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Institut d Enseignement à Distance UNIVERSITÉ PARIS 8 LICENCE 3ème année DE PSYCHOLOGIE. PROJET TUTORE de RECHERCHE en PSYCHOLOGIE

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Institut d’Enseignement à Distance UNIVERSITÉ PARIS 8

LICENCE 3ème année DE PSYCHOLOGIE

PROJET TUTORE de RECHERCHE en PSYCHOLOGIE

L'impact du numérique sur les processus sociocognitifs

Comment les thérapeutes accueillent et intègrent les technologies numériques dans leur pratique en psychothérapie? Représentations,

opinions et avis.

Année Universitaire 2016 / 2017

Enseignant : Jean-Marc Meunier

Nelly OLIVIER N° d'étudiant : 243778

(2)

Index...p2

Introduction...p3

I- La présentation de la problématique...p3 I-1- État de la question ...p3 I- 2 -Question de recherche...p4 I- 3 – Hypothèses...p5

II – La méthode ...p5 II- 1 Le questionnaire...p5 II- 2 Le public cible...p6

III – Les résultats ...p6

IV - La discussion...p8

Conclusion...p9

Annexes ...p10

Bibliographie...p19 Autorisation de publication...p19

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Les outils numériques se sont installés peu à peu dans la vie quotidienne des individus, notamment dans les pratiques d'apprentissages, au niveau de l'accès au savoir et dans les processus sociocognitifs engendrés. Actuellement au niveau du soin psychothérapeutique en France, les outils numériques ne s’intègrent que partiellement aux pratiques des psychologues indiquent Aboujaouade, E, Weal Salame, Lama Naim (2015). Pourtant en suivant les transformations et l'évolution sociétale (Nic Ulmi, 2015) ces outils pourraient prendre une place de plus en plus grande dans les suivis psychothérapeutiques. Est-ce que les psychothérapeutes actuels utilisent des outils numériques (de la vie quotidienne ou des logiciels créés dans un but thérapeutique) dans leur suivi psychothérapeutique ? Quel est leurs avis vis-à-vis de ces techniques numériques utilisées dans le cadre de leur travail de soin ? Comment voient-ils dans l'avenir l'évolution et l'intégration du numérique dans leurs pratique?

Nous pourrons ainsi, à travers l'avis des psychologues cliniciens, aborder le thème de l'impact du numérique sur les processus sociocognitifs en situation de relations interpersonnelles dans l'alliance thérapeutique lors de psychothérapies menées à travers divers processus de technologies numériques. De même les axes transversaux du rapport au travail et à l’étique seront succinctement abordés.

I - Présentation de la problématique

1- État de la question

Le premier postula au niveau d'une psychothérapie est la relation du thérapeute avec son patient. Dans ce cadre il semble malvenu de remplacer celui-ci ou de lui ajouter un système informatique. En comparaison avec une thérapie en présentielle classique, la première utilisation du numérique vient sur la possibilité d'utilisation d'une thérapie à distance. Comme l'explique Bergström,J (2013), les logiciels de type Skype permettent ainsi une transmission de la voix et de l'image afin de conserver des «rencontres» et garder le lien relationnel patient thérapeute. De même l'e-thérapie (c'est à dire d'une thérapie par e-mail), une méthode de thérapie non synchrone, est une des possibilité de thérapie via le numérique. La question de la transformation de la relation que cela induit tant au niveau interpersonnel (vidéo du patient chez lui, dans son environnement, patient dans une posture différente) qu'étique (notamment au niveau de la dimension intrusive plus marquée) peut se poser. Dans ces deux cas l'utilisation du système numérique est un

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simple outil pour reproduire la situation thérapeutique, mais produisent des situations

nouvelles dans la relation.

D'autres cas apparaissent dans la thérapie numérique. Des 1966 des Logiciels de thérapie par ordinateur voient le jour, avec ou sans contact avec un thérapeute, notamment pour des thérapies axées sur le courant comportementalisme et sur les troubles anxieux, phobies ou dépression. Actuellement les immersions 3D nommé VRET (Traitement d'Exposition de Réalité Virtuelle) se développent depuis 1992 pour ces troubles, et ont un essor plus grand dernièrement grâce aux avancées techniques sur l’interactivité, le réalisme et les capteurs de mouvements (Bergström, J, 2013) .

De même la mthérapie ou «thérapie mobile» fait référence aux applications mobiles dédiées aux smartphones. Ils aident au diagnostic ou proposent un rappels de tâches pour un suivi régulier par le contrôle du patient lui-même sur son état et l’évolution de ses troubles. La question de la validité de ces applications restent à démontrer allant du coaching à l'hypnose en passant par des techniques de relaxation et de yoga.

Il existe aussi les instruments de mesure par logiciel qui permettent aux patients de voir eux-mêmes leur activité psychophysiologique en temps réel grâce à des capteurs et d'observer sur écran les résultats de leurs exercices mentaux sur leur état émotionnel afin de pouvoir mieux ressentir, connaître et contrôler leur corps.

Enfin dans le cadre des psychothérapies adressées aux enfants l'utilisation du numérique à travers les jeux vidéos comme outil dans la thérapie sont équivalents à des jouets ou du papier pour dessiner utilisés dans les psychothérapies d'enfants, et peut se pratiquer comme le montre Benoît Virole (2013) notamment dans certains traitements de pathologies comme l'autisme.

I-2 -Question de recherche

Ne pouvant pas expérimenter dans le cadre de cette étude une de ces différentes techniques numériques afin de valider ou non sa réussite nous avons choisi d'enquêter sur les représentations que les thérapeutes ont de ces nouvelles techniques dans leur métier.

Les thérapeutes utilisent-ils des outils numériques dans leur pratique psychothérapeutique, et quelles sont leurs représentations, opinions et avis sur ces techniques ?

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I-3 - Hypothèses

Hypothèse générale : Les variables d’âge, d’utilisation personnelle des outils numériques et d’orientation psychothérapeutique devraient influencer des réponses des participants.

Hypothèses spécifiques :

1 - Les praticiens se déclarant d’une orientation psychanalytique devraient être moins utilisateurs et avoir plus peur des pratiques de psychothérapeutiques numériques (les autres orientations devraient être plus utilisatrices notamment plus particulièrement pour

certaines pathologie.)

2 - Les praticiens plus jeunes devraient être personnellement habitués aux nouvelles technologies , les inclure dans leur pratique psychothérapeutique et ainsi en avoir moins peur.

II - La méthode

Une enquête d'une quinzaine de questions a été élaborée en utilisant un questionnaire en ligne EvalAndGo avec un compte étudiant permettant d'avoir accès à de nombreuses fonctionnalités. Les réponses sont recueillies de manière anonymes et un formulaire de consentement est inséré au début du questionnaire.

II- 1 Le questionnaire

Le questionnaire est composé de 17 questions, voir annexe 1. Les questions importantes que nous traiteront dans cette recherche sont les questions 1, 2, 3, 9 et 11 qui permettent de savoir si les praticiens ont déjà entendu parlé des techniques numériques en psychothérapie, de connaître leur degré d'utilisation des outils numériques dans leur vie quotidienne ainsi que leur utilisation des outils numériques en psychothérapie. Enfin cela nous permet de savoir si ces pratiques leurs font peur et à quelle fréquence ils seraient prêts à les utiliser dans un suivi psychothérapeutique.

• Passation

Une première discussion préliminaire avec une psychologue et un premier questionnaire à été élaboré et testé par quatre participants dont deux psychologues. Après réajustement de certaines questions, l'adresse internet du questionnaire a été fournie aux psychologues de mon lieu de stage, de mon entourage, de ma famille, amis et collègues et aux contacts trouvés sur Internet et sur Facebook qui l'ont diffusée à leur réseau.

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II- 2 Le public cible

Ce sont des praticiens psychothérapeutes exerçant en France qui ont été conviés à répondre à ce questionnaire.

Description de l'échantillon

Le questionnaire a reçu 16 réponses. Deux répondants n'ont rempli que les deux premières questions n'ont pas été inclus dans les résultats. Nos résultats se fondent donc sur les réponses de 14 participants composés de 12 femmes et de 2 hommes.

* Ages – Graphique complet en annexe 2.

Plus de la moitié des répondants, 64%, se situe entre 31 ans et 50 ans, avec un groupe majoritaire représenté des 41-50 ans. Le groupe des 23-30 et des 61-70 ans est représenté à part égale avec 14% chaque. Aucun répondant n'était âgé de plus de 70 ans.

*Orientation psychothérapeutique - Graphique complet en annexe 3.

La question sur l’orientation des psychologues était une question ouverte. Cinq groupes différents se sont dessinés. La grande majorité se définit d’inspiration psychanalytique avec une démarche intégrative s'enrichissant de différents courants et techniques (psychodynamique, thérapie analytique comportementale, thérapie familiale et systémique, humaniste). Deux praticiens se placent dans un courant de psychothérapie intégrative mais ne nomment pas la psychanalyse dans leur orientation. Enfin deux se définissent d'orientation comportementale, et les deux restant pratiquent l'EMDR1 pour l'un et l'énergétique pour l'autre.

*Région - Graphique complet en annexe 4.

III - Les résultats

• Question 1 : la majorité (71%) des répondants a déjà entendu parlé de certaines techniques numériques utilisées en soins psychothérapeutique, voir tableau récapitulatif complet en annexe 6.

Seuls les psychologues plus jeunes entre 23 et 30 ans et ceux âgés de 41 à 50 ans ainsi que les psychothérapeutes d'orientation psychanalytique (60%) sont en deçà de ce pourcentage puisqu'ils sont respectivement à 50% et 60% a à déjà avoir entendu parlé de ces pratiques.

1 Eye Movement Desensitization and Reprocessing

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Les psychothérapeutes d'orientation intégrative, EMDR et énergétique ont tous déjà entendu parlé de l'utilisation des outils numériques en psychothérapie.

• Question 2: L'échantillon à un haut degré d'utilisation numérique dont la médiane se situe à 8 sur 10 à la question 2 du questionnaire, voir annexe 7.

Les tranches d'âge de 23 à 30 ans ont une médiane à 9 dépassant la médiane de l'échantillon, les tranches d'âge de 31 à 40 ans sont à 7,5 de médiane et la tranche d'âge de 51 à 60 ans à 8 de médiane. Les autres tranche d'âge (41 a 50 ans et 61 à 70 ans) sont à 6 de médiane donc en dessous de la médiane de l'échantillon.

Les psychothérapeutes d'orientation psychanalytique et le psychologue énergétique sont en dessous de la médiane générale puisqu'ils sont à 6,5 et 6 de médiane. Les psychothérapeutes d'orientation intégrative et comportementale sont dans la même médiane que l'échantillon, à 8, et le psychothérapeute en technique EMDR est à 10 de médiane.

• Question 3: La moitié (50%) des répondants a déjà utilisé des outils numériques au cours d'un suivi psychothérapeutique, voir annexe 8.

Les psychothérapeutes âgés de 23 à 30 n'ont jamais utilisé de techniques incluant les outils numériques, alors que 75% de ceux âgés de 31 à 40 ans en ont déjà utilisés. Deux répondants de 51 à 60 et 61 à 70 ans ont déjà utilisé ces techniques.

Les psychothérapeutes d'orientation comportementale ont tous déjà utilisé une technique incluant des outils numériques. Les psychothérapeutes d'orientation psychanalytique ou intégrative sont dans la moyenne avec pour la moitié déjà utilisé ces outils. Les deux répondants d'orientation EMDR et énergétique n'ont pour leur part jamais utilisé ces outils.

• Question 9: l 'utilisation d'outils numériques ne fait peur qu'a une minorité de 35% des psychothérapeutes de l'échantillon, voir annexe 9.

Néanmoins les plus jeunes entre 23 et 30 ans ainsi que la tranche d'âge plus âgée de 61 à 70 ans sont au dessus des 35% avec 50% de crainte vis à vis de ces outils.

De même 50 % des psychothérapeutes d'orientation psychanalytique et le psychologue énergétique ont peur de l'utilisation des outils numériques en psychothérapie. Les autres disent ne sont pas être effrayés par ces pratiques.

• Question 11: les praticiens ont une médiane à 5,5 sur 10 en ce qui concerne leur envie d'utiliser régulièrement les outils numériques dans leur pratique.

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La tranche d'âge des 23-30 ans et le praticien de 51 à 60 ans sont au dessus de cette médiane avec une médiane à 8 sur 10. Les autres tranches d'âge sont à 4 sur 10 de médiane pour les 41 à 50 ans et exactement dans la médiane à 5,5 pour les 31 à 40 ans et 61 à 70 ans.

Les psychothérapeutes d'orientation psychanalytique saont également à 5,5 de médiane, comme l'échantillon, mais ceux d'orientation comportementale sont au dessus à 6,5 de médiane, ceux d'orientation intégrative à 7,5, et le thérapeute EMDR à 10.

IV- La discussion

Selon l'hypothèse n°1 nous remarquons effectivement que les psychothérapeutes d'orientation psychanalytique sont plus réticents à l'utilisation des outils numériques : ils en ont moins entendu parlé que la majorité de l'échantillon (60% contre 71%), l'utilisent moins dans leur vie personnelle (médiane à 6,5 contre 8 pour l'échantillon) et ils ont plus peur de l'utilisation de ces technologies pour 50% contre 35% de l'échantillon. De même si les psychothérapeutes d'orientation EMDR, comportementale et intégrative sont désireux d'utiliser plus ces techniques (ils sont tous au dessus de la médiane à 5,5), les psychothérapeutes d'orientation psychanalytique ne sont qu'à tout juste 5,5 de médiane.

Néanmoins malgré cette réticence 50% disent avoir déjà utilisé ces techniques (comme 50% de l'échantillon), il serait donc opportun de détailler les outils numériques utilisés et les conditions dans lesquels ils ont été utilisés. Les questions ouvertes n°4, 5, 6, 7, 8, 10 du questionnaire pourraient apporter des réponses à ce sujet.

En regard de l'hypothèse n°2 nous remarquons que si les praticiens plus jeunes ont effectivement une plus grande habitude des nouvelles technologies avec une médiane à 9 dépassant la médiane de 8 de l'échantillon et une envie d'utilisation de ces outils en psychothérapie dans une proportion de médiane 8 contre 5,5 sur l'échantillon, ils sont néanmoins moins à avoir été au courant de des techniques que l’échantillon (60% contre 71% de échantillon), et n'ont jamais utilisé ce type de thérapie (contre 50% de l'échantillon). Par ailleurs ils sont plus nombreux à avoir peur de ces outils dans le cadre de psychothérapie à 50% contre 35% des individus de l'échantillon. Les résultats montrent que les jeunes psychothérapeutes manquent encore d’assurance quant à leur pratique psychothérapeutique. Il pourrait être envisagé de demander en plus de l'âge des

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participants, des précisions sur le nombre d'années d'expérience en psychothérapie pour affiner la recherche. Par ailleurs les réponses aux questions ouvertes n°4, 5, 6, 7, 8, 10 pourraient apporter des réponses à ce sujet.

Les hypothèses ne sont donc validées que partiellement.

L'étude montre que les psychotherapeutes sont pour la majorité, quelle que soit leur orientation psychothérapeutique ou leur âge, sensible à l'évolution sociétale et s’intéressent aux nouvelles technologies. Les questions ouvertes non traitées dans cette recherche montrent que les psychologues cliniciens sont néanmoins conscients des changements sociocognitif que l'utilisation des outils numériques en consultation peut engendrer chez leurs patients, ainsi que des mutations inter-relationnelles dans le dispositif d'alliance thérapeutique que ces pratiques induisent. Il serait intéressant de pouvoir continuer l’étude sur des groupes plus précis en détaillant chaque procédés numérique utilisé.

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ANNEXES

Annexe 1 - Questionnaire complet

Dans le cadre de ma 3eme année de Licence de psychologie à l'IED de l'Université de Paris 8 j'effectue mon projet de recherche sur les outils numériques et le suivi psychothérapeutique. L'objectif de cette recherche est de connaître l'avis des psychothérapeutes (plus particulièrement en France) sur ces pratiques, leur implication et leur utilisation actuelle. Je sollicite les réponses des praticiens psychologues cliniciens et psychothérapeutes qui suivent des patients pour diverses pathologies psychiques. Ce questionnaire en ligne ne dure qu'une dizaine de minutes. Il est anonyme et les réponses seront recueillies du 22 mars au 22 avril 2017.

Formulaire de consentement libre et éclairé.

En répondant librement à ce questionnaire je certifie que je donne mon accord pour participer à une étude sur les représentations et comportements de psychologie cognitive sur les outils numériques en psychothérapie.

C'est de mon plein gré que j'accepte de participer à cette étude. Je comprends que ma participation n'est pas obligatoire et que je peux l'arrêter sans avoir à me justifier ni encourir aucune responsabilité.

Je consens que soient recueillies mes réponses aux questions posées en vue d'établir des statistiques. J’accepte que les données enregistrées soient conservées dans une base de données et fassent l’objet d’un traitement informatisé non nominatif. Je comprends que les informations resteront strictement confidentielles et à usage exclusif des investigateurs concernés, uniquement dans le cadre de cette recherche.

J’ai été informé que mon identité n’apparaîtra dans aucun rapport ou publication et que toute information me concernant sera traitée de façon anonyme.

* 1 - De nos jours les nouvelles technologies et les outils numériques font de plus en plus partie de la vie quotidienne des individus. Ces pratiques s'insèrent

également peu à peu dans la sphère de la psychologie et s'intègrent aux soins psychothérapeutiques.

En pratique déjà des psychothérapeutes proposent des suivis à travers l'échanges de mails ou en visio-conférence en suivant l'évolution des transformations sociétales.

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Certains pays comme la Grande-Bretagne, les Pays-bas, la Suède, l'Australie, les Etats-Unis utilisent des programmes informatiques de traitement

psychothérapeutiques (communément appelés Self-Help) qui suivent le patient.

Couplés à des retours du psychothérapeute les études montrent des soins aussi efficaces que des thérapies traditionnelles (Bergström, 2013).

Dans le même temps nombres d'applications de téléphone mobile se

développent dans le suivi quotidien des maladies et des maladies mentales.

Enfin en France selon les pathologies (plus particulièrement sur les phobies) et le type de suivi psychothérapique des logiciels d'immersion 3D sont expérimentées depuis plus d'une dizaine d'années.

Avez-vous déjà entendu parler de ce type de pratiques dans le monde ?

Avez-vous déjà entendu parlé de ces pratiques dans le monde?

 Oui

 Non

* 2 - Actuellement dans votre vie comment qualifieriez vous votre utilisation personnelle des nouvelles technologies numériques ?

Les participants doivent cocher un dégré entre 1 et 10 sur une échelle de likert, allant de 1 «Je n'aime pas et n'utilise pas » à 10 « J'aime beaucoup et utilise »

*

3- Avez vous déjà utilisé les nouvelles technologies dans un suivi psychothérapeutique ? (en dehors d'une simple prise de rdv par e-mail).

 Oui

 Non

4 - Quel(s) type(s) d'outil(s) avez-vous utilisés ?

 Echanges par e-mails

 Echanges par SMS

 Entretien via système vidéo (ex: Skype)

 Utilisation de tablette tactile pour jeux ou tests

 Utilisation d'un écran d'ordinateur pour jeux ou tests

 Utilisation d'une application ou logiciel thérapeutique de Self-Help

 Aucun

 Autre, précisez :

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5 - Pour quelle(s) raison(s) avez-vous utilisé un ou des dispositifs numériques?

(Merci de préciser pour chaque type d'outil numérique la raison de l'utilisation. Ex : "Skype : le patient habitait loin")

6 - Quelles observations avez-vous remarquées au niveau de la qualité de la relation, du suivi, du rythme par exemple ? (Merci de préciser pour chaque type d'outil numérique utilisé l'observation notée . Ex : "Skype : meilleur suivi des séances programmées" )

7 - Selon vous quels avantages peuvent apporter ces nouvelles technologies à la prise en charge psychothérapique ?

 Rapidité

 Meilleur suivi

 Meilleure adaptation vis à vis de certaines pathologies (autisme, phobies...)

 Autre :

8 - Selon vous quels inconvénients peuvent apporter ces nouvelles technologies à la prise en charge psychothérapeutique ?

 Perte relationnelle

 Utilisation d'outils non validés scientifiquement

 Autre :

* 9 - L'utilisation des nouvelles technologies dans le soin psychothérapeutique vous fait-elle peur ?

 Oui

 Non

 Pourquoi ?

10 - A votre avis comment l'utilisation des nouvelles technologies numériques peuvent-elles être accueillies par vos patients ? Vous pouvez détailler votre réponse en fonction des pathologies ou divers autres facteurs.

11 - A quelle fréquence seriez-vous prêt à commencer à intégrer les technologies numériques présentées ou à utiliser encore plus celles que vous utilisez? Le candidat est invité à cocher une note entre 1 « Non jamais » et 10 « Oui très

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souvent ».

12 -Etes-vous

 Un homme

 Une femme

13 - Quel est votre âge ?

 23-30 ans

 31-40 ans

 41-50 ans

 50-60 ans

 60-70 ans

 + de 70 ans

14 - Quel(s) est (sont) votre (vos) département(s) géographique de travail ?

15 - Quels sont les départements géographiques d'origine de vos patients?

16 - Merci de préciser votre orientation psychothérapeutique

17 - Merci à vous pour vos réponses ! Ce questionnaire est anonyme mais vous pouvez me laisser votre e-mail ci-dessous si vous souhaitez connaître les résultats de la recherche. Vous pouvez également laisser un commentaire ou des précisions . Voici mon e-mail si vous voulez me contacter :

nelly.plateau@gmail.com

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Echantillon Annexe 2 – Âge

Annexe 3– Orientation psychothérapeutique

Annexe 4– Régions

Comportementale Intégrative

Inspiration psychanalytique et intégrativeEMDR

Energétique 01

23 45 6 78 9

Nombre de participants classés par type d'orientation psychothérapeutique

Alpes Maritimes Alsace Ile-de-France Pays-de-la-Loire Rhône-Alpes

0 1 2 3 4 5 6 7

Nombre de participants classés par région

23-30 ans 31-40 ans 41-50 ans 51-60 ans 61-70 ans plus de 70 ans 0

1 2 3 4 5 6

Nombre de participants classés par âges

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Annexe 5

Tableau récapitulatif des réponses questions principales:

Répondant N° Age Région Sexe Orientation Q1 Q2 Q3 Q9 Q11

1 41-50 Ile-de-France F psychanalytique OUI 9 OUI NON 7

2 41-50 Ile-de-France H psychanalytique OUI 1 NON OUI 3

3 60-70 Alsace F psychanalytique OUI 4 NON OUI 3

4 50-60 Alsace F comportementale OUI 8 OUI NON 8

5 31-40 Ile-de-France F OUI 7 OUI NON 5

6 41-50 Alsace F psychanalytique NON 5 NON NON 5

7 41-50 Alsace F psychanalytique NON 8 OUI NON 4

8 31-40 Ile-de-France F psychanalytique intégrativeOUI 6 OUI OUI 6

9 31-40 Ile-de-France F intégrative OUI 8 NON NON 7

10 23-30 Paca F EMDR OUI 10 NON NON 10

11 60-70 Ile-de-France H intégrative OUI 8 OUI NON 8

12 41-50 Pays-de-la-Loire F psycho energetique OUI 6 NON OUI 3

13 23-30 Paca F psychanalytique NON 8 NON OUI 6

14 31-40 Rhone-Alpes F comportementale NON 8 OUI NON 5

OUI 71,42% 6,857 OUI 50% OUI 35,71% 5,7143 psychanalytique

intégrative

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Annexe 6

Question 1: Avez-vous déjà entendu parlé de certaines techniques numériques ?

Comportementale Intégrative Psychanalytique EMDR Psychologie energetique 0

20 40 60 80 100 120

Pourcentage des parti- cicpants ayant déjà entendu parlé des techniques numériques pour le suivi psycho- thérapeutique classé selon leur orientation.

OUI NON

0 10 20 30 40 50 60 70 80

Avez-vous déjà entendu parlé des outils numé- riques utilisés en psy- chothérapie ?

23-30 ans 31-40 ans 41-50 ans 51-60 ans 61-70 ans 0

20 40 60 80 100 120

Pourcentage des partici- pants ayant déjà entendu parlé des techniques numériques pour le suivi psychothérapeutique classé selon leur âge.

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Annexe 7

Question 3: Avez-vous déjà utilisé des outils numériques en psychothérapie ?

Comportementale Intégrative

Inspiration psychanalytiqueEMDR

Psychologie énergétique 0

20 40 60 80 100 120

Pourcentage des parti- cipants ayant déjà uti- lisé des techniques numériques pour le suivi psychothérapeu- tique classé selon leur orientation.

OUI NON

0 10 20 30 40 50 60

Avez-vous déjà utilisé des outils numériques uti- lisés en psychothérapie ?

23-30 ans 31-40 ans 41-50 ans 51-60 ans 61-70 ans 0

20 40 60 80 100 120

Pourcentage des participants ayant déjà utilisé des tech- niques numériques pour le suivi psychothérapeutique classé se- lon leur âge.

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Annexe 8

Question 9: l'utilisation des outils numériques en soin psychothérapeutique vous fait-elle peur ?

ComportementaleIntégrative

Inspiration psychanalytiqueEMDR

Energétique 0

20 40 60 80 100 120

Pourcentage des partici- pants ayant peur de l'utilisa- tion des outils numériques pour le suivi psychothéra- peutique classé selon leur orientation.

OUI NON

0 10 20 30 40 50 60 70

L'utilisation des outils numé- riques en psychothérapie vous fait-elle peur ?

23-30 ans 31-40 ans 41-50 ans 51-60 ans 61-70 ans 0

10 20 30 40 50 60

Pourcentage des participants ayant peur de l'utilisation des ou- tils numériques pour le suivi psychothérapeutique classé se- lon leur âge.

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Bibliographie

– Aboujaouade E, Salame, Naim, L. (2015, juin) Telemental health: a status update dans World Psychiatrie ; 14(2):223-30

– Bergström,J. (2013) Les nouvelles thérapies par Internet dans B.

Brossard, D. Gerber, C. Méadel, (dir.), Des troubles en ligne - Les recompositions des enjeux de «santé mentale» sur Internet.

– De Singly, F. (2001) L'enquête et ses méthodes : le questionnaire, Paris, Nathan Université.

– Junier, H. (2015) Les psychologues du futur dans Qui sont vraiment les psychologues. Le Cercle Psy. Hors série N°2.

– Ulmi, N. (2015, novembre) Cybernétique : un psy pour les digiborigènes.

Dans letemps.ch

– Virole, B. (2016, Avril) De la réalité virtuelle à la réalité psychique. Douze faits d’observation. http://virole.pagesperso-orange.fr/RealPsy.pdf

– Virole, B. (2013, Mars) La technique des jeux vidéo en psychothérapie.

http://virole.pagesperso-orange.fr/empa.pdf

Autorisation de publication sur la base de données bibliographiques de l’EC :

 Oui  Non

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