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« Harry Potter et l’Enfant maudit » : une suite réussie mais dispensable Le huitième volet de la saga de J. K.

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Academic year: 2022

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Texte intégral

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Exercice

Repère les parties constitutives de la critique suivante.

Critique de Harry Potter et l’enfant maudit de J. K. Rowling, par Alexis Orisini

« Harry Potter et l’Enfant maudit » : une suite réussie mais dispensable Le huitième volet de la saga de J. K. Rowling sort vendredi en français. Elle ne remplit qu’à moitié sa mission auprès des fans.

Harry Potter est de retour : d’abord sur la scène du Palace Theatre de Londres, où se joue depuis cet été à guichets fermés la représentation de Harry Potter et l’Enfant maudit, la nouvelle aventure du sorcier à lunettes, mais aussi dans le livre du même nom. Paru le 31 juillet en anglais, au lendemain de la première représentation, sa traduction française arrive vendredi 14 octobre en librairies.

[…]

Harry Potter et l’Enfant maudit reprend exactement là où s’achevait Harry Potter et les Reliques de la mort : sur le quai de la voie 9 3/4, dix-neuf ans après la mort de Voldemort, alors qu’Albus Severus, le deuxième fils de Harry Potter, s’apprête à intégrer l’école de sorcellerie Poudlard. Un établissement où il ne parvient pas à trouver sa place et qu’il se met très vite à détester. Son amitié inattendue avec Scorpius, le fils de Drago Malefoy, vient se greffer à la longue liste des sujets de discorde qui séparent Harry et Albus. La relation compliquée entre le père et son fils, au cœur de l’intrigue, incite l’adolescent à se lancer dans une quête aux conséquences potentiellement catastrophiques pour le monde des sorciers.

L’intrigue, signée du dramaturge Jack Thorne, qui en a conçu les bases conjointement avec J. K.

Rowling et le metteur en scène John Tiffany, parvient à nous faire replonger dans l’univers magique de Harry Potter. On se surprend en effet à tourner les pages à un rythme effréné et à s’adapter en un clin d’œil à un format narratif jusqu’ici inédit dans la saga : une succession de didascalies et de dialogues.

Fanfiction et fan-service

Le principal défaut de ce script tient cependant aux deux aspirations contraires de Jack Thorne : en tentant d’offrir une suite à l’histoire de J. K. Rowling sans pour autant assumer l’impact de cette nouvelle aventure sur le canon original, le scénariste, admirateur de Harry Potter, a conçu une intrigue à la fois ambitieuse et conservatrice.

C’est ce qui explique les nombreux passages dignes d’une fanfiction, des récits amateurs imaginés autour d’une œuvre de fiction populaire, plutôt que d’une suite « adoubée » par J. K. Rowling.

Ainsi, outre des filiations souvent peu inspirées et l’évolution un peu facile de certains protagonistes (comme Ron), on grince des dents à la lecture de dialogues particulièrement mièvres, notamment à chaque face-à-face entre Harry et Albus, ou encore lors des démonstrations d’amitié éloquentes entre le héros et son ami Scorpius.

Le retour de certains personnages très populaires au sein de la communauté de fans tient par ailleurs le plus souvent du simple fan-service, puisque leur rôle s’avère anecdotique dans la progression de l’intrigue.

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330 pages sans temps mort

Malgré ses défauts, Harry Potter et l’Enfant maudit parvient à séduire grâce à la fluidité de sa narration, à ses références complices aux précédents volumes et à quelques trouvailles particulièrement judicieuses (comme les révélations sur la marchande de bonbons du Poudlard Express). Le détachement teinté d’ironie de Scorpius le rend particulièrement attachant et permet de contrebalancer l’agacement que suscite parfois l’attitude geignarde d’Albus.

L’histoire contient par ailleurs suffisamment de rebondissements pour tenir le lectorat en haleine pendant 330 pages, sans réel temps mort, tout en jouant habilement la carte de la nostalgie. Le mystère autour de l’identité du fameux « enfant maudit » est quant à lui bien entretenu : s’agit-il d’Albus Potter, incapable de supporter les attentes disproportionnées qui pèsent sur ses épaules, ou bien de Scorpius Malefoy, au passé douloureux et au patronyme compliqué à porter dans un monde post-Voldemort ?

Le support papier d’une pièce de cinq heures

Dommage toutefois que l’auteur n’ait pas osé laisser libre cours à sa créativité pour offrir une véritable suite à Harry Potter : on ressort de la lecture avec le sentiment d’avoir découvert une sorte de complément sincère mais dispensable aux aventures originales du sorcier. Le script amène aussi à se demander régulièrement comment le metteur en scène est parvenu à transposer sur scène tel ou tel passage particulièrement riche en événements magiques dans cette pièce de cinq heures divisée en deux parties. Comme autant de piqûres de rappel supplémentaires sur la nature première de Harry Potter et l’Enfant maudit.

La déclinaison de cette nouvelle aventure en livre et sur scène – en attendant une adaptation cinématographique ? – laisse en tout cas peu de doute quant au futur de la saga. J. K. Rowling a beau affirmer que « c’en est fini pour Harry désormais », Albus, Scorpius et la nouvelle génération de personnages introduits dans Harry Potter et l’Enfant maudit n’en sont probablement qu’à leur première aventure

https://www.lemonde.fr/pixels/article/2016/08/09/harry-potter-et-l-enfant-maudit-une-suite-reussie-mais- dispensable_4980240_4408996.html

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Même exercice.

Gavalda: chronique d'un best-seller annoncé

Une critique de Danielle Laurin

Oui, il est là, il arrive, enfin. Le nouveau Gavalda. Et vous savez quoi? C'est du pur et dur...

du pur et dur Gavalda. Dans la foulée d'Ensemble, c'est tout, quoi!

Ensemble, c'est tout: une bande d'éclopés qui s'en sortent grâce à l'entraide, la fratrie. Vous vous souvenez? C'était il y a quatre ans. Le livre, adapté au cinéma avec Audrey Tautou, s'est vendu à plus de deux millions d'exemplaires.

En passant: le premier roman d'Anna Gavalda, Je l'aimais, qui dépasse le million d'exemplaires vendus, est en cours d'adaptation. Daniel Auteuil et Marie-Josée Croze se partageront la vedette dans le film, dont le tournage commence à la fin du mois.

En tout, Anna Gavalda a vendu cinq millions de livres. Dans la francophonie seulement.

Traduite en 38 ans langues, elle connaît un succès impressionnant en Russie et en Allemagne, notamment. Autant dire que La consolante (Le dilettante) était un livre attendu.

Paru il y a quelques semaines en France, où l'ex-enseignante de 37 ans figure parmi les auteurs les plus lus, le livre se vend comme des petits pains chauds. Mais divise la critique.

Parmi les détracteurs de Gavalda, beaucoup lui reprochent encore une fois de faire dans les bons sentiments, d'en faire trop, tout simplement. Qu'en est-il exactement?

D'une consolante à l'autre

On suit un architecte de 47 ans, Charles, qui a réussi sur le plan professionnel, mais pas dans sa vie privée, sentimentale. Il est au bout du rouleau, au bord de la dépression. Très vite, les choses vont se précipiter.

Une lettre lui apprend que la mère de son meilleur ami est morte. Il y a longtemps, Charles a eu avec cette femme, beaucoup plus âgée que lui, une relation privilégiée. Il se demande maintenant si elle n'était pas la femme de sa vie...

Et voilà qu'il remonte le fil de son histoire à elle, cette Anouk qu'il a perdue de vue depuis 20 ans. Une infirmière, toute dévouée aux autres, quitte à s'oublier elle-même. Une consolante, donc, qui avait les valeurs à la bonne place.

Sans tout dévoiler, on peut indiquer que le héros rencontrera sur sa route une autre consolante, plus jeune, qui a pris sous son aile de petits éclopés. Une consolante d'aujourd'hui, avec qui il pourrait bien refaire sa vie.

Les contes de fées d'Anna Gavalda

Même si la première partie du livre est très sombre, le happy end est au rendez-vous.

Comme Ensemble, c'est tout, La consolante a des allures de conte de fées pour adultes. Et encore une fois, la petite musique Gavalda se fait entendre.

Bon, il y a bien quelques effets de style qui font tiquer: des phrases sans pronoms, des verbes sans sujets, beaucoup de points de suspension. Beaucoup de digressions aussi, les descriptions se multiplient, s'éternisent par bouts.

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Pour tout dire, l'intérêt baisse un moment, l'action n'avance plus. Mais, mais, mais: les dialogues sont savoureux, vivants. Et l'émotion nous gagne, nous prend à la gorge plus d'une fois.

Il y a cette touche d'humour, aussi. Cette touche de magie à la Gavalda. Magie du quotidien, des petites choses. Et il y a, oui, les valeurs d'entraide, d'humanité profonde, derrière.

Surtout, il y a les personnages. À commencer par les deux consolantes, plus grandes que nature, mais auxquelles on croit, auxquelles on veut croire, absolument.

Anna Gavalda elle-même est une consolante. Elle écrit en quelque sorte pour consoler. Et n'en déplaise à ses détracteurs, c'est ce qui fait son succès.

Source : http://ici.radio-canada.ca/arts-spectacles/livres/2008/04/22/001-gavalda-critique.asp

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Fiche technique : Rédiger une critique littéraire

Toute argumentation doit être structurée et organisée pour faire passer au mieux son message au destinataire. Argumenter sert à convaincre, à persuader : le fond et la forme participent à cet objectif. Comment s’y prendre ?

1. Réfléchir aux aspects que l’on pourrait analyser, choisir les plus inspirants en fonction de votre option de lecture.  les noter sur un brouillon

2. Se demander : « Comment vais-je justifier cette analyse, prouver qu’elle est valable ? » Rassembler au brouillon les idées : des explications, des arguments, des illustrations (=

exemples concrets issus du livre).

3. Rédiger : attention, la rédaction d’une argumentation ne commence pas par l’introduction ! Rédigez le développement avant de vous lancer dans la conclusion (qui dépendra de ce qui précède). L’introduction s’écrit en dernier lieu. L’introduction apparaît évidemment en premier lieu dans la structure de la critique. Cependant, lorsqu’on rédige le brouillon, il est nécessaire de commencer par l’argumentation. En effet, il est plus aisé de rédiger l’introduction une fois que l’on connaît le contenu du développement. Idem pour la conclusion.

Structure de la critique littéraire:

L’introduction :

Elle est primordiale ! C’est elle qui informe votre lecteur sur le sujet de l’argumentation et l’invite à continuer sa lecture. Que doit-elle contenir ?

- Des références. (titre, auteur, date de publication, genre,… ) = partie INFORMATIVE

Exemple : les références du livre dont on va parler, l’origine (trouver idée originale) de la réflexion qui sera développée.

- Une mise en contexte qui suscite l’intérêt de votre lecteur. = partie NARRATIVE

Exemple : un court résumé de l’œuvre qui va être critiquée ou la présentation de la question à laquelle on va répondre en expliquant pourquoi elle est intéressante.

- Un plan des idées qui seront développées (énoncées brièvement et dans l’ordre) = présentation de la partie ARGUMENTATIVE

Exemple : Ce commentaire abordera successivement le style d’écriture de l’auteur, la construction du suspense et la diversité des personnages.

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Le développement

Le nombre de paragraphes dépend du nombre d’idées à développer: généralement de 2 à 3 analyses bien développées.

Attention : ne mélangez pas deux aspects différents dans le même paragraphe !  car chaque paragraphe ne peut contenir qu’une idée (= ici, un critère de critique) bien développée.

Qu’est-ce que c’est « développer une analyse » ? C’est argumenter votre analyse en donnant des explications mais aussi des justifications et des illustrations (des

exemples).  Développer n’est pas « juste citer » mais expliquer et exemplifier. Argumentez à partir des critères présentés dans la fiche « Que peut-on critiquer dans un roman ? ».

Pour mieux convaincre, terminez de préférence par les arguments les plus forts.

Structure du paragraphe argumenté (l’ordre de ces éléments est à respecter)

Aspect pris en exemple : L’identification aux personnages - Énoncer d’abord l’analyse d’un aspect du roman :

= présenter, citer l’idée/l’argument en une phrase.

L’identification difficile aux personnages ne permet pas au lecteur de ressentir de l’empathie.

- Justifier la critique en 1 ou 2 arguments:

= expliquer son argument en développant.

Car les descriptions ne sont pas assez longues, pas assez nombreuses /

Car les personnages sont trop âgés, leur culture est trop éloignée de la nôtre.

- Illustrer la critique (une fois par argument) :

= fournir un exemple issu du livre et montrer en quoi il permet d’appuyer votre argument.

Prendre un personnage en exemple.

- Nuancer la critique (chercher une objection, un point de vue opposé) : = anticiper, accepter un éventuel avis opposé à faire au moins une fois par critique

Cependant, cette distance par rapport aux personnages permet d’être dans la réflexion plutôt que l’émotion.

- Conclure : en répétant la critique développée et/ou en articulant cet argument avec le suivant.

= résumer brièvement votre idée/argument

Ainsi, le lecteur est mis à distance des personnages et porte sur eux un regard plus critique, ce qui attire son attention sur la problématique principale du roman qui est...

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Exemple:

Tout d’abord, dans le roman « Un lieu incertain », les personnages ont des petites manies qui les rendent attachants et particuliers.

En effet, qu’ils soient principaux ou secondaires, plusieurs personnages ont des habitudes étranges qui leur donnent une personnalité haute en couleur. Par exemple, une habitude du commissaire Adamsberg est de régler l’heure de sa montre sur le rituel de son voisin Lucio qui se soulage contre l’arbre de la cour toutes les heures et demi, indiquant l’heure comme le ferait une cloche d’église.

D’un autre côté, ces petites manies donnent aussi au lecteur de bons points de repère pour distinguer les personnages les uns des autres dans le cadre de cette double enquête aux nombreuses ramifications. Dans la brigade d’Adamsberg, par exemple, les particularités de chacun sont précieuses pour ne pas les confondre comme la naïveté d’Estalère ou la manie de Retancourt d’avoir les poches garnies de nourriture.

Mais ce foisonnement de personnages est surtout une manie de Fred Vargas elle-même qui se plait à multiplier les points de vue sur une enquête tout en saturant la mémoire de son lecteur.

Ainsi, que ce soit pour rendre originaux et attachants les personnages ou pour les distinguer plus facilement, ces traits de personnalités qui pourraient sembler des détails deviennent indispensables au lecteur qui doit s’y retrouver dans l’enquête.

La conclusion :

Elle fait la synthèse en montrant que tous les arguments sont cohérents et justifient ensemble une opinion. La conclusion se divise en deux grandes parties :

- Rappel du développement : résumez en une ou deux phrases les idées énoncées dans les paragraphes argumentatifs.

Exemple : En conclusion, ce roman, écrit dans un style familier, dont le suspense est bien mené et dont les personnages reflètent l’ensemble de la société, convient à tout type de lecteurs.

- Recommandation et Ouverture : invitez à la lecture (= (dé)conseil de lecture en fonction de votre avis) en précisant éventuellement le lectorat visé (amateurs de suspense, d’aventure, d’histoires d’amour, de poésie, d’histoires d’horreur, amateurs de voyages,…). Avec une anecdote, un jeu de mots, une citation, etc., vous ouvrez la réflexion à d’autres pistes inexplorées.

Attention : N’ajoutez pas de nouveaux arguments dans la conclusion !

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Quelques conseils à prendre en compte pour l'écriture de votre critique

1. Une critique doit avoir pour but de convaincre : elle doit faire passer le message

« allez-y » ou « n'y allez pas », mais sans que cela soit nécessairement dit directement.  d’où l’importance des termes appréciatifs/dépréciatifs

2. Éviter les critiques énonçant directement (et platement) l'opinion de façon explicite (« c'est bien » / « ce n'est pas bien ») : il vaut mieux que l'opinion soit devinée, mais de manière claire.

3. Avoir un point de vue subjectif (c'est-à-dire être pour ou contre) le plus net possible mais ne pas le ramener à soi (donc éviter : « moi, ça m'a pas plu »).

Autrement dit : parler de l'œuvre, et non de soi. (Éviter le « je »).  il faut argumenter sur base d’une analyse littéraire (voir liste de critères)

4. Être subjectif mais avoir des arguments objectifs (qui s'appuient sur des éléments, des passages que l'on peut vérifier).  car il s’agit d’une analyse littéraire

5. Ne pas refaire l'œuvre en disant ce qui aurait dû être fait ; au contraire évoquer ce qui a été fait en évaluant son efficacité.  ex : le suspense fonctionne-t-il ? L’élaboration des personnages est-elle convaincante ?

6. Il peut être utile d’amener des éléments comparatifs avec d'autres œuvres pour illustrer les affirmations et montrer ses compétences culturelles.

7. Utiliser des procédés de persuasion en interpelant le lecteur, en s’adressant à lui personnellement, …  ex : N’avez-vous jamais arrêté de lire un roman qui manquait de suspense ? Cette formulation permet de montrer que le livre manque de suspense.

8. Une critique s'adresse à un destinataire universel qui ne connait pas l'œuvre, mais qui n'est pas inculte (donc inutile de s'étendre sur des précisions (par exemple, il sait qui est Molière), et inutile d'expliciter les termes techniques (le narrateur, le cadre spatio-temporel, …)).  il faut rédiger sans se dire que c’est le professeur qui lira la critique mais que ça pourrait être une personne lambda.

9. Une bonne critique se reconnait à son registre particulier et utilise des procédés de (sous-entendu, jeu de mots, trait ironique, termes mélioratifs ou péjoratifs, style

...).

10. Une critique doit être précédée d’un titre accrocheur et contienne déjà, si possible, l’avis positif ou négatif ; pour accrocher le lecteur, il peut comporter un trait d'esprit ou un jeu de mots.

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Exercice

En te basant sur ta lecture d’un roman romantique et sur la fiche technique, rédige une critique littéraire (critères au choix, voir la fiche technique). Commence par élaborer un brouillon. Respecte la structure et les règles de rédaction.

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