• Aucun résultat trouvé

Virus et asthme chez l'enfant

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2022

Partager "Virus et asthme chez l'enfant"

Copied!
4
0
0

Texte intégral

(1)

124 | La Lettre du Pneumologue • Vol. XIX - n° 3 - mai-juin 2016

MISE AU POINT

Virus et asthme chez l’enfant

Viruses and asthma in children

J. Brouard1, 3, A. Vabret2, 3

1 Service de pédiatrie médicale, CHU de Caen.

2 Laboratoire de virologie, CHU de Caen.

3 EA 4655, UR “risques microbiens”

(U2RM), équipe E3 “virologie respira- toire comparée”, Institut de biologie fondamentale et appliquée, Caen.

L

es infections respiratoires virales ne donnent lieu qu’à des affections modérées et limitées dans le temps qui s’inscrivent dans l’éducation immunitaire du nourrisson. Cependant, les infections des voies respiratoires inférieures et la sensibilisation atopique ont été identifiées comme 2 facteurs de risque indépendants pour l’asthme. La plupart des études épidémiologiques soulignent l’association entre la symptomatologie sifflante consécutive à une agression virale durant la petite enfance et le risque ultérieur de développement d’un asthme. Le dévelop pement des techniques moléculaires d’identi- fication virale a permis d’élargir considérablement celle des différents virus en cause. La réponse anti- virale implique les cellules de l’immunité, amenant la synthèse et la libération de médiateurs immuno- inflammatoires ; la cellule épithéliale bronchique y participe également. Mais l’initiateur primitif de l’asthme est-il le virus ? Les sifflements viro-induits n’identifient-ils que les enfants déjà prédisposés à un asthme ultérieur ? Le phénotype siffleur épisodique viro-induit durant la prime enfance est-il fixé ou n’est-il qu’une étape évolutive vers un asthme tardif déclenché par des facteurs multiples ? Enfin, la genèse du remodelage bronchique implique-t-elle les virus ?

Sifflements de l’enfance et virus

Les infections virales, en particulier le virus respiratoire syncytial (RSV) et les rhinovirus (HRV), sont les causes les plus fréquentes des sifflements chez le jeune enfant

En Normandie, chez l’enfant hospitalisé pour une bronchio lite aiguë, le RSV est trouvé dans 64,1 % des cas, les HRV dans 26,8 %, le métapneumovirus humain dans 7,6 % et les virus para-influenza dans 3,4 % (1).

Le lien entre les viroses respiratoires et l’asthme est attesté par les études épidémiologiques. Aux États- Unis, un quart des enfants nés dans le Tennessee entre 1995 et 2000 (total de 95 310) ont été inclus dans la cohorte TABS (Tennessee Asthma Bronchiolitis Study) et évalués à l’âge de 5 ans et demi (2). Dans cette étude,

une naissance 4 mois avant le pic épidémique hivernal est associée à une augmentation du risque de 29 % de développer un asthme ultérieurement. Ces résultats sont confirmés sur les 5 années du recueil alors que les épisodes épidémiques ont connu un glissement tem- porel allant jusqu’à 6 semaines d’une année à l’autre.

Enfin, sur ces 5 saisons, il a été constaté, d’une part, une progression de l’incidence annuelle des bronchio- lites, et d’autre part, une augmentation strictement parallèle du risque cumulé d’asthme à l’âge de 5 ans.

L’âge du nourrisson lors du pic épi démique hivernal est donc un facteur de risque d’asthme au moins com- parable, sinon supérieur, aux autres facteurs connus.

En Finlande, une cohorte prospective néo natale (ESPOO Cohort Study) a permis d’évaluer l’impact de l’exposition environnementale durant l’enfance sur le développement d’un asthme à l’âge de 27 ans (3).

Les informations ont été recueillies à l'aide de ques- tionnaires sur les 12 derniers mois (n = 2 228) et des registres des hospitalisations dues aux atteintes respiratoires basses (n = 568). Ces dernières, durant l’enfance, sont prédictives d’un risque 2 fois plus élevé de développer un asthme à l’âge adulte (HR = 2,11 ; IC95 : 1,48-3,00).

Les sifflements viro-induits nécessitant un recours médical n’ont pas la même conséquence selon le virus en cause

Une étude épidémiologique, réalisée en 2009 au CHU de Caen pendant la saison automno- hivernale chez les nourrissons présentant des symptômes respi ratoires, avait mis en évidence, par rapport à l’ensemble des virus recherchés, une association significative entre l’infection par le RSV ou le métapneumovirus et le risque d’hospita lisation (4).

Une méta-analyse, reprenant 15 études épidémio- logiques validées de suivi de nourrissons hospi- talisés pour bronchiolite RSV positif versus ceux RSV négatif (total de 82 008 enfants), retrouve une élévation significative de l’incidence d’asthme ultérieur (OR =3,84 ; IC95 : 3,23-4,58) [5], et 21,9 % des enfants qui ont été hospitalisés au cours de leur première année de vie ont développé un asthme dans

0124_LPT 124 22/06/2016 10:19:37

(2)

La Lettre du Pneumologue • Vol. XIX - n° 3 - mai-juin 2016 | 125

MISE AU POINT

Points forts

» Les liens de causalité entre infection virale et asthme sont complexes.

» Les infections virales augmentent le risque d’asthme, mais le statut asthmatique augmente aussi le risque de réponses sévères à une infection virale.

» Les infections virales respiratoires ont un rôle clé dans l’ontogénie des exacerbations asthmatiques.

Malgré cela, il n’existe actuellement aucun traitement spécifique modifiant cette évolution clinique en dehors d’un contrôle rigoureux de l’inflammation bronchique chez l’asthmatique.

Mots-clés

Virus Bronchiolite Asthme Atopie

Immunité innée

Highlights

»Causal links between viral infection and asthma are complex.

»A viral infection increases the risk of asthma exacerbation but also asthma increases the risk of severe responses to viral infection.

»Respiratory viral infections have a key role in the ontogeny of asthma exacerbations.

Despite this there is currently no specific treatment modifying clinical outcome, only a strict control of airway inflamma- tion in asthmatic patients is essential.

Keywords

Viruses Bronchiolitis Asthma Atopy

Innate immunity leurs 5 premières années. À l’âge de 1 an, 82 % des

nourrissons de la cohorte TABS (2) n’ont pas eu de consultation médicale pour bronchiolite, 14 % ont eu une bronchiolite à la période épidémique à RSV et 4 % ont présenté une bronchiolite à la période où prédominent les HRV. Le diagnostic de bronchio lite est associé au doublement du risque d’avoir un asthme infantile ; ce risque diffère avec la saison d’apparition de la bronchiolite. Comparée à la période du RSV, une bronchiolite s’exprimant durant les mois où prédominent les HRV est associée à une augmentation de 25 % du risque estimé d’asthme infantile (6). Le RSV reste bien l’agent majeur des bronchiolites nécessitant une hospitalisation, mais la même gravité dans la sémiologie d’atteinte par les HRV est prédictive d’un asthme. L’analyse de données de patients hospi talisés pour atteintes respi- ratoires sifflantes, stratifiées selon l’âge et le mois de survenue, le statut atopique, permet d’identifier 2 populations (7). Les enfants de moins de 3 ans sont principalement hospitalisés entre décembre et mars, avec un taux d’identification virale supérieur à 80 %, où le RSV domine, sans que ces patients soient plus atopiques que les témoins. Ceux âgés de 3 à 18 ans sont hospitalisés, parti culièrement de septembre à novembre, l’identi fication virale est plus faible (à 60 %), composée quasiment exclusivement de HRV et, par rapport aux témoins, le terrain ato- pique prédomine (taux d’immunoglobuline E [IgE]

et sensibilisation).

La relation entre les sifflements viro-induits de la petite enfance et le développement ultérieur

d’un asthme dépend du virus en cause au sein d’une population d’enfants à risque atopique

Ainsi, dans la cohorte américaine COAST, l’odds ratio (OR) d’asthme ultérieur est de 3,0 si l’infec- tion est à RSV et de 6,6 lors de HRV. De plus, 63 % des nourrissons de moins de 1 an ayant sifflé lors de la saison hivernale continueront à le faire à 3 ans, alors que 20 % de ceux qui n’ont pas sifflé durant leur première année le feront à l’âge de 3 ans. Ces données ont été confirmées par le suivi à 6 ans,

les infections respiratoires par HRV, responsables d’une respiration sifflante au cours de la petite enfance, constituent le facteur prédictif le plus significatif de développement d’un asthme (8).

Interactions entre l’infection virale, l’asthme et l’atopie

Quel est, du virus ou de la réponse génétique de l’hôte, ce qui est en cause dans cette interaction ?

Pour essayer de déterminer l’importance de la part génétique, une étude a porté sur des paires discordantes de jumeaux homozygotes (9), seule différait, pour l’un d’eux, l’hospitalisation pour bronchiolite sévère. Après un suivi, en moyenne, de 7,6 ans, il n’existe aucune différence entre eux en termes de prévalence de l’asthme (18 % de survenue dans le suivi), d’utilisation des traitements anti- asthmatiques, de survenue d’une atopie, d’évalua- tion de la fonction respiratoire. Ce résultat s’oppose donc à un effet spécifique de l’infection sévère à RSV dans le développement de l’asthme et de l’allergie. Certaines études montrent une probabilité d’hospita lisation pour bronchiolite à RSV significa- tivement plus élevée chez les jumeaux monozygotes que chez les dizygotes. Sur une étude de 8 280 paires de jumeaux, il a été démontré que le modèle statis- tique “asthme causalité de l’hospitalisation liée au RSV” est plus solide que le modèle “hospitalisation à RSV causalité de l’asthme” (10).

Infection virale et risque allergique

Il y a peu d’arguments pour penser qu’une infec- tion virale précoce induise directement une atopie.

Une méta-analyse retenant des critères stricts de dia gnostic de la bronchiolite à RSV (excluant notamment les études portant sur les enfants âgés de plus de 1 an et celles ne disposant pas de preuve viro logique) souligne que les sifflements récurrents ne sont ni en rapport avec une élévation ultérieure du risque atopique, ni liés à une fréquence plus élevée des antécédents familiaux d’atopie (11). Cependant,

0125_LPT 125 22/06/2016 10:19:37

(3)

126 | La Lettre du Pneumologue • Vol. XIX - n° 3 - mai-juin 2016

MISE AU POINT

Virus et asthme chez l’enfant

une étude suédoise cas- témoins portant sur le suivi à 18 ans d’enfants hospita lisés pour bronchiolite à RSV avant l’âge de 6 mois, souligne une augmen- tation de prévalence conjointe de l’asthme (39 versus 9 %) et de l’atopie (41 versus 14 %) chez les enfants hospitalisés par rapport aux témoins (12). Il existe un effet synergique entre l’infec tion virale et l’expo- sition allergénique, qui conduit à une augmentation signifi cative et considérable des hospita lisations : l’OR passe de 8,4, lors d’une forte exposition aller- génique chez le sujet sensibilisé, à 32,8, si une identi- fication virale s’y associe (13).

Chez l’asthmatique atopique, un déficit de la composante innée de la réponse immunitaire antivirale semble se confirmer

L’épithélium respiratoire, où s’effectuent la répli- cation et l’initiation de la réponse immune, est la cible principale des virus pneumotropes.

Les interférons de type I (IFN α et β), II (γ) et III (λ) y tiennent une place essentielle dans l’immu nité innée. L’orientation de la réponse immunitaire T vers le phénotype Th2 ferait intervenir les lésions épithéliales permettant une exposition accrue aux aéro-allergènes. L’augmentation des lymphocytes T produisant l’interleukine (IL) 4 après stimulation par certains aéro-allergènes serait un phénomène acquis en raison du système immunitaire encore modulable.

L’analyse du profil de cytokines et de chimiokines dans les sécrétions nasopharyngées, selon le statut virologique et l’âge du nourrisson, montre qu’il existe une fenêtre de vulnérabilité. Un nourrisson infecté par le RSV durant ses 3 premiers mois a des concen- trations locales d’IL-4 plus importantes que des enfants plus âgés. Ce profil Th2 est retrouvé chez les nourrissons de moins de 3 mois infectés par le virus influenza et les virus para- influenza. Cela suggère que les virus orientent les réponses immunitaires locales vers des réponses de type Th2 chez le nourrisson.

Par conséquent, la réponse immunitaire adaptative est dépendante de l’âge, le RSV n’étant pas l’unique responsable d’une orientation vers une réponse

de type Th2 post- virale (14). M. Caliskan et al.

décrivent le fait que des variants (Single Nucleotide Poly morphisms [SNP]) du locus 17q21 sont associés à l’asthme chez les enfants ayant des sifflements liés aux HRV avec l’expression de ORMDL3 et GSDMB, 2 gènes de ce locus (OR = 26,1 ; IC95 : 5,1-133,0) [15].

Les récepteurs intracellulaires de RIG-I-like (RLR), y compris RIG-I, MDA-5 et LGP2, reconnaissent l’ARN viral comme motifs moléculaires associés aux patho gènes (PAMP) pour initier une réponse immunitaire antivirale. Lors de la reconnaissance de leur ligand ARN, RIG-I et MDA-5 activent la réponse interféron en se liant à MAVS, nœud central dans la signali sation. La fonction de RIG-I n’est pas redon dante, l’atteinte de sa voie d’acti- vation (par exemple, souris KO, inactivation de RIG-I, inhi bition de l’expres sion de RIG-I) conduit à l’inhibition de la synthèse d’IFN de type I. Certaines protéinases des HRV sont capables de dégrader RIG-I et MDA-5, réduisant la formation des homodimères IRF3 (facteur de transcrip tion Interferon Regulatory Factor 3) et, par conséquent, la production d’IFN de type I. La plupart des souches HRV répliquent mieux aux températures plus basses retrouvées dans les fosses nasales (33 à 35 °C) qu’à celles du poumon profond (37 °C). La réponse IFN à l’infection HRV serait dépendante de la température par l’inter mé- diaire de la protéine MAVS, adaptateur clé de la signalisation des RLR. Les cellules des voies aériennes avec un déficit génétique des RLR ou des récepteurs de la signalisation IFN de type I permettent des niveaux plus élevés de la réplication virale à 37 °C (donc dans le poumon) [16].

Conclusion

Les liens entre les exacerbations viro-induites et le remodelage, ainsi que le développement d’une obstruc tion bronchique sévère, nécessitent des recherches complémentaires. Les études cliniques de prévention des infections virales sévères pourront peut-être permettre de mieux définir les liens qui unissent les infections respiratoires virales de la petite enfance et le développement d’un asthme. ■ J. Brouard déclare avoir

des liens d’intérêts avec Novartis (réunions d’experts [asthme et mucoviscidose]) et Astra-Zeneca (vaccin).

A. Vabret n’a pas précisé ses éventuels liens d’intérêts.

1. Freymuth F, Vabret A, Dina J et al. Les virus des bronchio- lites aiguës. Arch Pediatr 2010;17(8):1192-201.

2. Wu P, Dupont WD, Griffin MR et al. Evidence of a causal role of winter virus infection during infancy in early childhood asthma. Am J Respir Crit Care Med 2008;178(11):1123-9.

3. Rantala AK, Jaakkola MS, Mäkikyrö EM, Hugg TT, Jaak- kola JJ. Early respiratory infections and the development of asthma in the first 27 years of life. Am J Epidemiol 2015;182(7):615-23.

4. Laurent C, Dugué AE, Brouard J et al. Viral epidemiology and severity of respiratory infections in infants in 2009: a prospective study. Pediatr Infect Dis J 2012;31(8):827-31.

5. Régnier SA, Huels J. Association between respiratory syncytial virus hospitalizations in infants and respiratory sequelae: systematic review and meta-analysis. Pediatr Infect Dis J 2013;32(8):820-6.

6. Carroll KN, Wu P, Gebretsadik T et al. Season of infant bron- chiolitis and estimates of subsequent risk and burden of early childhood asthma. J Allergy Clin Immunol 2009;123(4):964-6.

7. Heymann PW, Carper HT, Murphy DD et al. Viral infections in relation to age, atopy, and season of admission among children hospitalized for wheezing. J Allergy Clin Immunol 2004;114(2):239-47.

Références bibliographiques

0126_LPT 126 22/06/2016 10:19:38

(4)

La Lettre du Pneumologue • Vol. XIX - n° 3 - mai-juin 2016 | 147

MISE AU POINT

8. Jackson DJ, Gangnon RE, Evans MD et al. Wheezing rhinovirus illnesses in early life predict asthma deve- lopment in high-risk children. Am J Respir Crit Care Med 2008;178(7):667-72.

9. Poorisrisak P, Halkjaer LB, Thomsen SF et al. Causal direction between respiratory syncytial virus bronchio- litis and asthma studied in monozygotic twins. Chest 2010;138(2):338-44.

10. Thomsen SF, van der Sluis S, Stensballe LG et al. Exploring the association between severe respiratory syncytial virus infection and asthma: a registry-based twin study. Am J Respir Crit Care Med 2009;179(12):1091-7.

11. Kneyber MCJ, Steyerberg EW, de Groot R, Moll HA. Long- term effects of respiratory syncytial virus (RSV) bronchiolitis in infants and young children: a quantitative review. Acta Paediatr 2000;89(6):654-60.

12. Sigurs N, Aljassim F, Kjellman B et al. Asthma and allergy patterns over 18 years after severe RSV bronchiolitis in the first year of life. Thorax 2010;65(12):1045-52.

13. Green RM, Custovic A, Sanderson G, Hunter J, Johnston SL, Woodcock A. Synergism between allergens and viruses and risk of hospital admission with asthma : case-control study. BMJ 2002;324(7340):763. Erratum in: BMJ 2002;324(7346):1131.

14. Kristjansson S, Bjarnarson SP, Wennergren G et al. Res- piratory syncytial virus and other respiratory viruses during the first 3 months of life promote a local TH2-like response.

J Allergy Clin Immunol 2005;116(4):805-11.

15. Caliskan M, Bochkov YA, Kreiner-Moller E et al. Rhino- virus wheezing illness and genetic risk of childhood-onset asthma. N Engl J Med 2013;368(15):1398-407.

16. Foxman EF, Storer JA, Fitzgerald ME et al. Tempera- ture-dependent innate defense against the common cold virus limits viral replication at warm temperature in mouse airway cells. Proc Natl Acad Sci USA 2015;112(3):827-32.

Références bibliographiques (suite de la page 126)

0147_LPT 147 22/06/2016 10:19:38

Références

Documents relatifs

➊ DANS LES MOIS PRECEDANT LE DEBUT DE L’ACCUEIL DE MON ENFANT ❐ Évaluer le temps d’accueil, les besoins, les attentes ❐ Se renseigner sur les conditions d’embauche

Les parents jouent un rôle important dans le développement de la santé affective de leurs enfants, particulièrement au cours de la petite enfance. 1 Pour mieux comprendre l’impact

La prévalence du déficit en vitamine D chez les enfants asthmatiques et non asthmatiques été déterminée dans plusieurs études cas témoin, elle variait

Laissez l’enfant mettre le tuyau dans le pot de peinture et ensuite le mettre sur le poisson. L’enfant va appuyer puis relâcher

La précision de mise en œuvre est telle que le motif des panneaux en béton fibré ultra hautes performances se prolonge sur les voiles latéraux qui ont été coulés en place dans

Intervention de 12,50€ pour 8 séances maximum par année civile - sur base d’un certificat médical établi par un médecin justifiant le traitement et mentionnant le BMI - Sur base du

L’enfant est accueilli 46 semaines ou moins par période de 12 mois consécutifs salaire horaire de base X nombre d’heures d’accueil par semaine X nombre de semaines programmées

Intervention de 12,50€ pour 8 séances maximum par année civile - sur base d’un certificat médical établi par un médecin justifiant le traitement et mentionnant le BMI - Sur base du