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Cours MTT/TCE

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Academic year: 2021

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Texte intégral

(1)

République Algérienne Démocratique et Populaire

Ministère de l’Enseignement Supérieure et de la Recherche Scientifique Université Frères Mentouri-Constantine 1

Faculté des Sciences de la Nature et de la Vie

Cours MTT/TCE

1

ère

année LMD

Réalisé par Dr. ZEGHAD .N.

Année universitaire 2017/2018

(2)

Chapitre I : Généralité sur la recherche scientifique

1

(3)

1/ Qu’est ce que la recherche scientifique ? 1

2/ Quelques définitions 1

3/ Réalisation d’une recherche scientifique 2

Chapitre II : Réalisation d’un compte rendu

3

Chapitre III : Réalisation d’une fiche technique de TP

6

1/ But du TP 6

2/ Principe du TP 6

3/ Matériel utilisé 6

4/ Réactifs utilisés 7

5/ Mode opératoire 7

Chapitre IV : Réalisation d’un mémoire

8

1/ Définition d’un mémoire 8

2/ Règles de présentation du mémoire 8

2.1/ Parties préliminaires 8

2.1.1/ Couverture (page de garde) 8

2.1.2/ Remerciement 8

2.1.3/ Table des matières 9

2.1.4/ Liste des figures, des tableaux et des annexes 9

2.2/ Introduction 9

2.3/ Méthodes ou expérimentation 9

2.4/ Résultats 10

2.5/ Discussion 11

2.6/ Conclusion 11

2.7/ Bibliographie 11

2.8/ Annexe

14

2.9/ Résumés et mots clés 14

3/ Présentation du mémoire 14

Chapitre V : Rédaction d’un texte scientifique

15

1/ Résumé 15

2/ Introduction 15

3/ Matériel et méthodes 15

4/ Résultats 16

5/ Discussion 16

6/ Conclusion 16

7/Références 16

Chapitre VI : Terminologie

17

1/ Termes utilisés en biologie 17

Chapitre VII : Sécurité au laboratoire

21

1/ Définition d’un laboratoire 21

2/ Prévention des risques au laboratoire 21

2.1/ Risques biologiques 21

2.2/ Risques chimiques 22

2.3/ Risques physiques 23

3/Conclusion 23

Chapitre VIII : Prise des notes

25

1/ Pourquoi prendre des notes 25

(4)

4/ Abréviations 27

Chapitre IX : Organisation et gestion du temps

30

1/ Définitions 30

2/ Conséquences de la mauvaise gestion du temps 30

3/ Avantages de la gestion du temps 31

4/ Astuces pour la bonne gestion du temps 31

5/ Réalisation d’un planning 31

(5)

Chapitre I : Généralité sur la recherche scientifique 1/ Qu’est ce que la recherche scientifique ?

La recherche scientifique est un processus dynamique ou une démarche rationnelle qui permet d’examiner des phénomènes ou des problèmes, à résoudre et obtenir des réponses précises à partir d’investigations. Ce processus se caractérise par le fait qu’il est systématique et rigoureux et conduit à l’acquisition de nouvelles connaissances. Les fonctions de la recherche sont de décrire, d’expliquer, de comprendre, de contrôler, de prédire des faits, des phénomènes et des conduites. Exemple : trouver un sujet de recherche originale.

2/ Quelques définitions 2.1/ Science

L’étymologie de «science» vient du latin «scientia» (connaissance)

La science est l’ensemble des connaissances, caractérisées par un objet (domaine) autrement dit la science se compose d’un ensemble de disciplines particulières dont chacune porte sur un domaine particulier du savoir scientifique. Exemples : Mathématiques, chimie, la physique, la biologie, la mécanique, la pharmacie………..etc.

2.2/ Méthodologie

Le mot méthodologie est un mot composé par trois vocales grecs : « metà » (après, qui suit)

« odós » (chemin, voie, moyen) et « logos » (étude)

La méthodologie se définie comme la science de la méthode en général ou des méthodes particulières de diverses sciences, la méthodologie peut être considéré aussi comme l’ensemble des démarches et des règles qui permettent au scientifique de produire et d’organiser l’élargissement des connaissances, résoudre un problème, expérimenter un nouveau procédé ou une nouvelle théorie, décrire un phénomène……etc.

2.3/ Théorie

L’étymologie de «théorie» vient du latin « theorein » (observer, examiner). La théorie est un ensemble de lois, de règles, d’opinions, d’idées…etc, sur un sujet particulier. Elle traduit la réalité ou une partie de la réalité d’une manière abstraite. L’objectif principal de toute

(6)

2.4/ Concept

Du latin « conceptus », le terme concept désigne l’idée perçue par l’esprit. Il s’agit d’une pensée qui est exprimée au moyen des mots.

2.5/ Méthode

Le mot méthode vient du grec « methodos », qui signifie la poursuite ou la recherche d’une voie pour réaliser quelque chose. Manière de conduire sa pensée, de penser, de dire ou de faire quelque chose suivant certains principes et avec certain ordre. La méthode peut être aussi définie comme étant une succession d’étapes permettant d’arriver à des résultats.

2.6/ Technique

En étymologie le mot technique est issu du mot grec « techné » qui désigne une production ou fabrication matérielle. Est un ensemble de procédés (méthode pratique pour faire quelques chose), donc c’est la méthode opérationnelle d’un métier, d’une recherche…..

La technique peut être aussi définie comme étant une ou un ensemble de méthode(s)

3/ Réalisation d’une recherche scientifique

Pour faire une recherche scientifique il est conseillé de suivre les étapes suivantes :

 Poser ou énoncer le problème

 Etablir un plan de recherche (documentation, expérimentation, observation et modélisation)

 Obtention des résultats

Interprétation des résultats

Conclusion

(7)

Chapitre II : Réalisation d’un compte rendu

A la fin de chaque séance de TP un compte rendu est remis à l’enseignant qui sera corrigé et noté. Un compte rendu doit se composer des parties suivantes :

A/But B/Principe

C/Manipulation ou mode opératoire D/Résultats de la manipulation

E/Interprétation des résultats ou conclusion

Exemple pour le TP de Biologie cellulaire de la cellule végétale, le résultat de la manipulation est présenté sous forme d’un schéma qui correspond à l’image observé sous le microscope optique, dans la conclusion on peut déterminer les principales parties constituant une cellule végétale.

Un compte rendu d’un TP doit être organisé comme suit : La page de garde doit être toujours encadré portant

 Le nom le prénom et le groupe de l’étudiant (ces coordonnées doivent être écrites à gauche te en haut de la page de garde, par ordre)

 La date (doit être écrite à droit en haut de la page de garde)

 Le numéro et le titre du TP doivent être noté au milieu de la page de garde et en dessous des cordonnées

 Un tableau portant la note et l’observation du TP doit être tracé au milieu de la page de garde

 Le protocole du travail (But, principe, manipulation) doit être noté en dessous du tableau

Les feuilles sur les quelles on fait le TP doivent être aussi encadrées et réalisés sur des feuilles blanches sans dessiner en recto verso

Les dessins doivent être réalisés uniquement au crayon noir

(8)

Les dessins doivent être précis et fidèles de l’observation et doivent être centré en occupant le maximum de l’espace tout en réservant de la place pour la légende cette dernière doit être notée correctement et sans faute d’orthographe et placée du même coté, en plus les traits de rappel doivent être alignés verticalement. Les dessins doivent comporter des titres et le grossissement.

NOM Date Prénom

Groupe

Numéro de TP Titre du TP

Protocole du travail 1/But

2/Principe

3/Manipulation (ou mode opératoire)

Note Observation

(9)

Légende 1 Légende 2

Légende 3

Légende 4

Le titre Schéma à gauche

(10)

Chapitre III : Réalisation d’une fiche technique de TP

Une fiche technique d’un TP doit être réalisée sur une fiche cartonnée, inspirée des polycopies, et se compose des parties suivantes :

1/ But du TP

Il s’agit de définir les objectifs du TP en répondant à la question suivante pourquoi fait-on ce TP ?

Exemple : pour le TP de Biologie cellulaire de la cellule végétale, on réalise une préparation microscopique de l’épiderme interne d’écaille d’oignon pour montrer que tous les êtres vivants sont constitués de cellules et que la cellule est l’unité fondamentale d’un organisme vivant, d’identifier les principales parties d’une cellule, et apprendre à faire une préparation microscopique et à l’observer au microscope optique.

2/ Principe du TP

Déterminer sur quoi repose le TP

Exemple : pour le TP de Biologie cellulaire de la cellule végétale, on fait une préparation microscopique de l’épiderme interne d’écaille d’oignon sans coloration et avec utilisation des colorants pour la détermination du noyau par le bleu de méthylène et le rouge neutre pour la vacuole.

3/ Matériel utilisé

Déterminer le matériel nécessaire pour la réalisation du TP

Exemple : pour le TP de Biologie cellulaire de la cellule végétale, le matériel est le suivant :

 Lames

 Lamelles

 Bistouris

 Pince

 Microscope optique

(11)

4/ Réactifs utilisés

Déterminer les réactifs nécessaires pour la réalisation du TP

Exemple : pour le TP de Biologie cellulaire de la cellule végétale, les réactifs sont les suivants :

 Eau distillée

 Bleu de méthylène

 Rouge neutre

5/ Mode opératoire

Consiste à déterminer les principales étapes utilisées pour la réalisation du TP

Exemple : pour le TP de Biologie cellulaire de la cellule végétale, le mode opératoire est le suivant :

 Couper un petit fragment de l’épiderme interne d’écaille d’oignon à l’aide du bistouri

 Déposer ce fragment sur une lame de verre

 Déposer une goutte d’eau ou le bleu de méthylène ou le rouge neutre

 Déposer une lamelle sur la préparation

 Chasser les bulles d’air en appuyant sur la préparation

 Observer au microscope optique aux grossissements x4, x10, x40

 Dessiner l’observation microscopique

(12)

Chapitre IV : Réalisation d’un mémoire

1/ Définition d’un mémoire

Un mémoire est un document permettant d’exposer son opinion concernant un sujet donné en s’appuyant logiquement sur une série de faits pour en arriver à une recommandation ou une conclusion. De nombreuses voies de formation inscrivent dans leur programme la réalisation d’un mémoire, exemple : dans les universités (le mémoire est très exigé pour l’obtention d’une licence ou d’une maitrise (master)), dans les écoles professionnelles ainsi que de nombreuses formations complémentaires longues, qui s’adressent à des praticiens au bénéfice d’une certaine expérience professionnelle, exigent la rédaction d’un mémoire.

L’élaboration d’un plan pour la réalisation d’un mémoire est une étape indispensable car elle facilite la rédaction du document. Elle permet de s’assurer que les principaux points à développer ne seront pas oubliés et que l’enchaînement des idées suivra une logique claire et structurée. Il n’existe pas de plan type, mais un mémoire de recherche se compose généralement de 6-7 chapitres distincts : parties préliminaires, introduction, méthodes, résultats, discussion, conclusion, bibliographie, annexes, résumés et mots clés.

2/ Règles de présentation du mémoire

Un mémoire comporte plusieurs parties :

2.1/ Parties préliminaires

2.1.1/ Couverture (page de garde)

Elle doit être cartonnée et du même format que le mémoire, portant le titre de recherche qui doit être bref et précis, la page de garde doit contenir les éléments suivants : le nom de l’université et celui du département, la nature du travail et le nom du programme dans le cas d’un mémoire ou d’une thèse, le nom de l’étudiant et la date.

2.1.2/ Remerciement

Dans un mémoire ou une thèse, il faut remercier en premier lieu les individus qui vous ont assisté dans vos recherches, ensuite les organismes qui ont fourni un support financier.

(13)

2.1.3/ Table des matières

La table des matières est souvent la partie la plus consulté d’un ouvrage. On y trouve les titres et les sous titres identifiés numériquement et présentés de manière hiérarchisée tels qu’on les retrouve dans le texte avec la page correspondante. Il faut respecter la répartition conventionnelle des matières traitées en partie, chapitre, section, paragraphe.

2.1.4/ Liste des figures, des tableaux et des annexes

Vous devez présenter une liste distincte pour les figures, les tableaux et les annexes. Les figures et les tableaux sont numérotés selon l’ordre d’apparition dans le texte.

2.2/ Introduction

L’introduction doit répondre à la question POURQUOI ?

L’introduction est essentielle car elle représente le premier contact avec le lecteur. Elle précise la nature du problème et les raison du choix du sujet. Elle guide donc progressivement le lecteur vers le fond du sujet. L’introduction comporte une seule partie (pas de sous-chapitre). Elle comprend en général les points suivants :

 Un préambule qui amène le sujet et le replace dans son contexte général (s’appuyer sur quelques documents de référence et indiquer les principaux résultats et modèles explicatifs déjà énoncés dans ce domaine, faire le point sur l’avancement des recherches dans le domaine)

 La définition des termes ambigus

 La problématique de l’étude qui doit aboutir à la question centrale de la recherche

 L’originalité, l’intérêt de la recherche (expliquer le point précis auquel il vous semble que l’ensemble des études effectuées avant vous n’a pas répondu)

 Les objectifs poursuivis par la recherche

 L’hypothèse centrale

2.3/ Méthodes ou expérimentation

Cette partie doit pouvoir répondre à la question COMMENT?

(14)

Avec quels moyens vous comptez vérifier votre hypothèse? Il faut expliquer comment vous avez mené votre étude. Il faut aussi respecter l’ordre chronologique de l’expérience. La méthodologie expérimentale comprend les volets suivants :

 Une description de l’échantillonnage : population et site d’étude

 Une description du matériel utilisé : les outils de mesure utilisés, leurs caractéristiques techniques en détail

 Décrire Les protocoles expérimentaux utilisés

 L’analyse des données : décrire la méthode pour traiter les résultats (traitement statistique)

2.4/ Résultats

Cette partie doit pouvoir répondre à la question QUOI ?

 On y présente un résumé des données collectées et les résultats statistiques obtenus.

 On décrit les résultats, on ne les discute pas encore !

 Cette partie du mémoire étant la plus rébarbative, vous veillerez à ne pas l’encombrer de trop de résultats.

 Les résultats mineurs par rapport aux hypothèses seront placés dans les annexes.

 De manière générale, on commence toujours par présenter les résultats les plus importants. On les explique et ensuite, on présente les tableaux et les figures qui s’y rapportent.

 Ne pas commencer à parler directement des chiffres, introduire d’abord les résultats

 Toujours fournir le seuil de signification de vos résultats.

 Les tableaux doivent pouvoir être lus sans difficulté, ils doivent donc être introduits par un titre clair et précis. Au sein du texte, vous pouvez prendre le lecteur par la main et le guider à travers vos tableaux et figures (« comme il est possible de constater dans la première colonne du tableau A, les … »).

(15)

2.5/ Discussion

Cette section est destinée à discuter les implications des résultats que vous venez d’exposer.

La discussion doit constituer un miroir de l’introduction. Qu’est-ce qu’on a appris depuis L’hypothèse a-t-elle été infirmée ou confirmée ?

 Les résultats répondent ils à la question initiale ?

 Sont-ils en accord avec l’hypothèse?

 Comparer vos résultats avec les données obtenus par d’autres chercheurs (dans la littérature), expliquer les différences.

 Si les résultats sont surprenants, vous pouvez vous pencher sur les éléments méthodologiques susceptibles de les expliquer.

 Si vos résultats donnent lieu à de nouvelles interrogations, essayer de suggérer des pistes de recherches susceptibles d’y apporter des réponses.

2.6/ Conclusion

La conclusion est aussi importante que l’introduction. Elle donne la dernière impression au lecteur du mémoire. La conclusion comprend les éléments suivants :

 Un rappel de problématique ou de la question centrale

 Les principaux résultats de l’étude

 Les apports théoriques de l’étude

 Les voies futures de recherche (perspectives)

2.7/ Bibliographie

Tout d’abord, lorsqu’il y a des références dans le texte, elles s’inscrivent entre parenthèses :

* Si un seul auteur : (Nom d’auteur., année de publication) Exemple :(Martinez., 1993)

* Si deux auteurs : (Nom du 1er auteur et Nom du 2ème auteur, année de publication) Exemple : (Belli et Borrani., 1999)

*Si plus de deux auteurs : (Nom du 1er auteur et al., année de publication)

(16)

Après la conclusion, toute une section (bibliographie) reprend tous les livres et les articles qui ont été cités dans le corps du texte (liste des références complètes des travaux mentionnés dans le mémoire). Vous veillerez à chaque fois d’utiliser le même format.

Les références peuvent être regroupées en trois parties distinctes :

 les ouvrages

 les articles

 les sites internet

Les références sont alors présentées par ordre alphabétique en fonction du nom de famille du premier auteur (et, pour un auteur, par ordre chronologique des dates de parution).

2.7.1/ pour un article :

Nom, initiale du prénom de l’auteur ou des auteurs. (année de publication). Titre. Revue.

n° : première page-dernière page de l’article.

Exemples :

Gursoy, N. (2012). Influence of the seasonal conditions on phenolic composition and antioxidant activity of Vitis vinifera L. African journal of microbiology research. 6(43): 7059- 7067.

Kumaran, A., & Joel Karunakaran, R. (2007). In vitro antioxidant activities of methanol extracts of five Phyllanthus species from India. LWT. 40: 344-352.

Shams Ardekani, M.R., Hajimahmoodi, M., Oveisi, M.R., Sadeghi, N., Jannat, B., Ranjbar, A.M., Gholam, N., & Moridi, T. (2009). Comparative antioxidant activity and total flavonoid content of Persian pomegranate (Punica granaum L) cultivars. Iranian journal of pharmaceutical research. 10(3): 519-524.

2.7.2/ Pour un livre

:

(17)

Exemple :

Defrance, J. (1987). L’excellence corporelle. AFRAPS. Paris.

Macheix, J.J., Fleuriet, A., & Billot J. (1990). Fruit phenolics. CRD Press, Boca Raton.

Finlande.

2.7.3/ Pour une contribution dans un ouvrage

:

Nom de(s) auteur(s), Initiale du prénom. (Année de publication). Titre de l’article. In titre de l’ouvrage (coordonné par ou edited by Initiale du prénom Nom). Editeur. Lieu d’édition.

pp première page-dernière page.

Exemple:

Schmidt, R.A. (1991). Frequence augmented feedback can degrade learning: Evidence and interpretations. In Tutorials in motor neurosciences (edited by J. Requin and G.E. Stelmach).

Kluwer. The Netherlands. pp 59-85.

2.7.4/ Pour un texte non publié, thèse, mémoire, rapport de recherche

, indiquer :

Nom de l’auteur, Initiale du prénom. (Année). Titre. Nature du document. Institution. Lieu.

(Indiquer la nature du document dans la langue d’origine).

Exemple :

Fiorucci, S. (2006). Activités biologiques de composés de la famille de flavonoïdes : approches par des méthodes de chimie quantique et de dynamique moléculaire. Thèse de doctorat. Université de Nice.

2.7.5/ Pour une référence prise sur un site internet

(attention, source non vérifiée)

Adresse complète du site et « de quoi il s’agit »

(18)

http://www.humans.be/physio2.html (notions physiologiques de base)

2.8/ Annexe

Par annexe on entend toute espèce de texte, tableau de chiffres ou graphique dont la prise de connaissance n’est pas nécessaire pour la compréhension et l’appréciation correctes du corps du texte. Les annexes doivent être numérotées et porter un titre.

2.9/ Résumés et mots clés

Il s’agit d’un très bref résumé (entre 150 à 250 mots) permettant au lecteur de décider si son contenu l’intéresse. Il est assez difficile à écrire car il doit être très condensé, il est donc conseillé de l’écrire en tout dernier lieu quand vous avez une idée claire de ce que contient votre travail. Le résumé est placé en général dans le quatrième de couverture (sur la page de reliure au dos du mémoire). A la suite du résumé, faire une liste des différents mots-clés de l’étude. Le résumé et mots clés se font en français et anglais.

3/ Présentation du mémoire

 Les textes doivent être rédigés à un interligne et demi sur un papier blanc

 Une police de caractère droit (Times) de style normal dont la taille est de 12 points et un texte justifié

 Les marges doivent être de 3 cm en haut et en bas et de 2.5 cm à droite et à gauche sauf si le document doit être relié, dans ce cas, la marge de gauche sera de 3.5 cm et celle de droite de 2.5 cm

 Les titres des sections sont mis en évidence de manière uniforme tout au long du texte

 Il faut respecter les règles de ponctuation (mettre un espace après une virgule, un point, un point virgule, deux points….)

 Les pages portant un titre comme la page de titre, les résumés, l’avant propos, l’introduction, le titre d’un chapitre sur une page distincte ne sont pas numérotés, mais sont compté dans la pagination.

 Dans la nomenclature des sciences de la vie, le genre et l’espèce s’écrivent en italique avec une majuscule au genre et une minuscule à l’espèce. Exemple : Homo sapiens

(19)

Chapitre V : Rédaction d’un texte scientifique

La rédaction d’un texte scientifique destiné soit à des actes soit à une revue est toujours délicate et impose de nombreuses contraintes aux auteurs. Sur le fond, il est indispensable de situer clairement le sujet dans le contexte, et bien préciser les objectifs du travail. Il faut que les illustrations produites, qui doivent pouvoir être lues indépendamment du texte, puissent donner lieu à interprétation et discussion et par la même orienter la suite de l’exposé. Sur la forme, il convient de suivre scrupuleusement les indications données par les instructions aux auteurs : longueur du texte, marges, police, style, taille, numérotation des paragraphes, exécution des tableaux et figures, présentation de la bibliographie, respect des unités et des règles de nomenclature.

1/ Résumé

Les revues préconisent généralement un résumé d’une longueur limitée (150, 200, 300 mots, 15 lignes) pour des articles correspondant à 4 à 8 pages. Dans le cas d’un article limité à 4 à 6 pages, il ne faut pas dépasser 5 à 8 lignes.

2/ Introduction

L’introduction situe le problème, l’expose, insiste sur son importance.

3/ Matériel et méthodes

Dans cette partie le rédacteur doit fournir tous les détails qui ont permis la recherche (site d’étude, espèce étudiée, technique d’échantillonnage, dispositif et traitement expérimentaux, techniques d’analyses physico-chimiques ou statistiques, nomenclature, appareillage

……….). L’information devrait être suffisamment complète pour n’importe quel autre chercheur puisse refaire la procédure. Toutefois, pour les méthodes universellement connues, il est superflu d’en donner la description détaillée ; souvent le renvoi à une référence bibliographique peut suffire, ce qui permet, de limiter la longueur du texte et d’insister sur les parties les plus originales.

(20)

4/ Résultats

Dans cette section, les résultats sont présentés sous forme de figures et de tableaux qui doivent contenir toutes les informations nécessaires à leur compréhension. Vous présentez tous les résultats obtenus sans discuter de leur signification. Il faut mettre un titre aux tableaux (au-dessus) et aux figures (en dessous). Identifier les axes et préciser les unités des graphiques et des figures.

5/ Discussion

C’est dans la partie discussion que vous interprétez vos résultats. Vous indiquez si les résultats obtenus sont conformes ou non à la théorie existante et vous comparez les valeurs obtenues avec celles mentionnées dans la littérature. Vous analysez vos résultats et expliquez les écarts avec la théorie. Vous interprétez la valeur des résultats et vous dites s’ils sont significatifs ou non. Il est indispensable d’indiquer toutes les références dans le texte.

6/ Conclusion

Dans la conclusion, vous résumez les principaux résultats, vous donnez une appréciation générale de l’expérience effectuée et vous mentionnez des améliorations à apporter si vous le jugez nécessaire.

7/Références

Dans la liste de références, vous inscrivez par ordre alphabétique de nom d’auteur, toutes les références mentionnées dans le texte en suivant les indications données dans le chapitre précédent.

(21)

Chapitre VI : Terminologie

La terminologie est l’ensemble des termes, rigoureusement définis, qui sont spécifiques d’une science, d’une technique, d’un domaine particulier de l’activité humaine.

1/ Termes utilisés en biologie

Biologie : science qui étudie les êtres vivants

Géologie : science qui étudie la terre et ses différentes parties.

Biologie végétale : science du monde végétale.

Parasitologie : science des parasites, leurs hôtes et leur interaction mutuelle.

Biologie animale : science du monde animal.

Biophysique : science qui étudie la biologie avec les principes et les méthodes de la physique.

Biochimie : science qui étudie la structure et les réactions chimiques des molécules au sein ou issues des matières vivantes.

Microbiologie : est une sous-discipline de la biologie consacrée à l'étude des micro- organismes.

Immunologie : sciencebiologique qui étudie l'immunité ou le système immunitaire.

Génétique : sous discipline de la biologie, c’est la science qui étudie l’hérédité et les gènes.

Histologie : science dédiée à l’étude de la structure microscopique des tissus animaux et végétaux et des cellules qui les composent.

Morphologie : aspect général d’un corps ou d’un organe, c'est-à-dire sa forme et sa structure externe.

Anatomie : étude de la forme, de la disposition et de la structure des organes.

Pédologie : partie de la géologie qui étudie les caractères chimiques et physiques des sols.

Cellule : unité principale du monde vivant, capable d’assurer sa survie et sa reproduction

(22)

Organe : ensemble de tissus spécifiques capable de remplir une (ou plusieurs) fonction déterminée.

Organite : structure spécialisée ayant une fonction spécifique au sein de la cellule, délimitée du reste de la cellule par une membrane phospholipidique. Il existe de nombreux types d’organites en particulier dans les cellules eucaryotes. Chaque organite assure une fonction cellulaire particulière.

Noyau : organite cellulaire limité par une double membrane dans lequel est inclus le matériel génétique (ADN).

ADN : Acide Désoxyribo Nucléique, c’est une molécule, présente dans toutes les cellules vivantes, qui renferme l’ensemble des informations nécessaires au développement et au fonctionnement d’un organisme. Donc cette molécule contient l’information génétique héréditaire.

ARN : Acide Ribo Nucléique, une molécule biologique présente pratiquement chez tous les êtres vivants, très proche chimiquement de l’ADN, les cellules vivantes utilisent en particulier l’ARN comme un support intermédiaire des gènes pour synthétiser les protéines dont elles ont besoin.

Mutation : modification de l’information génétique dans le génome d’une cellule ou d’un virus. C’est donc une modification d’un gène, donc de la séquence de l’ADN qui le compose.

Mitose : un processus de division cellulaire qui permet d'obtenir à partir d'une cellule mère, deux cellules filles identiques.

Méiose : processus de double division cellulaire (deux divisions successives) permettant la formation de gamètes, ou cellules sexuelles chez les organismes eucaryotes ce qui permet ainsi de passer d’une cellule mère initiale diploïde (2n chromosomes) à des cellules filles haploïdes (n chromosome) ; il y a eu réduction chromosomique (nombre de chromosome divisé par deux).

Eucaryotes : organismes qui se caractérisent par la présence d’un noyau limité par une enveloppe et de mitochondries dans leurs cellules.

(23)

Protéine : macromolécule biologique constituée par l’assemblage d’un grand nombre d’acides aminés

Enzyme : macromolécule d’origine protéique qui joue un rôle de catalyseur biologique c'est- à-dire de composés qui facilitent une réaction chimique sans en modifier les produits. Une enzyme agit à faible concentration et elle se trouve intacte à la fin de la réaction. Elle agit dans des conditions plus ou moins strictes de pH et de température.

Hormone : substance chimique élaborée par un groupe de cellules ou une glande endocrine et qui exerce une action spécifique sur le fonctionnement d'un organe. Cette hormone est transportée par le sang jusqu’aux cellules cibles dont elle modifie l’activité.

Haploïde : un adjectif qui désigne une cellule ne contenant qu'une paire de chromosomes, ce que l'on appelle les « n chromosomes ».

Diploïde : cet adjectif qualifie une cellule formée par 2n chromosomes. Pour l’être humain n vaut 23 : les cellules diploïdes humaines possèdent 46 chromosomes.

Aérobie : terme qui s’applique à un organisme vivant qui a besoin d’oxygène pour vivre ou fonctionner.

Anaérobie : terme qui s’applique à un organisme vivant qui n’a pas besoin d’oxygène pour fonctionner.

Métabolisme : ensemble des transformations moléculaires et des transferts d’énergie qui se déroulent dans la cellule ou l’organisme vivant. Il s’agit de processus de dégradation (catabolisme) et de processus de synthèse (anabolisme)

ATP : Adénosine triphosphate, une molécule connue chez tous les organismes vivants, fournie par son hydrolyse l’énergie nécessaire aux réactions chimiques du métabolisme.

Herbivore : animal qui se nourrit exclusivement d’herbes et de substances végétale et non de chair.

Carnivore : animal qui se nourrit des tissus animaux, généralement de la viande.

Sol : support de la vie terrestre. Il résulte de la transformation de la couche superficielle de la roche mère, de la croute terrestre, dégradée et enrichie en apport organique

(24)

Milieu homogène : adjectif qui qualifie un milieu qui a une structure uniforme.

Milieu stérile : un environnement dépourvu de germes (bactéries, virus, parasitées)

pH : potentiel hydrogène

Milieu acide : pH˂ 7

Milieu neutre : pH =7

Milieu basique : pH> 7

(25)

Chapitre VII : Sécurité au laboratoire

Lors de son travail, le personnel de laboratoire s’expose à des dangers chimiques, physiques, biologiques et radiologiques. Ces dangers peuvent être évités ou limités, si les règles élémentaires de sécurité sont respectées.

1/ Définition d’un laboratoire

Local pourvu des installations et des appareils nécessaires à des manipulations et des expériences effectuées dans le cadre de recherche scientifique, d’analyses médicales ou de l’enseignement scientifique et technique.

2/ Prévention des risques au laboratoire

Le travail dans un laboratoire présente toujours des risques. Le plus important est de connaitre ces risques pour les prévoir, les éviter et pour agir rapidement et efficacement en cas de problème. On peut distinguer trois types de risques au laboratoire :

 Les risques biologiques

 Les risques chimiques

 Les risques physiques

2.1/ Risques biologiques

C’est la contamination des personnels par des produits biologiques pathogènes.

2.1.1/ Voies de contamination

Respiratoires par inhalation d’aérosol microbien

Digestive par le pipetage oral qui est le plus fréquemment à l’origine des contaminations

Cutanée où la contamination se fait par effraction de la peau par piqûre par une aiguille souillée ou bien souillure des mains par l’intermédiaire des robinets de lavabo, des serviettes

Conjonctivale où la contamination se fait par projection dans l’œil de gouttes de

(26)

2.1.2/ Prévention

 Bonne conception des locaux de travail

 Vigilance dans le travail

 Décontamination avec un désinfectant approprié (eau de javel) du plan de travail avant et après toute manipulation

 Prise de précautions pour minimiser la production d’aérosols par exemple éviter de plonger une anse de platine chaude dans une culture.

 Eviter du pipetage oral

 Prendre les précautions pour éviter les piqures par les aiguilles de prélèvement

 Port de vêtement de protection : porter des gants, une blouse en coton fermée

 Ne pas fumer, ni boire ni manger dans un laboratoire

 Hygiène des mains rigoureuse

2.2/ Risques chimiques

Les risques les plus fréquents sont :

 Les brûlures de la peau et de la muqueuse par des produits acides ou basiques

 L’ingestion de toxiques

 L’inhalation de gaz et de vapeurs de solvants toxiques Parmi les produits à risque on peut noter :

Produits corrosifs : destruction des tissus de la peau et des muqueuses (exemple : acides et bases forts)

Produits irritants : piqures au niveau des yeux, gorge et peau (exemple : phénols

Produits allergisants : déclenchent une réaction anormale du système immunitaire (exemple : sel de chrome)

Produits cancérigènes : agissent sur l’ADN et provoque des cancers (exemple : ethylnediamine)

Produits toxiques : à l’origine d’intoxication (exemple : plomb, mercure)

2.2.1/ Prévention

(27)

 Prohibition du pipetage oral

 Respect attentif des modes opératoires

 Ne jamais verser de l’eau ni dans un acide ni dans une base forte

 Utilisation des hottes aspirantes

 Port de blouse en coton

2.2.2/ En cas de problème

Les procédures à suivre à chaque type de produit doivent être affichées dans tous les locaux.

Projection dans les yeux ou sur la peau : Lavage à grande eau et consultation d’un médecin

Ingestion de produits toxiques : faire vomir la personne, sauf s’il s’agit d’acide ou de base (pour un acide donner à boire du lait, pour une base donner à boire du jus de citron ou de l’eau vinaigrée)

2.3/ Risques physiques

Les risques physiques les plus fréquents sont : l’incendie, l’explosion, l’électrocution et l’exposition aux matières radioactives.

2.3.1/ Incendie

Les causes d’incendies les plus fréquents sont :

 Les problèmes électriques (court-circuit)

 Les installations défectueuses ou bien atmosphère impropre (humidité)

 Le mauvais stockage des produits inflammables

 Une mauvaise manipulation des produits

2.3.2/ Préventions

 Les installations électriques doivent être conformes

 Stockage des produits inflammables dans un local isolé et aéré

En cas de problème, seule une intervention rapide permet de limiter les dégâts.

3/ Conclusion

(28)

 Respecter les règles des activités pratiques

 Porter une blouse non inflammable, couvrante et boutonnée pour se protéger

 Avoir les cheveux attachés pour limiter les risques d’accident

 Laver les mains régulièrement pour limiter les risques de contaminations

 Ne pas boire ni manger dans un laboratoire pour limiter les risques de contaminations

 Utiliser l’équipement de protection individuelle ; gants, masques, lunettes….

 Utiliser uniquement la quantité de produit nécessaire à la manipulation

 Respecter les consignes d’élimination des déchets

(29)

Chapitre VIII : Prise des notes

La prise des notes désigne la transcription écrite résumée du langage parlé. Elle est particulièrement utilisée en cours au niveau de l’enseignement secondaires et des études supérieures. La manière de prendre des notes est personnelle et n’est pas soumise à des règles strictes. L’important est d’écrire rapidement et de pouvoir s’y retrouver pour que le contenu des discussions soit reproduit le plus fidèlement possible. La personne appelée à prendre des notes régulièrement développera avec le temps son propre code d’abréviations et de signes.

1/ Pourquoi prendre des notes

Dans une vie d’élève puis plus tard dans une vie professionnelle, il faut prendre des notes afin de saisir et de mémoriser des informations. Ecrire favorise la compréhension et la mémorisation des informations retenues et permet par la suite de mieux restituer ses connaissances. Quand vous suivez un cours ou un enregistrement que vous désirez retenir, celui qui parle va plus vite que vous qui écrivez. Selon certains spécialistes, nous retenons : 20% de ce que nous entendons, 40% de ce que nous voyons,60% de ce que nous entendons et voyons en même temps (audio visuel) et 80% de ce que nous faisons (parole, écriture).La prise de notes est donc la clé de la mémorisation

Exemple : en une heure de cours le professeur prononce en moyenne 9000 mots, vous pouvez écrire au maximum 1400. Le but de la prise des notes est de retenir le maximum d’informations en un minimum de mots.

2/ Comment saisir les informations essentielles

Cela signifie, bien sûr, entendre mais surtout comprendre et être capable de retenir l’essentiel.

2.1/ Avant le cours

Pour apprivoiser le contenu du prochain cours et vous le représenter mentalement, faites d’abord une lecture préparatoire et familiarisez-vous avec le vocabulaire relié à la nouvelle matière. Il sera plus facile de prendre des notes si vous avez déjà une idée de la structure du cours. Comment faire?

 Consultez votre plan de cours

(30)

 Lisez les textes sans effort de mémorisation, idéalement dans les 12 heures avant le cours pour que l’information soit fraîche dans votre mémoire.

 Si vous vous posez des questions durant votre lecture, continuez tout de même à lire.

 Si vous ne trouvez pas les réponses, abordez le sujet avec votre enseignant pendant le cours.

2.2/ Pendant le cours

 Pendant le cours, une condition est essentielle à la prise de notes: écoutez et regardez le prof avec attention car les idées essentielles vont être soulignées et annoncées par des signaux qui pourront être différents suivant les professeurs, à vous de savoir les détecter (le ton de voix change, devient insistant, des clignotants se déclenchent par exemple : j’insiste sur, retenez bien que, je répète que …..)

 Participer dont il faut oser à poser des questions et répondre aux questions (mieux vaut se tromper que ne pas essayer) ; n’hésitez pas à poser des questions si vous ne comprenez pas.

 Notez les éléments importants de façon structurée ; les grands thèmes et les idées principales, les définitions, les explications, les équations et les formules, les noms propres et les dates importantes, les schémas, les tableaux et les figures.

 Il ne faut pas hésiter à sauter les lignes et laisser une grande marge

 Faire apparaitre un plan dans des notes (noter les titres en couleurs, sauter les lignes

entre chaque paragraphe, hiérarchiser les paragraphes

(I,II,III,A,B,C,D,1,2,3,a,b,c…..))

 Faire ressortir par tous les moyens les éléments essentiels

 Souligner ce qui important

 Prendre les notes avec propreté car si elles ne sont trop mal présentées, vous n’aurez pas envie de les relire.

 Il ne faut pas écrire les phrases entières

 Ecrire avec abréviations ce qui permet de gagner du temps

2.3/ Après le cours

(31)

apprentissages. Votre étude en sera facilitée, puisque sans cette révision, c’est 60% du contenu du cours qui sera oublié dans les 24 heures… Pour ce faire, vous devez :

 Vérifier la compréhension

 Compléter vos notes (seul ou avec un collègue)

 Compléter les blancs avec les informations que tu as encore en mémoire

 Réécrire les mots mal écrits

 Ecrire dans les marges les définitions des mots difficiles

 Souligner et encadrer les notions les plus importantes, indiquer les mots clés

 Ajouter des exemples, des précisions au verso

 Rectifier les abréviations

 Souligner tous ce qui ne l’a pas été en cours

3/ Erreurs à éviter

 Prendre trop de notes

 Prendre trop peu de notes

 Prendre de mal notes

4/ Abréviations

4.1/ Signes mathématiques ou empruntés aux sciences

+ : plus ; - : moins ; ± : plus ou moins ; = : égal ; > : supérieur ; < : inférieur ; ∞ : infini ; ½ : demi, moitié ; ≠ : différent, opposé ; ø : ensemble vide, rien, aucun ; ε : appartient ; ε : n’appartient pas ; // : parallèle ; → : conséquence, but ; ← : cause, moyen ; ♀ : femme ; ♂ : homme...

4.2/ Abréviations usuelles

bcp. : beaucoup ; càd : c’est-à-dire ; cf : se reporter à ; ĉ : comme ; Ct : comment ; Ccl : conclusion ; cpdt. : cependant ; déf : définition ; ds : dans ; ex : exemple ; exo : exercice ; ê : être ; gd : grand ; h : homme ; id : idem ; intro : introduction ; m : même : ms : mais ; nb : nombre ; nf : neuf ; pb : problème ; pdt : pendant ; p ou pp : page(s) ; qd : quand ; qq : quelques ; qqch : quelque chose ; ss : sans ; sté : société ; tt : tout ; vs : opposé à (anglais

(32)

4.3/ Abréviations personnelles

ext : extérieur / externe ; gvnt. : gouvernement ; in : dans (anglais) ; lgtps. : longtemps ; prod. : produit / production ; tjs. : toujours ; vivt. : vivement

*Lettres mises en exposant pour abréger la fin d’un mot : n : -tion (révn : révolution) ; q : -ique (poétq : poétique) ; t : -ment (dévt : développement)

4.4/ Lettres grecques

Φ, θ, ψ, sont fréquemment utilisées comme symboles. (ex. : Φ = philosophie ; θ = théâtre ; ψ

= psychologie…).

(33)

Chapitre IX : Organisation et gestion du temps 1/ Définitions

Le temps est une durée mesurable dans laquelle se succèdent les événements, les jours, les nuits…..etc. Le temps et la gestion du temps sont deux concepts intimement liés. Le problème du manque de temps amène une raison d’être à la gestion du temps.

La gestion du temps, c’est tout simplement une façon de bien équilibrer vos responsabilités scolaires, professionnelles et personnelles.

2/ Conséquences de la mauvaise gestion du temps

Parmi les conséquences de la mauvaise utilisation et organisation du temps on peut citer :

 Agenda surchargé

 Surmenage

 Retard au rendez-vous

 Stress

 Oublie

 Mauvais rendement au niveau du travail ou d’étude

Equilibre

Université Amis

Responsabilités familiales

Travail Sport et activités

physique

Loisirs

(34)

3/ Avantages de la gestion du temps

 Vous fait gagner du temps (les activités ou déplacements inutiles sont supprimés)

 Vous évite la fatigue (l’apprentissage étalé sur une longue période simplifie la tâche et augmente la motivation; la planification soulage la mémoire; la variation d’activités- étude, travail, sortie-permet le maintien d’un équilibre entre vos activités de détente et vos tâches)

 Vous rend efficace (la priorisation et l’organisation de vos activités éliminent les hésitations, les distractions et les pertes de temps)

 Vous permet de développer un esprit de synthèse (les habitudes de gestion, une fois acquises, conditionnent le cerveau qui reproduit spontanément et sans effort les stratégies d’organisation, de classification…

 Vous libère des contraintes (la prise en charge de vos périodes libres, en tenant compte des exigences de votre travail scolaire et en respectant les échéances, permet de profiter davantage des plaisirs de la vie, la conscience tranquille).

4/ Astuces pour la bonne gestion du temps

 Avoir une estimation des temps moyens nécessaires pour chaque activité

 Optimaliser l’utilisation du temps et diminuer le stress

 Etablir les priorités à partir du degré d’urgence et d’importance des activités

 Elaborer un plan d’action concret et individuel avec des objectifs précis

 Utiliser des moyens efficaces pour diminuer les facteurs de stress

 Réserver du temps pour les imprévus

 Préparer la veille le travail du lendemain

 Evaluer le rendement non pas sur le temps passé, mais sur les résultats effectivement obtenus

5/ Réalisation d’un planning

Un bon planning à court, moyen ou long terme doit être :

(35)

Souple (il peut y avoir des imprévus, mais en fin de semaine, le travail prévu doit être terminé, quels que soient les changements intervenus)

Réaliste et contrôlable (ne pas être trop ambitieux surtout au début)

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