• Aucun résultat trouvé

La douleur oculaire chronique : mieux la comprendre pour mieux la traiter

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2021

Partager "La douleur oculaire chronique : mieux la comprendre pour mieux la traiter"

Copied!
10
0
0

Texte intégral

Loading

Figure

Figure 1. Somatotopie des neurones cornéens contenant un traceur rétrograde fluorescent dans un ganglion trigéminé de souris rendu transparent  par la méthode 3DISCO
Figure 3. Activation neuronale et réorganisation de la microglie dans le sous- sous-noyau caudal lors d’une douleur oculaire
Figure 4. Images obtenues en microscopie confocale in vivo montrant la présence plus  ou moins importante de cellules hyperréflectives (cellules dendritiques  inflamma-toires, flèches jaunes) dans le plexus nerveux sous-épithéliaux humain

Références

Documents relatifs

La FDA des Etats-Unis a approuvé une formulation ophtalmique en vente libre (OTC) de tartrate de brimonidine à 0,025 % (Lumify – USA ; non commercialisé – F, CH, B), un

Les orientations actuelles dans la pratique physiothérapique pour les patients lombal- giques chroniques reposent sur une priorité musculaire avec étirements et tonification

Cette forte température à environ 50 cm du sol explique ce que nous avons pu observer dans nos parcelles expérimentales: lors d'un feu trop précoce pour éliminer la totalité

–  2 questions d’examen clinique Permet de confirmer la présence d’une..

En effet, les douleurs pelvi-périnéales chroniques ne doivent plus être considérées comme des symptômes uniquement en rapport avec une pathologie d’organe mais peuvent témoigner

La corrélation entre la douleur et la somatisation est bien réelle et la pertinence du praticien doit s’affranchir sans détour de la véritable situation de son

L’hyperhidrose généralisée idiopathique est rare et doit rester un diagnostic d’élimination et faire rechercher une pathologie sous jacente ou une cause médicamenteuse