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Les Consulats suisses à l'étranger reçoivent le journal.
[KlDouzième Année. — N0 48.
P r i x d u n u m é r o 1 0 c e n t i m e s
Jeudi 17 Juin 1897.
B u r e a u x : R u e d e l a S e r r e , 5 8 .
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Des m a i s o n s a n g l a i s e s , d o n t n o u s ne s u s p e c t o n s p a s l'honorabilité o u la solvabilité, font ces t e m p s - c i de l ' e m b a u c h a g e chez n o s o u v r i e r s h o r l o g e r s .
N o u s d o n n o n s à ces d e r n i e r s le conseil p r e s s a n t de n e p a s s ' e n g a - ger s a n s ê t r e m u n i s d'un c o n t r a t p a r f a i t e m e n t en r è g l e , et p o r t a n t e n t r e a u t r e s , le salaire, la d u r é e de la j o u r n é e de t r a v a i l , l e s motifs de résiliation p o u r l e s d e u x p a r t i e s , la d u r é e e t la p r o l o n g a t i o n éventuelle de la convention.
S e c r é t a r i a t g é n é r a l de la C h a m b r e cantonale.
Caractère obligatoire des assurances
Extrait du rapport présente au Conseilnational par M. R. Comtesse, au nom de la Commission des asswances.
I.
Votre Commission a admis le principe obligatoire de l'assurance - maladies comme de !'assurance-accidents en même temps qu'elle a admis, comme un co- rollaire ([ui lui a paru s'imposer, l'assu- rance par l'Etat.
On peut disserter à perte de vue sur la question de l'obligation île l'assurance et soutenir la thèse qui est chère aux économistes de l'école libérale qu'elle est contraire au principe moral de la responsabilité de l'individu, compromet- tante pour sa dignité en m ê m e temps qu'elle est une atteinte portée à sa li- berté et à son droit de propriété. L'Etat, dira-t-on. ne peut pas imposer à l'indi- vidu des habitudes de prévoyance et d'économie; il n'a pas le droit de lui prendre une portion quelconque de son salaire par le moyen d'une retenue obli- gatoire. En le taisant, en soumettant
ainsi l'individu à l'obligation de l'assu- rance, en s u p p r i m a n t son libre arbitre, en le déclarant incapable de fournir lui- même p a r un elï'ort spontané, par un sacritice volontaire, les ressources de son assurance, on s'engage dans la voie périlleuse du socialisme d'Etat et on sera entraîné à bref délai à remplacer de plus en plus sur le terrain social et écono- mique l'initiative individuelle, le libre effort des citoyens, les entreprises par- ticulières par l'action directe des pou- voirs publics et par la tutelle systéma- tique de l'Etat!
Nous croyons qu'il ne faut pas se laisser effrayer par ce spectre du socia- lisme d'Etat qu'on agite à tout propos et hors de p r o p o s , car, si l'on regarde au fond des choses, on s'aperçoit bien vite ([ue l'on fait à chaque instant du socialisme d'Etat et que ceux-là mêmes en font qui s'en déclarent les adversaires les plus résolus. Dans ces questions, il faut avant tout voir les faits et les expé- riences et ne pas s'attacher aux mois.
Q u a n d l'Etat peut et doit-il intervenir et à quel critère faut-il recourir p o u r savoir si son intervention est utile et légitime?
Nous r é p o n d r o n s avec d'excellents esprits et avec l'expérience de tous les jours que l'intervention de l'Etat est
utile et légitime chaque fois que l'initia- tive individuelle est incapable de réaliser un progrès social reconnu nécessaire et qu'au contraire cette intervention n'a pas sa raison d'être partout où l'initia- tive individuelle peut sulïire, par ses seuls efforts et par les entreprises qu'elle a fondées, aux améliorations réclamées par les besoins d'une société.
La mesure légitime de l'intervention de l'Etat, c'est donc, étant d o n n é s les faits, l'impuissance ou l'insullisance de l'effort individuel dans l'accomplissement d'un progrès social.
Q u a n d on parle de l'intervention de l'Etat, il ne faut donc pas se la repré- senter comme une doctrine dont, l'appli- cation doive être poursuivie d'une ma- nière systématique et intégrale clans tous les domaines et pour toutes les solutions.
Cette intervention n'est pas un but, mais c'est un m o y e n de résoudre, à dé- faut des entreprises particulières, d'im- portants problèmes d'intérêt général.
C'est une question de fait et de m e s u r e ! C'est en se plaçant à ce point de vue expérimental et en s'inspirant des né- cessités sociales que l'on a successive- ment imposé à l'industrie des mesures légales comme celles de la limitation des heures de travail, du repos hebdoma- daire, de l'hygiène des fabriques p o u r protéger la santé p h y s i q u e et morale des ouvriers, que l'on a décrété l'instruction publique obligatoire, l'assurance obliga- toire des bâtiments, celle du mobilier, et que l'on propose aujourd'hui de dé- créter la participation obligatoire des employeurs et des employés à l'assu- rance contre les accidents et contre la maladie.
P o u r ne considérer d'abord que l'as- surance obligatoire contre les accidents, on est amené à reconnaître que l'obliga- tion de l'assurance dérive aujourd'hui d'une nécessité de fait et qu'elle est la conséquence du risque professionnel.
Après avoir introduit dans notre légis- lation sur la responsabilité civile le prin- cipe que l'employeur doit être soumis au risque professionnel et à l'obligation de réparer pécuniairement les accidents dont ses ouvriers sont victimes dans leur travail, ne faut-il pas nécessairement veiller à ce que celte réparation soit en toutes circonstances sérieuse et effective et à ce que les employés victimes d'ac- cidents puissent toujours loucher les in- demnités auxquelles ils ont d r o i t ?
Or, chacun sait qu'il n'en est pas ainsi
2GO
LA FEDERATION HORLOGERE SUISSE
avec le régime actuel de la responsabilité civile et que c'est p o u r remédier aux graves imperfections de ce régime qu'il faut arriver à l'assurance obligatoire.
Tous ceux qui ont quelque expérience de notre législation sur la responsabilité civile savent en eifet que beaucoup de petits patrons, de petits chefs d'entre- prise négligent de couvrir par une assu- rance les risques que la loi met à leur charge ou qu'ils ne parviennent pas dans bien des cas à trouver une assurance à des conditions pour eux acceptables. Si nn accident de quelque gravité vient à se produire, ils sont alors, faute de res- sources suffisantes, hors d'état d'indem- niser les victimes de cet accident et la réparation que la loi a voulu garantir à leurs ouvriers devient ainsi illusoire ou bien ils sont ruinés sans rémission par le paiement des indemnités, fussent-elles m ê m e limitées comme elles le sont par notre loi.
Il faut donc de toute nécessité l'assu- rance obligatoire pour les ouvriers d'a- b o r d , qui risquent sans cela d'être frus- trés dans bien des cas d'une juste et équitable indemnité, et il faut aussi l'as- surance obligatoire p o u r tous ces petits patrons, qui sont de beaucoup les plus nombreux, et qui risquent sans cela de ne pouvoir satisfaire au devoir que la loi leur impose.
C'est à celle conclusion qu'ont fini p a r aboutir la plupart de ceux qui ont admis le principe du risque profession- nel et de la responsabilité des patrons dans les accidents dont les ouvriers sont victimes et l'on sait que ce principe a pris place aujourd'hui dans la législation d'un grand n o m b r e de pays. Cetle con- clusion a aussi été acceptée, avec plus ou moins de précision et de netteté, par les Congrès qui ont délibéré sur celle matière et nous la trouvons formulée en termes absolument allirmatifs dans l'ex- posé des motifs du gouvernement fran- çais à l'appui d'un projet de loi sur la responsabilité des patrons en matières d'accidents : « Il ne suffit pas, dit cet (f exposé, de faciliter l'assurance par loul
« un ensemble d'ingénieuses mesures ;
« il faut la rendre obligatoire dans l'in-
« térèt des patrons comme dans celui
« des ouvriers. Laisser aux patrons la
« liberté de ne pas s'assurer, ce serait,
« en effet, fausser le principe de respon-
« sabililé établi dans la loi. La plupart
« d'entre eux reculeraient devant les
« primes élevées que réclament les com-
« pagnies d'assurances et seraient plus
« tard ruinés par l'obligation de consti-
« tuer au jour de l'accident le capilal
« d'une indemnité peut-être considérable :
« souvent même toutes leurs ressources
« n'y pourraient suffire. Quelles seraient
« a l o r s les garanties des ouvriers? L'as-
« surance obligatoire s'impose donc, si
« l'on veut que les ouvriers soient cer-
« tains de toucher l'indemnité qui leur
« est promise par la loi et que les patrons (f ne soient pas ruinés par le paiement
« de l'indemnité. »
Ce raisonnement est irréfutable. Une fois le principe du risque professionnel établi avec l'obligation pour le patron de réparer les conséquences de ce risque, la réparation des accidents rentre dans les frais généraux d'une entreprise et il tau I garantir à ces ouvriers que cette réparation aura lieu et qu'ils toucheront clans tous les cas leur indemnité. Or, celte garantie est très aléatoire avec le système de la responsabilité civile sous lequel nous vivons : elle ne deviendra certaine qu'avec l'introduction de l'assu- rance obligatoire. Ajoutons qu'en subs- tituant l'assurance obligatoire au régime reconnu si imparfait et si défectueux de la responsabilité civile, nous mettrons lin à cetle situation intolérable dont se plaignent à la fois les patrons et les ou- vriers et qui les oblige trop souvent à plaider les uns contre les aulres à rai- son surtout des difficultés que soulèvent les compagnies d'assurances. En niellant tin à ces procès si funestes et si dange- reux entre patrons et ouvriers, nous aurons certainement tari une source grave de désaccord et d'irritation entre eux. (A suivre.)
Le Contrôle obligatoire de la bijouterie devant les Chambres fédérales
Séance du Conseil des Etats du 12 juin.
M. AMMANÎS développe le postulat, présenté par la commission de gestion, tendant à sou- mettre au contrôle obligatoire des ouvrages d'or et d'argent tous les objets de bijouterie et d'orfèvrerie vendus au détail en Suisse.
De l'avis de M. Ammann, le système actuel du contrôle facultatif a fait fiasco. Le 5 °/o seulement des bijouteries est soumis au con- trôle: le fabricant déloyal, qui en aurait le plus besoin, s'y soustrait et trompe le gros public comme larron en foire.
M.
RICHARDestime que ce postulat doit être entouré de quelques réserves. La liberté du commerce et de l'industrie n'est limitée dans la constitution que lorsqu'il sagit d'intérêt gé- néral, lorsque le bien public est en jeu. La restriction proposée aujourd'hui s'adresse à une industrie spéciale, une industrie de luxe.
La France a le contrôle obligatoire: les dépu- tés de la Franche-Comté ne cessent d'en ré- clamer l'abolition, parce qu'il est gènnnt et qu'il entrave l'exportation.
Pour l'horlogerie, le contrôle n'est obliga- toire que lorsqu'il y a indication du titre em- ployé. Le but de ce contrôle est exclusivement de protéger l'exportation suisse ; -M. Ammann, au contraire, voudrait protéger le publiesuisse.
Or, nous ne vendons en Suisse que pour 4 ou l·
12 millions, tandis que nous exportons pour 120 millions de bijouterie. Et comment, sans un personnel très nombreux d'inspecteurs, s'assurer si une marchandise est destinée à l'exportation ou a la consommation indigène?
Comment créer cetle distinction du contrôle obligatoire de ce qui se vend en Suisse et du contrôle facultatif de ce qui s'exporte ! Ce sera extrêmement difficile, sinon impossible.
C'est ailleurs que nous devons chercher les moyens de lutter contre la concurrence dé- loyale. L'association des bijoutiers genevois a repoussé le contrôle obligatoire.
M.
LACHENALfait l'exposé de la question. A la demande d'un groupe de fabricants de bi- jouterie et d'orfèvrerie de Genève et d'autres
parties de la Suisse, le Conseil fédéral vient d'ouvrir une enquête sur la convenance et l'utilité d'introduire le contrôle obligatoire de la bijouterie. Il étudiera l'affaire d'une manière objective et sans aucun parti pris. La compé- tence du législateur fédéral, contrairement à l'avis de M. Richard, ne saurait être mise en doute, preuve en soit la loi de 1880, créant le contrôle pour les boites de montres. Les craintes des adversaires paraissent exagérées et le remède qu'ils proposent insignifiant: la production de la facture suffit en effet dans les achats importants, en fait elle est impossible dans le menu négoce.
Il s'agit, dans l'esprit des promoteurs, de lutter contre la concurrence étrangère incor- recte, et, sous ce rapport, il est vrai que la partie n'est pas égale pour nos fabricants suisses et l'on comprend leur légitime désir d'apporter de la salubrité dans le commerce de cet article et de protéger l'acheteur, le pu- blic, contre la fraude.
Mais, point essentiel, il ne peut pas s'agir d'un contrôle des marchandises fabriquées en Suisse et destinées à l'exportation : le contrôle devrait en tout cas se restreindre aux objets offerts à la vente au détail en Suisse. Il y a dans cette restriction de quoi rassurer beau- coup, comme il ne faudrait pas croire que la future loi, si elle est instituée, serait une loi d'inquisition.
Telle n'est pas la pensée des partisans de l'innovation ; il s'agit de mesures analogues à celles prévues pour le contrôle des boites, et d'un service qui, tout en permettant de combat- tre la fraude, ne gêne en rien les commerçants.
Et il ne faut pas comparer avec le contrôle français, qui est avant tout fiscal et qui de- mande de grosses taxes, alors que le contrôle suisse ne prélève qu'un droit de quelques centimes par objet.
Le Conseil fédéral continuera donc son élude en tenant compte de tous les intérêts, et il accepte le postulat avec les modifications qui le rendent acceptable véritablement par tous.
M. AIDIAXX demande que l'on s'inspire non seulement des intérêts du commerce, mais aussi de ceux du public. Il tient compte des observations présentées, et, au nom de la commission de gestion, formule ainsi le pos- tulat :
«Le Conseil fédéral est invité à examiner la question de l'introduction du contrôle obli- gatoire pour tous les objets de bijouterie et d'orfèvrerie vendus au détail en Suisse, et à présenter à ce sujet des propositions.»
Le postulat est adopté sans oppositions.
Brevets d'invention
Horlogerie et Bijouterie
LISTE DES DESSINS ET .MODÈLES Dépote
N
04333. 15 mai 18StT, 3* . h. p.—Ouvert.—
1 modèle. — Calibre de montres. — JSurri-
Haldi, L., Bienne (Suisse).Nr. 4353. 20 mai 18DT. 8 Uhr a. — Offen. — 1 Modell. — Kaliber fur Taschenuhren. —
Fluij--Gant, Yincenz. Biel (Schweiz).Yertreter: Furrer, Gottfr., Biel.
Nr. 4361. 2(5 mai 1807, 8 Uhr a. — Offen. — (î Modelle. — Reguherscheibchen und Zif- ferblattfûsse fur Uhren. —Hugi, J., Thun (Schweiz).
Prolongation*·
N" IW)
1J. 22 avril 1895, T ".·, h. p. — (II'· pé- riode 1897/1900). — 1 modèle. — Mouve- ment de montre. — Société: Le Coultre
& 6'"", Sentier (Suisse). Mandataire: Ritter,
A., Baie: enregistrement du 20 mai 1896.
LA F E D E R A T I O N H O R L O G E R E S U I S S E 2(31
Nr. 2020. 3 Mai 1895. 8 U h r a. — ( I I . Période -1897/Ii)OO). — 1 Modell. — Uhren. — Malle?·, Louis, Biel (Schweiz) ; registriert den 24 Mai 1897.
K" 2041. 15 mai 1895, 8 h. a. — (IIe période 1897/1900). — 1 modèle. — Boites de mon- tres en aluminium. — Société Suisse d'horlogerie, fabrique de Montilier, Montilier (Suisse): enregistrement du 20 mai 1897.
RmltattoiM*·
N" 347. 21 mars l s 9 2 . — 5 modèles. — F o n d s et couvercles de boites de montres.
N0 1889. 30 mars 1895. — 35 modèles. — Barrettes etcoqs pour montres Boston genre anglais et américain.
Assurance
L'entrée en matière est donc votée à l'una- nimité de 136' voix. C'est donc u n e grosse satisfaction pour M. Forrer et de superbe ap- parence.
Mais gare à la discussion p a r articles: si le mécontentement de certains groupes se fait jour, elle peut être rendue touffue, difficile, presque inextricable, et durer jusqu'à lasser les meilleures patiences. Espérons que ce ne sera pas le cas, et qu"il n'en coûtera pas tant de peines et de déboires pour réaliser la plus g r a n d e , la plus juste, la plus généreuse pen- sée législative qui se soit produite depuis la Constitution de 1874. Ce serait dur de voir les difficultés venir du côté d'où l'on n'attendait qu'aide et collaboration. Mais je persiste à croire au succès. Les responsabilités sont trop g r a n d e s : elles s'accentuent vite et forte- ment" dans les milieux restreints, et c'est
pourquoi la commission a fini par être una- nime. Les choses vont moins rapidement dans une assemblée n o m b r e u s e : mais vous verrez qu'à la fin personne ou presque personne n'affrontera l'odieux d'empêcher la réalisation d'une œuvre que la faveur des circonstances rend possible, et qu'un ajournement risquerait de renvoyer d'une génération. T a n t de m i - sères et d'injustices abandonnées à l'anarchie économique actuelle, l'occasion perdue de faire entrer dans les faits et les lois les notions d'égalité, de solidarité, de justice sociale, ce serait pour désespérer et décourager tout le monde et pour accabler ceux qui auraient contribué à la faillite de cette g r a n d e espérance.
(Le Genevois.)
Nouvelles diverses
A s s u r a n c e s . — Le conseil fédéral a, en date du 8 juin, accordé à la compagnie d'as- surance le « P h é n i x », à Londres (« P h œ n i x » assurance compagny), u n e concession pour l'exploitation de l'assurance-incendie en Suisse jusqu'au IS octobre 1898, date où expirent les concessions des autres sociétés d'assurance.
Le cautionnement à fournir par le « P h é n i x « a été fixé, comme pour ces dernières, à la somme de 50,000 francs.
La droite et les projets Forrer. — La
droite de l'Assemblée fédérale a décidé ven- dredi soir de laisser la liberté du vote à ses membres au sujet des projets d'assurance. La question du rachat sera discutée dans u n e nouvelle réunion qui aura lieu celte semaine.
A r t s e t m é t i e r s . — A l'assemblée annuelle du Gcwerbeverein suisse (à laquelle la presse
n'a pas été admise), une longue et vive dis- cussion s'est engagée, après le rapport de M. WiId, s u r le projet d'assurances maladies et accidents. L'assemblée a décidé, à la suite de ce débat, d'accepter en principe le projet, mais de réclamer une réduction plus forte des charges des petits industriels, en proposant la répartition s u i v a n t e : patrons 35 °/° ; ouvriers 30 °/o ; Confédération 35 0O. Elle a, en outre, décidé de réclamer pour les patrons le droit de s'assurer contre les accidents. Enfin, elle a formulé quelques réserves au sujet des cais- ses libres, du calcul des salaires et du tarif des risques.
M. Stœssel, député a u x Etats, de Zurich, président central actuel, a été n o m m é mem- bre d'honneur.
Les délibérations ont duré six heures.
AVIS
Nous prions ceux de nos abonnés de Γ étranger qui n'ont pas encore payé l'abonnement de l'année 1897, de bien vouloir nous faire parvenir fr. 12 par mandat postal, par chè- que ou en timbres-poste.
L'administration du journal.
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