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VICTOR HUGO EN MUSIQUE

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Academic year: 2022

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Texte intégral

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Samedi 24 octobre 2020 - Théâtre du Casino PROGRAMME DE SALLE

VOIX

D’AUTOMNE

EN PARTENARIAT AVEC

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VICTOR HUGO EN MUSIQUE

Vladimir Kapshuk

baryton

Benjamin Laurent

piano

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Gluck et Weber, deux compositeurs admirés par Victor Hugo extraits de

CHRISTOPH WILLIBALD GLUCK 1714-1787 Iphigénie en Tauride

créé en 1779

Armide

créé en 1777

CARL MARIA VON WEBER 1786-1826 Der Freischütz

créé en 1821

Victor Hugo librettiste extraits de

LOUISE BERTIN 1805-1877 La Esmeralda 

créé en 1836

Opéras inspirés de pièces de théâtre et de romans de Victor Hugo extraits de

JULES MASSENET 1842-1912

Don César de Bazan 

composé d’après Ruy Blas,créé en 1872

CÉSAR CUI 1835-1918

Angelo 

composé d’après Angelo, tyran de Padoue, créé en 1876

GIUSEPPE VERDI 1813-1901 Ernani 

composé d’après Hernani, créé en 1844

GIUSEPPE VERDI 1813-1901

Rigoletto composé d’après Le Roi s’amuse,

créé en 1851

FRANZ SCHMIDT 1874-1939

Notre-Dame 

composé d’après Notre-Dame de Paris, créé en 1914

ALEXANDRE DARGOMYJSKI 1813-1869

Esmeralda

composé d’après Notre-Dame de Paris, créé en 1950

Victor Hugo, poète mis en musique

Sélection de mélodies de Georges Bizet, Charles Gounod, Franz Liszt, Hector Berlioz, Gabriel Fauré, César Franck, Camille Saint-Saëns, Gaetano Donizetti, Marie Jaëll, Reynaldo Hahn et Richard Wagner

PROGRAMME

Concert ponctué de lecture de textes de Victor Hugo

1802-1805

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Pouchkine en 2018, Cervantès en 2019… 

Comment en êtes-vous arrivés à vous pencher sur Victor Hugo ?

benjaminlaurent. J’aime travailler sur les grands créateurs, écrivains, peintres et musiciens, et étudier comment leurs œuvres se répondent d’un domaine à l’autre. Travailler sur Pouchkine revenait à se pencher sur un symbole de la Russie tout entière, créateur de la littérature russe et père fondateur de la poésie, du théâtre et du roman russes.

Beaucoup de grands musiciens russes ont puisé leur inspiration dans son œuvre. Aborder Cervantès l’an passé, c’était s’immerger dans Don Quichotte, considéré comme le premier roman de la littérature, comme une œuvre d’une extraordinaire modernité, un phénomène mondial qui a suscité un grand nombre d’adaptations musicales. Victor Hugo est à la mesure de ces deux génies littéraires  : auteur inépuisable – son œuvre est bien plus vaste que ce que l’on en connaît en général –, personnage fascinant, il représente la France et est peut-être, à l’échelle du monde, notre écrivain le plus universel. Cette portée m’intéresse particulièrement. Il est fascinant de voir comment Hugo est considéré dans les autres pays, comment ses textes, traduits, inspirent d’autres créateurs.

vladimirkapshuk. Je connaissais les œuvres majeures de Hugo comme Notre-Dame de Paris ou Les Misérables, que j’avais lues à l’école, et j’ai découvert sa poésie plus tard.

Depuis que j’ai appris la langue française, je peux réaliser pleinement la beauté de sa langue littéraire. J’avais très envie de pénétrer plus en profondeur dans son œuvre, d’en aborder à la fois toute la diversité, mais aussi d’explorer tous les visages de l’homme.

Qu’est-ce que sa langue a de si particulier qui la rend si universelle et inspirante pour la musique ?

benjaminlaurent. La relation entre poésie et musique est, de façon générale, évidente : la première figure présentée à

« VICTOR HUGO EST UN GÉNIE VISIONNAIRE ET UN FORMIDABLE CONTEUR » Vladimir Kapshuk et Benjamin Laurent

l’opéra fut Orphée, un poète-chanteur. Or l’art poétique est un art sonore, avec ses jeux de rimes, ses assonances, ses allitérations, la scansion du texte… Un musicien ne peut qu’y être sensible. Hugo poète est un génie visionnaire – au sens où il déploie des visions, un art visuel – et un formidable conteur : il a un sens aigu de l’art de la narration comme de la dénonciation politique, une parfaite maîtrise du suspens, du retardement des révélations, et surtout il est animé d’un souffle épique. Tout cela est ancré dans sa poésie autant que dans ses romans ou son théâtre. La puissance des images hugoliennes et l’énergie de sa langue ne peuvent que stimuler formidablement l’imaginaire du compositeur.

Dans l’immensité de la production hugolienne, peu de poèmes sont mis en musique – toujours les mêmes, les plus courts. Quelques compositeurs –  Saint-Saëns, Berlioz, qui maîtrisent eux aussi la narration en musique – se sont frottés à des textes plus longs pour en faire de vraies petites scènes d’opéra. La poésie de Hugo les a incités finalement à renouveler la forme de la romance à la française et de la mélodie. Il est certain que ce maître des rebondissements et des dénouements spectaculaires va également influencer l’opéra.

vladimirkapshuk. Je ressens pour ma part, en tant que chanteur, une immense sensibilité dans la langue de Hugo.

Cet écrivain est un grand romantique, dans le sens où il explore véritablement les sentiments, avec une langue effectivement très imagée que je me plais à colorer.

Victor Hugo a exploré différents genres littéraires – théâtre, roman, poésie… Est-ce cette diversité qui permet aussi aux compositeurs d’associer sa langue à différents genres musicaux – opéra, mélodie ?

benjaminlaurent. Oui, tout à fait. Hugo est essayiste, ro- mancier, poète, dramaturge, homme politique, dessinateur de grand talent… Que n’était-il pas capable de faire ? Au sein même de ses œuvres, il mélange les genres avec un

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art confondant, passant du comique au tragique, du lyrique à l’épique. Cet art protéiforme a inspiré de grands drames à l’opéra, comme Angelo, tyran de Padoue de César Cui, ou des opéras-comiques légers comme Don César de Bazan de Massenet – un personnage de Ruy Blas. On passe du rire aux larmes tout en étant tenu par une narration et un sens de l’épique flamboyants. Il est étonnant néanmoins de voir que ce n’est pas en France qu’il existe le plus grand nombre d’opéras inspirés de Hugo. On sait que Bizet avait entrepris une Esmeralada, restée inachevée, qu’Ambroise Thomas avait commencé un Ruy Blas qu’il n’a pas mené à terme.

Les opéras les plus connus inspirés de ses textes sont ceux des Italiens, Verdi et Donizetti.

On sait que Victor Hugo avait noué des liens d’amitié avec Liszt et Berlioz, qu’il aimait la musique du passé, qu’il était engagé au sein du Cénacle qui rapprochait des artistes défendant les vertus du romantisme. Savez-vous s’il pratiquait lui-même la musique et ce qu’il en défendait ?

benjaminlaurent. Victor Hugo ne pratiquait pas d’instru- ment, mais par contre allait au concert et fréquentait des musiciens, grâce auxquels il a découvert des composi- teurs. Il a été très frappé par les musiques de Gluck et de Weber. Il écrit même qu’il préfère Gluck à Mozart. Il connaît aussi la musique ancienne, ce qui est assez audacieux à son époque. Il rend hommage à Palestrina, par exemple, dans son poème Que la musique date du seizième siècle. Il fréquentait et respectait Liszt, qui lui a fait découvrir les lieder de Schubert.

Comment avez-vous pensé ce programme ?

vladimir kapshuk. Lorsque nous avons travaillé sur Pouchkine, il nous est apparu comme une évidence que la musique ne suffisait pas pour exprimer toute la beauté de l’œuvre littéraire. Nous avons donc réfléchi à un format

de concert associant texte et musique. C’est un grand plaisir pour moi d’aborder les œuvres que Hugo a inspirées, mais aussi celles qu’il a aimées. Ce sont de nombreux personnages à incarner, à faire vivre. La palette est large.

Ce format de concert permet de partager un maximum de choses avec le public et ne crée pas cette distance qu’il peut y avoir dans un récital classique.

benjamin laurent. Nous sommes ici deux musiciens à la recherche de Victor Hugo, qui souhaitons en faire un portrait aussi riche et fidèle que possible. Nous avons tenté de rendre compte de l’étendue du génie du créateur et de la diversité de sa production à travers un parcours musical riche et varié, qui passe par ses adaptations musicales.

Nous proposons donc des extraits d’opéras inspirés par des pièces de théâtre ou des romans de Hugo, des mélodies composées sur ses poèmes mais aussi des extraits de la Esmeralda de Louise Bertin, seule œuvre lyrique sur laquelle Victor Hugo a accepté de travailler comme librettiste. Nous donnerons également un lied de Schubert, compositeur qu’il admirait beaucoup. Chaque œuvre que nous présentons est l’occasion d’avoir une réflexion sur le personnage de Hugo et son travail, de voyager à travers l’homme et l’œuvre.

Qu’est-ce qui vous a guidés dans le choix des extraits de textes que vous intercalez entre les œuvres musicales ?

benjaminlaurent. J’adore le théâtre depuis toujours  : si je travaille dans le domaine de l’opéra, c’est pour faire se croiser deux passions, le théâtre et la littérature, avec la musique. J’aime être au contact de textes, participer à une dimension vivante du spectacle. Je suis pianiste, mais j’aime partager mon plaisir de lecture avec le public. Entre les pièces musicales, je tente donc de recontextualiser, d’expliquer, et je lis des textes de Victor Hugo  : des passages d’Ernani, plusieurs poèmes et des extraits de

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commentaires de Hugo sur la musique, dans lesquels il cite des compositeurs. Je fais aussi mention d’un texte inédit que nous avons retrouvé sur Beethoven, que Hugo affectionnait énormément – « Ce grand sourd qui sondait l’infini ». J’aime particulièrement décortiquer ces rapports entre auteur et compositeur, car lorsqu’un compositeur met en musique un texte, il s’en empare véritablement pour en donner une nouvelle création, parfois en en modifiant même la forme.

Vous avez été tous les deux en résidence à l’Académie de l’Opéra national de Paris.

Qu’en retenez-vous ?

benjaminlaurent. Le programme de l’Académie destiné à de jeunes chanteurs et chefs de chant dure deux ans, maximum trois ans. Je l’ai suivi pour ma part il y a maintenant six ans, et j’y ai noué des liens forts. Après deux années de résidence, j’ai proposé des initiatives qui dépassaient le cadre de mon rôle de pianiste chef de chant  : j’ai présenté des concerts jeune public, adapté mon discours à l’âge des enfants auxquels je m’adressais, arrangé plusieurs musiques de spectacle. Une relation de confiance s’est instaurée. Je suis aujourd’hui un collaborateur régulier de l’Académie, qui m’a proposé de diriger Bastien et Bastienne de Mozart en novembre prochain. L’Académie donne la chance d’être en immersion totale dans une grande maison, de fréquenter des formateurs qui sont de grands artistes, d’avoir des master- classes avec de grands chanteurs, de voir les productions de l’Opéra en coulisses et en répétition, d’avoir l’occasion régulièrement de s’entraîner sur scène. Tout cela est une chance formidable. Avec Vladimir, nous nous sommes rencontrés une année après la fin de ma résidence.

vladimirkapshuk. Ma résidence à l’Académie de l’Opéra a été une étape importante dans mon parcours, un tremplin vers une vie professionnelle plus développée. On nous y donne la possibilité, l’espace et le temps de pouvoir nous exprimer dans différents registres, ce qui est fondamental pour un jeune artiste. Nous y sommes aidés, guidés,

encadrés. J’y ai fait de magnifiques rencontres avec des professionnels mais aussi avec des amis. Notre collaboration avec Benjamin en est un très bel exemple.

Je le considère comme un professionnel hors pair et un grand ami.

Comment travaillez-vous ensemble ?

vladimir kapshuk. Pour Pouchkine, j’étais plutôt force de proposition pour les textes car je suis un amoureux inconditionnel du poète. Pour Hugo, la situation s’est inversée : Benjamin a fait un grand travail de recherche de textes et de répertoire. Je me suis concentré sur les adaptations de l’œuvre de Hugo dans le répertoire russe, et nous avons découvert des merveilles ! Nous sommes très complémentaires. Chacun propose ses idées, ses envies, puis nous choisissons ensemble. Ce n’est pas toujours facile car nous voulons faire un portrait exhaustif mais sommes limités dans la durée du concert. Il faut trouver un juste milieu entre ce que nous voulons faire et ce que nous pouvons faire. Il faut également que ce que nous proposons s’articule bien, avec cohérence, afin que le public ne se trouve pas submergé.

benjaminlaurent. J’apprécie énormément de travailler avec un chanteur comme Vladimir, extrêmement intelligent et cultivé. Notre première collaboration, sur Pouchkine, a été un déclencheur : Vladimir maîtrise parfaitement le rapport étroit à la culture et à langue, qui est fondamental dans ces concerts-spectacles. Il a cette sensibilité au texte et à la littérature qui facilite le travail ensemble et rend magnifique cette collaboration.

Propos recueillis par Claire Boisteau

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BIOGRAPHIES

Artistes de l’Académie de l’Opéra national de Paris L’Académie de l’Opéra national de Paris s’est donné trois missions : la transmission, construction de l’avenir à partir des acquis du passé, la formation, investissement pour l’avenir, et la création, qui réunit le passé et l’avenir dans un geste du présent.

Artistes et artisans : l’Académie réunit de jeunes professionnels artistes, chanteurs, chefs de chant, musiciens d’orchestre, metteurs en scène, et artisans en couture, menuiserie, tapisserie, matériaux composites ou encore ingénierie d’étude.

L’Académie de l’Opéra de Paris développe ses liens à l’international, auprès d’autres grandes institutions lyriques : des programmes d’échange se créent peu à peu et font venir à l’Opéra Bastille, et maintenant à Évian, des jeunes du Bolchoï ou du Metropolitan Opera de New York.

Vladimir Kapshuk baryton

Baryton franco-ukrainien, Vladimir Kapshuk travaille le chant à l’Académie nationale de musique de Kiev, où il obtient son diplôme avec le premier prix. Il rejoint ensuite l’Atelier lyrique de l’Opéra national de Paris, où il participe à de nombreuses productions, concerts et master- classes qui lui permettent d’élargir son répertoire et de se perfectionner, notamment dans le répertoire français.

Dans le cadre du Festival de Salzbourg, où il travaille avec Christa Ludwig et Thomas Allen, il intègre le Young Singers Project. Lauréat du concours international L’Art du XXIe siècle, Vladimir Kapshuk reçoit également le prix lyrique du Cercle Carpeaux et le prix lyrique de l’Association pour le rayonnement de l’Opéra national de Paris. Son répertoire comprend, entre autres, les rôles de Valentin (Faust, Gounod), du Prince Eletsky (La Dame de pique, Tchaïkovski), de Guglielmo (Così fan tutte, Mozart) et les rôles-titres de Don Giovanni de Mozart et d’Eugène Onéguine de Tchaïkovski.

À l’Opéra national de Paris, il chante dans de nombreuses productions telles que Don Carlo (Verdi), Idoménée (Mozart), Billy Budd (Britten), Les Contes d’Hoffmann (Offenbach), Madame Butterfly (Puccini) ou encore Le Barbier de Séville

(Rossini). Plus récemment, il chante Don Carlos (Les Fiançailles au couvent, Prokofiev) au Capitole de Toulouse, et fait ses débuts avec le rôle-titre d’Aleko (Rachmaninov) et Robert (Iolanta, Tchaïkovski) à la Philharmonie de Berlin.

En 2016, il participe au spectacle jeune public de l’Opéra national de Paris La Petite Renarde rusée (Janáček).

Benjamin Laurent piano

Diplômé des conservatoires nationaux supérieurs de musique et de danse de Paris et de Lyon (direction de chant, écriture, pédagogie), Benjamin Laurent est pianiste accompagnateur et chef de chant depuis plusieurs années.

En octobre 2014, il entre à l’Atelier lyrique de l’Opéra national de Paris : il y assure les répétitions piano de la création Maudits les innocents de Mikel Urquiza, Julian Lembke, Didier Rotella et Francisco Alvarado, d’Iphigénie en Tauride de Gluck, de Così fan tutte de Mozart (saison 2014- 2015), ainsi que du Barbier de Séville de Rossini (2016).

Depuis 2018, il est régulièrement invité par l’Académie de l’Opéra national de Paris pour assurer la direction musicale et les arrangements de spectacles. En novembre 2020, il dirige l’opéra jeune public Bastien et Bastienne de Mozart à l’Amphithéâtre de l’Opéra Bastille.

Benjamin Laurent travaille pour de nombreuses scènes internationales comme le Festival d’opéra de Wexford, l’Opéra de Monte-Carlo, le Festival d’Aix-en-Provence, les opéras de Lille et de Rouen, le Théâtre Bolchoï de Moscou et le Teatro Colón de Buenos Aires. 

Chef de chant associé à l’orchestre Les Frivolités Parisiennes, Benjamin Laurent est également compositeur.

Il est l’auteur de plusieurs musiques de courts-métrages, de documentaires et de musiques de scène pour le théâtre. Il a également réalisé pendant deux saisons l’émission hebdomadaire Les Actualités chantées pour la matinale de France Musique avec la journaliste et chanteuse Cécile de Kervasdoué. Très intéressé par la pédagogie, Benjamin Laurent est titulaire du certificat d’aptitude aux fonctions de professeur d’accompagnement et présente régulièrement les concerts jeune public à l’Opéra national de Paris.

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AVEC LE SOUTIEN DE

Retrouvez l’intégralité de la saison 2020-2021 sur www.lagrangeaulac.com

DU 23 AU 25 OCTOBRE 2020

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