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Questionner le paysage et la mémoire. Empreintes, traces, marques

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Questionner le paysage et la mémoire. Empreintes, traces, marques

SGARD, Anne

Abstract

L'idée développée ici est que le paysage et la mémoire sont étroitement entremêlés : le paysage n'est pas que le décor, la scène pour un récit ou une commémoration, il est mémoire. Plutôt que de chercher à reconstituer un passé, le géographe observe les territoires d'aujourd'hui et ce que les acteurs en font, ce qu'ils font des passés, ce qu'ils disent avec le paysage. Si toute mémoire est située, si tout événement s'inscrit dans un contexte spatial, les relations entre mémoire et paysage s'ancrent dans l'expérience présente, questionnent la transmission et le projet tout autant que le souvenir. En outre, le paysage met en lumière la place des sens (pas seulement la vue), du plaisir des sens, de l'esthétique, et compose avec la mémoire même quand elle est douloureuse. L'objectif de ce texte est de dessiner quelques rapprochements entre fabriques paysagères et mémorielles.

SGARD, Anne. Questionner le paysage et la mémoire. Empreintes, traces, marques.

Mémoires en jeu , 2018, vol. 7, p. 119-113

Available at:

http://archive-ouverte.unige.ch/unige:110875

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DOSSIER

La mémoire se fond-elle dans le paysage ?

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MÉMOIRES EN JEU MEMORIES AT STAKE

idée que nous voulons développer ici est que le paysage et la mémoire sont n’est pas que le décor, la scène pour un récit ou une commémoration, il est mémoire. L’expérience paysagère a ceci de particulier qu’elle concentre dans l’instant de la perception, les - paysage sans puiser dans notre mémoire intime pour y ressentir des ressemblances et des contrastes, pour placer le curseur sur l’axe immense entre le familier et l’inconnu, entre le quotidien et l’extraordinaire, entre l’aimable et

ou la maladie effacent progressivement les paysages, les ambiances, les traces qui ont accompagné notre vie, constituent également des ensembles de paysages com- muns, conservés in situ ou à travers des représentations. Les eux. Le rapprochement entre les concepts de lieu et de mémoire a suscité de nombreux travaux depuis Pierre Nora, avec le sens particulier qui est accordé au premier (voir Nora). S. Marot a exploré en architecture, les liens entre mémoire et site (voir Marot). Le paysage n’est ni le lieu ni le site. Il est ici abordé comme une modalité de relation

individuelle et collective au territoire ou à l’environnement, aux émotions, il interroge les valeurs. Il n’y a dès lors pas un paysage donné par la nature ou l’histoire, il y a autant de paysages que de regards portés. Si toute mémoire est située, si tout événement s’inscrit dans un contexte spatial, les relations entre mémoire et paysage s’ancrent selon nous dans l’expérience présente, questionnent la transmission et le projet tout autant que le souvenir. Paysage et mémoire sont tous deux des processus de construction, tant indivi- rapport complexe aux émotions (Sgard, 2017). Le paysage met en lumière la place des sens (pas seulement la vue), du plaisir des sens, de l’esthétique, et compose avec la mémoire même quand elle est douloureuse.

pratiques, porte un regard particulier sur les temporalités et la mémoire (voir Piveteau). Plutôt que de chercher à recons- tituer un passé, il observe les territoires d’aujourd’hui et ce que les acteurs en font, ce qu’ils font des passés, ce qu’ils disent avec le paysage. L’objectif de ce texte est de dessiner quelques rapprochements entre fabriques paysagères et mémorielles. La mémoire est abordée comme un enjeu, ce dossier en témoigne, c’est plus rarement le cas pour le paysage. Pourtant, autant les politiques paysagères que les mobilisations des usagers au nom du paysage montrent un emblème voire une bannière, un outil d’expression du territoire et de ce que les habitants veulent en faire. Il (Baer, 2002), cette expérience de l’aura qui entoure ces

lieux en l’absence de toute mémoire objective. Leurs clichés encore, l’oblitération de la mémoire dont ils auraient dû être honorés.

chardons ou orties peut indiquer la présence d’une fosse photographié ces fosses communes en Ukraine. Sur leurs photographies, la dépression du sol résultant de la décom- position des corps, ainsi que la présence d’une végétation sans, comme cet habitant de Rohatyn qui déclare devant les -

ce que nous voulions semer, des betteraves, des choux, des rien, et pourtant avant nous avions les meilleures récoltes,

à ce phénomène une explication géophysique, le paysan recourt à la religion et conclut que la terre est maudite.

(Pollack, p. 95). Même dans la nature, loin des ghettos, on marche sur les cadavres à tout bout de champ. Le paysage de ces terres de sang est à la fois trivial et potentiellement suspect, infecté par le passé.

Il s’agit ici de paysages post-mémoire, car la mémoire ne s’y est pas patrimonialisée. On y fait face au délitement, à la ruine, puis à la disparition, résultant de la négligence mais parfois programmée dans le contexte d’une véritable politique d’amnésie et de désinformation. Il existe bien sûr des lieux où une timide mémorialisation est mise en place. Mais des centaines, des milliers de sites qui ont été le théâtre de la vie puis de la mise à mort des Juifs tombent aujourd’hui en déshérence. La photographie et le travail d’artistes comme Chris Schwarz, Jason Francisco ou Ansgar

BIBLIOGRAPHIE

Baer, Ulrich, 2002, Spectral evidence: The Photography of Trauma, Cambridge, MA, MIT Press.

Dorfman, Rivka & Ben-Zion, 2000, Synagogues without Jews, Philadelphia, JPS.

Francisco, Jason, 2014, An Unfinished Memory: Jewish Heritage and the Holocaust in Eastern Galicia, Cracovie, Galicia Jewish Museum.

Pollack, Martin, 2014, Kontaminierte Landschaften, St. Pölten, Residenz Verlag.

Schlögel, Karl, 2003, Im Raume lesen wir die Zeit, Munich, Hanser.

Colls, Caroline Sturdy, 2011, Holocaust Archeology: Archeological Approaches to Landscapes of Nazi Genocide and Persecution, Doctorat, University of Birmingham.

Webber, Jonathan & Schwarz, Chris, 2009, Discovering Traces of Memory:

The Jewish Heritage of Polish Galicia, Cracovie, Galicia Jewish Museum, 2009.

SITES http://jasonfrancisco.net

https://www.erinnerungbewahren.de, http://www.protecting-memory.org http://ansgargilster.de

© Ansgar Gilster

Fig 4. Dead corner, 3. Forêt de Lissinitchi, 2013.

Questionner le paysage et la mémoire. Empreintes, traces, marques

The idea to be developed here is that the Landscape and the Memory are closely linked: the Landscape is not simply the scenery for commemoration, it is Memory. This text analyzes the connections between these two concepts using the notions of sign and mark. The Memory is often approached as an issue, the Landscape more rarely. Nevertheless, both landscape policies and mobilizations of citizens reveal that it is a political object, a source of controversies and conflict, a tool for the design of a project.

Keywords: landscape, memory, territory, sign, mark.

Anne Sgard, Université de Genève, Département de géographie et environnement

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skis. Les chasseurs reconnaissent les lieux et se remémorent des équipées passées. Les naturalistes sont attentifs aux espèces animales ou végétales propres à ce plateau cal- caire et s’inquiètent de leur évolution. De moins en moins

disparaissent peu à peu; l’histoire du maquis est rappelée par quelques stèles et monuments. La toponymie peut aussi aider à inscrire les lieux dans une histoire locale mais elle n’est pas toujours aisée à décrypter.

Des empreintes se sont succédé sur le temps long mais lesquelles sont aujourd’hui perçues, lesquelles servent de sus sur les qualités esthétiques de ce paysage, devenu au - - l’élevage, activités touristiques, protection d’un écosystème fragile face au changement climatique, préservation de la mémoire de la Résistance, la conciliation n’est pas toujours facile. Qui décide?

Ces choix, parfois débattus sur la scène publique, parfois plus implicites, participent de constructions identitaires multiples. Les paysages n’ont pas d’identité, les sociétés mer ou défendre une identité inscrite dans un territoire - (voir Walter). Tout paysage renvoie donc à une pluralité tension entre l’évidence du paysage, sous les yeux de tous, des interprétations. Le rapprochement de la mémoire et du paysage met particulièrement en lumière les dimensions

PAYSAGES, TRACES, SIGNES, MARQUES Selon l’interprétation qui en est faite, les traces du passé perçues dans un paysage le chargent de sens, deviennent sources d’informations, nourrissent la connaissance sur un territoire et ses habitants, les traces deviennent des repères, des signes. Ces signes enrichissent la perception et aident au partage de l’interprétation, à une lisibilité commune, dès lors une transmission. Par l’entremise du paysage, un collectif peut ainsi, en puisant dans un fonds de ressources symboliques, construire un rapport au territoire mais aussi à la temporalité, à l’identité, à l’altérité.

L’exemple de Berlin illustre, dans un espace urbain particulièrement riche, la complexité de ce rapport entre paysage et mémoire et sa prise en charge par l’action publique. Après la chute du mur, puis le retour des fonc- tions de capitale à Berlin, le tissu urbain est profondément remanié. Pendant les années 1990 l’action des autorités se tion, soigner les cicatrices, retisser des relations entre Est - et Ouest à travers les mobilités, le redécoupage des arron- Dans ce va-et-vient constant entre empreinte et matrice, la

mémoire est le vecteur.

Ce paysage des Hauts plateaux du Vercors, réserve natu- relle de moyenne montagne dans les Alpes du Nord, peut être perçu et interprété de bien des manières et mobiliser des mémoires plurielles et non exclusives l’une de l’autre.

Pour les agriculteurs et éleveurs, il est avant tout un espace très ancien de transhumance, où se sont succédé jusqu’à alpages. Quelques érudits sauront voir les vestiges de l’ex- ploitation romaine des carrières. Pour les habitants il peut s’inscrire dans des histoires familiales et locales associant la création du Parc régional, le développement du tourisme et le tracé des sentiers, la mise en place de mesures de protection des espaces naturels. Les sportifs, habitants ou touristes, y retrouvent leur terrain d’aventures, à pied ou à aménagent leur environnement en fonction de l’interpréta-

tion qu’elles en font, et réciproquement, elles l’interprètent (Berque, n’est pas un legs, il est sans cesse réinterprété, renégocié, actualisé. Chaque individu, chaque groupe perçoit dans son environnement les traces de son passé, cherche à retrouver des signes de son appartenance. Il agit en fonction des pay-

ambiance sonore, une sensation tactile, tels des moteurs de recherche polysensoriels, fouillent la mémoire paysagère (Sgard, 2007). Ils évoquent ou exhument des situations, des interactions, des pratiques, des événements, des émotions.

y a des mémoires et des paysages débattus, revendiqués, Pour circonscrire notre propos dans ce thème immense, il sera question ici, on l’aura compris, du paysage in situ, du paysage où l’on se souvient, objet de projets collectifs.

LE PAYSAGE, EMPREINTE ET MATRICE Le paysage est lien. Chaque regard, chaque expérience durables ou non, mais sensibles, objectivables, disposées dans l’espace perçu. Chacun compose à partir de cela son paysage, selon la personne, le contexte du moment, l’inten- tion. Parmi ces composantes certaines attirent l’attention en tant que traces du passé, sollicitent la mémoire et guident l’interprétation. Pour reprendre l’expression d’Augustin

© steynard on Visual hunt © Anne Sgard

Hauts plateaux du Vercors, Plaine de la Queyrie. Un fragment du no man’s land au centre de Berlin, laissé en friches.

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des appropriations individuelles et construire un projet -

il est éthique.

Le paysage peut-il être un outil de débat, de négociation, in situ?

Les expériences sont variées. Par exemple de nombreux projets de jardins ou d’espaces publics servent la commé- e siècle avec des

- franco-allemande. Sur la zone de front de la Première

Verkindt & Blanc), notamment pour le développement d’un tourisme de mémoire. Dans le Vercors, un hameau détruit lors des combats en 1944, Valchevrières, est maintenu dans l’état de ruines, au centre d’une clairière. L’ancienne frontière interallemande est là encore un cas intéressant, car en dehors de la ville de Berlin, le tracé, parfois oublié et laissé à la jachère, fut aussi l’objet de projets paysagers, Parc naturel du massif du Harz. On observe là une alliance intéressante entre défonctionnalisation de la frontière, mémoire de la division, projets paysagers et renaturation de l’ancien espace frontalier.

On le voit, les pistes et les choix sont multiples. Ces projets posent la question du lien entre paysage et récit.

Le paysage peut être aménagé et géré au service d’un récit, - est possible quand la mémoire est univoque et consensuelle, quand le récit est accepté comme devant être transmis aux générations futures par la société d’aujourd’hui. Dans ce cas le lieu accueille le récit et le paysage contribue à sa portée émotionnelle.

Quand il y a pluralité des mémoires, des récits, voire de trouver un accord ? Pas sûr. C’est ce que cherche à construire, difficilement, la médiation paysagère. La question de la légitimité des acteurs, des regards, des inter- ventions est délicate. L’intervention par le paysage peut concrets, dans les formes, laissant s’exprimer les subjecti- vités et les attentes sur le registre sensible.

POUR CONCLURE

Nous avons ouvert ici quelques pistes, bien d’autres seraient à explorer. Des idées clés se dégagent. Le rappro- chement entre paysage et mémoire permet et oblige à lever On le voit, il ne s’agit pas d’une démarche de patrimo-

nialisation. Celle-ci donne lieu à Berlin comme ailleurs à des mesures de conservation, de préservation, voire de

traces et le marquage montre qu’il ne s’agit pas seulement de transmettre des objets, et parmi eux des objets patri- monialisés, mais une relation au paysage, une possibilité de voir, de recomposer, de donner du sens, des valeurs.

En outre, à travers son action sur le paysage, une société cherche à transmettre des traces, mais elle recherche aussi le beau, l’agréable, un cadre de vie digne pour tous. Il s’agit une mémoire qui peut être douloureuse, mémoire de la -

COMMENT CONSTRUIRE UN PROJET ? Le paysage est toujours interrogation sur l’avenir et les avec le temps, les regards changent, les codes et les valeurs aussi. Au dilemme constant, comment concilier dans l’es- pace public la diversité des perceptions, des pratiques et transforme profondément.

Si quelques pans du mur sont conservés, l’ensemble du tracé ne donne pas lieu à un traitement urbanistique ou paysager. Les traces de la séparation sont donc parfois sées à l’abandon, à l’oubli. Les habitants les plus jeunes, - les visiteurs peinent à comprendre cette dynamique, les repères dans l’espace urbain perdent de leur lisibilité. La

urbaines, sous la pression des habitants, d’associations, des pavés en fonte, les espaces limitrophes sont traités en tant que lieux hérités de la construction puis de la chute du mur. Il s’agit dorénavant de ré-inscrire cette mémoire dans le tissu urbain et dans le paysage quotidien des citadins.

lumineux, aérien, provisoire, à réinstaller dans la mémoire de lumière la nuit (car il y a aussi des paysages nocturnes).

Cette mémoire du mur s’insère dorénavant dans l’ensemble complexe des mémoires que porte la ville de Berlin. Elle la nécessaire mémoire.

BIBLIOGRAPHIE

Arendt, Hannah, 2009, La crise de la culture [1954], Paris, Gallimard,

« Folio-essais ».

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Walter, François, 2004, Les figures paysagères de la nation: territoire et paysage en Europe, 16e-20e siècle, Paris, Éditions de l’École des hautes études en sciences sociales.

tend à enfermer le paysage dans la seule catégorie rurale cantonne le paysage dans un idéal de beau consensuel et fédérateur, lever le verrou du paysage remarquable qui oublie les territoires du quotidien. Le paysage que nous proposons est potentiellement partout, et les mémoires individuelles, familiales, collectives, à toutes les échelles, recherchent des points d’ancrage dans des paysages banals - ce qu’il désigne permet cette plasticité, cette pluralité des futures interpréter, aménager, créer leurs paysages sur nos empreintes. Pour reprendre l’expression si précieuse de

© Ruppert Ganzer, loop_oh on Visual Hunt

Commémoration des 25 ans de la chute du mur : la « Lichtgrenze », installation temporaire en novembre 2014 (Christopher et Marc Bauder).

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