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[Galerie de tableaux, exposition "Hodler, Buri, Vautier"...]

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6

JLA

T R I B U N E D E G E N E V E d n 1 e r O C T O B R E 1 9 1 3

LA VIE GENEVOISE

D A N S L E S SO C IÉ T É S

Société des Arts

L a classe d ’agriculture est convoquée pour sam edi à 10 h. dn m atin, à l’Athénce.

Ordro d u jo u r : Quelques m ots su r une im ­ p o rtatio n de porcs de race Y orkshire,parM . A . M artin; D u pain bis, recherches su r la meilleure composition des farines, p ar M. Flocard, m édecin-vétérinaire; P résentation de nouveaux membres.

* Dam ier des Eaux-Vives

C ette société rappelle aux am ateurs du jeu dc dames, qu’ils seront les bienvenus aux séances des jeudis e t sam edis à 8 h .% au café Bel, rue des Eaux-V ives, 9.

Harmonie-Grutli

C ette société organise u n cours d ’élèves qui com m encera le lundi 6 octobre au local (salle de gym nastique rue de Malagnou, au 2e étage). Solfège, cuivre, clarin ette e t saxo­ phone. Solfège e t cuivre p ar M. le profes­ seur Louis G ay, directeur de la Société; Solfège, clarin ette e t saxophone p a r M. le professeur Léon H ogstoel, 1er p rix du C onservatoire de Paris.

S'inscrire les m ercredis e t sam edis de 6 à 9 heures du soir au local e t tous les jours b ras­ serie d u G rutli, rue des Corps-Saints, 9. P rix d u cours, 5 fr. p a r mois.

Rhododendron . , ,

Le R hododendron (club alpin de P lain ­ palais) a u ra son assemblée mensuelle ce soir m ercredi à 8 h . café Beunier, avenue du Mail 15.

Société de Sauvetage du Léman

L ’assemblée mensuelle au ra lieu ce soir

à 9 heures, a u local, 2, rue d ’E nfer, café Mugnier.

Club Hygiénique de Plainpalais

L es mem bres du C. H. P. sont avisés que la Société a a tte in t en 1913 sa 30me année d ’existence e t que son com ité a pensé bien faire en com m ém orant dignem ent ce glo­ rieux anniversaire, e t il fera des propositions d ans ce b u t à la prochaine assemblée géné­ rale qui au ra lieu le mercredi 8 octobre prochain à 8 h. % dans- le nouveau local, Ecole, rue des M araîchers, entrée côté des garçons. ,

Comme los années précédentes, lin cours de culture physique raisonnée comm encera le lundi 6 octobre dans la salle de gym nastique d u B oulevard Carl-Vogt, entrée rue des M a­ raîchers.

Ce cours est placé sous la direction de M. Corboud, m oniteur spécial d o n t la com ­ pétence en la m atière est une g arantie cer­ tain e de réussite. Inscriptions au x premières jeçons.

Fanfare de tempérance

U n cours d ’élèves cle solfège sera donné sous la direction de M. Marschal, directeur, P o u r les inscriptions, s’adresser à M. D ur renm ath, président, rue Verdaine, café de tem pérance. Nous profitons de l’occasion p our in v iter les abstinents connaissant la m usique à se joindre à nous.

Les répétitions o n t lieu le m ercredi e t le sam edi soir, à 8 h. à l’école des Case m ates.

Trèfle à Quatre

L a sortie pique-nique annoncée p a r la so ciété anti-alcoolique «L e T rèfle à Q uatre» p our le dim anche jour d u Jeû n e fédéral n ’a y a n t pas eu lieu vu le m auvais tem ps d u jo u r précédent, la société organise d i­ m anche 5 octobre prochain une après-m idi fam ilière d ans les jardins d u café-chocolat Schm idt, à Carouge. Le program m e sera a n ­ noncé ultérieurem ent. I l y au ra des jeux e t am usem ents pour p e tits e t grands. R es­ tau ratio n à volonté.

sur le Val d'A nniviers; il est donc certain que cette année encore, un public fidèle suivra avec in térêt les efforts de cette p h a ­ lange de jeunes gens, alpinistes e t soldats, m e tta n t en com m union plus intim e la m on­ tagne e t la p atrie, pour glorifier cette Suisse bien aimée.

PHILANTHROPIE

Ouvroir de Carouge

Nous rappelons qu’au jo u rd ’hui 1er octobre de 10 heures du m atin à 6 heures du soir e t dem ain 2 octobre de 10 heures du m atin à 10 heures du soir, au ra lieu à la Salle des fêtes de Carouge la vente en faveur de l’O uvroir de Carouge.

Société militaire

des Carabiniers genevois

L a Société m ilitaire des Carabiniers gene­ vois a u ra dim anche 5 octobre de 8 h. y2 à vm idi e t de 1 h. y2 à, la nuit, son grand ti r à p rix annuel au Stand de Saint-Georges. A m idi 15, dîner facultatif au restau ran t du S tand.

Cible société.— Au plus près du centre. C ar­ to n divisé en 2 zones. Mouche de 10 cm. (drapeau jaune) levée e t mensurée. Le reste d u carton divisé en 10 points (drapeau rouge). Ir e passe obligatoire de 3 coups, 5 fr. (4 coups p o u r le fusil). Reprises : 1 fr. le coup. Le t i ­ re u r qui n ’au ra pas fait de carto n dans les 10 prem iers coups, a u ra le d ro it de tire r g ra­ tu item en t ju sq u ’à concurrence d ’un carton. Le tire u r ne pourra faire que 3 cartons. D o ta ­ tio n : 80 % des dons d ’honneur; 75 % de la re c e tte ; allocation de la société, 100 fr. lo r prix, 50 fr. ; 2me 40 fr. ; 3me 35 fr. ; 4me 30 fr. ; 5me 25 fr. ; dernier p rix 6 fr. Une prim e est offerte à to u t tire u r a y a n t fait 3 cartons (à retire r de suite). T o u t tire u r ay a n t fa it un carton a droit à un prix. Tous les prix s o n t délivrés en espèces ou en argenterie. Réserve : Une finance supplém entaire de 2 fr. e st exigée de tous les tireurs n ’ay a n t pas fait leu r tir m ilitaire dans la société, ou ne faisant pas p artie de celle-ci.

Cible M ilitaire : Accessible seulem ent aux tireu rs a y a n t fa it le ti r m ilitaire dans la So­ ciété (fusil seul admis). 1 m. (50 divisé en 20 cercles. A ux points additionnés de la passe de cinq coups. Apvuis p a r la 2m e e t 3me passe. Ire passe obligatoire, 2 fr. les 5 coups; 2 reprises à 1 fr. chacune. Tous les tireurs o n t d ro it à u n prix. D otation : allocation de la Société, 50 fr.; prix de l’E ta t ; 10 % des dons d ’honneur; to u te la recette moins les frais. P rem ier prix, 20 fr.; dernier prix, 3 fr.

Cible Bonheur : au plus près du centre. C arton de 25 cm. (drapeau rouge) pour c a ra ­ bine e t fusil; mouche do 10 cm. (drapeau jaune) levée pour les prix. Ire passe obligatoi­ re : 4 fr. les 5 coups; reprises illimitées, 2 fr.50 les 5 coups; fusil, 2 fr. 50 los 6 coups.D otation: Allocation de la Société, 100 fr.; 10 % des dons d ’honneur. Après prélèvem ent du 20 % e t des primes, la recette sera répartie 2/3 en p rix e t 1/3 au x cartons e t mouches ne fai­ s a n t pas prix. Prem ier prix, 40 fr. ; dernier p rix, 5 fr. T o u t tire u r a y a n t fait une mouche u. d ro it à un prix. Prim es de mouches t pour 3 mouches, 5 fr. ; 5 mouches, 10 fr. ; 10 m ou­ ches, 25 fr. (à retire r p en d an t la durée d u tir). Cible Libre : S ur la cible de 1 m. 50, divisé en 20 cercles. C arton : coup de 17 à 20. Passe de 5 coups : 1 fr. 25. Pour 6 cartons, il sera délivré la primo 1913. Tous les autres ca r­ to n s seront répartis.

Les prix pourront être retirés à p a rtir du 28 octobre au local de la société, brasserie d u Progrès, 10 quai de la Posto.

N ou velles religieu ses

Evangélisation populaire

L a tente, que le com ité de l’Evangélisa­ tion populaire av a it fa it dresser su r la plaoe de la N avigation aux Pâquis a été dém ontée lundi m atin. P e n d a n t quinze jours les séan­ ces, sauf in terru p tio n du sam edi 20 septem ­ bre, s’y so n t succédé a ttir a n t des auditoires parfois trè s nom breux. P o u r faire suite à ces séances des réunions publiques e t g ratuites au ro n t lieu dès le vendredi 3 octobre à 8 h.30 d u soir à la salle des Buis, rue des Buis, 9 e t se poursuivront jusqu’à nouvel avis tous les vendredis soir. MM. A. de Meuron e t E. Sau- vin présideront la séance de vendredi pro­ chain.

Cultes à la Salle Centrale

Dès dim anche prochain 5 octobre à 4 heu ­ res après-m idi, M. le p asteu r Sauvin repren­ d ra ses cultes avec prédication à la Salle C entrale, Madeleine 10. Ces services reli­ gieux destinés su rto u t au x personnes em pê­ chées d’assister à quelque culte le dim anche m atin au ro n t lieu comme l’hiver dernier ch a­ que prem ier dim anche du mois.

Armée du Salut

On nous écrit :

D im anche, to u t u n contingent d ’Indous vien d ro n t m ontrer en paroles e t en scènes, les progrès im menses du christianism e p a r­ mi les trois cents millions d ’h ab itan ts des Indes. R éunions publiques e t g ratuites à 10 h. du m atin (rue de F ribourg,3) e t à 3 h. (Bd. d u P o n t d ’Arve, 20). Le soir, à 8 h., conférence dém onstrative à la grande salle de la Réform ation. Cartes d ’entrée pour cette dernière conférence en vente aux adresses sus-indiquées (voir affiches en ville).

L ’ évêque de Novare à Genève

D im anche au ra lieu à la Chapelle italienne Ste-M arguerite une grande fête à l’oecasion de la visite de Mgr G. G am ba, évêque de N ovare (Italie) qui v ien t visiter ses nom ­ breux diocésains émigrés.

E n préparation à cette fête, Mgr Gam ba prêchera les jeudi, vendredi e t sam edi, 2, 3 e t 4 octobre à 8 h. 1/4 du soir, ruo de la Mairie, 17, Eaux-V ives.

Tous les Italiens sont cordialem ent invités aux prédications du soir; e t particulièrem ent au x cérémonies du dim anche. Mgr offi­ ciera e t prêchera à le. grand’messe de 10 h e u ­ res ainsi qu’au x vêpres à 3 h. de l’après-midi.

UNE DATE MEMORABLE

La loi du 30 septembre 1882

Nos forces hydrauliques

L E S S O I R É E ®

Projections alpestres

L ’Arole e t la chorale du bataillon 10 annoncent p our cet autom ne, h la grande

Balle de la R éform ation, une soirée de p ro ­ jectio n s avec le concours de M. le pasteur A lbert Thom as et de M. Charles Gos, homme de lettres.

Les repétitions dc ch an t se poursuivent activem ent sous la direction de M. le p ro ­ fesseur Pia’ntoni, au x locaux respectifs des deux sociétés, soit le jeudi soir dès 8 h. y% au local de l’Arole, Casino de Saint- P ierre ot le lundi soir, au local de la So­ ciété m ilitaire, rue des Granges.

O n sc rappeüa l’énorm e succès des Béances

I l y a v a it hier tre n te e t u n ans que le G rand Conseil v o ta it l’une des lois les plus im portantes qui aient jam ais été soumises à ses délibérations : celle accordant à la Ville de Genève la concession des forces hydrauliques.

Aussi bien, au m om ent où, au Conseil d ’E ta t, au G rand Conseil, au Conseil m u­ nicipal de Genève, aux Cham bres fédérales même, il est question des forces motrices du R hône, est-il intéressant de jeter un coup d ’œil en arrière, sur les d éb u ts de l’œ uvre accomplie au jo u rd ’hui en grande partie.

C ette œ uvre est im m ense; elle est, en grande p artie celle d ’u n seul hom m e, T héo­ dore T u rre ttin i; ses concitoyens, reconnais­ sants, donneront u n jo u r son nom à la plus belle ru e de la Genève nouvelle.

Puisse M. T u rre ttin i, dans sa retraite, contem pler longtem ps encore les résultats heureux de ses efforts magnifiques.

M. T u rre ttin i — et, il f a u t le reconnaître, quelques techniciens a v a n t lui — a v a it deviné les richesses enfouies dans notre Rhône, richesses que l’on baptisa, plus ta rd , du nom de « houille blanohe ».

Si la vieille Genève av a it possédé une ins dustrie prospère, grâce au R hône e t à se- très nom breux moulins, qui to u rn aien t à « bon m arché », il n ’en fu t plus de même vers le milieu du X IX m e siècle, à l’apparition de la coûteuse vapeur à un m om ent où l’étude de l'utilisation des chutes d ’eau é tait encore dans l’enfance.

L a prem ière m achine hydraulique fu t construite en 1708 : elle n’a v a it d ’au tre rôle à jouer qu’à distribuer l’eau ménagère. Il y av a it encore, à cette époque, les fameuses « estacades », d o n t on retrouve les traces, en cas de très basses eaux, près des Pâquis, à Plongeon même.

On bâtissait, su r l’eau, e t su r ses abords, à la « bonne fran q u ette », sans tro p s’occuper d ’un plan général:

L orsqu’on voulut commencer, en 1875; (MM. T urrettini e t A chard) des tra v a u x sé­ rieux pour l’utilisation des forces du Rhône, on se tro u v ait déjà en présence des projets de P. Micheli, Vallée e t Lullin (1869), de ceux dc MM. Pestalozzi e t Lçgler (en 1875).

U ne prem ière dem ande de concession fu t présentée p a r M. H enneberg en 1878, un second en 1881. Mais la Ville de Genève veillait e t o b tin t — su r son opposition à accorder un monopole à des particuliers — l’ajournem ent de toutes les tractations.

La Ville m it le tem ps ainsi gagné à profit e t procéda à des études approfondies, qui fu ren t assez rapidem ent term inées, en dépit d ’énormes diffioultés. L ’expression « énor­ mes » n ’est pas exagérée, si l’on songe qu’à chaque pas en a v a n t, à chaque p ro jet n ou­ veau, la Ville se h e u rta it à l’opposition sé­ culaire des riverains, du canton de Vaud su rto u t e t un peu du Valais. Ne retenons de cette époque un peu agitée, que le bon m ot de Moïse V autier sur la « m appem onde qui penche ».

Le 5 septem bre 1882, sur un très rem arqua­ ble ra p p o rt de M. Théodore T u rrettin i, qui connaissait son su je t à fond, pour l’avoir étudié de très piè=i en 1875, le Conseil m u­ nicipal décidait de dem ander à l’E ta t la concession des forces m otrices du Rhône.

Quelques jours plus ta rd , au G rand Conseil, M. A. G avard présen tait un rap p o rt favora­ ble à la dem ande dc la Ville de Genève. Il est équitable de rappeler ici la mémoire de cet honorable m ag istrat qui fut, en la cir­ constance, le collaborateur le plus efficace, le plus influent aussi de M. Th. T urrettini.

C’est grâce à l’intervention bienveillante de M. A lexandre G avard que MM. H enne­ berg, K archer e t Piachaud retirè ren t leur dem ande de concession m oyennant le rem ­ boursem ent des frais d ’études (35.000 fr.)

Cola se p assait le 22 septembre.

E t lc 30 du même mois, le projet de loi ac­ cordant a la ville dc Genève la concession des forces m otrices du Rhône é ta it ad o p té par le G rand Conseil unanim e.

A ux term es de cetto loi, la Ville de Ge-

j

&

nève est autorisée à étab lir dans le lit du 11 Rhône : 1. à la hau teu r de la machine h y ­ draulique, un barrage transversal sur le bras d ro it du R hôno; 2. en aval de l’île, un b a rra ­ ge m uni de vannes sur le bras d ro it du R hône; 3. les bâtim ents « capables » de rece­ voir des m oteurs destinés à utiliser la force de la c h u te; 4. les constructions nécessaires p our tran sm ettre la force dans toutes les d i­ rections par u n systèm e à fixer ultérieure­ m ent.

Telles étaien t les parties essentielles de l’article premier.

Le président du G rand Conseil é ta it alors, M. Philippe B onneton, le secrétaire, le D r V incent, deux bons citoyens, qui, hélas ! ne so n t plus là pour enregistrer les bons effets de la loi qu’ils av aie n t signée.

L a loi du 30 septem bre 1882 fu t prom ul­ guée le 3 novem bre sous la signature de M. lc chancelier Chalum eau, e t le lendem ain, M. Th. T u rrettin i faisait commencer les tr a ­ vaux.

Que de chemin parcouru depuis oette épo­ que.

GALERIE (le TABLEAUX M j g j i

Exposition «HODLER, BURI, VAUTIER»

d e 9 à 7 h e u r e s =

C O R H E S f > O W D 7 I N C E Les entr’actes

Genève, 1er ootobre. Monsieur le R édacteur,

M aintenant quo nous aurons en présence deux th éâtres de Comédie, ne serait-il pas de bonne guerre pour eux de rivaliser su rto u t pour abréger la longueur des e n tr’actes?

Il y a là, dit-on, une question des plus étrangères à l’a rt : celle de la buvette. Hélas ! trois fois hélas !

L.

CONSEILS MUNICIPAUX

V ille de Genève

O rdre du jour de la séance du vendredi 10 octobre 1913, à 8 h. 1/4 précises du soir, dans la salle du G rand Conseil :

1. F ix atio n des jours e t heures des séances; 2. nom ination de la commission des pétitions; 3. propositions individuelles; 4. rap p o rt de la commission des pétitions; 5. rap p o rt de la commission chargée d ’exam iner la proposition du Conseil adm inistratif pour l’acquisition d ’une parcelle de te rr ;in située dans la comm une de Vernier, propriété de Mme Vexive"Miche-Girod; 6. ra p p o rt de la commission chargée d ’exam iner la proposi­ tion du Conseil adm inistratif en vue de la construction d ’un b âtim en t destiné à des bureaux adm inistratifs pour les services in ­ dustriels; 7. i ap p o rt de la commission c h ar­ gée d ’exam iner la proposition du Conseil adm inistratif pour l’acquisition de l’im meuble rue des Pâquis 22 e t rue G evray, 9; 8. pro­ position du Conseil adm inistratif en vue de l’ach at d ’un im m euble sis rue du Tem ple, 1, propriété de Mme A rtus-M éricnne e t des consorts H ess; 9. proposition du Conseil adm inistratif en vue de la cession gratuite à l’E ta t d’uno parcelle de terrain située dans la com m une de V ernier; 10. proposition du Conseil adm inistratif pour l’acquisition d ’une p a rt de propriété dans l’immeuble place du Tem ple, 43, sur cour; 11 requêtes eD n a tu ra ­ lisation.

Petit-Saconnex

Longue e t laborieuse séance lundi soir, sous la présidence de M. le m aire Georg.

Au nombre des com m unications de la mairie, citons les suivantes :

Mme Veuve B enjam in Soullier remercie pour la concession au cim etière accordée p ar le Conseil, en raison des services rendus p a r son mari.

Le com ité des comm unes genevoises du H aut-R hône sollicite une souscription a n ­ nuelle de cinq francs. Accordé.

MM. Georg e t Cayla, ad jo in t, représen­ te ro n t le P etit-Saconnex à la proohaine assemblée des délégués des Villes suisses.

MM. P o u rra t e t Prodhom , qui avaient adressé à la m airie une réclam ation à pro- pOB du ta rif de la C. G. T. E. (Ville-Char­ milles) recevront satisfaction sous peu. Le com ité de l’exposition cantonale d ’hor­ ticu ltu re remercie p our le subside alloué; celui de la société de tir Le Tell recevra de son côté une subvention do 20 fr.

Le D épartem ent des tra v a u x publics in ­ form e la m airie qu’il a donné, au x condi­ tions d ’usage, à M. Hellé, architecte, l’a u ­ torisation do construire u n clocheton su r son im meuble, rue de Lausanne.

L a m airie a adjugé les tra v a u x de fer­ b lanterie de l’école de S t-Jean à M. W erth- m uller e t ceux de couverture, même b â ti­ m ent, à la maison H irschy.

M. Georg fa it une com m unication im ­ p o rta n te au su jet des subventions solli­ citées cle l’E ta t pour les nouvelles écoles. Ne voy an t pas cet o b jet à l’ordre du jour de la session actuelle du G rand Conseil, le m aire s’est ém u e t s’est rendu au D é­ p artem en t de l’intérieur, où on l’a rassuré.

Mais en tre tem ps, le 23 septem bre, l’a d ­ m inistration de l’E ta t a reçu uno lettre d em an d an t de surseoir à l’agrandissem ent de l’éccle des A sters en raison du p ro jet de construction de la gare à Beaulieu, projet p o u v an t en traîn er une m odification à la situ atio n topographique de ce quartier.

M. Georg donne lecture de la réponse qu’il se propose de faire avec l’assentim ent du conseil.

L a mairie fera observer que, forte des autorisations accordées p ar l’E ta t, elle a acquis des terrains e t adopté des plans; que le m anque de classes.dans ce q u artier se fait sen tir e t que le D épartem ent de l’instruction publique, p a r l’organe de ses inspecteurs est le prem ier à en réclamer de nouvelles.

Lo te x te de la lettre est adopté après une discussion à laquelle prennent p a rt MM. Cayla, Duboule, ad jo in ts; Raym ond, Cottier, etc.

***

L a Ville do Genève a adressé à la com­ m une deux lettres qui ne laissent rien à désirer au point de vue de la fermeté. Il p a ra ît que l’« ap p o rt » des eaux d ’égouts p ro v en an t des quartiers du Petit-Sacon- nex (rues V oltaire e t de Lyon) a pour con­ séquence d ’engorger les canaux de la Ville; d ’où inondations, réclam ations, etc. La Ville fa it savoir qu’elle refusera dorénavant d ’autoriser de nouveaux « apports » e t que, dès m aintenant, elle déclino to u te respon­ sabilité pour to u t ce qui pourra suivre. Cet o b jet est renvoyé à l’exam en dc la commission des routes, que préside M. l’ad jo in t Duboule.

U n arrangem ent est intervenu en co qui concerne la parcelle de la ruo des Asters. L a comm une a, su r l’avis de son expert, passé un compromis avec MM. H ensler e t JTiliberti : cela coûtera mille francs seu­ lem ent.

— Plusieurs propositions dc la Société des In térêts de S t-Jean sont prises en con­ sidération, notam m ent l’interdiction du passago des autos dans une partie du che­ min Evêque.

— Un crédit do 1410 fr., avec la clause d ’urgence, dem andée p a r M. l’adjoint D u­ boule, est voté pour réparations à la b ar­ rière du po n t G allatin, su r la voie des C. F. F. — L ’affaire do l’arrangem ent du n an t Cayla est en bonne voie. Les tractatio n s avec le propriétaire, M. l’adjoint Cayla, e t la société immobilière se poursuivent dans des conditions favorables.

E nfin M. Cayla donne d ’intéressants dé­ tails au nom de la commission des écoles. Le Conseil vote un crédit supplém entaire de 3700 fr. pour m obilier scolaire.

U A287

E S P R IT DES A U TR ES

E n tre amis.

— Qu’est-ce qui te fait croire qu’il est si veinard que ça î

— Dame ! il av a it dem andé la main de ma fem me a v a n t moi e t on la lui a v a it refusée.

Entre Femmes

S u r les tis a n e s

T a n t il e s t v ra i q u e l’on re v ie n t to u ­ jo u rs à ses p rem ières a m o u rs, a y a n t es­ s a y é à p e u p rè s d e to u te s les b o isso n s, d é le c ta b le s e t d é te s ta b le s , nous ré c la ­ m o n s les tis a n e s d e n o tr e en fan ce.

E lles é ta ie n t, a lo rs, les c o m p ag n e s de la co n v alescen ce, d es b o b o s q u i fo n t ju s te assez m a l p o u r q u ’on se laisse d o rlo te r a u c re u x d e la ch aise lo n g u e. A p rès la n a u ­ sée d es rem èd es, c’é ta i t trè s b o n d ’e n s e n tir la v a p e u r su c ré e q u i s ’é c h a p p a it d u b o l, à la p e ti te f’a m m e d e la veilleuse, e t les jo u rs d e rh u m e o n rê v a s s a it lo n g ­ te m p s d e v a n t le feu e n s i r o ta n t à p e tite s cu illerées la c itro n n a d e o u le tilleu l.

E n tr e to u te s les tisa n e s, le tille u l e st a g ré a b le p a rc e q u ’il e s t à la fois d e g o û t p a rfu m é e t d ’a c tio n b ie n fa isa n te . D ès q u ’o n en re sp ire l ’o d e u r légère o n se s o u v ie n t d es b e a u x jo u rs d e sa réco lte, o n pense à l ’é té q u i r a y o n n a it s u r la c a m p a g n e ta n d is q u ’e n d e v is a n t o n fa i­ s a it la c u e ille tte : d ’a b o rd séch ée d a n s le g re n ie r s u r d e g ra n d e s feuilles d e p a p ie r b la n c , e n su ite d iv isée e n « c o rn e ts » q u i d û m e n t ferm és e t é tiq u e té s , p re n a ie n t p lace d a n s la ««réserve ».

U n e c o u tu m e , c e tte ré c o lte des p la n te s m éd icin ales, q u e n o tre c iv ilisa tio n de m én ag ères d e rn ie r cri a le t o r t d e laisser to m b e r d a n s l ’o u b li. S an s d o u te la c a ­ m om ille e t le tille u l s o n t e n passe de faire u n e sérieu se co n c u rre n c e a u x th é s e t a u tr e s e x c ita n ts , M ais cela v ie n t d e ce q u ’o a e s t u n p e u la ssé d ’ê tre so u m is à l’exigence d e s nerfs e t n o u s n ’e n c o n ­ tin u o n s p a s m oins à a lle r ch ez l ’h e rb o ­ r is te faire e m p le tte d e d iv erses p o ussières, n ’a y a n t p lu s le te m p s d e c o u rir n i les c h a m p s n i les ja r d in s à la re c h e rc h e des « sim p les ».

A ussi b ien , p e u t- ê tr e , serio n s-n o u s em b a ra ssé e s d e les re c o n n a ître . L a science n o u s e n m a n q u e a u m ilie u d e t a n t d ’a u ­ tre s p lu s b rilla n te s q u i p e u p le n t n o tre m ém o ire e t c ’e s t d o m m a g e .

J u s te m e n t à n o tre ép o q u e si p a r f a ite ­ m e n t p r a tiq u e , il s e m b le ra it in té re s s a n t d ’é tu d ie r les seco u rs n a tu r e ls q u i s o n t m is à n o tr e p o rté e , d e c o n n a ître la v e rtu d e te lle o u telle p la n te q u i s o u v e n t pousse t o u t à c ô té d e n o u s, telle q u e la v erv ein e- c itro n e lle q u i aid e la d ig e s tio n difficile o u te lle qu e la b o u rra c h e e n n e m ie des b ro n c h ite s . P o u rq u o i, en co re, c e tte es pèce d e d é d a in q u i s’a tt a c h e a u x tisa n e s? P o u r nous ê tre d o n n ées sa n s c o n d itio n s elles n ’e n s o n t p a s m oins efficaces.

Q uel s tu p é fia n t, si c o m p liq u ée q u 'e n s o it la ch im ie, d o n n e ra le d o u x repos de la fle u r d ’o ra n g e r ? V oici à ce p ro p o s u n e ex c e lle n te m é th o d e d ’in fu sio n : Six à h u i t de ces fle u rs e t a u t a n t d e feuilles s u r lesq u elles o n j e t te u n q u a r t d e litre d ’e a u b o u illa n te e n a jo u t a n t, a p rè s l’in fu sio n , d u su c re à v o lo n té e t u n e c u illerée d ’e a u d e fleu rs d ’o ra n g e r. B oire la q u a n ti té e n d e u x fois a v a n t d e se co u ­ c h e r e t o n d o rm ira co m m e u n e m a r m o tte p o u r se ré v e ille r to u t e fra îc h e a p rè s le t o u r d u . c a d r a n .

L e cassis, q u i d o n n e u n e si b o n n e li q u e u r p a r ses b a ie s, o ffre en co re ses feuilles p o u r u n e tis a n e q u ’o n affirm e fo r tif ia n te . O n réco lte les feuilles d e p ré ­ féren ce e n a o û t, q u i e s t le m o m e n t où elles o n t le p lu s d e sa v e u r, e t, un e fois séch ées, o n les em p lo ie à la m a n iè re d u th é .

D e m êm e leâ* p o m m es, n o n c o n te n te s d ’o ffrir e n d e s s e rt le u r c h a ir b la n c h e e t rose, f o n t en co re d e le u rs p e lu re s u n e trè s a g ré a b le b o isson. M e ttre d a n s un e p a ss o ire d e m inces p elu res d e p o m m es re in e tte s e t v e rs e r d e ssu s, p a r tr o is fois p o u r q u e l ’in fu s io n s o it s u ffis a n te , de l ’e a u b o u ila n te a d d itio n n é e d e q u e lq u e s g o u tte s d ’a c id e c itriq u e .

M ais les tis a n e s les p lu s à la m ode s o n t la cam o m ille e t le tille u l q u i m a in te n a n t s ’o ffre n t c o u ra m m e n t d a n s les ré c e p tio n s les p lu s ch ics. I l e s t - v r a i q u ’on a p ris so in d e les « d éb o u rg e o ise r »; to u t e x ­ p rès p o u r elles c h a n te la p e tite b ouilloire é le c triq u e fla n q u é e d e la v erseuse e t d e la p asso ire ass o rtie s. L e serv ice e s t en faïen ce d e fa n ta isie . B oire d e la c a m o ­ m ille d a n s d e classiq u es ta sse s à th é ja p o n a ise s ou chinoises s e r a it u n crim e d e lèse-m ode.

I l y a au ssi un e jo lie so u co u p e de c ris ta l m o n té e a rg e n t e t p o u rv u e d u p e ti t c o u te a u p o u r le c itro n q u ’on c o u p e en tr a n c h e s m inces a u fo n d d es ta sse s. L ’écorce d ’o ran g e séch ée e s t é g a le m e n t e x c e lle n te p o u r le m êm e u sag e.

L ’o ra n g e a d e c u ite se s e r t d a n s un b ro c d e c ris ta l a c co m p ag n ée d e v erres a s s o rtis . P o u r les d é b u ta n te s , ra p p e lo n s sa p ré p a r a tio n . F a ire b o u illir p e n d a n t q u elq u es m in u te s d a n s u n litr e d ’eau , tr o is o ran g es pèlées. E n s u ite p a ss e r le m élan g e e t v e rs e r le liq u id e s u r l ’écorce des o ran g es q u ’or» en lè v e a p rè s d e u x ou tro is m in u te s d ’in fu sio n . S u c re r à v o lo n té , s e r v ir c h a u d ou froid.

T a n d is q u e n o u s p a rlo n s p la n te s , sa it- on q u e la gracieu se fle u r dc s u r e a u e st e x c e lle n te p o u r le te i n t e t q u e le ju s de c itro n c o u p é d e la i t en lèv e les ta c h e s d e soleil ? A insi v e ille n t à nos d e stin é e s e t les fleu rs e t les fr u its , to u t e l ’in d u l­ g e n te n a tu r e qu e n ous a p p ré c io n s si m al.

C H I F F O N .

T H E A T R E S E T CONCERTS

Celle ru b r iq u e n'engage en rien la responsabilité

de la rédaclionj. Au G rand-Théâtre.

Samedi e t dim anche à 8 h. Ii4, l'H abit Vert, comédie en 4 actes de MM. de Fiers e t de Caillavet, avec le concours de Mlle Jean n e Cheirel e t de Max Dearly, dans le rôle qu’il a créé au x Variétés.

Le m ardi 7 octobre, réouverture dc la sai­ son lyrique aveo M anon,

. *** A la Comédie.

Prochains spectacles ! dem ain e t après- dem ain, Marie-Magdeleine, do M æterlinck; m ardi 7 e t mercredi 8 ootobre : Le Trouble- Fêle d ’E dm ond Fleg.

Mercredi 15 octobre : ouverture de la sai­ son : L a Demoiselle de Magasin, de Fonson e t YVicheler e t L a Chienne du Roi, de Lave- dan.

B ureau de location à L a Comédie, tous les jours de 10 h. à 5 h., Le bureau du Passage des Lions (rue des Allemands) sera ouvert aux mêmes heures mais seulem ent à p a rtir du lundi 6 octobre.

*** Au K ursaal.

Ce soir, à 8 h. y 2 103me représentation do la Revue-Féérie qui prendra "fin dim anche prochain 5 octobre.

* + * A l’Apollo.

Le spectacle actuel avec le Mémorial de St-Hélène, la Closerie des Genêts, de F ré ­ déric Soulié; M a x Toréador e t le P athé Jo u rn al, se term inera dem ain soir jeudi. Dès vendredi, les Derniers jours de Pom- pèi, film grandiose de 2.500 m., qui rem por­ t a à l’H ippodrom e de Paris un succès qui dépasse celui de Quo Vadis. 5.000 acteurs o n t fa it revivre dans les vestiges de l’an cienne cité, Les Derniers jours de Pompei, de l’an 79 aprè3 J . C., d ’après le célèbre rom an do E dw ard Bulwer.

Les tableaux sont, paraît-il, d ’une émou van te beauté.

L’A pollo-Théâtre en a acquis l’exclu6ivité pour u n prix fabuleux : 10.000 francs pour quelques jours.

‘ ' ***

Au Casino-Théâtre. .

Dernières do La Boule do n t la carrière s’achève dem ain -soir -jeudi.

-Vendredi Madame Tantale, un am usant vaudeville avec deux nouveaux débuts,

***

Royal-Biograph, 11, rue du Marché, Excelsior-Cinéma, Corraterie. . Cinéma Central, 23, Chantepoùlet. Ciné-Mont-Blanc, rue de Berne. Pâquis-Ciném a, rue de Berne, 20. Ciné Moderne, Eaux-Vives.

K iném a des Eaux-V ives, rue Couteau. Cinéma g ra tu it des Bastions,

*** Concert annoncé :

Samedi à la R éform ation, Pablo Casais et M. Dumesnil.

* + * Café de la Couronne. Concert tous les jours.

* + * K ursaal de Lausanne.

Prochainem ent, L 'H a b it vert, le grandis sime succès des Variétés (tournée Ch. Baret). Pour le m om ent, c’est Résurrection de Tolstoï qui a ttire la foule au K ursaal, avec le P ath é-Jo u rn al e t les films de Max Linder, Une vue : Le Roman d'une intrigante, n’est pas donnée en m atinée. B ientôt la saison des attractio n s.

***

Guillaume T ell e t la Marseillaise. G rétry e st à l’ordre du jo u r : Voici une anecdote du Bujet do son- GuiUawnc Tell. C’est M. P au l d ’E strée, dans son « Théâtre sous la T erreur n qui nous la fa it connaître,

Le com ité de S alu t Public trouvait la pièce tro p ancien régime e t s’opposait à sa reprise. Sedaine e t G rétry acceptèrent donc de la m ettre au diapason.

Sedaine im agina ceci :

Au dénouem ent on en ten d rait, en sourdine, la Marseillaise. Melchtal père d ira it à Guil laum e Tell: « Qu’entends-je? Va voir ce que c’est !... » Tell reviendrait e t d ira it : « Ce so n t les braves sans-culottes de l’armée française ! »

Alors, les F rançais p araîtraien t, e t l’un d ’eux d ira it au x Suisses, sur l’air des « M ar­ seillais » :

A vous qui donnâtes l'exemple Pour conquérir la liberté, N e renversez jam ais le Temple Que votre sang a cimenté, E t ne nous forcez pas à dire :

A u x armes, citoyens... M elchtal répondrait su r lo même air :

S i jam ais m a coupable' race Devait protéger les tyrans, Que le ciel à Vinstant l'efface De la liste de nos enfants, « E t cela, disait le bon Sedaine, produi­ ra it u n excellent effet. »

I l e û t été meilleur encore si Guillaume Tell, en en ten d a n t la Marseillaise, s’é tait sim plem ent écrié : « déjà ! »

• *♦*

A propos de la réouverture de la Comédie- Française, M. Jules Claretie, que représente notre cliché, a composé un Salut de bien­ venue au puplic, spécialem ent pour cette soi­ rée.

Comme noua l’avons déjà signalé, le bruit court de la démission prochaine de M. Jules Claretie, comme directeur do la Comédie- Française.

Si les intentions do M. Claretie ne se m oi difient pas, c’est un gros événem ent, car le

LES SPORTS

L a vie sportive à Lueerne

Le sphérique Théodore Schaeclc a entrepris m ardi à midi, une sortie aveG M. Spillmann, dc Lueerne e t deux passagers e t a passé sur le Pilato, le Stansorhorn en atteig n an t une a ltitu d e dc trois mille mètres. Il a atterri à Ennetm oos (Nidwald).

E n même tem ps, le pilote français Labou- re t, a fa it une prom enade en hydroavion, accom pagné de la célèbre actrice française, Mme Suzette Leblanc-M aeterlinck dans les environs dc Lueerne.

F O O T B A L L

D im anche ^prochain so jouera à Gonôve lc prem ier m atch dc cham pionnat série A en tre M ontriond I, cham pion suisse e t Ge­

nève I.

Les deux clubs com ptent m ettre sur pied leur team aii grand complet dnn* oon condi­ tions, la p artie ne peut être que très iutorim. santé.

Le F. 0. Genève tient à dl»Hfl*ltlon don habitués des m atchs des cartes tle numibfeï passifs donnant droit à l’entrée, priuliuit la saison, à tous les matchs joués h l'H ip p o ­ drome. Âdrossor les’ demando» au siège «o- cial, café Dussez, plaoe du Cirque uu ù la caisse, lors des m atchs. P ris 5 fr.

BULLETIN COMMERCIAL

Situation. — Le tem ps s’est m ontré en­ core propice aux récoltes en terre pendant la sem aine e t les trav au x dc la campagne o n t pu être poursuivis activem ent. La ven­ dange approche à grands pas e t septem bre au ra été propice à une bonne qualité de la ré­ colte. Les semailles se font dans d ’excellen­ tes conditions. L a rentrée des pommes de terre peut se faire aussi de façon satisfaisan­ te. Le bétail au pâturage trouve une nour­ ritu re suffisante.

C éréales. — On est à la baisse sur toute la ligne pour les blés exotiques ta n t de Russie que d’Amérique e t de Roumanie. Les ven­ deurs font des concessions im portantes.

Les beaux blés de Crimée se pi'ient 21 fr. wagon Marseille e t les 2mes qualités 20 fr. 50. Les Azof valen t 20 fr. pour les qualités cou­ rantes wagon Marseille.

Les blés de R oum anie sont cotés e t traités dans des conditions similaires à celles des blés de" Russie.

Les orges de Russie sont tenues à 15 fr. 50 logées Marseille.

Les avoines de provenance russe (50 kil. l’hect.) se m aintiennent dans les prix de 16 fr. Marseille nues. Les belles qualités obtien­ n en t encore 16 fr.

75-Les maïs sont toujours très fermes et on escom pte que la ferm eté s’accentuera encore dans les mois de consom mation, soit à p a rtir d’octobre.

Les battag es des blés du pays s’effectuent actuellem ent de façon très suivie. L a qualité en est bonne on général e t les i>rix, bion que variables, avec les régions donnent satisfac tion à la culture.

On parle toujours de 23 fr. dans le canton de Genève; les hauts prix dc 24 à 32 fr. re levés sur quelques m archés rom ands e t con­ tenus dans notre m ercuriale s’appliquent, il va sans dire, à des blés de choix pour semen­ ces.

Vins. — Los vignerons se réjouissent du tem ps fa it à souhait qui préside depuis quelque tem ps à la m atu ratio n de leur ven­ dange. C’est un encouragem ent, aussi, au commerce qui tie n t com pte des deux fac­ teurs qui régleront les cours de cette a n ­ née : rareté e t bonne qualité de la m archan­ dise. Les m archands continuent à offrir 62 e t 65 centim es les fu tu rs vins genevois. Ce dernier prix a trouvé des vendeurs mais les intéressés form ulent encore dos p réten ­ tions plus élevées; ils dem andent 70 cent. L a vendange se fera vers le 6 octobre.

D ans le canton de N euchâtel où la récolte est très petite, a y a n t eu à souffrir de mille traverses, on fait, p araît-il, plusieurs cueil­ lettes correspondant au x divers degrés de m atu rité des raisins.

A La Côte certains propriétaires parlent de supprim er purem ent e t sim plem ent la ven­ dange. D ’autres feront 1 litre ou 1 litre Vz à la perche vaudoise.

Le Valais a commencé ses expéditions de vin nouveau. On indique des pesées de m oût de 89 et 90 degrés.

Dans le Beaujolais, le Mâconnais e t les régions environnantes, la vendange a commencé e t donne un résu ltat fo rt peu satisfaisant. On parle en certaines localités d ’un dixième de la récolte ordinaire.

U n correspondant de Saône-et-Loire nous écrit : Nous avons un tem ps splendide. T out le m onde est mobilisé pour les vendanges. Hélas ! d ’une m anière générale, la récolte sera au to ta l le q u a rt ou le tiers de celle de l’an dernier e t le vin sera de m auvaise qualité. Plusieurs font en vin gris e t déjà on parle de 70 à 80 fr. la pièce de rouge (220 litres).

Fruits à cidre. — Si le pays est pauvre en fruits cette année, le commerce d ’im porta tion en fait venir d ’énormes quantités d ’Ita lie e t de France. De cette dernière provenance on offre les pommes de N orm andie belle qua lité à 12 fr. e t des pommes du Centre ou de l’Auvergne à 10 fr. p ar wagon franco gare Genève.

Fromages et lait. — L a vente des fromages se fa it lentem ent cette année e t on estirre de '40 à 50 fr. p ar 100 kilos la baisse s u r­ venue su r cet article. Au pays d ’E n h au t, la vente se fa it de 140 à 150 fr. Les dernières ventes de la it relevées dans les laiteries vau doises e t fribourgeoises o n t été faites aux prix indiqués précédem m ent soit au x envi­ rons de 15 centimes Y> le kilog. A Genève, les grandes sociétés pour la vente au détail o n t fixé le p rix de 24 cent, à p a rtir du 1er octobre.

Foires. — L a foire de Bulle, d ite de la Saint-Denis, a fait constater encore une fois do plus la baisse qui se produit su r le bétail de rente cet autom ne. Il a été com pté 1703 vaches le prem ier jour, 1880 le second e t 847 le troisième. Le nom bre des tau reau x a été successivem ent de 72, 78 e t 35. Les prix, faibles dès le début, ne se sont pas relevés.

Au marché-concours de tau reau x do la même localité, où su r 400 sujets exposés, 228 o n t été prim és, on a pratiqué pour les anim aux primés de la variété rouge e t blan­ che les prix de 1000 à 3500 fr. e t pour la v a ­ riété noire e t blanche ceux de 1000 à 2000 fr. On a aussi pratiq u é pour des jeunes des prix descendant ju sq u ’à 500 fr.

Le grand m arché vaudois du Pays d ’E n ­ h a u t n ’a pas donné tro p de déception aux éleveurs d o n t los anim aux de choix ont m ain­ ten u leurs prix élevés puisqun certaines vaches se so n t vendues jusqu’à 2.400 fr.

Mercuriale du

m a r c h é

de Genève

27 septembre D e n r é e s Far 100 kilogs B lé ... 23 .— a 24 .— S e ig le ... 11). — n 2 2 .— A v o in e . . . .19. — h 22. — O rg e ...2 0 .— Û 2 3 .— F a r . I r e q ... à 3{>- — F a r . 2e q ... à — S o n ... 1 3 .— à 11».—■ P. d. t e r r e . . 8 . — à 1 0 . - ' F o i n ... G.50 à 7 . — P a ille ...5.25 à 5.50 P a r k ilo B œ u f, p. n e t . 1.90 a 2.10 * v if ...à ---V a c h e ,p .n e t. 1.40 à 1.70 M o u t o n ... 2 .— u 2.30 V e a u l . q .v i f .l . f ô â 1.55 » 2.q . v if. 1.30 à 1.40 P o r c , v if . . . .1.35 à 1.45 F r o m . g r a s . .2.20 à 2.50 F r o m . m a ig .1 .3 0 à 1.70 B o u r r e ... 2.70 à 3.20 P a in . I r o q u a i . . . u 0.40 Œ u f s (douz) 1.30 â 1.60 i l o i s (par stère) F a y a r d ___ 22. — à 24. — C h ê n e ...IN .— à 2 0 .— S a p i n ... 1 3 . à 2 1 . -Marché de Genève du 27 sepiem're 1913

l 'i 'u i t t t (prix p kil.) C h a ta ig n e s . .0.55 à 0.G5 F r a i s e s ...â ., F r a m b o i s e s ^ . . . . a . . N o i x ... 1 .2 0 â 1.30 N o i s e t t e s ... à . . . . P ê c h e s ... à . . . . P o ir e s ... 0.30 â 0.70 P o m m e s ...0.35 â 0.50 P r u n e s ... a . P r u n e a u x . . .0.30 â 0.40 M elon (pièce).0.50 â 1. — R a i s in s ... 0.70 â 1.10 L é g u m e s (en QI'OS) A rtic h . ( p .d .) .. . . à . . . . C h o u x ... à . . . . S a l a d e s ... à . . . . L é g u m e s (p. kil.) J u l e s C L A R E T I E c h a n g e m e n t d c d ir e c tio n d u p r e m ie r th é â t r e d o F r a n c o e n t r a î n e r a it c e r ta in e s m o d ifio a - t io n s d a n s la d ir e c tio n dû c e tto sc è n e . M . C la r e tie e n t r e r a i t d a n s u n g r a n d j o u r ­ n a l, d o n t il d ir ig e ra it la p a r t i e litté r a ir e

Si l a B uccession d o i t « 'o u v r ir, elle d o n n e ­ r a lien à d o v iv e s c o m p é titio n s .

M. A lb e r t C a rré , lo d is tin g u é d ir e c te u r d e l'O p é l'a -C o m iq u o q u i,so u s so n a d m in is tr a tio n , eut p e u t - ê t r e d e v e n u la p r e m iè re sc è n e ly ­ riq u e do F ra n c e , a u r a i t b e a u c o u p d e c h a n c e d o p a s s e r a u T h é â tr e - F r a n ç a is . D a n s ce

oag, co s o r a it e n c o re u n o g ro ss e a ffa iro de

lui d o n n e r u n r e m p la ç a n t.

Il est d ’ailleurs question d ’autres candida­

tures éventuelles, . A sp e rg e a ... C a r o tte s ... ('h o u x B r u x . . . H a ric o ts v .. .0 O ig n o n s ... 0 P ois en g r ... P o is g o u l u s ... P. de te r r o n.0-R a v e s ...0 T o m a te s . . . .0. C éleri p o m ... l’a r p iè c e ou p a r A r tic h a u ts . .0.15 A s p e rg e s ... A u b e rg in e s.. 0.10 lie tte r . r o u g ... C a r d o n s ... C a r o tte s ...0 05 C éleri à eô t. .0.10 C é le ri p o m ... C h ic o t... C h o u x n o u v .0 .1 0 C h o u x -fle u rs.0.20 ChouX’i o u g ... C o n c o m b re s.0 05 N a v e t s ... O ig n o n s. P o ire a u x . R a d i s ... R aves . .. R h u b a rb e S a la d e s ,. .. a . .. à . 35 à 0.(50 20 à 0.25 10 à 0.15 15 à 0.20 20 a 0.30 b o tte à 0.30 H . . . à 0.15 ..0 .0 5 . .0 10 ..0 .0 5 . 0.03 h 0.10 à 0.15 a . . . . a . .. a 0.20 h 0. W a . . . . à 0.10 â . . . . a Ô 10 h 0 15 a 0 10 à . . . . 0 .10 P o i s s o n s (p. kil ) B r o c h e t... 3.20 â 3.50 F e r a ... 3.50 â 4. — C a b illa u d ..1 40 a 1.60 M a q u e re a u . .2 - n 2 20 M o rla n ... 2 . — â 2.50 O m b re c h o v .3 .7 0 à 4 .— P e rc h e . S a u m o n . . K a io .. . . . . S o le ... T r u i t e . . .1.20 â 1.50 ’..Ï.G 0 k

2.’-<àil»icr et volaille

( P a r piènoï C ttbvia...u . . . . i-iiipinâ... 2.75 à 3.50 L i è v r o s ... i i . . . . U unurdsdom 4.- à 5.50 C o q s d e b r a y ---- (i . • • • F a is a n s ... * • - * P ig e o n s...1.10 à 1.30 P o u la rd e s .. .3.50 à 5.50 P o u le ts ... 2 25 il 3 50 J o u r n é e s d ’o u v r i e r s

Hommes, minimum fr. 2.— ; maximum fr. 2 .5 0 ; moyenne fr, 2.10

(Journal d'agriculture suisse). (D ro it do re p r o d u c tio n ré serv é)

Arrive-t-il que des enfants

ne veulent p a s se développer

norm alem ent, il n’existe aucun fortifiant plus digne de con­ fiance que l’Em ulsion Scott d'huile de foie de m orue qui

s e st parfaitem ent qualifiée

propre k former et fortifier le systèm e osseux et a soutenir le corps. L es principes nutri­ tifs qu’elle contient excitent la croissance d'os droits et soli­ d es e t soutiennent le dévelop­ pem ent général à un si h au t degré que les enfants sautent

bientôt a qui mieux m ieux.

N éanm oins, l'E m ulsion Scott,

. seul®, a u cu n e a u tre . . Prix : 2 fr. 50 et 5 francs. ernftj c leèj C O N V O C A T I O N S < M E R C R E D I

Union chrétienne de jeunes gens. — 8 h. V »! 3, rue Gencral-Dufour, seanee d ouverturo', des cours com m erciaux du soir. Président^] de M. 'Jean M irabaud. Causerie de M.; Guillaume F atio.

Christian Science Society. —

8 h.

Y#. Casino de St-Pierre, meeting.

Croix-Bleue. — 8 h. 15, 16, rue Jacque3» D alphin, Carouge, réunion publique.

Ouvroir de Carouge. — Salle des fête»; vente.

Visite sanitaire. — 8 h. m ., caseï recrues d o n t le nom commence p ar lettres E e t H .

J E U D I

Musée Rath. — 10 h. à midi e t 1 h . % à ' 5 h., exposition E douard M etton.

Musée d ’art et d’histoire. — 10 h. à midi 2 h. à 5 h., entrée libre. ' i

Musée du Conservatoire botanique, 2 à 5 h., entrée libre.

-U nion chrétienne de jeunes gens. — 8 h. 3, rue G énéral-Dufour, étude biblique mu* tuelle.

Conférence religieuse. — 8 h. 15, salle Cejj^ traie : « L ’avenir du m onde», p a r M. H . D exter.

Croix-Bleue. — 8 h. 15, 12, rue Calvi section allem ande; Chêne-Bougeries, Vei soix, salle paroissiale; réunions publique^.

Ouvroir de Carouge. — 10 h. m. à 10 h. s,* salle des fêtés, vente.

Pédale de St- Gervais. — 8 h. Yz , g,u lo^ftl d é p a rt pour la course au clocher; banque! au restau ran t J . Déderod, à Anières.

Visite sanitaire. — 8 h. ig,, caserne, re­ crues de to u t le can to n d o n t le nom comï mence p a r la le ttre G.

Christian Science Society. — 8 h. 15{ grande salle du Casino de St-Pierre : a L j science chrétienne », conférence en fran-

ças p a r M. William Mac Crackan. Armée du Salut. — 8 h. y 2, boulevard dt^ P ont-d’Arve, 20, fête des moissons. R ue d a f t ji b o u r g ^ 3 ^ é u n i o n j p u b l i q u e ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^

ÉTAT-CIVIL

R IV E D R O IT E du 21 a u 28 septembre - Naissances : Roger-Auguste D evaux, F ra n . ce. — M arie-Jeanne P ra t, France. — Chris. tianne-Jeanne Vachoud, Genève. — Roger- Georges C erutti, Italie. — Pierre-M aurice- P aul Magnin, Genève. — Roger-Jean-Louia R udaz, Valais. — Jane-Elisabeth-L auro T om bet, Genève.

Décès : Eugène Rufi, marié, 61 ans, Berne. — P ierre D elintraz, marié, 62 ans, France. — Marie-Célino Stucki, m arié, 58 ans, Berne — André Beaud, m arié, 37 ans, France. — Jules-Elie Cusin, 30 ans, marié, Genève.

R IV E GAUCHE (Du 21 au 27 septembre)

Naissances : Charles-H enry Lacrcuze, Genève. — Pierre-Jules-Jean-Louis Morel, Genève. — Mary-Mila Jouanic, Rhône. — M aximilien-Stanislas Adamski, Allemagne. — Georges Tercier, Fribourg.

Décès : P aul-Jules Monney, m arié, 45 ans, Genève.

Mariages : H enri-G uîllaum e D echevrens, e t E lisa D alphin, Genève. Emile-Louia B arrilliet, Genève e t Alice-Adèle S tutzlé, née B audin, Zurich. — Louis-Joseph B ayou e t Françoise B enoît, France. — F ran ç iia- J u s tin W yss, Berne et Léonie E lvina Ro* bert, Neuchâtel. — A rnold-Auguste Nan- term od, Valais, e t Marie-Catherine-Gencviève R obert, France. — César B rand, F rance e t Alice-Marie Trem bley, Genève. — .Tules- Emile Bally, Vaud, e t Rosa-M aria Angioli- na P ap et, née Cardeccia, France. — Pierre Dufour, Genève e t Marie-Louise Girod, France. — Em ile-Ferdinand-Jules ï h o r . meyer, Genève e t Olym pe-Françoise Bar- berat, France. — A uguste-André Voirier, Genève, e t E m m a W ehrlé, Bade. — K arl K noll, Allemagne e t L ina Arm, Berne. — Adolpho G avard e t Emma-M arie B urnat, France. — E m ile-Jules Knigge, Vaud, e t B ertlie-E lisa Vaucher, Genève — A lbrccht- E rn est K ilchenm ann, Berne e t M arthe-Su­ zanne Lom bard, Genève.

E A U X -V IV ES D u 20 a u 27 septembre

Naissances. — Rodolphe-Félix-Joseph Ber- naseoni, Italie. — Amélie-Simone P etellat, France. — Edouard-H enri-A lfred Pellet, Vaud. — Jœ rn Falk, Prusse. — Jean-T rau- g o tt Egli, Saint-Gall. - - Cécile-Marguerite- Ju lie tte R iotton, Genève. — Line-Germ aine Charles, Genève. . .

Mariages : Jcan-F rançois H éritier, Franco e t M arie-Joséphine-M athilde Sarteur, Italie. — Léon-Paul Lacroix, Genève, e t Marie- Louiso M ontagnoux, France. — Joseph- A lexandre Delarze, Valais, e t Denise-Yvonne D ancet, France. — Jean-M arie Descombes, France, et Jcanne-M arie Saurer, née Joye, Berne. — Charles-Louis Sautier, F rance e t Marguerite-Clémence Detomasi, née Con- castri, Italie. — H enri Mongenet, F rance e t Jeanne-M arie M ontfort, née Pachon, France.

Décès : Thoinas-W illiam Coate, marié, 62 ans.. Angleterre. — Verena Dolle, née Jenni, mariée, 46 ans, France. — M ariette Je a n te t, née Sulpice, mariée, 50 ans, France. — Mé- lanie Frézier née Viollet, mariée, 48 ans,

France. _

-P L A IN -PA LA IS (Du 21 au 27 septembre)

Mariages : Pierre-Joseph-Benjam iu Bon- jean e t D evinne-Em érentienne Blanc, I t a ­ lie. — Louis-Joseph Lapraz, Genève, e t Clotilde-Eugénie Ferrand, France. — Char- les-Edm ond A ndré e t Aline-Anna Demoin- sel, Vaud. — Joseph-Paul Bianchi, France e t Marie-Caroline Schueler, née Castella, Fribourg. — Charles-Jean Siegel, Genève e t Amalia Weiss, Autriche. — Guillaume Corsain, Genève e t Anastasia-Virginie-Ma- ria Setti, née Barberis, Italie.

E C H O S

A pro p o s dc vipères. Nous avons dans le canton de Genève, deux intrépides destructeurs de vipères, MM. Nicollier, douanier, à Jussy, e t H ussy, à

Vernier.

Les vipères tuées p ar eux sont inombrables. Ils n ’o n t toutefois pas b a ttu le record qua d étien t un nomm é Raison, de Rives (Isère), qui n’a pas d é tru it, cette année moins <M . trois mille vipères.

Références

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