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Les relations "sociétés mobiles/sociétés sédentaires" lors de la néolithisation de l'Europe

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Academic year: 2021

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Patrice Brun (UMR ArScAn - Protohistoire européenne)

i aurait é té regrettable d e ne p a s examiner, lors d'une réflexion collective sur la question des relations entre sociétés mobiles e t sociétés sédentaires, celles qui ont nécessairem ent existé lors d e la néolithisation d e l'Europe. N 'étant pas in spécialiste d e c e tte période, j'ab o rd erai ici c e ca s en a d o p ta n t un point d e vue assez distancié d 'anthropologue social. 1 est permis d 'espérer q u e la perte en précision, sera c o m p e n s é e par la pertinence d'interrogations e n c o re p e u ab o rd ées dans no tre pays.

Pour bien com prendre la teneur des d é b a ts en cours sur c e tte question, I convient d'organiser le propos en suivant l'histoire d e la recherche. Ainsi, a p rè s l'exposé du m o d è le traditionnel, sera p rése n tée l'antithèse é la b o rée p a r la n ew a rc h a e o lo g y britannique, puis le relais d e c e tte critique assuré, sur d'au tres bases, par les postprocessualistes. On verra ensuite com m ent quelques chercheurs francophones ont entrepris d'em prunter c e tte voie postprocessuelle. On tentera enfin d e faire la part entre faux d é b a ts et vraies questions.

Le m odèle traditionnel

C om m e la différence so cio-économ ique entre mobiles e t sé d en ta ire s’ se doublait d'u n e p ro b ab le différence ethnique (colons horticulteurs d'origine proche orientale, au moins au début, et indigènes chasseurs collecteurs), l'approche traditionnelle fut en majorité diffusionniste e t m êm e migrationniste. On avait l'attention rivée sur c e tte population colonisatrice, productrice d o n c supérieure, qui semblait prendre progressivem ent possession d'un e s p a c e s a u v a g e où vivaient quelques b a n d e s d e prédateurs, som m e toute négligeables, à l'im age des infimes vestiges qu'on leur connaissait.

Le m odèle antithétique de la n e w a r c h a e o l o g y

1 ne fait aucun doute que la néolithisation a progressé lentem ent en Europe, selon un gradient sud-est / nord-ouest. La longue coexistence d e s mobiles e t des séd en ta ire s que c e tte lenteur implique rendait d 'e m b lé e p e u c o n c e v a b le le m odèle traditionnel :

• des interactions, économ iques, idéologiques, matrimoniales avaient inévitablem ent existé ; • des modifications réciproques en avaient fo rc é m e n t résulté.

La calibration des d a te s ,4C a e n c o re a c c e n tu é c e tte lenteur. Dans l'état actuel des connaissances, le néolithique le plus ancien en G rèce rem onte à la première moitié d u Vile millénaire av. J.-C., tandis que le plus ancien e n Grande-Bretagne, ou en Scandinavie, oscille autour d e 3500 av. J.-C. (sans parler, bien entendu, des prédateurs plus septentrionaux d o n t il reste encore aujourd'hui quelques survivants)

Nos collègues britanniques, à la fois plus excentrés par rapport au phénom ène, plus tôt a d a p té s aux s é q u en c e s calibrées et historiquement p eut-être plus excentriques dans leurs m odes d e pensée, ont, les premiers, réagi f a c e au m odèle traditionnel. Dans l'am biance aufochtoniste et environnementaliste d e la

new a rch a e o lo g y, Robin Dennel (1983) e t G raem e Barker (1985), élèves d'Eric Higgs à Cam bridge, ont

1 Par convention, les so c iétés m obiles se c o m p o s e n t d e b a n d e s d e chasseu rs-co liecteu rs c h a n g e a n t d e lieu d e résid en ce p e n d a n t l'an n ée, les so c ié té s séd en taires d e gro u p es d 'a g ro -p a s te u rs résidant dans un é ta b lis s e m e n t plus d u rab le; il ne s'a g it que d 'u n e sé d e n ta rité to u te relative, n 'e x c é d a n t p as vingt à c in q u a n te ans. d an s d e n o m b reu ses régions d e l'Europe.

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proposé d'expliquer la néolithisation co m m e un processus com plexe d'emprunts d 'e s p è c e s dom estiquées, mais aussi d e techniques d e dom estication d 'e s p è c e s locales, sauvages bien en ten d u (bovins, porcins, certaines légumineuses, orge, engrain).

Les rech erches ultérieures ont infirmé une partie d e ces idées (les céréales et les ovicaprinés ont bien é té importés en Europe). Toutefois certaines d e leurs critiques d e la v a g u e d e colonisation to m b aien t juste :

• la densité dém o g rap h iq u e des sédentaires n 'é ta it en effet pas très é le v é e ;

• la g ra n d e variabilité environnementale d e l'Europe avait imposé d e « réinventer », plus e x a c te m e n t d 'a d a p te r l'agriculture dans c h a q u e nouvelle niche écologique.

On peut ajouter la critique d'Evzen Neustupny (1988) selon laquelle l'idée d'une croissance d é m o g ra p h iq u e des producteurs d e nourriture, e x c é d a n t largement les effectifs clairsemés des prédateurs est très e x a g é ré e . Il rem arque en effet, à travers la littérature ethnographique, qu'une augm entation d e la population due à l'agriculture entraîne le plus souvent une dégradation des conditions sanitaires e t p a r co n séquent d e s ajustements ten d a n t à réduire les é carts dém ographiques entre les deux catégories d e sociétés.

Le relais postprocessualiste

La p ertinence d e ce s critiques a servi de tremplin pour d e s réflexions qui se situent dan s la m o u v an c e postprocessualiste. Ainsi, dans les a c te s d 'u n récent colloque (Harris 1996), les papiers qui traitent d e l'Europe reprennent l'idée d 'u n e néolithisation p ro cé d a n t d e l'adoption d e techniques d e dom estication par les prédateurs indigènes (Paul Halstead pour la Grèce, Julian Thomas pour l'Europe centrale e t nord occidentale, Marek Zvelebil pour la zone baltique e t Douglas Price pour le sud d e la Scandinavie).

À la suite d e lan Hodder (1990), ces chercheurs considèrent la néolithisation com m e un p h é n o m è n e bien plus idéologique, spirituel, q u 'économ ique, matériel ; bref, plus d e l'ordre d e la conversion q u e d e celui d e la colonisation. C om m e souvent, dans l'histoire des sciences, le retour d e balancier paraît excessif. Hodder, lui- m êm e, a plus récem m en t admis q u e l'idée d'une colonisation lente depuis le sud-est e u ro p é e n p résen te e n c o re une meilleure probabilité q u e ses concurrentes (H odder 1992).

La cohésion du systèm e éco nom ique e t culturel, qui s'étend sur une vaste partie d e l'Europe te m p é ré e humide, depuis l'Ukraine occidentale jusqu'au Bassin parisien, laisse en effet peu d e p la c e à une contribution directrice d e s chasseurs locaux. Ils ont probablem ent é té repoussés et, surtout, incorporés par les colons agriculteurs.

Un postprocessualisme à la française

C 'e st d an s la perspective postprocessuelle que s'inscrit Christian Jeunesse (1997). Il c h erch e à identifier des traditions funéraires régionales au sein du rubané occidental (céram ique linéaire), e t à montrer qu'elles ne résultent ni d e dév elo p p em en ts tardifs, ni d'appauvrissem ents périphériques. Pour lui, la variation régionale viendrait d 'u n e confrontation entre la tradition danubienne ru banée et la c o m p o san te autochtone, héritière du m o n d e d e s chasseurs. Il envisage d'ailleurs une adoption p ré c o c e d e la poterie par c e s indigènes, a v a n t m êm e l'arrivée des colons d e culture rubanée, grâce à des co n tacts plus anciens a v e c d e s com m unautés productrices d e poteries impressionnées d e la région m éditerranéenne. Il s'agit d e la céram ique « du Limbourg » e t d e celle « d e La H oguette ».

Au cours du processus d e colonisation danubienne, après un étouffem ent d e la c o m p o sa n te mésolithique locale, les traditions des chasseurs collecteurs referaient partiellement surface (et plus franchem ent au d é b u t du néolithique moyen, d é b u t du Ve millénaire av. J.-C.). C 'est précisém ent lorsque c e tte c o m p o sa n te culturelle indigène est archéologiquem ent visible, c'est-à-dire d 'u n e part lors d e l'apparition des plus anciens colons « danubiens » à céram ique ru b an é e dans une région donnée, et d'autre part à la fin d e la p é rio d e d'utilisation d e la céram ique rubanée, q u e les indices d 'é c arts sociaux dans les pratiques funéraires sont les plus a b o n d a n ts e t les plus forts.

Notre co llèg u e strasbourgeois appelle, d e la sorte, à cesser d e minimiser systém atiquem ent les a s p e c ts symboliques ou idéologiques e t d e privilégier le rôle dom inant des postulats m atérialistes; i s'agirait d e d ésenclaver la rec h e rch e — il veut sans d o u te dire décentraliser, mieux : « déparisianiser ». 1 faut savoir q u e les néolithiciens parisiens, anciens élèves d e Bohumil Soudsky, sont supposés avoir une c o n cep tio n à la fois migrcrtionniste e t marxiste caricaturale d e s sociétés sédentaires. C 'est curieusement c e tte caricature qui e st a tta q u é e par les collègues provinciaux, belges et suisses, alors q u 'à Paris même, d e s points d e vue très différents, voire contraires sur certains asp ects, sont nettem ent sensibles.

Dans c e tte veine critique, la plupart d e s efforts déployés ces dernières années ont consisté à réfuter les propositions d e Ja n Lichardus e t Marion Lichardus-fften (1987) sur l'apparition, en term es d e diffusion depuis les

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ste p p e s pontiques, d 'u n e complexité sociale m arquée. L'apparition d'im posants monuments funéraires (tumulus allongés e t m égalithes) à l'extrême ouest d e l'Europe, à p e u près en m êm e tem ps q u e les manifestations ostentatoires d'Europe sud orientale, vers 4500 av. J.-C., perm ettait d'argum enter contre tn diffusionnisme simpliste. Une é tu d e récente (Pétrequin e t al. 1997) sur les réseaux d e distribution d e longues h a c h es d 'a p p a ra t en roches alpines intégrant notam m ent les régions d e tom beaux géants, mais aussi d e s zones non encore to u c h é e s par l'agriculture, am enait les auteurs à voir une sorte d'effet d e miroir entre les manifestations ostentatoires d e pouvoir aux deux extrémités d e l'expansion du m ode d e vie sédentaire. C ette intéressante p ersp ectiv e m e semble en co re trop arc-boutée sur l'hypothèse d e l'influence step p iq u e. Un m o d èle d e ty p e auréolaire intégrant à la fois les sédentaires c e n tre européens e t les m obiles périphériques m e paraît plus en accord a v e c la docum entation connue (fig. 2).

Conclusion : faux débats et vraies questions

La longue c o ex isten ce des sociétés mobiles e t sédentaires invite à exam iner plus attentivem ent d e s interactions qui furent aussi d e c e fait plus com plexes q u e prévu. L'essai d e John Alexander (1977, 1978) allait d an s c e tte voie, c o m m e l'a judicieusement souligné Alain Gallay (1989). S'inspirant du m odèle d e la frontière am éricaine, deux c a té g o rie s d e frontières étaient distinguées : les frontières m ouvantes e t les frontières stables. Lors d e la néolithisation, les frontières des sociétés sédentaires é ta ie n t évidem m ent m ouvantes ; John A lexander reconnaît, d u ran t c e tte période, deux ph ases :

• une p h a s e A a v e c laquelle des pionniers trappeurs, d'origine sédentaire, vivent d e c h a s s e au c o n ta c t d e s indigènes, mais produisent peu d'effets sur les sociétés mobiles ;

• une p h a s e B, a v e c laquelle s'o p è re la colonisation d e fractions d e territoires indigènes, c e qui e n g e n d re des interférences grandissantes et, en définitive, une disparition d e l'ancien m o d e d e vie.

I est vrai q u e la d o cu m entation reste rare et am biguë. Pour la céram ique du Limbourg e t celle d e La Hoguette. il n'est p a s certain qu'elles aient é té fabriquées par des chasseurs collecteurs en c o n ta c t a v e c d e s sédentaires ; d'autres significations dem eurent possibles : une fonction spécifique ou bien une culture e n c o re non identifiée. De m êm e, les ressem blances c o n sta tée s entre des pointes d e flèches néolithiques e t mésolithiques pourraient n'avoir que des raisons fonctionnelles. Enfin, les outils mésolithiques découverts d a n s les établissem ents séden taires pourraient fort bien résulter d e l'intrusion d e p ièc e s plus anciennes (D ém oulé 1990).

Les d o n n é e s d e la g é n é tiq u e s'avèrent tout aussi incertaines. L'analyse multivariée d e trente-huit allèles ind ép en d an ts répartis sur 10 loci (système HLA A e t B, ABO, Rh, MN, etc.) d o n n e une ca rte d e distribution qui montre un gradient net p artant du Proche-Orient (Menozzi, Piazza, Cavalli Sforza 1978). Toutefois, trois interprétations sont possibles :

• une pression sélective différente aux deux extrémités d 'u n e m êm e population, a v e c in gradient résultant d'une activité migratoire limitée ;

• la p ré s e n c e d e deux populations distinctes juxtaposées, le gradient résultant d'un m é la n g e entre c e s deux populations ;

• un gradient résultant d'une migration récen te en p ro v en an ce du Proche-Orient.

II n'existe pas d 'a rg u m e n t décisif, mais la c o n c o rd a n c e d e c e tte carte a v e c celle d e la néolithisation confère à la troisième hypothèse une probabilité supérieure.

Ainsi, m êm e si leur visibilité archéologique est très faible e t leur signification e n c o re bien équivoque, on ne peut tout simplement plus faire com m e si des relations n'avaient pas existé, m êm e quand on ne c o n sid è re q u e les com m unautés agropastorales. Dans les vastes e sp a c e s restant, sur les m arges e t au -d e là d e s deux principaux fronts pionniers, les autochtones ont probablem ent joué m rôle majeur dans les c h a n g e m e n ts sociaux. I ne s'agit plus d e concevoir ces com m unautés com m e g a g n é e s passivem ent par les « bienfaits » du progrès économ ique. I convient d e les considérer com m e des sociétés m e n a c é e s d e fait d an s leur m o d e d e vie traditionnelle p a r des nouveautés économ iques et, par co n séq u e n t, idéologiques.

C 'est en réalité leur c o n c ep tio n m êm e du m onde qui se trouvait é b ra n lé e d e fait par c e s colons. Les interactions a v e c les horticulteurs étaient inévitables. Ils ont pourtant sélectionné les élém ents qui leur sont a p p a ru s à la fois utiles, désirables et com patibles a v e c leur culture. C e faisant, ils modifiaient p e u à p e u leur propre systèm e social, jusqu'à inventer des formes inédites, différentes d e celles des colons, c o m m e d e celles d e leur propre p assé. Une telle situation est, à l'évidence, propice aux innovations d e toutes sortes, puisque les c ad res anciens destinés à assurer la reproduction sociale ne répondent pas aux nouveaux besoins. C 'est c e q u e ch erchait à représenter l'intéressant m odèle formel d e lan Kinnes (1990) (fig. 1).

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De tels chan g em en ts sont aussi propices à la compétition entre groupes et, au sein d e c h a q u e com m unauté, entre innovateurs avides d e bénéfices sociaux. Ainsi, c e s com m unautés m arginales, e n g a g é e s d a n s une dynam ique novatrice e t compétitive produisent des m odèles susceptibles d 'ê tre a d o p té s en retour par les centres d e diffusion initiaux. Nous entrons là directem ent dans une p ro b lém atique du type centre/périphérie, notion q u e j'ab o rd e plus loin.

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Fig. 1 : L'impact de l'agriculture sur les communautés mésolithiques de l'Europe du nord-ouest le long de la "façade atlantique", selon I. Kinnes (d'après Kinnes 1990)

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Fig. 1  : L'impact de l'agriculture sur les communautés mésolithiques  de l'Europe du nord-ouest le long de la "façade atlantique", selon  I

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