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Texte intégral

(1)

Introduction

L

es articles suivants ont été sélectionnés à partir de 2000 abstracts parus dans des revues ORL en 2003. Il va de soi que cette sélection, de même que les résumés, ne peu- vent être exhaustifs, par manque de place. Par ailleurs, que ce soit dans le domaine de l’ORL générale, de la rhinologie, de l’otologie, des glandes salivaires ou de la chirurgie cervico- faciale, ces articles originaux n’ont pas la préten- tion de toujours refléter le courant de pensée actuelle en ORL.

ORL générale

1

1 Suzuki K, Nishimura T, Baba S. Current sta- tus of bacterial resistance in the otolaryngology for results from the Second Nationwide Survey in Japan.

J In fect Chemother 2003 ; 9 : 46-52.

Etude nationale (160 hôpitaux dont 80 uni- versitaires, 100 médecins) évaluant la bactério- logie en cas d’otite moyenne suppurative (465 aiguës, 476 chroniques), de sinusite (447 aiguës et 426 chroniques), d’angine (724) et d’abcès pé riamygdalien (141). Le Staphylocoque mé - thi cyline résistant (MRSA) a représenté 15%

des 786 cultures positives pour Staphylocoque doré. Il a été retrouvé plus fréquemment chez les pa tients présentant une otite moyenne sup- pura tive, plus rarement présent en cas d’angi- nes ou d’abcès périamygdaliens, et plus sou- vent chez des patients déjà traités par antibio- tiques, avec une différence significative entre les groupes. La vancomycine a été le traitement le plus efficace contre le MRSA avec une

#

miers étaient retrouvés plus fréquemment chez les enfants de moins de 5 ans. Des bêtalacta- mases ont été retrouvées chez 96% des Moraxella catarrhalis. Des 281 cultures positives pour Haemophilus influenzae, 199 étaient bêta- lactames négatives et ampicillines sensitives (71%), 65 étaient bêtalactames négatives et am - picillines résistantes (23%) et 17 étaient pro- ductri ces de bêtalactamases (6%). Celles résis- tantes à l’ampicilline étaient plus fréquemment retrou vées chez les patients ayant déjà été trai- tés. Les auteurs concluent que la majorité des souches bactériennes montraient une résistan- ce aux bê talactames, indiquant que le choix de l’antibioti que était crucial.

2

2 Van den Akker EH, Schilder AG, Kemps YJ, Van Balen FA, Hordijl Hoes AW. Current indica- tions for (adeno) tonsillectomy in children : A survey in the Ne therlands. Int J Pediatr Otorhinolaryngol 2003 ; 67 : 603-7.

Cette étude, concernant des enfants de moins de 15 ans, analyse les indications à adé- notonsil lectomie posées par les ORL et les généralistes des Pays-Bas. Dix-huit ORL et 210 médecins gé néralistes ont rempli des question- naires concernant 349 enfants. Si les angines récidivantes re présentent 40% des indications pour les ORL et 35% pour les généralistes (40%

versus 35%), il est intéressant de noter que l’hy- pertrophie amy gda lienne représente 42% ver- sus 24%, tandis que les amygdales cryptiques entraînant débris et alitoses représentent 29%

versus 17%. Le repli sur soi de l’enfant repré- sente quant à lui 28% ver sus 19%, alors que l’ap- pétit diminué représente 28% versus 16%. Les apnées retrouvées dans 25% ver sus 6% ont été

#

Mots-clés :

ORL générale

rhinologie

glandes salivaires

cancérologie

F. Marchal

ORL

Following subjects are presented :

General ENT :antibiotic resistance, indication to tonsillectomy and interest of radiofrequency, complications of Transtympanic tubes.

Rhinology :medical and surgical treatment of polyposis, ideal duration of antibiotic treatment, interest of ultrasound.

Otology :surgery and cortisone for Menière’s disease, Semon manoeuver for VPPV.

Gammaknife for schwannomas.

Salivary glands :new techniques, interest of neck dissection in malignancies

Les sujets suivants seront évoqués :

ORL générale : résistance antibiotique, indi- cation à adénotonsillectomie, intérêt de la radio-fréquence pour la tonsillectomie, com- plication des drains transtympaniques.

Rhinologie :traitement médical et chirurgical de la polypose, durée idéale du traitement antibiotique et indication des différents anti- biotiques, intérêt de l’ultrason pour la sinu si- te.

Otologie : traitement du Ménière par chirur-

gie, par stéroïdes. Intérêt de la manœuvre de Semon. Intérêt du Gamma Knife pour les schwanomes.

Glandes salivaires :nouvelles techniques, in - térêt de l’évidement en cas de tumeur ma - ligne.

Cancérologie : analyse de la qualité de vie.

Intérêt de la biopsie du ganglion sentinelle.

Rôle du tabac et de HPV. Intérêt de la radio- et de la chimiothérapie.

Divers :sténoses sous-glottiques, œsophage de Barrett, reflux.

[ ORL

(2)

3

3 Kay DJ, Mehta V, Goldsmith AJ. Perioperative adenotonsillectomy management in children : Current practices. Laryngoscope 2003 ; 113 : 592-7.

Cette étude originale analyse le comporte- ment d’une population de pédiatres et d’ORL de New York sur la base d’un questionnaire ano ny me. Les pédiatres demandent moins d’examens de laboratoire préopératoires que les ORL. La tonsillectomie est réalisée le plus sou- vent à la monopolaire et le curetage des végéta- tions suivi par la coagulation bipolaire est la méthode la plus couramment utilisée. Les sté- roïdes sont la mé di cation administrée le plus souvent durant une adénotonsillectomie et l’é- valuation postopéra toire est faite par un simple examen clini que. Les ré sultats de l’étude mon- trent une ab sence de con sensus entre les ORL et les pédiatres con cer nant la prise en charge de l’adénotonsillectomie. Les auteurs considèrent que de futures étu des et une meil leure collabo- ration entre spécialités se raient bénéfiques.

4

4Friedman M, LoSavio P, Ibrahim H, Ra ma kri sh - nan V. Radiofrequency tonsil reduction : Safety, mor bi - dity, and efficacity. Laryngoscope 2003 ; 133 : 882-7.

Cette étude non randomisée rétrospective analyse et compare la tonsillectomie classique (50 cas), la réduction tonsillaire par radio fré quen ce (coblation) (50 cas), ainsi que la tonsil lec to mie utilisant la radiofréquence (50 cas). Dans chaque groupe, deux catégories d’âge : 1 à 12 ans et 12 à 60 ans. L’efficacité était analysée sur la base de l’évolution et de l’observation des loges. Il n’y a pas eu de complication dans aucun des groupes.

L’efficacité (ablation totale du tissu amygdalien) a été de 100 % pour la tonsillectomie classique, 86%

pour la coblation et seulement 53% pour l’abla- tion par radiofréquence. La morbidité a été rela- tivement plus importante dans le groupe de ton- sillectomie classique. De même, la douleur, l’uti- lisation d’antalgiques et la réalimentation ont été plus favorables dans le groupe radiofréquence que dans le groupe chirurgie classique.

5

5Kalcioglu MT, Cokkeser Y, Kizilay A, Ozturan O.

Follow-up of 366 ears after tympanostomy tube in - sertion : What it is draining ? Otolaryngol Head Neck Surg 2003 ; 128 : 560-4.

Cette étude rapporte les complications ren- contrées chez 239 enfants avec un follow-up de 7 à 73 mois après mise en place de drains trans- tympaniques. Seuls trois patients ont présenté une otorrhée, alors que la tympanosclérose (ci c- atrice sur le tympan) a été visible dans 20% des cas. Une perforation résiduelle a été observée dans 4,6% des cas, une poche de rétraction dans 5% et atélectase dans 6 % des cas. Il n’y a pas eu de cholestéatome. L’audition a été améliorée chez 94% des patients et a été péjorée chez 6%

des patients. Le temps moyen d’extrusion du drain a été de 7,3 mois pour les drains normaux et 16 mois pour les T-tubes.

Rhinologie

1

1Demoly P, Crampette L, Daures JP. National survey on the management of rhinopathies in asthma pa - tients by French pulmonologists in everyday practice.

Allergy 2003 ; 58 : 233.

Quatre cent septante-sept pneumologues fran çais ont analysé chacun cinq patients adultes asthmatiques, soit au total 1623 patients asth- matiques présentant une rhinopathie dans 77%

des cas, chronique dans 91% des cas. Soixante-six pour cent des patients présentaient une rhinite allergique et 10% une polypose nasale. L’exa men de la cavité nasale a été fait par le pneumologue dans 56% des cas, alors que des radiographies ont été réalisées dans 55% des cas et un scanner dans 17% des cas. Vingt et un pour cent des cas ont été référés à l’ORL, essentiellement ceux ré- sistants au traitement médical. Les auteurs con - cluent que les patients asthmatiques de vraient être investigués systématiquement à la recherche de pathologies rhino-sinusiennes.

2

2Nores JM, Avan P, Bonfils P. Medical management of nasal polyposis : A study in a series of 152 conse- cutive patients. Rhinology 2003 ; 41 : 97-102.

Cette étude analyse l’efficacité du traitement médicamenteux de la polypose naso-sinusienne.

Cent cinquante-deux patients ont été traités par prednisolone en cure courte suivie d’un spray quotidien de béclométasone, avec un suivi d’au moins une année. Soixante-huit pour cent des pa- tients ont eu une évolution favorable à une an - née et 32% ont nécessité une chirurgie. Le grou pe non-chirurgie montrait six mois plus tard des taux d’amélioration variant de 35 à 80%, maintenus à deux ans. Les auteurs concluent que le traitement de la polypose est avant tout médical.

3

3 Garrel R, Gardiner Q, Khudjadze M, et al. En - doscopic surgical treatment of sinonasal polyposis- medium term outcomes (mean follow-up of 5 years).

Rhinology 2003 ; 41 : 91-6.

Etude évaluant le bénéfice de la chirurgie en cas de polypose. L’évaluation est basée sur les symptômes fonctionnels et l’endoscopie na sale.

La normalisation postopératoire de la fonction na sale a été obtenue dans 62% des cas avec une amélioration des quatre symptômes principaux (ob struction, rhinorrhée, douleurs faciales et anos- mie). Les patients présentant un asthme ou un Widal avaient des scores plus importants pour l’obstruction nasale et la rhinorrhée. Les traite- ments corticostéroïdes étaient significativement réduits en postopératoire chez les asthmatiques.

Les auteurs concluent que les résultats fonction- nels chez les asthmatiques étaient bons mê me si la muqueuse n’était apparemment pas totale- ment revenue dans la norme.

4

4Kutluhan A, Akdeniz H, Kaya Z, Kiroglu F, Kiris M, Ugras S. The treatment duration of acute maxil -

(3)

la ry sinusitis ; how long should it be ? A nasal smear controlled study. Rhinology 2002 ; 40 : 198-202.

Etude prospective sur quarante patients adul- tes, randomisés et traités pour sinusite sur 7, 14, 21 et 28 jours, sur la base de cultures nasales, avec un suivi de 56 jours. Des différences signi- ficatives ont été trouvées à partir du 21e jour entre le groupe traité une semaine et les autres groupes. Il n’y a pas eu de différence entre les groupes ayant reçu deux, trois ou quatre semaines de traitement. Les auteurs concluent que les ré - sultats montrent que la durée idéale de traitement est de quatorze jours.

5

5Varonen H, Savolainen S, Kunnamo I, Heikkinen R, Revonta M. Acute rhinosinusitis in primary care : A comparison of symp signs, ultrasound, and radio- graphy. Rhinolgy 2003 ; 41 : 37-43.

Le diagnostic de sinusite maxillaire est sou- vent basé sur les symptômes et l’examen clini que, ce qui induit souvent une surprescription d’an- tibiotiques. Cette étude évalue l’apport de l’ul- trasonographie sinusienne, sur un total de 150 pa - tients adultes (105 femmes et 45 hommes).

Quarante et un pour cent des patients dans le groupe radiographie versus 50% des patients dans le groupe ultrason présentaient une sinusite ma - xillaire aiguë. La sensibilité de l’ultrason com- paré à la radiographie était de 92% et la spéci - ficité de 95%. Les auteurs concluent qu’avec l’ex périence l’ultrasonographie sinusienne peut être de valeur diagnostique, permettant la ré - duc tion de prescription d’antibiotiques.

6

6 Williams JW Jr, Aguilar C, Cornell J, et al. Use of antibiotics for acute maxillary sinusitis. Cochrane Da tabase Syst Rev 2003 ; 2 : CD000243.

Méta-analyse d’études randomisées compa- rant différentes classes d’antibiotiques en cas de sinusite aiguë maxillaire confirmée par aspiration sinusienne ou radiographie. Quarante-neuf étu- des soit au total 13 660 participants ont été ana- lysées, et 32 études détaillées.

Cinq études antibiotiques versus contrôle : amé lioration de la guérison, sans significative- ment améliorer le taux de guérison, amélioration radiologique significative.

Dix études non-pénicillines versus pénicillines, et dix-sept études Augmentin® versus autres fa - milles d’antibiotiques: pas de différences si gni fi - catives du taux de guérison, avec des taux d’ef fets secondaires moins importants avec les cé phalospo- rines. Les auteurs concluent que l’uti lisation d’an- tibiotiques doit être limitée, et qu’un traitement de sept ou quatorze jours de pénicillines est efficace.

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une période de quatre semaines. L’éva lua tion de la perméabilité nasale a été faite en pré- et post- traitement, et deux semaines après l’arrêt du trai- tement. L’étude conclut à l’absence de l’effet rebond après l’arrêt d’un traitement prolongé.

8

8 Pessey JJ, Megas F, Arnould B, Baron-Papillon F. Prevention of recurrent rhinopharyngitis in at-risk children France : A cost-effectiveness model for a non- specific immunostimulating bacterial extract (OM-85 BV). Pharmacoeconomics 2003 ; 21 : 1053-68.

Etude analysant en terme de coûts l’effica cité d’une vaccination à l’aide d’extraits bactériens sur une population à risque en France. Le coût moyen d’une rhinopharyngite aiguë étant de 49.39 euros, les auteurs montrent une économie directe variant entre 6 et 300 euros pour chaque individu traité préventivement. Les ana lyses sta - tistiques montrent que cette immunisation est économiquement rentable si plus de 15% des infections sont évitées, lorsque les coûts d’une infection aiguë sont de plus de 4.8 euros.

Otologie

1

1 Ostrowski VB, Kartush JM. Endolymphatic sac- vein decompression for intractable Meniere disease : Long term treatment results. Otolaryngol Head Neck Surg 2003 : 128 : 550-9.

Etude rétrospective de 68 patients souffrant d’une maladie de Ménière, ayant bénéficié d’une décompression du sac endolymphatique, et ana- lysés selon les critères définis par l’American Aca - demy en 1995, évaluant le niveau fonctionnel, la classe de vertiges, et l’audition, avec un fol low-up moyen de 55 mois. Les auteurs con cluent à l’effi- cacité de la technique chirurgicale qui reste la première option pour les cas sévères de Ménière.

2

2Hillman TM, Arriaga MA, Chen DA. Intra tym pa nic steroids : Do they acutely improve hearing in of coch - lear hydrops ? Laryngoscope 2003 ; 113 : 1903-7.

Etude rétrospective de 50 patients chez qui une administration de stéroïdes intratympani - que a été effectuée en raison d’une maladie de Ménière. L’audition a été améliorée dans 40%

des cas, n’a pas changé dans 56% des cas. Les auteurs insistent sur la nécessité d’une étude prospective randomisée.

3

3Levrat E, Van Melle G, Monnier P, Maire R. Ef - fi cacy of the Semon maneuver in benign paroxysmal positional vertigo. Arch Otolaryngol Head Neck Surg 2003 ; 129 : 629-33.

Etude rétrospective sur 278 patients présen-

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4

4Eriksson PO, Hellstrom S. Acute otitis media deve- lops in the rat after intranasal challe of Streptococcus pneumoniae. Laryngoscope 2003 ; 113 : 2047-51.

Cette étude intéressante montre – sur un mo - dèle animal – qu’en cas d’instillation bactérienne au niveau nasal, 90% des oreilles développent une otite moyenne. Dans le même temps, lors que la membrane tympanique est traitée concomitam- ment avec une solution saline, seulement 50%

des oreilles développent une otite moyenne.

5

5Kitahara T, Kondoh K, Morihana T, Okumura S, Horii A, Takeda Kubo T. Steroid effects on vestibu- lar compensation in human. Neurol Res 2003 ; 25 : 287-91.

L’efficacité de la cortisone en cas de neuro- nite vestibulaire est évaluée chez dix-huit pa - tients, comparés à dix-huit patients non traités, avec une meilleure réponse chez les patients traités. Les auteurs suggèrent l’hypothèse que la cortisone agirait non seulement au niveau de l’oreille, mais également au niveau central pour améliorer la récupération.

6

6Delbrouck C, Hassid S, Massager N, et al. Pre ser - vation of hearing in vestibular schwannomas treated with radiosurgery using Leksell Gamma Knife : Pre - liminary report : A prospective Belgian clinical study.

Acta Otorhinolaryngol Bel 2003 ; 57 : 197-204.

Cette étude analyse l’utilisation du Leksel Gamma Knife C (GKC) pour 48 schwanomes.

L’évaluation a été faite par la classification de Gardner Robertson, avec audiométrie tonale et vocale pré- et post-traitement, et suivi d’une an née minimum. Les auteurs concluent que le GKC est une excellente alternative pour les schwanomes de grade I à III, de même que dans les cas de tumeur résiduelle après microchirur- gie. Les résultats sont également encourageants en matière d’audition.

Glandes salivaires

1

1Dulguerov P, Wang D, Perneger TV, Marchal F, Lehmann W. Videomimicography : The standards of normal revised. Arch Otolaryngol Head Neck Surg 2003 ; 129 : 960-5.

Cette étude présente et analyse une nou- velle technique de mesure des mouvements fa - ciaux chez le sujet normal qui permet de quan- tifier de façon plus précise les perturbations des mouvements faciaux, particulièrement après chi - rurgie parotidienne.

2

2 Marchal F, Dulguerov P. Sialolithiasis manage- ment : The state of the art. Arch Otolaryngol Head Neck Surg 2003 ; 129 : 951-6.

Les modalités thérapeutiques en matière de lithiase salivaire sont passées en revue, et no - tam ment la sialendoscopie, technique initiée et développée à Genève depuis 1995. Celle-ci per- met dans 80% des cas de traiter la lithiase et per-

met d’éviter 80% de résections glandulaires en cas de sialolithiase et sialadénite.

3

3 Zbaren P, Schupbach J, Nuyens M, Stauffer E, Grei ner R, Hausler R. Carcinoma of the parotid gland. Am J Surg 2003 ; 186 : 57-62.

Nonante-huit patients consécutifs présentant un carcinome de la parotide ont été analysés (50 cas de tumeurs de haut grade, 48 cas de tumeur de bas grade et 25% de métastases). La survie à cinq ans a été de 87% pour les tumeurs de bas grade et de 56% pour les tumeurs de haut grade.

L’incidence des métastases occultes chez les N0 était de 22%. Cette étude renforce l’idée que l’évidement ganglionnaire est nécessaire en cas de tumeur parotidienne.

4

4Stennert E, Kisner D, Jungehuelsing M, et al. High in cidence of lymph node metastasis in major salivary cancer. Arch Otolaryngol Head Neck Surg 2003 ; 129 : 720-3.

Etude identique à la précédente, sur 160 pa - tients, avec cette fois 53% de métastases cervi- cales. Dans cette étude, 45% des ganglions classés N0 étaient positifs, ce qui renforce l’utilité de l’évidement systématique.

Cancérologie

1

1Derks W, De Leeuw JR, Hordijk GJ, Winnubst JA.

Elderly patients with head and neck cancer : Short- term effect surgical treatment on quality of life. Clin Otolaryngol 2003 ; 28 : 399-405.

Cette étude prospective intéressante compare le postopératoire en terme de qualité de vie, dé - terminée par un questionnaire. Il est intéressant de noter qu’autant en pré- qu’en postopératoire, les qualités de vie telles qu’elles sont analysées sont comparables entre le groupe des patients jeu- nes et le groupe des patients âgés (groupes de 54 et 75 patients). Bien entendu, la qualité de vie diminue en postopératoire dans les deux groupes.

2

2Allal AS, Nicoucar K, Mach N, Dulguerov P. Qua - lity of life in patients with oropharynx carcinomas : Assessment after accelerated radiotherapy with or wi - thout chemotherapy versus radical surgery and post - operative radiotherapy. Head Neck 2003 ; 25 : 833- 9 ; discussion 839-40.

Cette étude analyse la qualité de vie de pa - tients après chirurgie suivie de radiothérapie, ver- sus radiothérapie seule avec ou sans chimiothéra- pie. Soixante patients, en rémission à plus d’une année ont été évalués. Quarante avaient bénéficié d’une radiothérapie classique (70 Gy, 5,5 semai- nes) et vingt d’une chirurgie primaire suivie d’une radiothérapie fractionnée (60 Gy), dont sept avec chimiothérapie concomitante et une chi- miothérapie précédente. La qualité de vie, évaluée se lon des critères standardisés, était meilleure dans le groupe non chirurgical avec une différen- ce en ma tière d’alimentation (concernant surtout

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l’élocution et l’alimentation en public). L’analyse par tumeur montre qu’il n’y avait pas de diffé- rence notable pour les T1 et T2, alors que pour les T3 et T4 le groupe radiothérapie bénéficiait clairement d’une meilleure qualité de vie. Les au teurs concluent qu’à pronostic équivalent, les grosses tumeurs oropharyngées devraient être traitées conservativement.

3

3Tschudi D, Stoeckli S, Schmid S. Quality of life af - ter different treatment modalities for carcinoma of the oropharynx. Laryngoscope 2003 ; 113 : 1949-54.

Analyse de 217 patients présentant un cancer de l’oropharynx, traités à partir de 1990 jusqu’à 1998. Cent onze patients guéris ont été ana lysés et 99 ont rempli le questionnaire de qua lité de vie. Trente et un patients chirurgie seule, dix- neuf radiothérapie seule et quarante-neuf avec chirurgie et radiothérapie. L’analyse du groupe chirurgie seule montre moins de troubles de dé - glutition, d’alimentation, de contact social, de bouche sèche et d’ouverture buccale par rapport au groupe ayant bénéficié de radiothérapie. La comparaison du groupe chirurgie avec ou sans irradiation présentait moins de douleurs, moins de problèmes d’alimentation et d’ouverture buc- cale que le groupe non chirurgical. Les au teurs concluent que la qualité de vie après traitement est globalement bonne.

4

4Stoeckli SJ, Pfaltz M, Steinert H, Schmid S. Sen ti - nel lymph node biopsy in thyroid tumors : A pilot stu - dy. Eur Arch Otorhinolaryngol 2003 ; 260 : 364-8.

Etude de faisabilité pour la biopsie de ganglion sentinelle en cas de cancer thyroïdien. Dix pa - tients N0 ont été analysés avec lymphoscinti gra - phie préopératoire ainsi qu’une analyse gam ma peropératoire. Les auteurs concluent que la com - binaison des deux techniques est plus efficace, particulièrement pour les adénopathies cer vi ca les de la région VI (médianes inférieures), à plus haut risque chirurgical de paralysie récurren tiel le.

5

5Kosuda S, Kusano S, Kohno N, et al. Feasibility and cost-effectiveness of sentinel lymph node radiolo- calization in stade N0 head and neck cancer. Arch Otolaryngol Head Neck Surg 2003 ; 129 : 1105-9.

Cette étude analyse onze patients consécu- tifs avec tumeur ORL et staging N0. Les deux groupes comparés sont l’évidement traditionnel versus détection du ganglion sentinelle. La sen- sibilité du ganglion sentinelle était de 100%

considérant les patients et 94% considérant les ganglions, avec 36% de micrométastases. Les au- teurs concluent que l’utilisation du ganglion sen- tinelle permet une économie de 1218 dollars par

Cette intéressante revue fait le point sur l’in - fluence des facteurs de croissance et des an ti fac - teurs de croissance pouvant avoir un effet théra- peutique dans le domaine ORL.

7

7 Mansour OI, Snyderman CH, D’Amico F. Asso - cia tion between tobacco use and metastatic neck di sea- ses. Laryngoscope 2003 ; 113 : 161-6.

Etude sur 171 patients. Analyse univariée et multivariée montrant les associations entre le ta - bac et les pathologies rencontrées. Les métastases cervicales ont été rencontrées chez 100% des fumeurs et 54% des non-fumeurs. La dissémi- nation tumorale extracapsulaire a été observée chez 100% des fumeurs et 19% des non-fu meurs.

Le staging ganglionnaire n’a pas été influencé par le tabac et les anciens fumeurs de même que les fumeurs de tabac léger n’étaient pas à risque réduit de présenter des métastases cervi- cales. Les auteurs concluent que le tabac reste un facteur de risque potentiel de métastatisa- tion et dissémination tumorale.

8

8 Klussmann JP, Weissenborn SJ, Wieland U, et al. Human papillomavirus-positive tonsillar carcino- mas : A different tumor entity ? Med Microbiol Im - munol (Berl) 2003 ; 192 : 129-32.

Nonante-huit carcinomes épidermoïdes ORL ont été étudiés en terme de présence d’ADN HPV (human papilloma virus)testé par PCR. Il est intéressant de constater que la prévalence d’ADN HPV est de 18% dans la cavité buccale, 8% dans le nasopharynx, 25% dans les cancers de l’hypopharynx et 7% du larynx. Par contre, des sé quen ces d’HPV ont été retrouvées dans 45% des cancers de l’oropharynx, et jusqu’à 58%

pour les cancers de l’amygdale, avec une prédo- minance de l’HPV 16. Il est intéressant de noter que sur deux des amygdales contro-latérales disponibles, on n’a pas retrouvé d’ADN HPV, de la mê me fa çon qu’il n’a pas été retrouvé dans des groupes contrôles non tumoraux. Cette étude conclut à l’association préférentielle de l’HPV au carcino me de l’amygdale.

9

9 Zackrisson B, Mercke C, Strander H, Wennerberg J, Cavallin-Stah. A systemic overview of radiation therapy effects in head and neck cancer.

Acta Oncol 2003 ; 42 : 443-61.

Cette revue de la littérature analyse trente- neuf études randomisées et une méta-analyse incluant au total 20 893 patients. Elle est com- parée à une étude similaire effectuée en 1996 incluant 79 174 patients. En cancérologie ORL, en excluant le nasopharynx, les auteurs con - cluent que l’efficacité de la radiothérapie peut

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#

(6)

fréquence des effets secondaires aigus lorsque l’on administre concomitamment la chimio- et radiothérapie, et il n’y a que peu d’études qui évaluent le risque des effets secondaires tardifs importants. On constate une discrète augmenta- tion du risque de fibrose importante et les au - teurs pensent que de larges études cliniques avec un suivi plus important permettraient d’analyser de façon plus claire les effets secondaires tardifs.

Concernant les traitements conservateurs du larynx, il apparaît clair que la préservation laryn- gée est possible chez 50% des survivants à cinq ans lors de l’utilisation combinée de radio- et chimiothérapie. Il n’y a pas toutefois d’évidence nette que la survie globale soit meilleure dans le groupe non chirurgical versus chirurgie et radio- thérapie postopératoire.

En matière de naso-pharynx, il y a quelques éléments qui indiquent que les cancers du naso- pharynx de type endémique répondent favora- blement à une chimiothérapie suivie d’une ra - diothérapie radicale, mais il y a également des étu des qui suggèrent que les effets secondaires semblent plus importants qu’en cas de radiothé - rapie concomitante comparée à la radiothérapie néo-adjuvante.

Il existe des arguments pour dire que la ra - diothérapie hyperfractionnée diminue la fréquen- ce d’effets secondaires tardifs. La plupart des études rejettent l’efficacité des dérivés nitro-imi - dazolés en tant que sensibilisateurs, alors que le nimorazole aurait un effet inducteur bénéfique en cas de tumeur du pharyngo-larynx. De fai- bles arguments existent pour souligner l’utilité d’antibiotiques locaux pour diminuer les effets secondaires aigus de la radiothérapie.

1

100 Lore JM Jr, Kaufman S, Sundquist N, Chary KK. Carcinoma of the head and neck : A 5- to 20-year experience preoperative chemotherapy, uncompromi- sed surgery, and selective radiotherapy. Ann Surg On col 2003 ; 10 : 645-53.

Cette étude porte sur 82 patients consécu- tifs présentant des néoplasies de la cavité buc- cale, de l’oropharynx, du larynx et de l’hypo- pharynx. Deux groupes : cisplatine (A) et cispla- tine 5-FU (B). Une radiothérapie postopératoire sélective a été également effectuée et le follow- up minimum était de cinq ans. Survie totale à cinq ans : groupe A 46% et groupe B 77%.

Survie relative totale 66% : groupe A 50% et groupe B 83%. Récidive : groupe A 16% et groupe B 5%. Mé tastases à distance : groupe A 22% et groupe B 5%. Les auteurs concluent que la chimiothérapie préopératoire porte une efficacité certaine.

1

111Huang CP, Zhu XY, Tian AL. Type of surgery for 147 patients with medullary carcinoma the thyroid.

Zhonghua Zhong Liu Za Zhi 2003 ; 25 : 490-2.

Il s’agit d’une série rétrospective de 147 patients opérés de carcinomes médullaires de la thyroïde, analysant le type de chirurgie effec-

tuée (subtotale ou totale). Le taux de récidive était plus bas dans le groupe de thyroïdectomie totale. L’incidence de métastase cervicale a été de 72% versus 42% de métastases chez les N0 cliniques. Les auteurs concluent que la thyroï- dectomie totale est le traitement optimal et quel que soit le N clinique (N0 ou N1), l’évidement cervical doit être considéré. L’hy per cal ci toné - mie postopératoire doit être suivie de près.

1

122Kitajiri S, Hiraumi H, Hirose T, Hosaka N. The presence of large lymph node metastasis as a prognos- tic factor of papillary thyroid carcinoma. Auris Na - sus Larynx 2003 ; 30 : 169-74.

Le carcinome papillaire est connu pour mé - tastatiser au niveau cervical mais il n’y avait jus- qu’alors pas de preuve de lien entre les métas- tases cervicales et le pronostic. Cette étude de 67 patients montre que de grosses adénopathies métastatiques diminuent clairement le pronostic.

Divers

1

1Monnier P, Lang F, Savary M. Partial cricotra- cheal resection for pediatric subglottic stenosis single institution’s experience in 60 cases. Eur Arch Oto rhi - nolaryngol 2003 ; 260 : 295-7.

Il s’agit d’une série importante de soixante enfants présentant une sténose sous-glottique sé - vère, ayant bénéficié d’une résection crico-tra- chéale partielle avec une anastomose primaire thy ro-trachéale. Nonante-cinq pour cent des pa - tients ont été décanulés et seul un patient a ré - cidivé sa sténose.

2

2Stepincac T, Felley C, Jornod P, et al. Endoscopic fluorescence detection of intraepithelial neoplasies Bar rett’s esophagus after oral administration of ami - nolecul acid. Endoscopy 2003 ; 35 : 663-8.

La détection d’un adénocarcinome du bas œsophage, associé à un œsphage de Barrett est souvent difficile et tardive. Cette étude intéres- sante analyse l’efficacité de la fluorescence (pro - toporphyrines 9 induites par l’acide aminolevu- linique) et la compare à la technique classique de biopsie en quatre quadrants. Cette nouvelle technique, ainsi qu’une instrumentation nou- velle développée à Lausanne à cet effet, montre une efficacité comparable aux biopsies tradition- nelles, ce qui permet de mieux cibler les biopsies.

3

3Issing WJ, Tauber S, Folwaczny C, Reichel O. Im - pact of 24-hour intraesophageal pH monitoring with 2 channels in the diagnosis of reflux-induced otola - ryn gologic disorders. Laryngorhinootologie 2003 ; 82 : 347-52.

Les patients présentant un reflux se plaignent souvent de symptômes diffus, une sensation de globus, de toux chronique, de voix rauque, etc.

Le diagnostic est parfois difficile, spécialement quand le bilan gastro-entérologique est normal.

Cette étude détermine l’impact du monitoring

(7)

intra-œsophagien à deux canaux (gastrique et la - ryngé) chez vingt-deux patients. Tous les pa tients présentaient une laryngite postérieure. L’œso - gastroduodénoscopie était normale dans quatre cas, treize patients présentaient une hernie hia- tale et quatre une œsophagite de reflux stade I.

Un patient présentait un érythème et cinq pa - tients des érosions de la muqueuse gastrique. Sept patients avaient plus d’un des diagnostics sus- mentionnés. Les vingt-deux patients ont pré- senté un reflux objectivé avec chez vingt et un patients des mesures laryngées pathologiques.

Les auteurs concluent que des plaintes ORL semblant peu spécifiques sont souvent évocatri- ces d’un reflux qu’il convient de traiter de façon classique.

4

4Rosenthal EL, Masdon JL, Buckman C, Hawn M.

Duplicate publications in the otolaryngology literature.

Laryngoscope 2003 ; 113 : 772-4.

Une note critique pour terminer cette revue : intéressante étude analysant le taux de pu blica- tions doubles dans le domaine ORL. Les ar ticles ont été classés identiques (date et conclusions identiques) ou suspectés identiques (date et conclusions quasi identiques). Des 492 articles évalués, 42 étaient concernés avec 27 identi ques et 15 suspectés. La moitié de ceux-ci était pu - bliée aux Etats-Unis et les doubles publiés dans une période de douze mois. Les auteurs con cluent toutefois que ce taux n’est pas plus im portant que dans les autres spécialités médicales et mé -

dico-chirurgicales.

[

Adresse de l’auteur :

Dr Francis Marchal Privat Docent

Médecin consultant HUG Cours de Rive 16 1204 Genève

Son frère, film de Patrice Chéreau, avec Bruno Todeschini, Eric Caravaca, Nathalie Boutefeu, Sylvain Jacques. 2003. 1 h 30.

On identifie souvent Patrice Chéreau à La Reine Margot, la grande fresque historique qui lui valut le Prix du Jury à Cannes en 1994. Mais ce réalisateur est aussi un observateur minutieux de l’intime. Il y a deux ans, Intimiténous plongeait au cœur des relations tumultueuses d’un couple adultère. Cette année, avec Son frère, Chéreau nous emmène dans un hôpital pour explorer les rap- ports entre deux frères réunis par la maladie incurable de l’un d’eux.

Après plusieurs années de séparation, Luc (Eric Caravaca) reçoit la visite inattendue de Thomas, son frère aîné. Très ner- veux, au bord de la panique, ce der- nier lui annonce qu’il est malade :

«Moi, ça va pas. Y a un truc qui merde dans mon organisme, un truc bizarre.» Pour la seconde fois

d’exprimer sa révolte. Sûr de lui, il commence par se révolter ; mais très vite l’arrogance de cet infogra- phiste homophobe se transforme en un mutisme résigné, entrecoupé ça et là de quelques mots difficile- ment articulés par une bouche pâteuse. Ses pas, fermes sur le pavé parisien, s’enfoncent dans le sable de Bretagne, son corps sem- ble devenir de plus en plus lourd, jusqu’à ce que seules les infirmiè- res puissent le mouvoir.

On sait que ce n’est pas un can- cer, ni une leucémie, ni le sida.

Jamais nommée, la maladie est seulement brièvement décrite, ce qui laisse une grande place à l’ex- périence, celle du malade et surtout celle de ses proches.

Si au début, Thomas doit le prier de rester, rapidement, Luc l’assistera de sa présence cons- tante et bienveillante. Peu à peu, il s’éloigne même de son amant et les caresses sensuelles qu’il avait

che avec l’agitation de ses parents.

Sa mère ne cesse de parler : de la logistique, des prestations hôteliè- res, de tout et de rien pour combler un insupportable silence. Son père, agacé par le bavardage incessant de son épouse, n’est pas plus serein pour autant. Au contraire, brusquement, il éclate et reproche à Luc de ne pas être malade à la place de son fils aîné. Chéreau ne fait jamais appel à la pitié du spec- tateur ni même à son jugement, mais à une compréhension profon- de du comportement de chacun.

Contraint par un budget res- treint, Chéreau s’est imposé de tourner le film en quelques mois dans un hôpital, au milieu du per- sonnel et des patients. Est-ce la finesse du réalisateur ou le talent de ces professionnels, rien ne lais- se deviner que ces acteurs improvi- sés ne sont pas des comédiens.

Comme cette infirmière qui, contre l’avis du médecin, approuve discrè- tement Thomas dans son refus de subir une cure de cortisone.

Chéreau promène une caméra bien-

Philippe Besson, a reçu l’Ours d’ar- gent à Berlin au printemps dernier.

M. Geiser

Bouche à oreille

Coordination rédactionnelle : Micheline Louis-Courvoisier

Son frère

Adresse :

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