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Chacun de nous, Helina EMILSON

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Academic year: 2021

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Texte intégral

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« LA VIE NOUS DONNE TOUJOURS UNE AUTRE CHANCE, ELLE S’APPELLE DEMAIN »

La vie, un mot si commun et pourtant si complexe. Un mot qui réveille en chacun de nous instinctivement une réflexion, une remise en question, un trouble voire même un choc.

Mais quel genre de remise en question ? Le genre qui pourrait bouleverser notre mode de vie toute entière, qui nous ferait changer de façon de voir, de façon d’être mais surtout de façon de réagir face à cet inconnu X.

Le genre de remise en question qui mettrait en évidence ce qui est enfuit : quel genre de personnes voudrais-je être ? Qui j’admire et pourquoi ? De quoi suis-je le plus fier ? De quoi ai-je le plus peur ? Qu’ai-je à pardonner ou à me faire pardonner ? Ai-je tant changé ? Ai-je le contrôle de ma vie ?

Tant de questions et pourtant très peu de réponse.

Nous nous trompons. Les réponses sont là partout autour de nous. Ce que nous recherchons est parfois plus proche que l’on croit.

Ce monde envahi par les choses futiles, les choses matérielles n’arrange en rien notre situation envers notre « MOI intérieur ». En effet, il est difficile de se résigner à admettre que ce téléphone que l’on chéri tant est devenu cause de distance entre nous, ceux qui sont vraiment proches. Dure de regarder la télé en famille sans cette petite merveille juste à côté. Dure de diner à table sans téléphone à proximité.

Permettez-moi de demander ce que faisaient les gens avant le téléphone ou tout autre gadget de nos jours. La réponse est qu’ils vivaient leur vie au lieu de créer une vie virtuelle où tout semble aller et pourtant une solitude immense et une tristesse se cache dans chaque sourire de

chaque photo. Un appel au secours à ceux qui sont capables de l’entendre. Certaines personnes ont par chance un sauveur qui leur ouvrira les yeux sur la futilité des choses qu’ils mettent en priorité dans leur vie.

Cette société de soutien au départ, cette société d’entre-aide s’est transformée en une société d’inconnus où l’on ne connaît pas du tout son voisin, où l’on est incapable de connaître entièrement ses proches puisque l’essentiel étant de laisser paraître : laisser croire que l’on va bien avec une photo puis pleurer juste après, faire semblant d’aimer d’apprécier une personne que l’on méprise juste parce qu’il le faut.

Ne nous voilons pas la face, nous nous sommes égarés. Le « MOI » est passé largement à la vitesse supérieure. Le désir d’être vu comme l’on voudrait se voir et non comme l’on est réellement.

De nos jours, être vu devient plus important qu’exister. Paraître heureux devient plus important que l’être vraiment.

Pourriez-vous me dire depuis quand a-t-on commencé à dévier du droit chemin ? C’est une réalité que tout le monde devrait admettre. L’homme devient de plus en plus mauvais avec le temps. Sa cruauté dépasse toute attente, tout comme sa soif de richesse, de pouvoir voire même de vengeance. C’est ce que l’on vit, les médias en ont donné la preuve, meurtre ici et là, kidnapping, corruption, détournement, blanchiment, complot.

Des expressions très connu par presque tout le monde, des expressions devenues habituelles. Jusqu’à un point où l’immorale est devenue morale. La corruption devenue un mode de vie qui ne fait même plus honte. Voler qui devient synonyme de gouverner. Tant de maux enjolivés, tant de gourmandise disproportionnée. Où va le monde ?

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Mark Twain avait raison : « L’homme est le plus cruel de tous les animaux, il est le seul capable d’infliger une douleur à ses congénères sans autre motif que le plaisir »

Cela en dit long sur notre nature profonde. Nous nous basons sur la force et le pouvoir. Une société où le plus important est d’imposer sa volonté et de se faire respecter.

« LA VIE NOUS DONNE TOUJOURS UNE AUTRE CHANCE, ELLE S’APPELLE DEMAIN »

Faisons de ce lendemain, un jour meilleur. Ne nous sous-estimons pas, ne te sous-estimes pas. « Sois la voix et non un écho ».

Un tel changement devrait d’abord venir de soi. Savoir faire la paix avec ses propres démons est le plus grand pas que chacun devrait entreprendre.

Chaque jour le libre arbitre nous donne le choix de nourrir le positif en nous ou le négatif en nous. Un choix continuel à faire jusqu’à la fin de notre vie d’ici-bas.

Confucius dans sa grande sagesse dit : « on a deux vies, et la deuxième commence quand on se rend compte qu’en en a qu’une.

Faisons en sorte de vivre cette deuxième vie comme il se doit. Dans la joie, le respect mutuel et la volonté comme arme pour combattre, pas à pas mais surtout mais dans la main, les maux qui mettent en péril la bonté humaine, le partage, le savoir-vivre et l’amour.

Chacun de nous peut faire la différence. Ensemble, nous faisons le changement – Barbara Mikulski

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