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Évaluation scientifique de l'indicateur « Espaces protégés recensés dans l'inventaire de la nature remarquable».

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Academic year: 2021

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HAL Id: hal-02607218

https://hal.inrae.fr/hal-02607218

Submitted on 16 May 2020

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recensés dans l’inventaire de la nature remarquable”.

S. Vanpeene, Pierre Zagatti, S. Aubertie

To cite this version:

S. Vanpeene, Pierre Zagatti, S. Aubertie. Évaluation scientifique de l’indicateur “ Espaces protégés

recensés dans l’inventaire de la nature remarquable”.. I-BD2 Évaluation scientifique d’indicateurs de

la biodiversité, 2016, pp.63-66. �hal-02607218�

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ESPACES PROTEGÉS RECENSÉS DANS

L’INVENTAIRE DE LA NATURE REMARQUABLE

Proportion des surfaces d'espaces sous protections fortes également recen- sées dans l’inventaire ZNIEFF des espaces remarquables pour la biodiversité

L’indicateur est considéré comme robuste et fiable. Il est le rapport entre la surface des aires protégées et la surface des ZNIEFF et se révèle être un excellent indicateur de la cohérence de création d’aire protégées fortes.

L’évaluation propose la production de l’indicateur inverse, c’est-à-dire le pourcentage de ZNIEFF bénéficiant d’une protection forte, et appelle à pré- ciser si l’outre-mer est pris en compte ou pas.

A – Présentation et interprétation de l’indicateur

Il s’inscrit dans deux orientations stratégiques de la SNB : B « Préserver le vivant et sa capacité à évoluer » et E « Assurer la cohérence des politiques et l'efficacité de l'action ».

L’évaluation estime que la pertinence de l’indicateur pour l’orientation B est modérée, du fait que les zones protégées sont bien d'un grand intérêt écologique, mais que l'indicateur ne va pas dans le sens d'une plus grande protection. En revanche, l’indicateur répond complètement à l’orientation E, la protection s'applique bien là où elle est importante.

L’indicateur est associé à plusieurs objectifs. Sa pertinence est modérée pour ceux relevant de l’orientation B, la démarche de trame écologique dépendant avant tout de la fréquence et de la connectivité des zones préservées, qui sont deux caractéristiques non ciblées par l'indicateur. L’indicateur répond en revanche très bien à l’objectif E14.

L’intitulé et la description de l’indicateur sont bien concordants. Des précisions pour- raient néanmoins être apportées, notamment le fait que le chiffre annoncé correspond aux ZNIEFF 1+2 (alors qu'il n'est que de 50% pour les ZNIEFF 1), et s’il concerne uni- quement la métropole ou également l'outre-mer et s’il couvre les domaines terrestres et marins (ou pas).

La valeur présentée par l’indicateur semble correcte. L’évaluation souligne que la super- ficie totale des « aires protégées fortes » mériterait d'être mentionnée, et suggère que l'information selon laquelle « seulement 8% des surfaces en ZNIEFF de type 1 sont des aires protégées fortes » apparaisse dès le début du texte. Il pourrait également être pertinent de connaître le pourcentage des ZNIEFF réellement sous statut de protection forte. Cette information serait utile en termes d’enjeux de conservation.

Code indicateur SNB-E14-13-ZAP1 Évaluation FRB- i-BD² : N° 10 Évaluation réalisée par Sylvie Vanpeene Pierre Zagatti

Synthèse réalisée par Sarah Aubertie En date du 4 juillet 2016

Evaluations antérieures à la mise à jour du site ONB 2016

Objectifs

B4 - Préserver les espèces et leur diversité

B5 - Construire une infrastructure écologique incluant un réseau cohérent d’espaces protégés

E14 - Garantir la cohérence entre politiques publiques, aux différentes échelles

Première évaluation

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I-BD² – ÉVALUATION SCIENTIFIQUE D’INDICATEURS DE LA BIODIVERSITÉ

Le graphique en revanche se révèle peu clair, non seulement à cause de la disparité entre les zones protégées mais également du fait de la présentation de valeurs similaires pour différentes séries (entre « Natura 2000 » et « aires protégées fortes et Natura 2000

» ; et entre « autres catégories d'espaces protégés » et « tout type d'aires protégées confondues »). Les trois séries centrales de l’histogramme brouillent le message sans apporter d'informations pertinentes. L’évaluation propose de ne conserver que la série « protection forte », qui correspond à l’intitulé de l’indicateur, voire également la série « tous types de protection confondus », et de prévoir un autre graphique reprenant les autres catégories. Il a été suggéré de s’inspirer de la notice de présentation de l’inventaire ZNIEFF de la région PACA qui présente le pourcentage de zones protégées en ZNIEFF et le pourcentage de ZNIEFF en zones protégées et ce par type de statut de protection

1

. Il serait par ailleurs nécessaire de lister les différentes catégories d’espaces protégés, l’astérisque du bloc 3 n'est pas détaillé sur l’illustration. L’interprétation de l’indicateur n’est quant à elle pas sujette à erreur. Telle que présentée, la valeur de l'indicateur est une photographie de la situation présente, cette valeur étant bien informative par elle-même.

Enfin, la prise en compte ou pas de l'outre-mer doit absolument être précisée.

B – Définition, contexte et principales caractéristiques de l’indicateur

La définition de l’indicateur manque d'explications. L'indicateur repose en effet sur deux dispositifs qui ne sont pas toujours évidents pour le lecteur : 1) la Zone protégée, qui est une construction administrative s’accompagnant de contraintes plus ou moins fortes en termes d'activités et d'aménagement du territoire, de documents de gestion et d’un coût de fonctionnement ; 2) la ZNIEFF qui est un inventaire de zones où des espèces (et ha- bitats) remarquables ont été localisées, mais n’impose aucune contrainte réglementaire.

L'intérêt de l'indicateur réside bien dans le croisement des deux : combien de zones protégées bénéficiant d’une protection forte correspondent également à des ZNIEFF ? L'indicateur n'est pas proposé en termes de tendance, seule la date d'actualisation est proposée. Cela est d’ailleurs souhaitable, l'indicateur perdrait tout son sens s'il était présenté en évolution temporelle.

Il n’y a pas de valeur cible définie. Dans son analyse, un évaluateur arrive à une limite de 86% au vu de l’existant et en regardant ce qui se passerait si les 400 000 ha d’aires protégées à créer l’étaient toutes en ZNIEFF. Comme il y a déjà des zones protégées hors ZNIEFF, la valeur de 100% n’est pas atteignable sauf à déclasser des zones pro- tégées ou à classer arbitrairement ces secteurs en ZNIEFF sans respecter la procédure de désignation. Par ailleurs, il peut être important d’un point de vue fonctionnel et/ou de sensibilisation des citoyens que des zones hors ZNIEFF soient protégées (par exemple, pour des raisons de connectivité ou de pression forte sur des espaces de nature ordi- naire pouvant servir de zone tampon à des espaces à richesse patrimoniale). En outre, placer toutes les zones protégées en ZNIEFF n'est pas réalisable en pratique, du fait que les zones protégées sont aussi délimitées en fonction de contraintes foncières, ce qu'ignorent les ZNIEFF.

Concernant l’échelle territoriale, ZNIEFF et espaces protégés ne sont définis que pour la France. L’indicateur est une synthèse nationale et c'est à cette échelle qu’il est le plus pertinent. Il faudrait toutefois préciser si l’indicateur concerne à la fois la métropole et l’outre-mer, et présenter le cas échéant des valeurs séparées. L’indicateur est en outre très facilement transposable à l’échelle régionale. Une telle déclinaison serait pertinente, en restant cependant vigilant sur des comparaisons inter-régionales qui s’inscriraient dans des contextes très différents.

C – Production de l'indicateur

Selon l’évaluation, le mode de calcul mériterait d’être explicité. Celui-ci étant en l’état actuel peu clair et non reproductible. Il est impossible d’additionner les surfaces d’aires protégées pour arriver aux chiffres annoncés dans chaque catégorie, le tableau évitant les doubles comptes (par exemple, une Réserve déjà Natura 2000) et suivant un calcul non présentable à ce niveau. Les DREAL (Direction régionale de l’environnement, de

1 Voir : http://www.paca.developpement-durable.gouv.fr/IMG/pdf/NOTICE-ZNIEFF-2eGEN-2_cle63947c.pdf, p.14

de la nature remarquable SNB – E14-13-ZAP1

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l’aménagement et du logement) ne sont pas citées comme fournissant des données relatives aux espaces protégés. Cela pose la question de la prise en compte de l’outre- mer dans le calcul de l’indicateur.

L’évaluation souligne enfin l’aspect « jargonneux » difficilement compréhensible pour les non initiés, avec 12 sigles différents, non explicités, en 10 lignes de paragraphe.

D – Analyse de l'indicateur

• Robustesse : L’indicateur est considéré comme étant très robuste. Les deux termes de l’indicateur proviennent d’un producteur unique, le MNHN, et corres- pondent à des surfaces réglementaires. Il n'y a, a priori, pas de biais de mesure ou de mauvaise transmission de données. Les éventuels biais viendraient d’erreurs d’affectation d’un statut à un espace protégé et des différences de précision dans la saisie des contours des ZNIEFF et des espaces protégés (par ex. nombre de nœuds créés différent lors de la production du polygone de l’entité à saisir - plus le nombre de nœuds sera élevé, plus le contour sera proche de la réalité). Cepen- dant, au vu des résultats du tableau de données sources, des erreurs à la marge n’ont pas d’impact significatif sur la valeur. Un standard de saisie pour les opéra- teurs afin d’homogénéiser les modes de saisie des contours des polygones, voire la réalisation de tests de sensibilité pour connaître l'impact de différences de saisie sur la valeur de l'indicateur pourraient pallier d’éventuelles erreurs. Le changement d’échelle (régionale ou départementale) n’affecte pas la robustesse de l’indicateur et n’engendre pas de biais statistiques.

• Précision : L’indicateur est précis. Des différences de précision lors de la digitali- sation des contours des couches SIG renseignées par des interlocuteurs différents peuvent entraîner des variations dans la valeur de l’indicateur lors du croisement de ces couches (ceci pourrait faire l’objet d’un test de sensibilité). Elles se révèle- raient cependant négligeables dans le cas présent. La surface totale d'aires pro- tégées fortes devrait varier de 1000 ha (sans que la surface en ZNIEFF ne bouge) pour faire varier de 0,1% la valeur de l'indicateur. On peut penser que l’indicateur sera suffisamment précis pour tracer le type de variation attendue de sa part au vu des objectifs d’accroissement de la surface des aires protégées. L’indicateur est aussi précis à différentes échelles, mais non encore défini au niveau international.

• Sensibilité : La sensibilité de l’indicateur est faible, mais celle-ci est considérée ici comme peu pertinente. L’évaluation rappelle que l’indicateur donne une image globale de la situation en France et se base sur des surfaces importantes qui évo- luent fréquemment. Il faudrait que la surface totale d'aires protégées fortes varie de 10 000 ha (sans que la surface en ZNIEFF ne bouge) pour faire varier de 1%

la valeur de l'indicateur. L’indicateur n’a pas vocation à détecter de changements brefs ou extrêmes ; les créations d’aires à protection forte nécessitent plusieurs années pour se mettre en place. L’indicateur ne détecte pas non plus de change- ment de trop faible ampleur (moins de 10 000 ha d’aires protégées créées entre 2 dates). Il sera plus réactif sur de petites surfaces (département, région) puisqu’il s'agit d’un ratio.

• Efficacité / Fiabilité : L’indicateur est considéré comme fiable. Il le resterait à l'échelle régionale. A l'échelle départementale, ou moindre, il pourrait indiquer dans certains cas de faibles surfaces d’aires fortement protégées. L’évaluation relève que l'actualisation des données ZNIEFF se fait en continu alors que celle des espaces protégés se fait une fois par an.

• Pertinence vis-à-vis de la biodiversité : Les ZNIEFF sont les « hotspots » de la biodiversité en Métropole, la protection des aires les plus riches est une protection directe de la biodiversité. Les aires à protection forte sont quant à elles créées pour conserver et gérer en lien avec les espèces ayant conduit à leur création. Le lien avec le bon fonctionnement des écosystèmes est indirect, il dépend égale- ment de la surface des zones protégées et de leur connectivité, deux critères non pris en compte par l'indicateur. Il n’établit pas de lien avec les services écosys- témiques en particulier. Cet indicateur indique que les zones protégées ont bien été choisies pour l'intérêt de leur biodiversité. L'indicateur n'indique pas que les zones importantes pour la biodiversité sont protégées, c'est l'indicateur « Effort

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L’Observatoire National de la Biodiversité (ONB) développe une base de données originale des indicateurs de biodiversité, comprenant des informations précises sur chaque indicateur. Cette base de données publique et gratuite doit également aider au choix d’indicateurs par différents usagers et au développement de nouveaux indicateurs. Intitulée i-BD² (pour Indicateurs de BioDiversité en Base de Données), son premier développement sert actuellement de base à un site internet où sont présentés les indicateurs de biodiversité de l’ONB (http://

indicateurs-biodiversite.naturefrance.fr). Pour une première série d’indicateurs de l’ONB, il a été demandé à la Fondation pour la Recherche sur la Biodiversité (FRB) de coordonner une analyse scientifique critique selon une méthodologie transparente et indépendante, permettant de clarifier les forces et les faiblesses de ces indicateurs et améliorer leur fiche de description. Cette démarche doit également permettre l’amélioration de la structure- même de la base en ligne i-BD². Cette fiche présente la synthèse de cette expertise pour l’un de ces indicateurs.

La Fondation pour la Recherche sur la Biodiversité (FRB) a coordonné l’analyse scientifique critique de 55 indicateurs du premier jeu de synthèse de la Stratégie Nationale de la Biodiversité (SNB). Les aspects scientifiques et techniques de chaque indicateur ont été examinés par des évaluateurs scientifiques qui se sont penchés sur les concepts qui sous-tendent la création de l’indicateur, les éléments utilisés pour estimer sa robustesse, sa fiabilité, sa précision, sa sensibilité. La qualité de l’évaluation scientifique a été assurée en mettant en œuvre une approche méthodologique standardisée (grille d’évaluation issue d’un travail scientifique collaboratif avec des experts internationaux), des évalua- teurs qui ont travaillé de la même manière que des pairs évaluant une publication scientifique (anonymat, indépen- dance) ainsi qu’une forte transparence des processus et des résultats.

I-BD² – ÉVALUATION SCIENTIFIQUE D’INDICATEURS DE LA BIODIVERSITÉ

http://indicateurs-biodiversite.naturefrance.fr/

www.fondationbiodiversite.fr http://www.fondationbiodiversite.fr/fr/societe/

avec-la-societe/appui-a-la-decision/indicateurs/

indicateurs-de-l-onb/evaluation-scientifique-des- indicateurs-2015.html

de conservation des secteurs de nature remarquable » qui le fait. L’augmentation de la valeur de cet indicateur est un objectif politique (2% du territoire en protec- tion forte, soit 400 000 ha à créer d'ici 2019 selon la Stratégie de création d’aires protégées).

• Données : Le changement d’échelle spatiale et/ou temporelle de l’indicateur ne s’accompagne pas de biais particuliers sur la collecte des données. Concernant l’outre-mer, tous les territoires n'ont pas encore de définition de ZNIEFF.

E - Propositions d'amélioration

L’indicateur est très satisfaisant, dès lors que son domaine d'interprétation est correctement exposé. C'est un excellent indicateur de la cohérence de création d’aires protégées fortes.

Les données pourraient être détaillées par type d'espace à forte protection et toujours indiquer l’indicateur inversé du pourcentage de ZNIEFF bénéficiant d’un statut de protection fort. Cela permettrait de démontrer l’enjeu de créer rapidement davantage de zones à protection forte et de sensibiliser les acteurs chargés des stratégies de création d’aires protégées. Au niveau international, cela constituerait un élément de rapportage sur la politique de création d'aires protégées en France.

Les limites de l’indicateur pourraient par ailleurs être mentionnées, par exemple : « Cet indicateur présente une valeur élevée 79% qui masque le fait que seuls 8 % des ZNIEFF sont couvertes par une protection forte. Il est important de vérifier que les aires protégées sont créées dans des sites à valeur patrimoniale reconnue mais il ne faut pas oublier les enjeux de conservation de connectivité entre habitats qui pourraient justifier, dans le contexte de changement climatique, de créer des espaces protégés dans des zones relais (donc potentiellement hors ZNIEFF). Il est encore plus important de vérifier que suffisamment de sites identifiés ZNIEFF sont couverts par des protections fortes, le taux de 8% actuel n'est pas suffisant ».

L’évaluation propose également de traiter progressivement les territoires d’outre-mer lorsque les ZNIEFF y seront identifiées et calculer séparément les résultats.

F – Bibliographie des évaluateurs

Elissalde-Videment L., Horellou A., Humbert G., Moret J., 2004.- Guide méthodologique sur la mo- dernisation de l'inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique. Mise à jour 2004. Coll. Patrimoines Naturels. Muséum National d’Histoire Naturelle. Paris - 73 pages.

Mathevet R., Lepart J. et Marty P. 2013. - Du bon usage des ZNIEFF pour penser les territoires de la biodiversité, Développement durable et territoires [En ligne], Vol. 4, n° 1 | Avril 2013, mis en ligne le 16 juillet 2013, consulté le 13 octobre 2015.

Maurin H., Theys J., de Feraudy E., Duhautois L., 1997.- Guide méthodologique sur la modernisa- tion de l'inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique. ColI. Notes de Méthode. Institut Français de l'Environnement. Orléans - 66 pages.

de la nature remarquable SNB – E14-13-ZAP1

Référencement

Vanpeene, S., Zagatti, P. & Aubertie, S. 2016.

Évaluation scientifique de l’indicateur « Espaces protégés recensés dans l'inventaire de la nature remarquable». In : Fondation pour la recherche sur la Biodiversité (2016), Evaluation scientifique de 55 indicateurs de la Stratégie Nationale pour la Biodiversité, Expertise. Ed. Barbara Livoreil et Sarah Aubertie, 296 pages. http://www.

fondationbiodiversite.fr/fr/societe/avec-la-societe/

appui-a-la-decision/indicateurs/indicateurs-de-l- onb/evaluation-scientifique-des-indicateurs-2015.

html.

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