• Aucun résultat trouvé

Evaluation du service de Conseil en Energie Partagé du Pays de Saint-Brieuc

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2022

Partager "Evaluation du service de Conseil en Energie Partagé du Pays de Saint-Brieuc"

Copied!
15
0
0

Texte intégral

(1)

Version présentée en Conseil d’Administration mardi 6 octobre 2015

Evaluation du service de Conseil en Energie Partagé du Pays de Saint-Brieuc

Juin 2015

Enquête de satisfaction

(2)

Contenu

Introduction ... 3

1. Approche générale ... 4

a) La connaissance des consommations énergétiques avant le CEP ... 4

b) Les missions les plus pertinentes ... 4

c) La présence des conseillers CEP auprès des communes ... 5

2. Le bilan énergétique annuel ... 6

a) Les parties du bilan les plus importantes ... 6

b) La bonne transmission des factures ... 7

3. L’accompagnement ... 8

a) Les préconisations ... 8

b) L’analyse approfondie sur un bâtiment ... 9

c) L’accompagnement de projets ... 9

4. Les rencontres techniques ... 10

5. L’évolution du service ... 12

Remarques diverses ... 13

Conclusion ... 14

Annexe ... 15

(3)

Introduction

Le service de Conseil en Energie Partagé de l’ALE du Pays de Saint-Brieuc existe depuis 2010 et accompagne les communes adhérentes dans leurs politiques énergétiques. Toujours soucieuse de proposer des services de qualité correspondant aux besoins des collectivités, l’ALE a réalisé au premier semestre 2015 une enquête de satisfaction. Cette enquête avait pour but de connaitre le point de vue des collectivités adhérentes sur la qualité du service, et sur les améliorations et évolutions qui pourraient être apportées.

Pour ce faire, un questionnaire a été établi et soumis aux collectivités à travers les élus référents et/ou les techniciens (lorsque la collectivité en était pourvue) par Internet et, éventuellement par format papier. Cette enquête, qui concerne 42 collectivités, s’est déroulée du 23 mars au 17 juillet 2015. Le taux de réponse est de 73%.

Le questionnaire contient 19 questions sur 5 thèmes :

 L’approche générale

 Le bilan énergétique

 L’accompagnement

 La sensibilisation

 L’évolution du service

Les questions étaient majoritairement fermées. Seules deux questions ouvertes étaient proposées. La plupart des questions (sauf celles qui ne concernaient pas tous les candidats) étaient obligatoires.

A noter que certaines collectivités ayant changé d’équipes aux dernières élections, n’avaient pas assez de recul sur la mission et n’ont pas été sollicitées ou se sont abstenues. La moyenne de temps d’adhésion des collectivités qui ont répondu est de 4.5 ans.

L’anonymat des collectivités a été respecté dans le traitement des réponses, aucun résultat ne permet d’identifier quelle collectivité est concernée, l’ensemble du questionnaire a été traité de façon globale.

On distingue 3 profils de répondants en fonction de leur statut dans la collectivité : les élus, les techniciens et les binômes les regroupant.

10 16 4

Nombre de réponses par profil de questionnés

Élu

Technicien Binôme élu et technicien

(4)

1. Approche générale

a) La connaissance des consommations énergétiques avant le CEP

Il était demandé aux collectivités d’évaluer la connaissance qu’elles avaient des consommations énergétiques de leur patrimoine avant le démarrage de la mission du CEP. Les réponses montrent que les collectivités ont avoué avoir des carences dans ce domaine.

Avant le démarrage de la mission CEP, estimez-vous que votre connaissance des consommations

énergétiques était ?

Inexistante 3%

Pas assez bonne 60%

Assez bonne 33%

Bonne 3%

b) Les missions les plus pertinentes

Le service CEP se distingue en trois missions de base, il était proposé aux collectivités de choisir la mission la plus pertinente.

On note que les avis sont équilibrés entre les préconisations et la réalisation du bilan énergétique, ce qui démontre la pertinence des deux missions.

En revanche, l’accompagnement est moins sollicité, car il nécessite que la collectivité porte un projet d’envergure : les occasions d’intervenir dans ce cadre sont donc peu nombreuses. De plus, les collectivités ont pour reflexe de s’adresser uniquement à leur maître d’œuvre ou leur bureau d’études pour ce type de projet. Les collectivités n’ont sans doute pas encore identifié le service CEP comme interface entre le Bureau d’études et la maîtrise d’ouvrage, ou comme un organisme indépendant susceptible d’apporter un avis extérieur.

Il est aussi utile de rappeler ici que le service CEP peut accompagner les collectivités dans la conception des opérations, la rédaction du cahier des charges, l’accompagnement en

7%

55%

38%

Missions les plus pertinentes

Accompagnement des projets de la commune (construction/rénovation) Préconisations d’améliorations et accompagnement pour leurs mises en œuvre Réalisation du bilan énergétique annuel du patrimoine

(5)

cours de chantier, et d’intervenir sur le bon usage du bâtiment lors de la prise de possession des lieux.

c) La présence des conseillers CEP auprès des communes

En dernière partie de cette thématique, les collectivités ont pu juger la présence des conseillers.

Les collectivités jugent que leur conseiller est « assez présent » ou « très présent » dans 90% des cas. Ce bon résultat est à l’image du souhait de proximité que les conseillers entretiennent auprès de leurs collectivités.

Le service CEP de l’ALE s’adresse donc à des collectivités ayant une connaissance incomplète de leur patrimoine énergétique, et leur propose des missions de base équilibrées tout en assurant une présence constante.

30%

60%

7% 3%

Présence du conseiller

Très présent Assez présent Pas assez présent Pas du tout présent

(6)

2. Le bilan énergétique annuel

a) Les parties du bilan les plus importantes

La première question proposée aux collectivités est de savoir si le bilan énergétique annuel apporte une meilleure connaissance du patrimoine. Avec 97% de réponses favorables, les collectivités reconnaissent l’utilité de ce bilan.

Le bilan étant séparé en plusieurs parties, il était demandé aux collectivités de choisir à quelle partie du bilan elles accordaient le plus d’importance (une seule réponse possible).

Le bilan par énergie et par secteur et le bilan par équipement s’adjugent les faveurs des collectivités interrogées.

Il est important de noter que le bilan des émissions de gaz à effet de serre n’obtient aucune voix alors qu’il est l’indicateur nécessaire permettant de faire le lien avec l’environnement et le changement climatique. Cela s’explique sans doute par le fait que les autres parties sont exprimées avec des unités plus facile à appréhender et plus connues (kWh, m3 ou €) que les émissions de GES (tonnes équivalent CO2). Cette partie du bilan reste néanmoins importante, car le rôle du CEP est aussi d’apporter une culture sur la thématique du climat.

3 9

12

3

0 3

0 2 4 6 8 10 12 14

Nombre de votes

Bilan global

Bilan par énergie et par secteur Bilan par équipement

Bilan par équipement rapporté à la surface

Bilan des émission de Gaz à Effet de Serre

Préconisations

(7)

b) La bonne transmission des factures

La réalisation de ce bilan repose sur la bonne transmission des factures d’énergies, que les collectivités et les CEP ont pu juger selon 3 critères.

Dans la majeure partie des cas la transmission des factures est jugée comme une procédure acquise, cependant il reste des collectivités où celle-ci reste difficile.

L’avis des CEP est plus modéré, selon leurs points de vue, la transmission des factures s’effectue de manière irrégulière ou difficilement dans 50% des cas.

Cependant pour améliorer cette transmission, il était demandé aux communes si elles étaient prêtes à redéfinir une méthodologie. Dans 63% des cas elles ont répondu favorablement. Cette nouvelle méthodologie pourrait être de donner au CEP l’accès aux codes de connexion des espaces clients des fournisseurs d’énergies et d’eau. Cette méthode serait moins chronophage pour les collectivités et les CEP. Le temps gagné pourrait être utilisé pour d’autres missions (accompagnement, sensibilisation…)

Le bilan énergétique est donc un outil bien intégré dans les collectivités qui apporte une meilleure connaissance du patrimoine grâce à son approche en plusieurs parties.

Cependant des efforts restent à faire sur la transmission des factures.

69%

24%

7%

Transmission des factures selon les collectivités

C'est une procédure acquise et totalement intégrée maintenant.

La transmission des factures s’effectue mais de manière irrégulière.

La transmission des factures s’effectue difficilement.

50%

43%

7%

Transmission des factures selon les CEP

C'est une procédure acquise et totalement intégrée maintenant.

La transmission des factures s’effectue mais de manière irrégulière.

La transmission des factures s’effectue difficilement.

(8)

3. L’accompagnement

L’accompagnement est un deuxième axe important de la mission de CEP, il débute par l’émission de préconisations suite au bilan énergétique. Il peut aussi correspondre à une analyse approfondie sur un bâtiment (pré-diagnostic), ou à un accompagnement technique sur un projet précis de rénovation ou de construction d’un équipement public.

a) Les préconisations

Le premier facteur de satisfaction concerne donc les préconisations. L’enquête proposait de les juger selon 4 critères :

 La pertinence

 La réalisabilité (indépendamment des moyens financiers de la collectivité)

 La précision

 L’ambition

Les résultats, encore une fois satisfaisants, montrent que les préconisations sont avant tout très pertinentes. L’ambition des préconisations est un peu plus modérée, ce critère pourrait être amélioré, il ne faut cependant pas oublier que des préconisations plus ambitieuses ne seraient pas forcément toutes réalisables. Il s’agit de trouver un juste équilibre entre tous ces critères. La moyenne globale de satisfaction des préconisations est de 75%.

Cela explique pourquoi les collectivités attachent une grande importance à cette partie très qualitative de la mission de CEP.

Une seconde partie de l’évaluation du service CEP consistera à analyser chacune de ces préconisations afin de déterminer le taux de réalisation, et les économies générées.

Pertinentes

90%

Précises

76%

Réalisables

74%

Ambitieuses

63 %

Globales

75%

Taux de satisfaction des préconisations

(9)

b) L’analyse approfondie sur un bâtiment

Depuis la création du service, l’ALE a réalisé 55 analyses approfondies sur des bâtiments particuliers : pré-diagnostics, thermographies infra-rouges, enregistrements de température ou de courbe de charge, etc…

77% des collectivités répondant à l’enquête rapportent avoir bénéficié d’une analyse approfondie sur un bâtiment particulier. Il leur a été proposé d’évaluer l’utilité de cette analyse :

Dans 94% des cas cette analyse s’avère « plutôt utile » ou « très utile ». Ce chiffre met en avant le savoir-faire technique et la capacité d’analyse des CEP qui offrent aux collectivités une meilleure connaissance de leur patrimoine.

c) L’accompagnement de projets

Depuis la création du service, l’ALE a réalisé environ 200 accompagnements auprès des collectivités adhérentes. Ce terme regroupe une grande variété d’interventions :

- 33 suivis globaux de projets de constructions, rénovations lourdes et aménagements - 99 contributions spécifiques sous forme de note technique, relecture de cahiers des charges, analyse de devis, etc.

- 29 accompagnements à la mobilisation de financements (CEE, AAP, etc…) - 3 définitions de programmes d'investissements

- 32 actions de sensibilisation

L’accompagnement est proposé soit à l’initiative de l’ALE, soit sur sollicitation de la collectivité. Il débute idéalement très en amont du projet et permet d’apporter à la collectivité une expertise complémentaire.

38%

57%

5%

0%

Utilité de l'analyse approfondie

Très utile Plutôt utile Assez peu utile Complétement inutile

(10)

60% des collectivités répondant à l’enquête affirment avoir bénéficié d’un accompagnement. Elles ont pu l’évaluer selon 4 critères :

Ce service est jugé au minimum « plutôt intéressant », et même « essentiel » pour 39%

des sondés. L’accompagnement a donc eu un rôle important pour les collectivités bénéficiaires grâce à sa démarche en plusieurs étapes qui permet de mieux cibler les besoins lors de la genèse des projets, d’apporter un soutien technique durant son déroulement et par la suite de conseiller les usagers dans l’utilisation d’un bâtiment performant.

4. Les rencontres techniques

L’ALE organise 3 fois par an des rencontres techniques, à destination des élus et techniciens, qui ont pour but d’informer sur des thèmes d’intérêt général.

La totalité des sondés trouvent ces rencontres pertinentes malgré un taux de participation en dessous des ambitions de l’ALE. Pour pouvoir mobiliser davantage de participants durant ces rencontres, il a donc été demandé aux collectivités de donner leurs préférences sur le format et le contenu.

La première interrogation concerne l’horaire de ces rencontres techniques :

39%

61%

0%

0%

Evaluation de l'accompagnement de projets

Essentiel

Plutôt intéressant Assez peu utile Complètement inutile

37%

22%

41%

Préférence sur les horaires des RT

10h-12h 14h-16h 17h-19h 5 élus

4 techniciens 2 binômes

8 élus 1 technicien 1 binôme 1 élu

4 techniciens 1 binome

(11)

Les résultats sont mitigés et significatifs de la difficulté de trouver un horaire qui conviendrait au plus grand nombre. Il sera donc judicieux de choisir l’horaire en fonction du public visé. L’horaire de 14h-16h étant peu sollicité, ce choix s’effectuera avec une plage horaire de 10h-12h pour un public composé majoritairement d’élus ou une plage horaire de 17h-19h pour un public plus technique. Ce choix dépend du contenu, qui est le propos de la question suivante.

Pour juger le contenu, il a été proposé d’évaluer en fonction des préférences des sondés : soit en abordant des thèmes globaux sur des sujets plus généraux, soit des thèmes détaillés sur des sujets précis et approfondis.

Une très large majorité des participants à l’enquête préfèrent aborder des sujets détaillés, et notamment les techniciens.

Une dernière question ouverte sur cette thématique concernait les sujets qui pourraient être abordés. Les participants étaient invités à proposer des thèmes qui les intéressaient. Voici la liste exhaustive des thèmes suggérés :

Flotte de véhicules :

- Optimisation des consommations des véhicules - Réduction de la flotte de véhicules

- Eco-conduite (3 fois)

- Marché à groupement de commande pour les carburants - Parc de véhicules écologiques (3 fois)

Energies renouvelables : - Chaudières bois (2 fois)

- Energies renouvelables

19%

81%

Contenu des RT

Global (sur un sujet plus général)

Détaillé (sur un sujet précis et approfondi) 4 élus

1 technicien 11 élus

5 techniciens 3 binômes

(12)

Economies d’énergies - Nouveau compteur Linky - Économies d'énergies

- Certificats d'Economie d'Energie - Régulation de chauffage

Divers

- Appropriation des bases de fonctionnement des équipements techniques (ventilation chauffage...) par les maîtres d'ouvrage

- Réglementation thermique 2012 et évolution récente des règlementations - La maintenance, l'optimisation et fonctionnement systèmes de chauffage

Cette liste met en avant l’intérêt que suscitent les sujets des rencontres techniques et la large demande d’information des collectivités dans le domaine énergétique. Le secteur de la flotte de véhicules est le plus plébiscité.

La sensibilisation à travers les rencontres techniques est donc un outil apprécié des collectivités même si l’agence rencontre des difficultés sur le format. Le contenu doit de préférence être détaillé, et pourrait aborder de nombreux thèmes.

5. L’évolution du service

Les besoins des collectivités évoluant au fil du temps, le service CEP cherche constamment à s’adapter à leur fonctionnement pour proposer des services qui correspondent à leurs besoins. La première interrogation du service était donc de savoir quels points devraient être améliorés :

Trois points se démarquent : l’accompagnement des projets (sollicité à 72% par des élus), la sensibilisation des usagers (la campagne Display débute cette année dans ce sens), et le suivi des préconisations.

1 8

5 11

3 12

4 0

2 4 6 8 10 12

14

Points à améliorer

Restitutions

Suivi des préconisations

Pré-diagnostics de bâtiments, notes d’opportunité…

Accompagnement des projets Rencontres techniques Sensibilisation des usagers

Transmission et/ou analyse de CCTP

(13)

La deuxième interrogation concerne l’orientation du service, les CEP de l’ALE proposent 4 axes de travail et demandent aux adhérents de choisir les plus pertinents:

Les collectivités privilégient la continuation des missions de bases et une orientation vers une veille technique et des retours d’expériences. L’ALE va prochainement diffuser des fiches d’opérations exemplaires sur des projets auxquels le service CEP a participé.

Le service doit donc renforcer ses missions de bases (suivi des préconisations, accompagnement des projets et sensibilisation des usagers) et évoluer en s’affirmant comme un référent technique sur les aspects énergétiques dans les bâtiments et pour la flotte de véhicules des collectivités sur le Pays de Saint-Brieuc.

Remarques diverses

En fin de questionnaire, un espace était réservé aux commentaires divers que pouvaient avoir les collectivités. Voici une liste de remarques et de pistes de réflexions:

 Les préconisations devraient être plus régulièrement mises à jour.

 Accompagnement précieux pour la commune et indispensable au vu du regard extérieur apporté.

 L'outil de conseil en énergie partagé est très bénéfique pour la collectivité. Le point faible reste en interne où l'organisation ne nous permet pas d'optimiser les préconisations.

 La pertinence de la ré-adhésion des petites communes (un ou deux bâtiments seulement à gérer) peut se poser.

Une mise en réseaux des adhérents peut être imaginée, mais au niveau des intercommunalités

7 9

16

11

0 2 4 6 8 10 12 14 16 18

Orientation du service

Mise en réseau des adhérents Planification énergétique Poursuivre et renforcer les missions de base (ci-dessus) Veille technique – Retours d’expérience

(14)

Conclusion

Cette enquête est très satisfaisante à plusieurs égards : elle confirme que les communes sont fortement impliquées dans la problématique énergétique, mais connaissent insuffisamment leur patrimoine sur le plan énergétique. Ainsi, les missions de base du CEP sont reconnues comme pertinentes, et de qualité.

L’enquête soulève par ailleurs des problèmes connus (transmissions des factures aléatoires, horaire des rencontres techniques), et met en lumière des marges de progression.

Dans les points forts, la proximité des conseillers auprès des collectivités et la qualité du suivi de consommation et des préconisations émises sont la première constatation de cette enquête.

Dans les possibilités d’évolution, les collectivités ont tendance à solliciter les conseillers sur les points où elles affichent des carences. C’est pourquoi, les accompagnements de projets et la sensibilisation des usagers, qui sont déjà des points forts du service nécessitent encore d’être améliorés.

Il est vrai que, pour les collectivités, la sensibilisation des usagers est très complexe à gérer en interne (chronophage) et nécessite de la pédagogie. C’est pourquoi les collectivités comptent sur l’expertise de l’ALE pour les aider dans ces démarches.

L’accompagnement est aussi un atout très plébiscité par les collectivités, car il apporte un appui technique indéniable. En effet, les règlementations thermiques et les aides financières sont en évolution constante et les collectivités ont besoin d’une structure effectuant une veille technique et réglementaire afin de les aider à mener à bien leurs projets.

Les enseignements de cette enquête vont permettre à l’ALE de s’appuyer sur ses points forts et d’améliorer les points révélés par les collectivités au cours de cette enquête pour renforcer la qualité de son service CEP, et être toujours plus à la disposition de ses adhérents.

(15)

Annexe 1 : Echantillonnage des communes ayant été sollicitées

Andel Lantic Plérin Saint-Julien

Binic Le Bodéo Ploeuc-sur-Lié Saint-Quay-Portrieux

Coëtmieux Meslin Ploufragan Trebry

Étables-sur-Mer Montcontour Plourhan Trédaniel

Hénon Morieux Plurien Trégueux

Hillion Noyal Pommeret Tréméloir

La Méaugon Penguily Pordic Trémuson

Lamballe Plaintel Quessoy Treveneuc

Landéhen Planguenoual Quintin Yffiniac

Lanfains Plédran Saint-Carreuc

Langueux Pléneuf-Val-André Saint-Donan

Références

Documents relatifs

Ces missions comprennent un travail d’animation pédagogique auprès des équipes d’écoles, le suivi des néo-titulaires et des personnels enseignants ayant des besoins

Au cours des années 1930, la profession de conseil- ler d’orientation encore fragile est confortée par le décret- loi du 24 mai 1938 qui pose les bases d’une organisation nationale

(Garde-Malade) », pris à même le fonds d’aide aux entreprises issu du fonds régions et ruralité, suite à une demande présentée par « 9416-2732 Québec inc. D'autoriser à

Que ce conseil accorde la dérogation mineure numéro 2020-038, formulée le 21 mai 2020, par « Ville de Mirabel pour Chantal Gilbert et Étienne Bélanger », ayant pour effet

L’objectif du service est de permettre aux communes du territoire de disposer d’un conseil personnalisé pour les aider à faire des choix pertinents en matière d’énergie sur

A l’occasion d’une table ronde organisée lors de la plénière du 6 décembre 2012, nous avons projeté les premières cartes réalisées. L’objectif visé était de

De présenter le projet « Sentier en rive de la rivière Bellefeuille » au ministère de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur dans le cadre du programme de soutien à la

« Lumidaire inc.. b) de construction d’un chalet de parc au parc Claude-Laliberté, secteur de Saint-Canut, telle que recommandée par la firme d’architectes « Coursol-Miron »