la privation de nourriture et le travail, comment bien vivre et bien grandir. Rien pour s’épanouir, pas un semblant d’affection autour d’elle, que du mépris, tout pour ne pas vivre une vie d’enfant. Au fond de son cœur elle se sentait ébranlée et non brisée. Peureuse dans cette admosphére ? Pas un seul instant… rien ne la dérangeait même pas la toute petite lumière, qui brillait, là-bas au fond dans un coin, prés d’une porte fermée.

A cet instant, Colombe se sentit calme et apaisée comme transportée, dans un autre univers, presque aimée, elle se retrouvait consolée malgré sa solitude.

Son malheur s’était envolé, tout à coup, son cœur et son corps ne souffrait plus, à cet instant, elle trouva que c’était bon.

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Elle resta ainsi immobile, au milieu de l’allée centrale un long moment, ces instants, elle les trouva délicieux et merveilleux. Quand elle décida de repartir, dehors elle trouva le ciel plus bleu, les arbres plus verts et les blés plus mûrs, que le vent ondulait, pareils à la mer en formant de petites vagues.

Colombe se promit de revenir en ce lieu le plus souvent possible. Quand pourrait-elle encore s’échapper… pour retrouver… cette paix.

Arrivée à la ferme, la Marie qui la cherchait lui administra une sacrée fessée avant de l’enfermer dans la cave, sans manger, ni boire. Elle décida qu’à partir de ce jour, elle serait plus forte, qu’elle ne pleurait plus, puisque elle avait trouvé son refuge allait devenir son secret. Mais personne pour le faire partager. Ce jour-là, elle resta sur sa couverture qu’un court moment lui sembla-t-elle. On avait besoin d’elle pour surveiller les quatre vaches bien dociles, dans le pré qui longeait le bois de châtaigniers. Sa pensée ne changeait pas, elle se revoyait dans ce lieu là-haut sur la colline, qui allait devenir sa cachette secrète.

Combien de fois y était-elle venue ? Elle l’ignorait… puisque elle ne les comptait pas.

Plusieurs fois la soif la tenaillait ; il y avait de l’eau claire, dans ce qu’elle croyait être une petite fontaine, à l’entrée de l’église. Pour boire quelques gorgées, approchant une chaise, pour atteindre le bénitier, elle se désaltérait un peu. Une autre fois, voyant des cierges qui n’avaient pas encore servi, elle se mit a en allumer plusieurs… c’était beau et féerique…

Après son exploit elle courut très vite qu’elle dût s’arrêter prés d’un muret de pierres sèches pour reprendre son souffle, son cœur battait si fort. Elle ne

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vit pas arriver Jeanne du village voisin de la Fabrègue, qui lui demanda :

– D’où es-tu petite ? Es-tu perdu ?

La fillette ne répondit pas et montra du doigt, en rougissant, la ferme de la Marie, dont l’on apercevait que les toits.

– Ah ! Tu es la petite fille de chez Marie ! Comme tu as grandi ! Je t’avais vu quelques mois après ton arrivée chez eux. Tu avais trois ans environ, presque un bébé. Tu es devenue une belle petite fille, que j’aime tes cheveux noirs.

Voyant l’enfant troublé, ses yeux devenaient larmoyants, Jeanne s’arrêta de parler.

Elle reprit avec douceur :

– J’espère que la Marie est assez gentille avec toi et que toi tu es sage !

Colombe secoua sa tête et partit en courant vers la Charmoise. Gentille ! elle avait entendu ce mot, il y avait très longtemps. Ce mot lui avait été adressé une seule fois. Est-ce cette dame habillée en blanc qui la promenait dans un long couloir, lui donnant la main ? Elles passaient devant de nombreuses portes, toutes fermées. Tout au fond, l’une d’elle s’ouvrit sur une grande salle avec une ribambelle de petits lits alignés. Elle ne se rappelle pas y avoir dormi. Mais, elle se souvenait, très bien, des mots de la dame :

– Sois gentille avait-elle dit !

Est-ce la même dame qui lui avait dit cela et qui l’avait amené ici ? Elle avait le souvenir non précis de deux dames, elle voyait une personne avec des cheveux blonds et l’autre dame habillé en blanc. Tout cela se trouvait effacé de sa mémoire, une seule chose

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qu’elle savait depuis toujours : elle n’avait pas de parents. Comment est-elle arrivée ici, elle l’ignorait.

Elle suçait son pouce, pour s’endormir et pour se consoler car depuis qu’elle se trouvait ici pas un seul jour n’était sans pleurs. La Marie ne supportait pas qu’elle suce ses doigts.

Lui, le patron, correct avec l’enfant lui faisait des petits sourires discrets quand la Marie avait le dos tourné. Elle ne voulait pas qu’il s’apitoya sur son sort, ni sur ses pleurs… il ne fallait pas qu’il l’apprivoise, ni qu’il la console.

– Laisse-la donc pleurer, elle se calmera toute seule ! disait la Marie.

Dans son lit, elle se berçait en secouant sa tête et en suçant son pouce. Un jour à table la Marie fit une crise.

Colombe avait ses doigts sur sa bouche, elle lui prit sa main et frappa avec force sur ses petits doigts avec le manche du grand couteau, pour qu’elle arrête de lécher ses mains, disait-elle. En sa présence, elle cessa de porter ses doigts à sa bouche, tant elle eut mal les premiers jours. Mais les larmes ne s’arrêtaient pas, au contraire. Elle se mit à faire des cauchemars. C’est lui qui allait en cachette prés de son lit, il lui caressait les cheveux. Il faisait très attention de ne pas être vu, cela aurait été un autre drame. Combien de fois, la sachant dans la cave sans avoir mangé, il lui avait procuré un peu de pain, il le jetait comme on nourri un chien ; elle le dévorait goulûment parce qu’elle avait très faim. Pas un merci, son regard suffisait.

Ce jour-là, elle se sentit si légère quand elle monta le sentier qui mène vers l’église, malgré ses sabots trop grands, sans chaussette. Elle courait plus qu’elle ne marchait, car elle savait que quelque chose de

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merveilleux l’attendait. Sa robe, trop courte, dansait sur ses genoux, cela ne la gênait guère.

Elle y pénétra lentement, arriva jusqu’à l’autel dévisageant au passage le visage de la Vierge avec l’enfant Jésus dans ses bras. Elle eut la sensation qu’elle était suivi des yeux…

Qui l’avait tenu un jour ainsi ? Toujours les mêmes questions dans sa petite tête, des interrogations qui resterons toute sa vie sans réponse, du moins le croyait-elle.

La porte s’ouvrit, un rayon de lumière entra, une vieille femme un peu voûté entra, elle venait, regarda à droite, à gauche, simplement prier peut-être ! Et Colombe pendant ce temps doucement alla se cacher, derrière l’autel. Elle resta là longtemps, n’osant sortir, sans faire ni un bruit, ni un geste. Elle n’entendit pas la visiteuse ressortir, beaucoup de minutes s’étaient écoulées quand elle même se décida de faire surface.

Elle sortit en courant croyant que quelqu’un l’avait vu. Mais il n’en était rien.

D’autres fois, il lui arrivait de quitter ses sabots et de danser sur le tapis rouge, devant l’autel. Il était si doux, c’était bien agréable sous ses pieds douloureux.

Elle faisait de grands gestes avec ses bras, il lui semblait de se voir sur une scène avec comme spectateurs les statues. Elle était débordante d’idées nouvelles, dans ces moments-là elle oubliait tout, le soleil, les arbres, le vent tout ce qui se trouvait autour.

Une fois, épuisée par le travail fourni tout au long du jour, elle s’endormit, sur le tapis rouge devant le tabernacle. Quand elle se réveilla, il faisait nuit. Elle n’eut pas la moindre peur de s’en retourner à la Charmoise. Elle n’avait manqué à personne, qui se

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souciait si elle n’avait pas pris son repas du soir. Elle mangeait bien cette soupe de la Marie, il le fallait car il n’y avait peu de choses qui suivaient. Cette soupe, n’était point au goût de Colombe, Quand, un gros morceau de pomme de terre atterrissait dans son assiette, c’était pour elle un vrai régal.

Parfois, elle s’inventait aussi un dialogue, pareil à une pièce de théâtre, faisant à la fois la demande et la réponse ; grondant les statues de ne pas avoir répondu correctement. Elle, seule, parce que ici, elle parlait, criait, dialoguait sans crainte et sans retenue. A la ferme, personne ne lui parlait, lui, le patron si peu. Si la Marie s’adressait à elle c’était pour la gronder ou pour lui commander un travail, en lui disant :

– Faignante, tu ne gagnes pas le pain que tu manges !. Sors-toi de là espèce de bâtarde !… et encore bien d’autres choses pas très agréables à entendre pour une grande personne et encore moins pour une enfant.

Où pouvait-elle trouver toutes ces idées, elle se fabriquait son monde imaginaire. Ses pensées se trouvaient trop à l’étroit dans sa tête, si bien que de temps à autre elle se surprenait à parler seule, même parfois dans ce lieu insalubre, Elle ne quittait jamais la ferme. Elle n’était venue à l’église qu’une ou deux fois il y avait longtemps.

Un jour, Rosalie, la jeune voisine de la ferme d’en bas vint chez la Marie rapporter un outil que l’on lui avait emprunté et raconta… Les jeunes de Ste Croix ont invité un groupe d’amateurs de théâtre de la ville…

– Dites Marie, ce serait bien que vous veniez, cela vous ferait sortir un peu. Vous savez l’argent récolté

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