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Le paysage de l'historien sédimentaire. Le paysage de l'archéologue médiéviste.

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Academic year: 2021

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Texte intégral

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Joëlle Burnouf

Le

Paysage

de

l'h is to r ie

Le

Paysage

de

l'archéolog

Joëlle Burnouf (UMR ArScAn - Archéologie environnementale)

La lecture d e c e résumé ne peut être comprise que faisant suite aux présentations d e M onique Bourin e t Samuel Leturcq, historiens qui travaillent à partir des sources écrites, nous avons souhaité c e tte expression à plusieurs voix pour une raison historique qui est la suivante : le paysage des archéologues médiévistes est « un paysage sous influence » (ce sera le premier point que je développerai), hérité du paysage des « historiens des sources écrites » e t il me paraissait indispensable que dans la présentation, celle des archéologues, suive celle des historiens des sources écrites.

C e t héritage connu, c'est-à-dire explicité, il m 'est apparu que dans une première phase d e l'histoire de l'a rch é o lo g ie m édiévale le paysage n’existait pas (c e sera le second point q u e je développerai) mais que lorsque l'a rch é o lo g u e médiéviste se risquait à en parler il é ta it toujours dans l'im plicite e t dans un paysage « imaginaire » : c 'e s t c e que j'a i tenté de présenter dans l'article des mélanges offerts à J.-M. Pesez, (Burnouf 1998) où j'a i plaidé pour une recherche sur c e tte question,

Où en est-on au d é b u t du XXIe siècle ? Un bilan récent e t très pessimiste a é té réalisé dans sa thèse par E. Peytreman (Peytreman 2003) e t m a propre expérience de CIRA le confirm e : si les données existent, elles sont rarem ent exploitées dans la perspective d'u n e a p p ro c h e du paysage (Barbier, Burnouf, Visset 2002). Il fa u t inventer une sorte « d’anthropogéographie interdisciplinaire ».

La prem ière difficulté qu e je voudrai à d é fa u t d e la régler expliciter est la form ulation e t l'usage du m ot « paysage » au singulier com m e au pluriel. Polysémique, ce vocable est devenu une bannière q u e s'arrachent tous ceux qui p ré te n d e n t avoir quelque chose à dire sur c e tte question. C ette querelle on pe u t la retrouver sur un m ot co m m e « peuple » (je choisis celui là p a rce qu'il n 'a rien à voir a v e c le sujet qui nous o c c u p e aujourd'hui).

Ma p ru d e n ce ordinaire e t mes activités fo n t que je ne l'em p loie jamais c a r il me paraît que je ne travaille pas sur c e t o b je t (si c 'e n est un) : je suis passée sur m on o b je t d e recherche quotidien du m ot « paléoenvironnem ent » (années 80) à « géoarché ologie » (années 90) puis « interactions homme-milieu, puis sociétés-m ilieux » d o n c (p e u t-ê tre ?) « é c o lo g ie historique » 1996-1998 (fin des années 90), puis anthroposystèm e (1999) enfin « milieux et pratiques sociales » pour l'o b je t e t anthropo géographie pour l'a ctivité d e recherche sur l'o b je t (2003). Le d é b a t est ouvert depuis.

La polysémie a au moins un a va n ta g e c 'e s t d e montrer la fé co n d ité d e l'id é e e t la richesse d e l'o b je t sur lequel on travaille pour le reste si je com pare a v e c un autre d e mes objets d e travail « l'arch éologie du bâti » il aura fallu 20 ans entre l'é n o n c é du m ot (par d é fa u t c a r les autres ne nous plaisaient pas) e t sa reconnaissance par le milieu co m m e une m éthode (pas nouvelle certes — 1925 — mais non encore a p pliqu ée à c e t o bjet) digne d 'ê tre prise en considération, m êm e si, rançon du succès, to u t le m onde aujourd'hui, tel monsieur Jourdain, prétend en faire.

Un « paysage sous influence » (des historiens des sources écrites et des géographes)

Le paysage d e l'a rch é o lo g u e médiéviste est hérité d e deux disciplines « mères » : l'histoire par les sources écrites e t la géographie. C 'est l'histoire de notre discipline ( je u n e n 50 ans) (cf. Burnouf 2001, « le Moyen Âge

un entre deux idéolog ique » dans le séminaire « constructions identitaires » (Burnouf 2002).

Après l'exposé d e mes deux collègues « médiévistes d e parchem in », je ne citerai que trois auteurs qui on t é té pour moi des moteurs d e réflexion.

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Environnement sociétés, espaces

Le paysage d e Marc Bloch (Bloch 1967), en particulier les pages remarquables de son « évocation de la forêt » ainsi que le paysage d e Dion (Dion 1934) et, en particulier, c e tte « invention » extraordinaire des Vais.

Dans les ouvrages de ces deux classiques qui ont fo n d é notre « im age » de la nature m édiévale la réussite du m odèle est a v a n t to u t une « réussite littéraire » au sens où Duby la décrit : c'e st une « puissance d 'é v o c a tio n » (Duby 1991, p. 50, 51, 80, 81) « à l'historien revient c e tte m êm e fonction m édiatrice : com m uniquer par l'écriture le feu, la chaleur, restituer la vie m êm e ».

Dans son essai a u to b io g ra p h iq u e que dit-il du paysage ?

Le paysage : « un support ferme, un document, aussi riche, d 'u n e richesse différente, mais, lui, sans lacunes, déployé au grand jour, viva ce » et plus loin « une toile de fond qui n'est pas neutre : elle présente des reliefs, des couleurs ». Critique sur lui-même, il ajoute « je n'avais pas conscience des discordances entre l'é ta t a ctuel et l'é ta t ancien du paysage, Naïf, je fenais pour im m uable c e qui a va it entre tem ps ch a n g é et substantiellement » mais il ne conteste pas to u t : certaines choses ne b o uge nt pas (p. 52).

Nous sommes en 1991, année où se tient le premier collo q u e du PIREN publié en 1993 (Beck-Delort) on mesure le fossé a ca d é m iq u e .

Ces auteurs (Bloch, Dion, Duby) nous ont fa it rêver mais « plus dure fut la chute ». Le paysage est-il un objet pour l’archéologue médiéviste ?

Entre absence d e paysage e t « évocation » le paysage n'existe pas. L'activité de l'arch éologue détruit le paysage ; il y a d o n c absence d e paysage. Après son passage il y a un trou.

L'archéologue m édiéviste a-t-il un paysage dans la tête? Oui, certes, mais lequel ?

L'archéologie du paysage ou des paysages existe-t-elle ? Dans les mots oui, depuis un peu plus de dix, ans mais la réalité revêt des aspects différents voire contradictoires.

En propos liminaires, je pourrai renvoyer au c o n c e p t m êm e d e Moyen  ge ; com m e le Moyen Âge n'existe pas mais est une construction idéologique du XIXe siècle, un « entre deux » qu'on ne pe u t ni définir ni classer, il n'y a d o n c pas de paysage m édiéval, pas de paysage du médiéviste s tric to se n su (Guerreau 2000). Mais com m e depuis un siècle e t dem i des chercheurs s'identifient com m e médiévistes (d o n t moi) je ne vais pas éluder la question qui n 'a dû être, le temps d 'u n éclair, qu e l'expression d 'u n e paresseuse lâcheté.

Je distinguerai artificiellem ent deux catégories d 'a rchéologues qui travaillent sur des sources différentes et à des échelles différentes :

1. L'archéologue qui prospecte ; il arrive que c e t a rchéolog ue qui réalise des prospections (non destructives) crée un paysage « d'illusion ».

2. L'archéologue qui fouille, c'est-à-dire qui détruit, a é v a c u é p e n d a n t longtemps, pour atteindre les structures, les m atériaux porteurs d'inform ation pour reconstruire le paysage.

Ce peut d'ailleurs être le même, mais ses représentations implicites du paysage sont différentes : le premier est encore — e t toujours à c e jour — dans le d om aine des paysages imaginaires issus des sources écrites e t si bien décrits (co m m e si c 'é ta it vrai) par les belles plumes académ iqu es ; le second, to u t simplement, se ta it sur c e tte question ; il ne parle que de structures (de bâti). Mieux, le premier travaille à petite échelle et raisonne sur des points, sur des cartes (celle des cartes IGN e t celles qu'il fabrique), le second travaille à grande échelle : au m ètre carré. Entre les deux, il y a un saut pa ra d ig m a tiq u e : un passage du paysage des mots au paysage muet, du paysage de l’illusion au paysage absent, voire à l’inexistence de paysage.

Le paysage d e l'arch é o lo g u e médiéviste est aussi un paysage immédiat. Il est également un paysage de l’expérience et de la pratique, un paysage de proximité. Im m édiat ca r il est d é p e n d a n t du « site » e,t en archéologie, il y a « hégém onie du site et d e la tra c e m atérielle » (Robert 2000). On le perçoit jusque dans les choix sur le paysage im m édiat. Le paysage est d o n c une projection fabriquée, normée, culturelle. Il semble y avoir une vraie difficulté d e l'arch éologue à dépasser la notion d e trace, la valeur que l'on donne à ce tte trace. Or il n'y a « pas d e lien dire ct entre la tra ce e t la form e » (Robert 2000). Il n 'y a pas de lien matériel direct entre la tra ce archéolog ique e t la limite m orphologique : un bon exem ple est « La haie réelle e t la haie de l'archéologue » (exem ple du site des Mallalonnes qui est devenu pour nous le cas d'é cole).

Le paysage est aussi fragm enté, m orcelé (exem ple d e deux sites d e Lyon : Gorge d e Loup com m enté : le dessin + les coupes = 3500 m2 (Antibes 1995), l'île St-Jean (Golvin 2002) ce qui donne une vision discontinue dans l'espace. Il est hétérogène et discontinu, on ne pourra jam ais to u t fouiller, Il est égalem ent paysage a ctif et paysage fossile, paysage d e traces, d'indices, d e traces d e paysages. Il y a le paysage du dessus (actuel et hérité) et paysage du dessous mais on a c c è d e pas ou peu aux « dessous du paysage ». Il y a le visible (fouillé) : fossés, murs, ruisseaux fossilisés et l'invisible qui ne pe u t être connu que par les prélèvements e t études sédimentologiques, pédologiques, archéobotaniques, archéozoologiques.

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Joëlle Burnouf

Dans la d ém arche d e déconstruction-reconstruction d e l'archéologie, puisqu'il fa u t détruire pour savoir reconstruire e t pour dire « le paysage », toutes ces qualifications entrent en co n tra d ictio n entre elles e t aussi en contradiction a v e c « le paysage im aginaire » de l'archéologue. Il y a d o n c conflit entre un paysage « potentiel », un paysage présomptif e t le « paysage im aginaire ». C 'est à partir d e ces contradictions, mais aussi des « preuves archéolog ique » qu'il a rassemblées, que l'arch éologue va construire un paysage imaginé (quelquefois en trois dimensions). Alors on risque bien d e revenir au rêve d e paysage e t au paysage rêvé, « ra co n té » par la puissance de l'évo cation e t d e revenir à « la forêt d e M arc Bloch ».

L'archéologue m édiéviste devient ainsi un créateur d e paysage : c 'e s t lui qui dit, d e va n t le silence des sources matérielles e t concrètes : il est l'indispensable médiateur.

Que faire ?

Il serait possible d 'e n ta m e r un plaidoyer pour une nouvelle discipline une « anthropo géographie de l'e sp a ce ». Le paradoxe du paysage d e l'arch éologue médiéviste est d e « tricoter un paysage autour d 'u n trou » : un paysage im aginé (et non plus im aginaire mais quels risques) un paysage reconstruit, reconstitué, fabriqué.

Le point d e d é p a rt d e son travail (« vu d 'u n point ») n'est pas réductible à « point d e d é p a rt du paysage » sinon on retourne à la vision inventée depuis la Renaissance (Corbin 2001). Or le point de l'arch é o lo g u e a longtem ps é té « le carré d e fouilles » (au moins p e n d a n t les vingt premières années des débuts d e l'archéologie m édiévale). Puis la fouille en aire ouverte a ch a n g é les regards e t la perspective d'observation ; enfin depuis vingt ans on regarde l'esp ace sur plusieurs hectares : il y a d o n c eu un c h a n g e m e n t de l'éch elle d'observation. C ette notion d 'é ch e lle est fo n d a m e n ta le e t elle est à l'origine de nom breux malentendus entre archéologues e t morphologues.

De la micro à la macro-analyse : du site aux systèmes spatiaux. C ha q u e échelle possède sa propre logique e t pour une échelle donnée, on rencontre différentes structures qui s'im briquent to u t en possédant un degré d 'a u to n o m ie plus ou moins fort les unes par rapport aux autres. À l'éch elle du bâti, d o n c du site, la m obilité paysagère est im portante. En ch a n g e a n t d'échelle, on ch a n g e d 'o b je t.

Les structures : seules les structures sont l'o b je t d e recherche. Donc on observe un paysage minéral mais aussi un paysage in tra site (difficile de sortir la tê te du trou) et pas hors site (le hors site c 'e s t l'inconnu). Pendant 30 ans (1955-1983) l'a rch é o lo g u e médiéviste a fait de la m icro-archéologie (co m m e on fait d e la micro­ histoire) mais sans le savoir : c'e st l'archéologie d e site (un ou plusieurs ou des séries) où il y a une difficile prise en c o m p te du global. C 'est a ve c les grands d é ca p a g e s supérieurs à un h e cta re qu e la perturbation s'est installée, Mais le paysage pragm atique : paysage du quotidien, paysage d e l'expérience, paysage vécu, paysage perçu ne seront jamais la réalité du paysage.

Désormais, nous sommes quelques uns à vouloir tenter d 'a p p ro c h e r les pratiques sociales du paysage en travaillant (pour c e qui m e concerne e t quelques autres sur les milieux, c'est-à-dire l'esp ace) e t en m ettant en p la c e les m éthodes pe rm e tta n t une « archéogé ographie » (m ot qui ne m e satisfait pas mais qui, pour le mom ent, correspond à c e que je fais), Pour c e faire, nous posons quelques principes simples :

1. le paysage m édiéval est irréductible au paysage actuel : il est « étranger » (étrange) ; 2. le paysage m édiéval est hérité : il fa u t d o n c connaître les états antérieurs ;

3. to u t l'esp ace est docum enté, d o n c signifiant ;

4. l'é tu d e d e l'e s p a c e inter-site : tra ite m e n t des limites agraires isolées, observations sur les morphogènes, sondages profonds pour la reconnaissance de la dynam ique.

Pour tenter d 'o rd o n n e r la manière dont, peu à peu, les archéologues médiévistes ont pris conscience des questions liées au paysage, on peut distinguer trois moments. Ces trois « périodes » q u e je distingue pour le m om ent ne sont pas exclusives les unes des autres. Les exemples sont tirés des travaux archéologiques publiés e t bien souvent le titre d e l'illustration con tie n t le m ot « é vocation ».

1. jusqu'aux années 1980 : quand on présente un paysage c e sont seulement « des structures » ; 2. entre les années 1980 e t 1990 : ce sont toujours des structures mais l'influence des travaux des archéologues d e l'Europe du Nord (Scandinavie e t pays anglo-saxons) c o m m e n c e à être sensible ; 3. à partir du milieu des années 1990 = les premières tentatives « paysagistes » apparaissent.

C ette périodisation s'articule aussi sur des exemples (jolis ou non) d'« é vo ca tio n d e paysages » mais les auditeurs auront pu rem arquer que les exemples que j'a i présentés proviennent tous (ou presque) de publications de fouilles étrangères et spécialem ent des pays Scandinaves e t anglo-saxons.

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Environnement sociétés, espaces

La tentative d e compréhension-reconstruction du paysage pose en discussion, d e manière critique, les quatre points d e discussion suivants :

- Les sources qui pe rm e tte n t d e re-construire le paysage : géoarchéologie, analyses des naturalistes, artefacts archéologiques, formes fossilisées (pour ne pas em ployer le m ot morphologie).

- Les concepts implicites ou explicites qui sous-tendent to u te re-construction. - Les m éthodes (dont l'analyse spatiale).

- Les « échelles du paysage » : l'éch elle du c a ro tta g e du palynologue, d e la fouille stricto-sensu, etc.... Ma conclusion ne sera pas une « réponse d e norm and », du moins je l'espère. Je répondrai en politique. Si nous travaillons sur le paysage, c 'e s t qu'il existe une d e m a n d e sociale (d o n c politique). Le chercheur, dont la tâ c h e quotidienne est — pour c e qui me c o n ce rn e — le travail sur le passé, est aussi un acteur. Et, si « nous n'avons jamais é té modernes », le passé a d e l'avenir : le chercheur a d o n c le devoir de transférer (en c e sens il est aussi un m édiateur) non seulement les connaissances (devoir de restitution e t de service public) mais aussi la critique (devoir d'expertise e t d e critique). Si ces postures (au sens bourdieusien du term e) sont explicitées, alors il se pe u t q u 'u n de ces jours, il y ait un paysage m édiéval.

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