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L histoire de Robinson Crusoé, revue et corrigée par les élèves de 5 1 et 4 Année scolaire

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Academic year: 2022

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Texte intégral

(1)

L’histoire de Robinson Crusoé,

revue et corrigée par les élèves de 5°1 et 4 Année scolaire 2019-2020

« En octobre 1704, Alexander Selkirk est débarqué sur une île déserte, au large de la côte chilienne. Il y survit plus de quatre ans, avant d’être ramené en Angleterre, où il inspire à Daniel Defoe son Robinson Crusoé. »

Charlie Buffet, « Robinson, le vrai » Le Monde, 2005.

(2)

Mademoiselle Lundi et Alexander

Lundi était une jeune fille qui avait 20 ans et qui voulait rencontrer Alexander Selkirk pour lui demander comment il vivait cette mésaventure.

Elle se rendit dans l’île déserte où il se trouvait. Quand elle le vit elle lui posa beaucoup de questions.

- Comment vivez-vous cette aventure ? - Comment réussissez-vous à survivre ici ? - Comment faites-vous pour manger ?

- Je voudrais vivre la même aventure que vous, comment puis-je faire ? Vous pouvez m’aider pour ça ?

Il attendit un peu avant de lui répondre à toutes ses questions. Il la regarda un moment et lui dit :

- Je peux vous aider, à une seule condition, vous devrez m’apporter de l’or chaque jour.

Lundi lui répondit sans hésiter.

- Ok, pas de souci.

Chaque jour Alexander Selkirk avait un peu plus d’or. Après deux ans passés il avait rempli son coffre de 40 kilos et il était le plus heureux. Maintenant Lundi savait faire beaucoup de choses grâce à Alexander Selkirk. Il était le plus riche de l’île, mais Lundi voulut retourner dans le château de sa famille qui l’attendait.

Alexander remercia beaucoup Lundi, qui avant de rentrer chez elle devait aller sur une autre île, sans le dire à Alexander Selkirk, mais celui-ci devait aussi aller dans cette île pour retrouver le diamant qu’il y avait perdu.

Quelques jours plus tard, après ses recherches sur la seconde île, Alexander vit quelque chose qui brillait dans l’eau, près de rochers. Il plongea en espérant que c’était bien son diamant qui brillait si fort. Par chance c’était bien son diamant qu’il réussit à récupérer. Heureux il réussit à rentrer chez lui.

Almina, 5°4.

(3)

Six mois après son naufrage Alexander Selkirk se sentit seul et triste sur son île, il décida de s’occuper et de construire sa maison. A la fin de ce travail, il était très fatigué et décida d’aller dormir. Le lendemain un gros boom le réveilla, il prit son fusil pour se défendre, au besoin, se dirigea vers le lieu d’où était provenu l’explosion, avança tout doucement et vit un bateau très endommagé.

Soudain, Alexander entendit une voix d’homme qui demandait de l’aide. Il décida de lui porter secours, mais Alexander n’entendit plus cette voix. Il crut l’homme mort quand il le vit à terre évanoui. Alexander lui mit de petites claques au visage ce qui réveilla peu après l’homme. Ce dernier lui demanda où il était, pourquoi il se trouvait dans cette situation et à qui il avait à faire. Alexander se présenta et dit à l’homme qu’il s’était échoué sur cette île deux heures auparavant. L’homme se souvint de tout et se leva brusquement. Il alla voir l’épave de son bateau et Alexander lui dit qu’il n’avait aucun survivant à part lui, et que désormais il n’y avait plus qu’eux sur île. Il devait donc apprendre à se débrouiller pour survivre sur l’île déserte.

Alexander veilla à leur construire une nouvelle civilisation, rien qu’à eux deux, en construisant des maisons et fixa des règles sur l’île qu’ils avaient nommée Speranza.

Quelques années plus tard les deux hommes aperçurent sur leur tour de guet au loin une voile blanche. Ils s’affolèrent et envoyèrent des signaux de détresse. Le bateau les vit, accosta sur île et les embarqua pour les ramener en Angleterre.

Les deux hommes furent amis jusqu’à la fin de leur vie.

Joshua, 5°1.

(4)

Six mois après avoir été abandonné sur l’île déserte Alexander aperçut une jeune femme qui ne l’avait toujours pas remarqué.

Un jour, alors qu’elle construisait sa cabane, elle le vit enfin, se dirigea vers lui et lui demanda comment il s’appelait. Alexander lui posa à son tour la même question. Elle lui dit qu’elle s’appelait Agatha.

Il lui proposa de l’aide et elle accepta avec joie. Alexander ressentit rapidement de l’amour pour cette jeune femme dont il admirait la beauté. Elle était si belle.

Comme Alexander n’avait pas de toit, de cabane pour y dormir, elle l’invita à vivre avec elle dans la sienne. Il accepta avec volontiers.

Deux mois passèrent et Alexander voulut lui avouer qu’il l’aimait, mais il avait tellement peur qu’elle rejette son amour. Pourtant il prit son courage à deux mains et il lui montra son amour. Et à sa grande surprise elle lui dit qu’elle aussi avait des sentiments pour lui. Il la demanda en mariage. Elle accepta et ils vécurent très heureux.

Aminata, 5°1.

(5)

Robinson, le vrai Six mois après avoir été abandonné sur l’île déserte, Alexander Selkirk se sentait toujours aussi seul. Un matin il se réveilla à cause des rayons du soleil, et ne sachant que faire, il décida de se distraire comme il pouvait, mais au fond de lui il se sentait tellement seul.

Un jour, alors qu’il se promenait dans la forêt vaste et humide, il aperçut un drôle d’homme. Il était petit, et il n’avait pas de cheveux. Il portait une jupe comme vêtement. Alexander Selkirk fut tellement content de rencontrer une personne, même si celle-ci était étrange car il ne savait pas parler et avait le comportement d’un animal sauvage.

Alexander hésita entre s’approcher de lui et s’enfuir. Il sentit que cet étrange homme voulait qu’il parte. Alors il s’enfuit. Il retourna dans sa cabane mais le petit homme le suivit et l’espionna.

Cet homme pensa qu’Alexander voulait détruire son île, mais il avait tort.

Le lendemain matin Alexander quitta sa cabane, et quand il aperçut l’homme qui le regardait étrangement, il eut rapidement peur et voulut le fuir. Le petit homme grogna ne sachant pas parler. Il en avait vraiment assez de cet homme, aussi il décida de tenter d’avoir un échange avec lui.

“ Qui êtes-vous et que voulez-vous ? ” lui dit Alexander.

L’homme ne pouvant pas parler fit des signes avec ses mains, étrangement Alexander comprit. Il lui dit qu’il voulait qu’il parte car il pensait qu’il allait détruire son île.

A haute voix Alexander le rassura en déclarant : “Je ne vais pas détruire votre île, je suis arrivé ici par erreur et je voudrais tellement partir, mais je ne peux pas. ”

A nouveau avec des signes le petit homme lui répondit : “Moi j’ai la solution.

Tu peux monter dans des coquillages très grand où tu pourras te mettre assis correctement, tu as juste à construire les rames, et tu pourras ainsi quitter l’île pour atteindre l’autre côté de l’horizon. ”

Alexander, très content, se mit au travail pour fabriquer les rames, tout en rêvant de quitter l’île où il était un naufragé depuis six mois.

Au moment du départ il remercia le petit homme, mais ce dernier l’étonna lorsqu’il lui dit :

“ Je peux venir avec vous car toute ma tribu est morte, et je n’ai plus rien à faire ici. ”

(6)

“ Si vous voulez monsieur, lui répondit Alexander, car vous m’avez beaucoup aidé. ” Après ça, Alexander décida d’appeler l’homme “ Augustusse plate ”, et il rentra chez lui avec son nouvel ami.

Iman, 5°4.

(7)

Six mois après avoir été débarqué, Alexander Selkirk était toujours sur l’île déserte. Il y survivait seul.

Un jour une tempête toucha le secteur où il se trouvait, il se mit à l’abri. Le lendemain Alexander trouva près de la plage un petit bateau de secours proche d’un navire échoué. Il décida de se rendre à bord de la grosse embarcation pour voir si il y avait un être humain. Personne ne s’y trouvait. Bizarre pensa Alexander qui aurait juré que le bateau venait de s’échouer et Alexander perdit espoir. Il se dit que c'était sans doute son imagination et que peut-être ce bateau n'avait jamais existé.

Alexander se décida enfin à construire son premier vrai abri. Il alla sur une hauteur pour voir au loin, peut-être y verrait-il un éventuel bateau qui viendrait le chercher. En vain. Il construisit alors sa maison. Il commença par le plancher à l’aide de bambous. Cela faisait une semaine qu’Alexander avait débuté les travaux de sa maison, le plancher était achevé et depuis deux jours il fabriquait ses meubles.

Alexander était bien parti pour finir sa maison rapidement. Le mois suivant il l’avait achevée.

Depuis trois ans déjà Alexander vivait dans sa maison, quand un jour un bateau accosta sur l'île. Des hommes vinrent chercher Alexander, mais il refusa de les suivre et de retourner dans le monde civilisé car il était bien sur l'île déserte.

La flotte anglaise partit et Alexander continua sa vie sur cette île déserte où il vécut heureux jusqu'à sa mort.

Gioé, 5°1.

(8)

Cela faisait bientôt six mois qu'Alexander Selkirk était seul, abandonné sur cette petite île à six cents kilomètres de la côte chilienne.

Un jour, il aperçut une voile à l'horizon. Il courut vers la plage pour allumer un grand brasier qu'il alimenta avec des branches vertes pour rendre la fumée épaisse et colorée. Il ne faisait pas encore très jour et Alexander ne parvenait pas à distinguer correctement quel type de bateau c'était. Mais il ne s'en souciait pas le moins du monde... Quand le bateau fut suffisamment proche, des hommes en descendirent par une échelle de corde et mirent à l’eau une barque. Alexander entendit des éclats de voix puis ils firent descendre un homme enchaîné. Ils le laissèrent à même le sol et débarquèrent sur l'île un petit coffre auquel ils mirent le feu sans s'occuper de l'homme à terre... Qui n'était pas un homme ! C'était une jeune femme ! Son instant de stupeur passé, Alexander se rendit compte que les marins remettaient leur chaloupe à la mer. Il les poursuivit à vive allure mais un des hommes lui tira une balle dans le pied en l'insultant en espagnol. Heureusement, le soldat ne devait pas savoir tirer correctement et la balle n'avait qu’éraflé le pied d'Alexander.

Surpris de la violence des brûlures causées par le sel qu'il sentait à son pied, il retourna sur la plage et défit les liens qui entravaient les mains et les pieds de la jeune femme. Par chance, elle était anglaise aussi et il n'eut aucun mal à lui poser des questions. Elle se nommait Billie et avait le même âge que lui. Elle avait été capturée par les Espagnols deux mois auparavant. Mais elle avait passé son temps à hurler et ils en avaient eu assez d'elle, si bien qu'ils l'avaient abandonnée sur la première île trouvée. Alexander fut bien étonné car son histoire était similaire à la sienne. Le coffre auquel les espagnols avaient mis le feu contenait ses effets personnels. Tout avait été réduit en cendre.

Pour la consoler, il lui fit faire le tour de l'île puis ils pique-niquèrent sur la plage en regardant le soleil se coucher tout en parlant de tout et de rien. Ils vécurent heureux sans que rien ni personne ne vienne les perturber !

Philomène, 5°1.

(9)

Six mois après son naufrage Alexander Selkirk, toujours seul sur cette île déserte ne perdit pas patience et espéra tous les jours trouver un compagnon pour partager ses aventures passionnantes.

Un soir il entendit des bruits, prit son arme et alla voir près des buissons. Il faisait noir et Alexander était très fatigué. Il décida alors de se coucher en pensant à une fausse alerte, mais en vérité une personne s'était introduite dans l'île.

Le lendemain matin Alexander observa des traces de pas juste à côté de l'endroit où il dort. La nuit suivante il entendit des ronflements, les mêmes que la nuit précédente, mais cette fois il n’alla pas se coucher. Après des heures de recherche Alexander épuisé trouve un homme sur la plage. Son corps recouvert d'algues et sans vêtement lui fit prendre conscience que cet homme était le seul survivant d'un naufrage. Il pensa qu'il avait dû nager des heures afin de retrouver la terre ferme.

Alexander fut tout de même soulagé en observant sa respiration. Cet homme était en vie. « J'ai sûrement trouvé mon compagnon » se dit-il … Les oiseaux s’envolèrent en réveillant toute l’île.

L’homme sursauta en voyant Alexander Selkirk à côté de lui. Très vite ils firent connaissance et devinrent les meilleurs amis du monde. Alexander l'appela samedi car c'est le jour où ils se rencontrèrent mais ils durent s'adapter à un environnement hostile. Et les deux hommes construisirent une grande maison isolée sur la plage. Cet endroit était paisible et ils purent ainsi observer cette magnifique île où ils vécurent heureux toute leur vie.

Maxime, 5°1.

(10)

Alexander avait appris à vivre sur une île déserte, la Mas a Tierra.

Il devait se nourrir avec tout ce qu’il trouvait dans la nature et surtout jugé bon pour lui. Il avait déjà essayé de s’échapper avec un bateau qu’il avait bricolé mais il était beaucoup trop lourd pour le mettre à l’eau.

Six mois après le naufrage ...

Un étranger accosta sur l’île où se trouvait Alexander et tous deux sympathisèrent…

L’étranger lui raconta sa mésaventure.

« Moi, je venais d’Angleterre et je voulais fuir, car la guerre était déclarée dans mon pays. Je refusais de supporter les cris, les explosions et d’autres drames comme voir les membres de ma famille se faire tuer les uns après les autres. Je préférais fuir plutôt que d’être confronté à la guerre… C’est dans ce contexte que je partis de mon pays avec mon bateau et pris le large sur l’Atlantique. Ne sachant pas où aller précisément j’emportai quelques victuailles avant de me lancer dans ce périple…

Après de longues et fatigantes heures de navigation une tempête éclata, les vagues étaient déchainées et le vent soufflait à une allure effrayante. Mon voilier s’était retourné et je partis à la nage pour essayer de rester en vie, mais après plusieurs heures de brasse je m’évanouis sur cette île et me voici vous détaillant mes épreuves. »

A l’issue de ce long récit Alexander resta bouche bée un moment, puis il lui raconta son histoire, comment et pourquoi il était arrivé là au beau milieu de la mer.

Après plusieurs mois de cohabitation les deux naufragés eurent de moins en moins de nourriture et pensaient retourner dans leur pays natal. Alors Jones proposa de fabriquer un bateau pour partir mais Alexander lui dit qu’il avait déjà tenté ce projet mais qu’il avait échoué.

Ils réfléchirent longtemps avant d’admettre que construire un bateau était l’idée la plus censée à réaliser, puis ils allèrent se coucher en pensant comment procéder le lendemain pour façonner leur bateau.

A l’aube, les deux hommes se mirent au travail et commencèrent à couper du bois pour faire des planches et constituer la coque. Après les premières étapes de la fabrication, à midi ils déjeunèrent…

Rapidement ils se remirent au travail pour produire davantage de planches, mais elles devaient être bien droites et lisses pour pouvoir former la coque.

Une tâche qui rendait le travail plus difficile encore, pourtant ils continuaient et ne se décourageaient pas …

Trois semaines plus tard ils avaient achevé la coque étanche de leur bateau.

(11)

Deux mois s’écoulèrent avant qu’ils puissent hisser le mat et les voiles…

Ils poursuivirent leur travail acharné pendant trois semaines. Enfin leur bateau était prêt et les matelots aussi. Alexander et Jones préparèrent leur départ et remplir l’embarcation de nourriture et d’eau douce pour se rendre vers le Chili et pouvoir revivre normalement…

Quand tout fut près, ils partirent…

C’était loin le Chili, à plus de six cents kilomètres. Ils naviguèrent pendant plus de trois semaines et toujours rien à l’horizon…

Un jour pendant que Jones prenait la barre et Alexander se reposait, Jones cria : - Terre en vue ! Vite lève-toi Alexander je vois une terre, nous arrivons !

- Quoi ! Comment ! Vite, accostons !

- Ne sois pas si pressé sinon on va se tromper ! Tu ne veux quand même pas qu’il nous arrive quelque chose à quelques mètres proches de la terre ferme !

En accostant, ils se regardèrent et explosèrent de joie. Ils avaient réussi à naviguer pendant trois semaines jusqu’au Chili et avaient battu un record de navigation ...

Ils furent accueillis comme des héros et leurs familles les accueillirent avec joie. La vie reprit son cours et les habitants de leurs villages n’oublièrent jamais Alexander et Jones.

Jeanne, 5°1.

(12)

Cela faisait déjà six mois qu’Alexander Selkirk était seul, sur l’île Mas a Tierra.

Il avait appris à vivre avec ce que la nature lui offrait, bien qu’il n’appréciait pas tout ce qu’il mangeait, ou bien, sa façon de vivre rudimentaire.

Un jour, alors qu’il pêchait dans les eaux claires d’une rivière, il entendit un appel à l’aide qui semblait venir de la plage. Il courut dans cette direction.

Serait-ce une autre personne ?, se demanda Alexander Selkirk.

Il chassa cette question qu’il trouvait stupide de son esprit. Bien sûr, que c’était un humain. Un animal ne pourrait pas crier « Au secours ! ». Mais, cela faisait si longtemps que l’ancien marin n’avait vu personne que la perspective de rencontrer quelqu’un lui semblait impossible...

Arrivé à la plage, il rencontra un petit garçon qui hurlait dans l’eau. Il ne savait pas nager, car, à l’endroit où il était, la mer n’était pas profonde.

Alexander Selkirk rattrapa rapidement l’enfant et l’emmena hors de l’eau.

« Eh, petit, ça va ? Tu ne t’es pas fait mal ? Et, comment tu t’appelles ? demanda-t-il.

- Oui, oui, je vais bien, je ne me suis pas blessé, répondit le petit garçon en séchant ses larmes. Je m’appelle Liam, j’ai cinq ans.

- Comment es-tu arrivé ici ?

- Ma famille et moi étions sur un bateau. Mes parents sont explorateurs, et, pour mon anniversaire, ils m’avaient emmené avec eux. Mais il y a eu une tempête et je suis le seul survivant… »

Et les pleurs de Liam reprirent de plus belle. Il confia à Alexander Selkirk qu’il ne savait pas comment survivre ici. Celui-ci lui répondit qu’il était sur cette île depuis six mois. Le petit garçon le regarda avec des yeux ébahis.

Alexander et Liam partirent pêcher. Avec surprise, l’adulte découvrit que le petit garçon était très doué. Il était vif et agile, ce qui lui permettait d’attraper les poissons les plus rapides.

Ensuite, ils cueillirent des fruits exotiques qui poussaient en abondance sur l’île. Liam était trop petit pour prendre les fruits, trop hauts pour lui. Alors, Alexander Selkirk le mit sur ses épaules.

Le petit garçon riait en saisissant les fruits et, parfois, croquait dans les plus appétissants.

C’est ainsi que les deux amis vécurent sur leur île. Liam était comme un fils pour Alexander Selkirk. Un jour, un bateau s’arrêta sur l’île et les ramena en Angleterre. Alors, la famille de l’ancien marin adopta l’enfant.

Esther, 5°1.

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