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Le sapin pectiné, essence d ombre ou souffre-douleurs?

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Academic year: 2022

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HAL Id: hal-03385862

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Submitted on 19 Oct 2021

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Le sapin pectiné, essence d’ombre ou souffre-douleurs?

Yves Blutel

To cite this version:

Yves Blutel. Le sapin pectiné, essence d’ombre ou souffre-douleurs?. Revue forestière française,

AgroParisTech, 1968, pp.573-579. �10.4267/2042/20221�. �hal-03385862�

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Cette rubrique est dirigée par

P . MARTINOT-LAGARDE

Ingénieur du G . R .E .F.

Centre Technique Forestier Domaine des Barres 45, NOGENT-SUR-VERNISSON

LE SAPIN PECTINE,

ESSENCE D'OMBRE OU SOUFFRE-DOULEURS?

YVES BLUTEL

Suite à l'impulsion énergique de Monsieur l'Ingénieur Général LACHAUSSEE et à l'enseignement reçu à l'Ecole Forestière, nous avons appris que le Sapin pectiné de l'Est de la France exigeait une bonne dose d'ombre pour les débuts de son existence . C'est pour réaliser cela que fut in- ventée la coupe d'abri préalable à toute plantation de cette essence ; de même une coupe de régé- nération dans la sapinière doit être extrêmement prudente, et suivie de plusieurs coupes se- condaires . Sans ces précautions, ne voit-on pas le sol envahi par la ronce, puis les rejets, ou les graminées, ou les grands Séneçons, tous recrus qui s'opposent à l'installation et au maintien de nos protégés ? Le rôle de l'abri est d'épuiser les rejets, de ralentir l'invasion de la végé- tation, de protéger de la dessiccation par le soleil et par le vent, de diminuer les effets de la gelée .

CE OUI S'EST FAIT :

A ces raisons techniques s'ajoutait un avantage psychologique . On sait la prépondérance en France des surfaces de forêts communales sur les forêts domaniales . Jusqu'aux toutes der- nières années, et encore maintenant dans quelques communes, la grosse préoccupation était de ne pas manquer de bois de chauffage, sous la forme du sacro-saint affouage des coupes ordinaires . Chaque fois qu'un forestier voulait tenter une conversion feuillue, ou pis, enrésiner, il se heurtait à une levée de boucliers contre cet attentat à un droit, sans doute non inscrit dans la Constitution, mais du moins dans les coeurs . . . et dans le Code Forestier . II y a peu, un Con- seiller Général des environs de Besançon disait encore à notre prédécesseur : ' Si vous tenez à convenir nos forêts, passe encore ; mais enrésiner, pas question » . Et de fait, on a vu des paysans arracher, couper ces résineux qui prenaient la place du bois de chauffage feuillu . Ain-

si s'explique l'absence actuelle d'arbres de valeur sur de nombreux hectares situés à l'intérieur de l'aire naturelle du sapin ou du hêtre . Devant une telle opposition émanant des propriétaires légitimes, les forestiers tentaient cependant l'installation à la sauvette de discrets bouquets de sapins, susceptibles de se régénérer tout seuls beaucoup plus tard . Et le plus étonnant est que certains de ces bouquets, quelques pieds isolés même, aient pu survivre à tant d'avatars.

Par la suite, quelques communes ont pu être lentement apprivoisées et habituées à l'idée de voir leur forêt verte même en hiver . Et nous ne parlerons pas de l'époque actuelle, où la Re- vue des Communes Forestières, pas toujours suivie par ses mandants d'ailleurs, ne cesse de vitupérer la lenteur des forestiers à enrésiner leurs forêts . Mais alors s'est posée la question

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Sapins 10 ans plantés sous taillis.

Forêt de BESANÇON - CHAILLUZ, parc 7.

Les branches latérales s'allongent, les pousses terminales sont infimes, le bourgeon terminal avorte.

PHOTO BLUTEL

du financement de ces transformations . Le public, dont font partie les contribuables ruraux, admet souvent que la production de la forêt doit être gratuite, et l'on connaît par ailleurs l'atta- chement du paysan au moindre sou . Le Fonds Forestier National lui-même est loin de payer toute la dépense de mise en valeur ; du moins ne veut-on pas laisser perdre la manne des subventions ; quant aux dégagements à faire .. . on verra bien ! C'était donc le système débrouil- le ,> : le sapin, ce souffre-douleur, supporte beaucoup ; alors, mettons-le carrément dans le tail- lis, par exemple 5 ou 10 ans avant le terme de la révolution, et la coupe gratuite le sauvera, s'il n'est pas déjà étouffé définitivement, ou ébourgeonné par les rongeurs, ou frotté par les che- vreuils, ou écrasé par les voituriers maudissant cette nouvelle source de procès-verbal . C'est ainsi qu'on a obtenu, par chance, quelques énormes sapins, aux fûts en forme de fusées, tout de branches couverts, et juste bons à produire des semis, après un délai de 80 à 100 ans, si encore on veut bien s'en occuper . Quant aux quartiers de régénération de la sapinière . ..

le forestier résineux a tant à faire à la fois, la saison de travail est si courte, la possibilité si juste ! Alors, ne découvrons pas trop tôt !

L'ÉVOLUTION ACTUELLE :

Les conditions économiques ont changé ; le forestier a appris que le temps coûte cher ; les Maires et leurs conseils, contraints à des dépenses d'aménagement rural considérables, consen- tent plus volontiers qu'avant à consacrer de surcroît 5, 10, 20°/o de leurs revenus forestiers, et quelquefois plus, à des travaux de mise en valeur, parce que certains ont senti qu'ils allaient se trouver le dos au mur . Nous nous sommes demandés comment on pouvait éviter de perdre 30 ans d'accroissement dans la vie d'un sapin, qui, en plaine ou basse montagne (200 à 600 mètres), ne devrait pas dépasser 100 à 120 ans d'âge, et comment on pourrait cependant ne pas payer ce gain trop cher.

Les directives officielles prescrivent maintenant fort heureusement de planter sous des coupes d'abri qui auront éliminé au préalable tous arbres encombrants ; trois coupes d'éclairement doivent suivre la plantation, la coupe définitive intervenant, suivant les lieux, entre la neuvième et la douzième année . Ceci est un remarquable progrès ; il est malheureusement contreba- lancé par la quasi impossibilité actuelle de vendre trois coupes d'éclairement sur une planta- tion . Aussi, depuis quelques 4 ans, l'un de nos Chefs de Cantonnements a-t-il pris l'habitude de tout faire couper en une seule fois sur les nombreuses plantations vieilles de 10 ou 20 ans dont il a hérité . Contrairement aux craintes que l'on aurait pu concevoir concernant les risques de dépérissement, d'attaques de Dreyfusia ou autres, on n'a pas relevé une seule observation défavorable . Deux ans après la coupe . les sapins font de leur mieux pour rattraper le temps perdu . Il n'y a pas de doute, cependant, que dans le cas où il s'agirait de perches de sapins couvertes pendant 30 ou 40 ans, il y aurait là un grand risque de voir ces perches irrémé- diablement bousculées par les abattages, ou ensuite par le vent ; mais on ne devrait jamais en arriver jusqu'à ce stade . . .

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Technique et forêt

Nous avons voulu pousser plus loin nos efforts dans le sens d'une mise en lumière précoce, à la suite des entretiens que notre carrière forestière nous a donné l'occasion d'avoir avec Monsieur le Professeur BAUER, de Fribourg-en-Brisgau, ancien Directeur des Forêts de Bade, et qui sut si bien jadis intéresser notre promotion de forestiers . Le Docteur BAUER reconnaît avec modestie qu'il a puisé au départ ses observations dans la pratique de la petite propriété forestière paysanne de son pays, où l'on plante des sapins en plein découvert dans des clai- rières allant jusqu'à 0,5 hectare . Mais il conseille pour cela d'employer des plants habitués à la lumière dès la pépinière . Un sapin pectiné habitué à l'ombre a des aiguilles toutes à peu près dans un même plan, elles sont vert foncé, les tiges sont plus ou moins étiolées . Si un tel plant est subitement éclairé, il commence par perdre ses aiguilles d'ombre pour en fabriquer de nouvelles, mieux adaptées à la lumière, et ce processus dure à peu près 2 ans, pendant lesquels le plant est supposé plus vulnérable à la sécheresse, aux parasites animaux et végé- taux, et cesse de pousser . Si, dès le semis en pépinière, on découvre progressivement, en sep- tembre la première année, en juin les suivantes, on obtient d'emblée les aiguilles de lumière, plus épaisses, plus jaunes, redressées comme sur des rameaux de Nordmann que l'on aurait pris à rebrousse-poils ; on observe d'ailleurs cette adaptation sur les rameaux les mieux éclai- rés des grands sapins vigoureux . Un tel traitement peut provoquer quelques décès de semis, assez limités, mais ceci est considéré comme une sélection souhaitable de futurs plants plus vigoureux . En particulier en dessous de 400 m . d'altitude, il est conseillé d'utiliser la lumière au maximum pour compenser précisément le manque d'altitude, et les éclaircies à leur tour de- vront être plus fortes qu'à 600 ou 800 mètres : on estime normal, dans ce cas, que les arbres produits gardent des branches vivantes sur le tiers de leur hauteur . Disons d'ailleurs que les innombrables plumeaux que l'on produit systématiquement dans les quartiers jaunes des sapinières du Jura à 600-700 m . d'altitude, faute de les avoir éclaircis suffisamment en temps voulu, sont une piètre réclame pour la fameuse prudence tant prônée, et deviennent, à leur

passage en quartier bleu, des vieillards à peu près stériles et combien fragiles .

PHOTO BAVER

En haut, branche de sapin habituée é l'ombre et mise en lumière brutalement ; les aiguilles d ' ombre tombent progressivement, et ne sont remplacées par des aiguilles de lumière qu'après un certain délai . Les deux autres fragments

sont des vues latérale et verticale de branches de sapin habituées à la lumière.

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Malgré un repiquage tous les 6 cm ., les 3 . et 4 . plants é partir de la gauche sont définitivement coiffés et à éliminer.

PHOTO [AUTEL

Balivage de 1200 ha . - Sapins de 3 ans . Les cimes des baliveaux tendent à se rejoindre et malgré le sous-bois très propre, les pousses annuelles s'en trouvent ralenties .

PHOTO BLUTEL

Les observations qui précèdent sont à rapprocher de ce que nous avons pu voir dans les monts du Beaujolais, où il semble courant de planter du sapin pectiné dans la fougère aigle, en plein décou- vert . Mais là, on pouvait se demander s'il ne s'agissait pas d'une race à part, mieux adaptée à la lumière, à l'instar du Sapin de l'Aude, ou peut-être de celui des Pyrénées.

CE QUE NOUS FAISONS :

Conditions générales : avants-monts et premier plateau du Jura ; altitudes 250-600 m ; pluviosités 1 100 - 1 300 mm ; températures moyennes 11" à 9" ; sols argilo-calcaires.

Depuis six ans, nos pépinières communales sont traitées dans l'esprit précédent ; le repiquage est effectué tous les 6, puis main- tenant 8 cm sur les lignes, précaution qui évite que la première branche d'un plant légèrement en avance ne couvre la cime du voisin.

Les plantations ne doivent être entreprises qu'après enlèvement de tous les arbres encombrants ou bas-branchus, y compris dans la catégorie baliveaux . On ne cherche plus à baliver sur chaque souche, l'emploi des hormones permettant d'arrêter les rejets, surtout avant la plantation . La totalité de la surface à planter doit être nettoyée, et on ne garde que de temps en temps un brin élancé pour limiter la dessiccation du sol, ou au contraire la remon- tée du plan d'eau . Pratiquement 500 à 600 baliveaux à l'hectare, suivant l'exposition et le sol, suffisent . Il est nécessaire, ce faisant, que des taches de soleil se forment au sol de façon régulièrement répartie, et occupent plus de place que les taches d'ombre . D'éven- tuels arbres feuillus de valeur et n'ayant pas tout à fait atteint leur exploitabilité peuvent être maintenus un certain temps près des bordures . Il faut pratiquement un tiers de couvert, deux tiers de clairières.

Moyennant ces précautions, on a obtenu jusqu'ici, en sols de ferti- lité très moyenne, des plants dont les pousses annuelles moyennes passaient à 12 cm la troisième année, 25 cm la quatrième, alors que sous abri continu, même relevé, les pousses restent dans la mé- diocrité des deux premières années (5-8 cm) . Nous avons des rai- sons de penser qu'en remplaçant la plantation à la pioche par celle en potets travaillés à la machine, et en ajoutant des engrais dans certains cas, cette stagnation du début sera elle-même surmontée.

Dès l'âge de 5-6 ans, on enlèvera le peu d'abri restant, soit qu'on trouve acquéreurs pour ces produits de qualité papeterie, soit qu'on les fasse périr sur pied par l'emploi des hormones .

Balivage 500 ha . - Sapins de 4 ans . 110.

PHOTO BLUTEL

L'abri estimé désirable (un tiers de cimes, deux tiers de ciel libre) dolt réaliser, au sol, par temps enso- leillé, un damier de taches d ' ombre et de lumière qui se déplacent.

PHOTO BLUTEL

FORÊT DE BAUME-LES-DAMES

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(7)

40 cm.

30 cm.

20 cm

10 cm.

totales 50 cm .

1965 2^'e année 3. année 4`^° année

1`e année

COMPARAISONS DE DEUX COUVERTS DIFFÉRENTS SUR PLANTATIONS DE SAPINS.

Dans chaque parcelle, sol, époque de plantation, origine des plants sont les mêmes, sinon les dimensions des plants au départ.

Le sol est nettement meilleur en parcelle 32, ce qui permet des résultats supérieurs en valeurs absolues . Mais l'allure des courbes obtenues avec un couvert 30 % reste sensiblement la méme dans les deux cas ; on remarquera que la longueur de la pousse de 5e e année commence à marquer un fléchissement, parce que le couvert tend à réaugmenter il est grand temps de passer en coupe d'éclairement Dans la parcelle 28, les plants étaient au départ plus petits dans le plateau le plus éclairé . ce qui ne fait que souligner la supériorité du découvert ; la dispersion des résultats vers les plus fortes valeurs est remarquable, alors que sous un couvert plus complet . la longueur des pousses annuelles demeure partout à peu près la même, c'est-à-dire bien plus faible.

1964

Ife anne,, 2-e année 3"'e année 4-0année 5.T e année Hauteurs

totales

100 cm.

90 cm.

80 cm.

70 cm.

60 cm.

50 cm.

40 cm.

30 cm.

20 cm.

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Technique et forêt

Nous citerons le cas, à AISSEY, d'une plantation presque sans abri, située dans une combe, où l'on avait fait alterner des bandes de nos sapins héliophiles et des bandes d'épicéas . Ces derniers avaient souffert de l'été sec 1967, alors que les premiers se comportaient à merveille.

Il faut reconnaître que de tels découverts sont possibles financièrement depuis que l'on a vu la nécessité d'employer des plants vigoureux et de grande taille si le sol est fertile, et de les installer avec le plus grand soin . Mais surtout, l'emploi des hormones végétales, qui rend les dégagements deux fois moins chers, moins fréquents, et moindres consommateurs en main- d'oeuvre, en particulier s'ils sont commencés avant même la plantation proprement dite, cons- titue une véritable révolution . Là où des préposés consciencieux ont exécuté de cinq à dix dégagements en 20 ans pour tirer à peu près d'affaire des sapins, nous pensons parvenir au

même résultat en 6-7 ans avec trois opérations consécutives à la préparation, plus facilement réalisable, de la plantation . Et nos comparaisons ne portent même pas sur les plantations dans le taillis, maintenant disparues à 90 °/o.

On dira : mais les dégâts da gelées ? Evidemment, il existe des trous à gelées, où l'on fera mieux de cultiver de l'épicéa que du sapin . Mais ailleurs, c'est-à-dire dans 90 °/o des cas, qu'on nous permette d'être un peu sceptique sur la supériorité de la protection obtenue avec les abris préconisés jusqu'à maintenant : on y trouve, là comme ailleurs, des sapins à cimes multiples, à tel point que nous avons dû prescrire aux exécutants de ne pas manquer d'ébourgeonner les cimes en trop à toutes occasions, et en particulier lors des dégagements . Comme l'a très bien exposé AUSSENAC dans la R .F .F ., il est fréquent qu'une gelée tardive détruise les bour- geons latéraux ; ce fut même assez général en mai 1967, et fut d'ailleurs suivi d'une longueur de pousse terminale supérieure (parfois le double) à celle des plants totalement épargnés.

Quant aux plants qui ont perdu leur pousse terminale 1967, nous en avons vu sous le couvert classique au moins autant qu'ailleurs . De même que dans nos essais de fertilisation, où les plants amendés ont été plus souvent touchés par la gelée que les témoins, mais montraient une vigueur plus grande, un collet mieux étoffé, nos plants, mieux éclairés dès leur jeunesse, té- moignent d'une vigueur accrue qui leur fera rattraper très vite le temps momentanément perdu.

Quant à l'ébourgeonnage, il reste à faire dans tous les cas, et c'est une bien faible dépense si elle est consentie à temps .

CONCLUSIONS

Nous n'écrivons pas ces lignes pour alimenter une quelconque controverse, dans laquelle nous succomberions probablement . Ce qui nous intéresse, plus que la théorie, c'est que le mouve- ment se prouve en marchant . Nous avons exposé ce que nous avons fait faire depuis plusieurs années en partant de l'idée qu'un sapin pectiné planté a besoin dès le début de beaucoup plus de lumière — 15 fois plus d'après le photomètre — qu'on avait coutume de lui en accorder dans la région . Nos poulains ont traversé, sans dégâts particuliers, la forte gelée de mai 1967 et l'été sec de la même année . Leur installation a été faite sur les territoires de trois de nos districts les plus anciens, de 350 à 650 m d'altitude . Depuis deux ans, la méthode se poursuit dans neuf nouveaux districts . Il est difficile, dans ces conditions, de supposer que nous n'avons réussi qu'en raison de circonstances particulièrement favorables .

Y . BLUTEL Ingénieur du G . R . E . F.

Chef du Centre de Gestion O .N .F.

de Besançon 16, avenueCarnot - B . P . 228

25 - BESANÇON

BIBLIOGRAPHIES

L. ROUSSEL . Les radiations naturelles de la forêt — Bulletin de la Société Forestière de Franche-Comte 1966 et 1967.

De LIOCOURT et R SCHAEFFER — Essences d'ombre et de lumière — Bulletin de la Société Forestière de Franche-Comté mars 1968.

G . de la FOUCHARDIERE — Quelques réflexions sur l'emploi des essences d'Ombre — R . F . F . avril 1968, page 245.

M. COINTAT - - Les lecteurs parient .. R .F .F . juin 1968, page 414.

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