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COMPOSITION DE SCIENCES DE L INGENIEUR (DS1)

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Academic year: 2022

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AUCUN DOCUMENT N’EST AUTORISE INSTRUMENT DE CALCUL AUTORISE

Consignes :

Il est fortement conseillé de lire la totalité du sujet avant de démarrer votre travail.

L’utilisation du crayon papier est interdite sur la copie.

La rédaction des réponses sera la plus concise possible : on évitera de trop longs développements de calculs en laissant subsister les articulations du raisonnement.

Chaque réponse ne pourra se limiter à une suite d’expressions mathématiques ou françaises sans justification.

On encadrera obligatoirement les résultats.

Le non-respect de ces consignes entraînera des points de pénalisation.

N.B. : le candidat attachera la plus grande importance à la clarté, à la précision et à la concision de la rédaction.

Si un candidat est amené à repérer ce qui peut lui sembler être une erreur d’énoncé, il le signalera sur sa copie et devra poursuivre sa composition en expliquant les raisons des initiatives qu’il a été amené à prendre.

COMPOSITION DE SCIENCES DE L’INGENIEUR (DS1)

Evaluation des cycles :

Cy1 : Réaliser l'analyse fonctionnelle et structurelle des systèmes asservis

Cy2 : Déterminer les lois de pilotage en mouvement (début du cours) Support :

Système Autofocus d’appareil photo numérique

(2)

Contexte

L’autofocus (AF) est le terme anglais pour désigner la mise au point automatique. C’est une fonction qui permet la mise au point automatique de certains systèmes optiques, comme les appareils photo, leur permettant de régler la netteté du sujet. Cette mise au point est réalisée grâce à l’association d’un boitier et d’un objectif photographiques.

Boitier objectif boitier + objectif

Figure 1 Boitier et objectif photographiques

Le principe consiste à déplacer une lentille afin que les rayons de l’image à photographier convergent sur le capteur. Si ce n’est pas le cas, l’image sera floue. Sur la figure 2, la lentille est bien positionnée uniquement sur le schéma du milieu : les rayons convergent parfaitement sur le capteur.

Figure 2 : Principe de la mise au point (source : http://www.pierretoscani.com/autofocus.html)

La qualité de la mise au point dépend de plusieurs facteurs techniques et logiciels. Dans ce sujet, seules les exigences relatives au déplacement de la lentille mobile seront étudiées.

Mise en situation

La cinématique globale du mouvement de la lentille est donnée par l’architecture représentée Figure 3 (dans un mois vous saurez lire parfaitement ce type de schéma).

L’architecture détaillée est donnée en Figure 4 (ne cherchez pas à la comprendre mais essayez de repérer plutôt la position des composants). La modélisation acausale (nous verrons la définition plus tard) correspondante de l’objectif photographique est donnée Figure 5. La représentation graphique de cette modélisation reflète assez bien les informations que l’on peut s’attendre à trouver dans un diagramme IDD.

(3)

Figure 3 Architecture du dispositif de déplacement de la lentille

Lentille mobile, course totale = 6 mm

Figure 4 : Schéma cinématique du mécanisme de déplacement de la lentille 𝑍⃗0

𝑋⃗0

Poulies-courroie

2ème Train d’engrenages

Vis-écrou

Codeur incrémental

1er Train d’engrenages Liaison pivot

d’axe C, Z0

Liaison glissière d’axe F, Z0

Liaison pivot d’axe E, Z0

Liaison hélicoïdale d’axe B, Z0

Nombre de dents des pignons et roues du 1ertrain d’engrenage

Diamètres respectifs des poulies

Nombre de dents des pignons et roues du 2èmetrain d’engrenage

(4)

Figure 5 : Architecture du dispositif de déplacement de la lentille

Extrait du cahier des charges

Figure 6 Exigences extraites du cahier des charges

Objectif final

Le sujet a pour but de modéliser, analyser et améliorer les performances de l’objectif photographique. Pour cela, il comporte trois parties avec comme buts :

— valider la communication entre le boitier et l’objectif photographique permettant la mise au point et déterminer la consigne qui doit être envoyée par le boitier — il est question de valider le temps de communication qui doit être négligeable devant la dynamique du système ;

— modéliser la structure permettant d’« assurer le mouvement de l’optique »;

— Vérifier que le correcteur PID permettant de « gérer le mouvement de l’optique » respecte le cahier des charges.

I Mouvement de l’objectif photographique Objectif

Analyser le besoin du client, Valider la chaîne de puissance utilisée dans l’objectif photographique en termes de puissance, de composants et de technologie afin qu’il réponde aux exigences de la mise au point. Déterminer la chaîne fonctionnelle de l’asservissement en position de la lentille et la performance de l’asservissement.

(5)

Analyse du besoin client

Question 1. Si le besoin du client s’avère être principalement la possibilité de réaliser une mise au point automatique dans n’importe quelle situation, avec des temps de réponse extrêmement rapides, à l’aide du diagramme des exigences rajouter trois fonctionnalités supplémentaires, nécessaires à la mise au point automatique, dans le diagramme des cas d’utilisation représenté ci-dessous. Répondre sur le document réponse DR1

Principe de fonctionnement du système.

Dès que l’utilisateur veut prendre une photo avec son appareil numérique, il exerce sur le bouton déclencheur une légère pression sans aller jusqu’au fond, ce qui a pour conséquence d’envoyer au microcontrôleur une consigne de réaliser la mise au point en automatique. Le microcontrôleur, informe l’utilisateur de la fin de l’autofocus par un signal sonore ainsi qu’un effet visuel dans le viseur (carrés dessinés dans différentes zones) ce qui permet alors à l’utilisateur de décider de réaliser la photographie en envoyant l’ordre au boitier d’ouvrir l’obturateur avec les paramètres de vitesse, et de durée prédéfinis par l’utilisateur (mode manuel) ou réglés par l’appareil (mode automatique). Nous n’étudierons pas la chaîne fonctionnelle de la fonction gérer l’obturateur qui n’entre pas dans la frontière de cette étude.

Quand l’ordre du microcontrôleur de lancer l’autofocus est communiqué à la chaine de puissance, c’est le pré- actionneur qui le reçoit en premier, il distribue alors la puissance au Moteur à courant continu. A la sortie de l’actionneur, la puissance est transmise à l’effecteur après être passée dans trois transmetteurs différents représentés dans la Figure 4, trois sous-systèmes dont un Train d’engrenage, un système Poulie-courroie, et un système Vis-écrou.

Question 2. Donner la Matière d’œuvre de ce système et sa valeur ajoutée et préciser l’effecteur qui permet de lui apporter cette valeur ajoutée. Mettre à jour ces informations dans le schéma de la Chaîne fonctionnelle du document réponse DR3.

Question 3. Rajouter dans le DR3, les noms des transmetteurs en respectant l’ordre d’apparition de la figure 4. Il est possible de rassembler les deux trains d’engrenage en un seul.

Question 4. Toujours dans le DR3, Compléter les fonctions manquantes ainsi que les noms des composants de la chaîne de puissance.

Question 5. Indiquer sur votre copie le type de puissance qui transite dans le système dans les zones 1, 2, 3, 4, 5 et 6

Bouton Déclencheur

(6)

D’après le schéma de la figure 5, nous constatons que les ingénieurs ont réalisé une modélisation multiphysiques du système, et nous remarquons à la sortie de la partie du Moteur à courant continue, un bloc appelé « Frottement », puis des blocs « Poulie-émettrice » et « Poulie réceptrice ».

Question 6. Donner des raisons physiques, en le justifiant, d’avoir intégré un bloc Frottement.

Dans tout système, existent des phénomènes de frottement qui entrainent des pertes de puissance par chaleur qu’il faut d’une manière ou d’une autre modéliser car ne pas en tenir compte c’est prendre le risque de surestimer la puissance fournie au final à la l’effecteur.

Question 7. Expliciter une raison de ne pas avoir un bloc simplement Poulie-courroie.

Un bloc poulie courroie n’existe peut-être pas en ces termes donc en associant deux transmetteurs qui adaptent la puissance mécanique en la transmettant à la vis est une manière de résoudre le problème.

Question 8. Dans la modélisation acausale Figure 5, le transmetteur Vis-écrou n’a pas été mentionné sous ses termes. Donner le nom exact mentionné. Donner une raison qui expliquerait pourquoi le choix de cette modélisation.

Pour modéliser le passage de la puissance mécanique de rotation en puissance mécanique de translation ils ont utilisé un bloc poulie courroie qui modélise parfaitement le transmetteur Vis-écrou. Le bloc Rot/trans est une inertie que la rotation doit supporter quand elle transmet le mouvement de translation à l’optique.

Le pilotage de l’autofocus est réalisé grâce à un codeur incrémental qui, en sortie du système poulie-courroie, renvoie une image digitale de la vitesse angulaire de la poulie réceptrice, ainsi que par un codeur linéaire qui, en sortie de l’effecteur, renvoie l’image digitale de la position de la lentille. La consigne de l’utilisateur est réalisée par la pression du doigt sur le déclencheur qui est un potentiomètre linéaire analogique et qui donc permet de préciser au micro-contrôleur si l’utilisateur exerce une action pour lancer l’autofocus ou une action pour déclencher la réalisation de la photo.

Question 9. Rajouter dans la Chaine d’informations, la (les) fonction(s) qui va(ont) transformer ces informations en données pour le micro-contrôleur ainsi que celles qui vont permettre de renvoyer les informations au travers de l’interface Machine Homme à l’utilisateur et les ordres au pré-actionneur.

Préciser dans le DR3, en plus des fonctions, le type de données échangées et préciser les noms des composants en dessous qui assurent ces fonctions.

II Communication entre le boitier et l’objectif photographique Objectif

Valider la chaîne d’information utilisée entre le boitier et l’objectif photographique en termes de flux d’information, de débit de transmission et de résolution de codage afin qu’il réponde aux exigences de la mise au point. Déterminer la consigne qui doit être envoyée en entrée de l’asservissement en position de la lentille.

La mise au point résulte de l’interaction entre le boitier où se situe tout le traitement de numérisation de l’image (capteur CCD et programme de mise au point) et l’objectif photographique qui permet de mouvoir la lentille.

Afin de réaliser correctement cette mise au point, il est nécessaire que l’objectif photographique puisse communiquer avec tous les boitiers compatibles en répondant aux exigences suivantes.

Exigence Critère d’appréciation Niveau

Id = « 1.1 » Communiquer avec le boitier Temps de transmission d’un échange entre l’objectif

photographique et le boitier < 0,5 ms

Résolution de codage 50 µm

(7)

Lorsque l’utilisateur appuie sur le déclencheur, l’objectif photographique entre dans une phase d’initialisation

<100 µm durant laquelle la lentille mobile (figure 4) se déplace de la mise au point minimale à la mise au point infinie, ce qui correspond à sa course totale.

L’objectif photographique est équipé de deux capteurs permettant de mesurer le déplacement de la lentille :

• le codeur absolu linéaire 4 bits (16 valeurs codables), situé au niveau de la lentille mobile, permettant de connaitre la position de la lentille mobile selon la direction 𝑍⃗0de la figure 4 ;

Pour obtenir une zone de mise au point la plus nette possible, il est nécessaire que la résolution au niveau du positionnement de la lentille mobile soit inférieure à 90 µm.

0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15

• le codeur incrémental (monovoie, 30 impulsions par tour) relié à la MCC (Machine à Courant Continu) par un dispositif poulies-courroie (figure 4).

Question 10. Donner la résolution (précision) possible pour la course totale de la

lentille mobile avec le codeur absolu. Justifier que le codeur absolu ne soit utilisé que lors de la phase d’initialisation de l’objectif photographique.

S’il y a 16 positions possibles à enregistrer alors la précision est de 6 mm /16 positions = 0,375 mm Il ne peut donc pas être utilisé pour la mise au point de la photo mais sera simplement utilisé pour l’initialisation.

Train d’engrenages

Dans un transmetteur de type train d’engrenages (associations de pignons/roues) la loi entrée-sortie peut se déterminer à partir de la relation suivante :

𝜔13

𝜔3 = (−1)𝑝 ∏6𝑖=1𝑍2𝑖+1

𝑍2𝑗

6𝑗=2 avec p le nombre de contacts extérieurs (nous verrons sa signification exacte plus tard dans l’année), avec 2i+1 les indices des pignons qui transmettent la puissance (pignons menants), 2j les indices des roues qui reçoivent la puissance (roues menées), ∏𝑛𝑖=1Zi signifiant que l’on effectue le produit du nombre de dents Zi avec les valeurs données dans la figure 4.

𝜔15

𝜔3 est le rapport entre la vitesse angulaire de la vis 15 (la sortie du

2ème train d’engrenages) et la vitesse angulaire du pignon 3 (entrée du 1er train d’engrenages).

Les relations suivantes décrivent les lois entrée-sortie du 2ème train d’engrenage qui est relié au 1er par une liaison glissière en F qui fait office de transmission ( 𝜔14= 𝜔13)

𝜔15 𝜔14=𝑍14

𝑍15

Question 11. A partir des informations citées ci-dessus, Déterminer, sans se préoccuper du signe, la relation entre la vitesse angulaire du pignon 3 et la vitesse angulaire de la vis 15

𝜔15 𝜔14=𝑍14

𝑍15 et 𝜔𝜔14

3 =𝑍3×𝑍5×𝑍7×𝑍9×𝑍11×𝑍13

𝑍4×𝑍6×𝑍8×𝑍10×𝑍12 donc 𝜔𝜔15

3 =𝑍3×𝑍5×𝑍7×𝑍9×𝑍11×𝑍13×𝑍14

𝑍4×𝑍6×𝑍8×𝑍10×𝑍12×𝑍15

𝜔15

𝜔3 = 83397600

1561560000= 9 × 27

130 × 35= 243 4550

Type de roues/pignons Zi, Zj Menants Menées Z3, Z5, Z7, Z9, Z11, Z13 X

Z4, Z6, Z8, Z10, Z12 X

(8)

Vis-Ecrou

Dans un transmetteur de type Vis-écrou, la loi entrée-sortie peut se déterminer à partir du pas (Figure 4) qui donne la relation directe entre le déplacement en translation de la lentille (ZB(t) et la rotation de la vis (𝜃15). Une simple dérivation temporelle permet alors de passer aux vitesses respectives V B(t)=𝑑𝑍𝑑𝑡𝐵(𝑡) et 𝜔15(𝑡) =𝑑𝜃15

𝑑𝑡 . Question 12. Déterminer la relation entre la vitesse de translation de la lentille V B(t) et la vitesse

angulaire de la vis 15 , 𝜔15(𝑡). En déduire la relation entre la vitesse de déplacement de la lentille mobile VB(t) et la vitesse angulaire du codeur incrémental 𝜔3(𝑡) .

D’après le pas=30 mm/tr si on fait une règle de trois ZB(t) = 30 * 𝜃15 si 𝜃15 est exprimé en nombre de tours, et Z en mm.

Par dérivation VB(t) = 30𝜔15(𝑡)

Donc VB(t) =455729𝜔3(𝑡) avec la vitesse VB(t) en mm/s et 𝜔3(𝑡) 𝑒𝑛 𝑡𝑟/𝑠

Question 13. En déduire la relation entre le déplacement de la lentille ZB(t) et la position angulaire du codeur incrémental 𝜃15. En déduire la résolution possible pour la course totale de la lentille, si elle est déterminée en comptant les impulsions du codeur incrémental sur les fronts montants (30 impulsions par tour).

Donc ZB(t) =729

455𝜃3(𝑡)

Résolution du codeur 1/30 de tr donc résolution sur ZB = 455×30729 = 0,0534 𝑚𝑚 c’est-à-dire 53,4 µm

Question 14. Vérifier que par la suite, si l’on veut respecter le cahier des charges, nous pouvons annoncer que la résolution pourra être prise égale à 50 µm.

Dans le cahier des charges il est précisé qu’il fallait une résolution de 90 µm pour que l’image soit nette donc avec 53 µm nous respectons bien le cahier des charges. En sachant que la précision est d’une demie mesure nous pouvons donc annoncer que la résolution sera de 50 µm.

Poulie-Courroie

Dans un transmetteur de type Poulie-courroie, la loi entrée-sortie peut se déterminer à partir des diamètres des poulies (Figure 4) et en émettant l’hypothèse que la courroie se déplace sans glissement sur les poulies, c’est-à-dire que la vitesse curviligne des points de la courroie est la même sur toute la courroie, de facto nous en déduisons la loi suivante :

𝜔2 𝜔1=1

2 avec 1,2les diamètres des deux poulies

Question 15. Déterminer la relation entre la vitesse de rotation de la poulie 2, 𝜔2 et la vitesse de rotation de la poulie 1, 𝜔1

𝜔2

𝜔1 =1

2= 2.58

7.17≈ 0.36

Conclusion

Question 16. Si l’on veut que la mise au point se fasse en moins de 0,5 ms (temps d’échange de l’ordre imposé par le cahier des charges dans la chaîne d’information), calculer la vitesse minimale de rotation du moteur.

VB(t) = 0.36 ×729

455𝜔1 alors 𝜔1= (0.36 ×729

455)−1VB(t)avec VB(t) =0.053𝑚𝑚

0,5×10−3 donc 𝜔1≈ 184𝑡𝑟/𝑠 𝜔1 ≈ 11025𝑡𝑟/𝑚𝑖𝑛

(9)

III Performance du pilotage de l’objectif photographique Objectif

Valider la performance du pilotage de l’objectif en termes de stabilité, de précision et de rapidité.

Un asservissement à correcteur PID, permet de piloter en position longitudinale la lentille en fonction de la qualité de l’image (netteté). Ci-dessous l’évolution de la position Z(t) de la lentille en fonction du temps et de la consigne en rouge (échelon de 3,03 mm). A t=0 s, le système a déjà une position de lentille non nulle. (cf graphique).

Question 17. A partir du graphique précédent, Calculer la performance de précision de l’asservissement (erreur statique). A partir de l’erreur statique, donner en pourcentage la précision de la réponse par rapport à la référence qu’est la consigne.

Erreur statique : er=e(+)-s(+)=(3-2.25)-(3.03-2.25)=3-3.03=-0.03mm Erreur statique relative : er%=𝑒(+)−𝑠(+)

𝑒(+) =-0.03/0.78=-38x10-3 Donc er%=3.8%

Question 18. Donner la performance de stabilité, donner l’indicateur de rapidité d’un système asservi puis calculer-le. Veuillez justifier vos résultats à l’aide de tracés sur le Graphique (DR 2).

Le système est stable puisque la réponse converge en +

L’indicateur de rapidité est le temps de réponse à 5%, tr5%

Il faut construire le Tunnel des 5% autour de la réponse.

Valeur maximale : 3+(3-2.25)*5%=3,0375 Valeur minimale : 3-(3-2.25)*5%=2,9625 Donc tr5%=3.25-0.3=2.95ms

Question 19. En déduire si le système d’autofocus est conforme au cahier des charges, si non pourquoi ?

Le Cahier des charges demandait qu’il n’y ait pas de dépassement donc déjà le système n’est pas conforme, même s’il est suffisamment rapide tr5%<6ms

(10)

Document Réponse DR1

Question 1: Diagramme des cas d’utilisation à compléter

Document Réponse DR2

Question 17 &18: Analyse de la performance de l’asservissement

Nom : Prénom :

Z (mm)

3.15

3.0

2.85

2.7

2.55

2.4

2.25

0 1 2 3 4 5 t(ms)

Communiquer avec le boitier

Assurer le mouvement de l’optique

Piloter le mouvement de l’optique

3,0375 mm 2,9625 mm

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Document Réponse DR3

Question 2, 3 & 4 : Chaîne fonctionnelle du système de gestion de l’autofocus à compléter

Nom : Prénom :

Alimenter Convertir Transmettre

Agir

Moduler Transmettre Transmettre

Batterie r eu Hach r CC Moteu

Pou lie-

courro ie

Tra in

d’e ngre

nage crou Vis-é

Puissance Electrique

Pu Mécanique de rotation Puissance Elec

Modulée Pu mécanique

de translation Acquérir

Acquérir

Acquérir

Codeu r

linéaire Codeu r

incré me nta l

Poten tiom ètr e

Traiter Coder

Restituer

Communiquer CAN

Microcon trôle ur

de co mm and e

Ecran + HP

Câb lage

Lentille

Pu Mécanique de rotation

Réseau EDF

Image floue

Image nette Consigne

Utilisateur

Position digitale moteur

Image Position moteur

Position digitale lentille Image Position

lentille

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