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La vie de Clara. Clara

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Academic year: 2022

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Texte intégral

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La vie de Clara Je me souviens de mon passé...

Je me souviens du jour où j'ai appris à faire du vélo sans petites roulettes, je tombais mais je me relevais. Tous les soirs, après l'école, ma mère allait chercher mon vélo. Je ne sais plus de quelle couleur il était, bleu ou bien rose, rose ou bien bleu. Mes jambes devenaient de plus en plus douloureuses, lourdes et mes mains remplies d'échardes, de terre. Mon visage était en sueur mais malgré tout, je continuais à faire des efforts. Un mercredi matin, je ne sais pas ce qui s'est passé mais j'ai pris mon vélo et là j'ai roulé sans petites roulettes, j'étais fière. J'allais à toute allure, j'avais l'impression de voler, les cailloux voltigeaient sous les roues noires. Depuis ce jour, j'adore faire du vélo. C'est devenu l'une de mes passions.

Tous ces petits souvenirs magiques, les personnes, les paysages ou encore certaines situations, pour rien au monde, je ne les effacerai de ma mémoire.

Mais le temps a passé, j'ai grandi, appris, compris et maintenant, je cherche de nouvelles choses. Tant de questions bouillonnent dans ma tête. Pourquoi le monde?

Pourquoi nous? Pourquoi l'univers? Pourquoi la vie? Pourquoi les lions, les chats et les chiens? Qui sommes-nous vraiment? Des réponses? Aucune. La vie continue, je rêve du temps, de mes ami(e)s, de ma famille. J'apprends toujours un peu plus chaque jour.

Maintenant, je suis au collège en 4ème bleue, ma vie je la trouve géniale, excitante mais nulle ! Il y a des moments inoubliables avec des gens remplis de bonté parfois mais aussi des moments avec ceux qui sont envahis par la haine et la colère. Mais avec les gens que l'on aime, on sait qu'ils seront toujours là pour nous quoiqu'il arrive.

Et ces moments avec mes amis, remplis de rigolades, d'affections, de distractions sont magiques.

J'adore les manèges, le grand huit, les vacances avec ma famille, au bord de la mer ou encore à la montagne… Mais parfois, c'est dur, on travaille, on se fatigue, on perd puis on se fâche, on gagne et on reprend espoir avec un nouveau départ. Dans les moments de faiblesse, on a du mal à avancer, on a peur, on ne comprend pas toujours.

Mais quand on reprend confiance, on avance, on roule vers notre destin, notre chemin et puis arrivé au bout, c'est la fin, on s'éteint, on meurt.

Mais toute notre vie, on se projette vers l'avant, vers l’avenir, on rencontre de nouvelles personnes. Moi ma vie, je la vois plutôt belle mais entre ce que j'aimerais et la réalité, c'est parfois différent.

Je voudrais aller à l'université, ou alors fréquenter les plus grandes écoles, à Paris, Périgueux, Bordeaux ou Londres en Angleterre. Je voudrais me faire de nouveaux ami(e)s pour parler de tout et de n'importe quoi et éclater de rire pour des raisons diverses. Je voudrais avoir un joli studio dans un immeuble, avec un balcon. Je le remplirais d'une petite table avec deux chaises et des plantes comme des rosiers, blancs, roses, ou encore orangé, des romarins pour mes plats cuisinés et de la verdure accompagnée de lilas pour donner de la gaieté.

Clara

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Vous le savez tous, c'est dur de grandir. Il faut se poser les bonnes questions au bon moment. Aujourd'hui, c'est ce que je vais faire : raconter mon passé pour commencer, afin de me remémorer les souvenirs d'autrefois.

J'ai une excellente mémoire du passé mais je ne me souviens que de moments intenses ou brefs. Par exemple quand j'ai appris à marcher et à découvrir le monde extérieur, au début, j'étais dans un trotteur, une espèce de «truc à roulettes » spécialement conçue pour les bébés qui commencent à marcher. Ce qui était mon cas : je courais partout ! Je fonçais dans les jouets, les meubles et même dans les jambes des adultes qui eux parfois ne rigolaient pas quand je le faisais. Je crois que mon sens de la compétition et mon habitude de me cogner aux meubles viennent de cette première expérience.

Peu de temps après, j'ai fait ma première crise de jalousie : ma petite sœur ! Oui, car à l'époque je ne comprenais pas et je me disais : Mais pourquoi quelqu'un débarque comme ça sans prévenir, pourquoi on ne s'intéresse plus à moi ? Donc, pour compenser, quand les parents avaient le dos tourné, je piquais ses jouets et je l'embêtais. On s'est beaucoup disputées étant petites mais maintenant c'est ce que j'ai de plus précieux même si parfois encore on se fâche. Aujourd'hui, heureusement que je l'ai, car quand ça va mal, je vais la voir et ensemble on se remonte le moral.

Plus tard, en Cm2, je me suis découvert un sport magique, le handball. Je l'adorais, j'allais à tous les entraînements et je participais à tous les matchs. Au début c'était dur, je n'y arrivais pas mais je gardais espoir. Je m'entraînais à la maison et à force, je devenais de plus en plus douée. Le sport pour moi c'était tout.

Je ne m'imaginais pas ne plus en pratiquer. J'en ai fait beaucoup mais j'ai fini par arrêter. A force d'en faire, cela m'a gâché le plaisir de jouer. Maintenant, je ne sais pas trop quoi pratiquer comme sport mais je pense que les sensations d'autrefois vont revenir et m'accompagner dans le futur.

Assez parlé d'avant. Mais que suis-je devenue ? Qu'est-ce que je ressens en ce moment ? Quels sont mes passions, mes espoirs ?

Je fais du patin à glace en hiver. Ce n'est peut- être pas un sport commun mais c'est le seul où je peux faire ce que je veux et quand je veux. Quand je suis sur la glace, je glisse et je ne pense qu'à ça, ce qui me permet d'oublier tous les soucis de la vie et de me concentrer sur ce que je fais. Bien sûr, je tombe. Je ne suis pas une professionnelle ! Mais je me relève et je recommence. Ma vie en ce moment se résume un peu ainsi, j'avance mais dès que quelque chose ne va pas, je tombe puis même si c'est difficile, je me relève.

En ce moment, je suis un peu perdue dans ce que je fais, ce que j’entreprends. Mes parents disent qu'eux aussi sont passés par là. C'est une étape de la vie qu'il faut vivre, malgré les tensions du collège et de la maison, mais une fois qu'on a franchi cette étape, tout va beaucoup mieux. Il suffit juste de s'accrocher et de persévérer.

Je me pose beaucoup de questions comme celle ci : Pourquoi la vie? Cette question que tout le monde se pose au moins une fois, moi elle m'interroge beaucoup. Je n'y répondrai jamais, je n'aurai pas le temps. La vie est trop courte pour y répondre mais

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on peut essayer de trouver notre réponse personnelle. Rien qu'en ayant des souvenirs, des regrets, des expériences troublantes ou autres, on peut imaginer la réponse. Pour ma part, je dirais qu'elle sert à rencontrer de nouvelles personnes, à échanger pour se trouver des points communs.

Je suis peut-être un peu perdue mais mes nouvelles amitiés m'ont fait en effet reprendre confiance en moi. Elles me permettent, les jours où je n'ai pas envie d'aller au collège, de me pousser vers l'avant. Elles me redonnent le sourire et je me sens bien avec elles. J'attends de la vie qu'elle me donne le minimum car moi, je veux me débrouiller toute seule. Chaque instant est important et il ne faut pas patienter, attendre que la vie nous tende les bras. Je veux en profiter, malgré les échecs et les réussites, pour le meilleur et pour le pire.

Enfin, je ne vais pas trop m'attarder sur le présent car je ne peux pas décrire mieux mes pensées et ce que je ressens. Je suis quelqu’un qui se projette et non une personne qui en reste aux faits.

Dans quel monde je voudrais vivre ? Dans un monde développé avec une planète entièrement polluée ? Dans un monde qui stagne où tout le monde s'ennuie ? Ou dans un monde où la guerre règne et sépare peu à peu les peuples ? Dans ces trois cas, ça n'a pas l'air très attrayant. Moi, je ne pense pas à ça, je préfère m'imaginer moi mais pas le monde. Je serai cadreuse et je travaillerais pour les plus grands cinéastes, pourquoi ? Car je préfère être en coulisse que devant les projecteurs. Mon rêve le plus précieux serait de voyager dans le monde entier et de rencontrer de nouvelles personnes car il faut mieux réunir toutes les personnes de la Terre plutôt que de les séparer. C'est ça la vie, s'entraider, et c'est ce que je compte bien faire.

Je vivrais dans un petit appartement, sûrement à Paris. Je sortirais beaucoup pour profiter de la ville. Peut-être que le début sera rude mais j'y arriverai. Je voudrais faire mes études là-bas, car j'aime bien Paris, je trouve que ça me représente bien.

Plus tard, je voudrais quand même quelques instants de tranquillité, de douceur, passer du temps chez moi, m’asseoir devant la télé, passer du temps avec ma famille…

Car oui, la vie on peut en profiter, en ayant une vie calme ou agitée et pour ma part, je prends les deux options.

Justine

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Mon histoire Mon histoire Mon histoire Mon histoire

Je ne me rappelle plus comment sont arrivés mes frères et sœurs mais je sais la place qu'ils ont prise dans ma vie. Une énorme place dans mon cœur et dans la maison.

Je me rappelle que j'avais plein de cadeaux et qu'ensuite j'en ai eu beaucoup moins.

Je me rappelle de toutes les pires bêtises que j'ai pu faire et je sais très bien que j'en ferai encore plein d'autres.

Avec une de mes sœurs, on a deux ans de différence. A chaque fois, qu'on se disputait ça finissait mal. Il y en avait toujours une qui finissait chez le médecin ou pire, à l’hôpital ! Mais, c’était rare.

Je me rappelle du jour où j'ai rencontré mes amis actuels… Je les ai rencontrés quand je suis arrivée en CM1 à l'école de Piégut.

Je me disputais souvent et on ne s'aimait pas trop, puis ce sont devenus mes meilleurs amis.

L’année dernière, je suis partie au Futuroscope avec ma tante et mes sœurs. Je me rappelle de mon meilleur moment, c'est quand on s'est assises sur les toilettes des lapins crétins.

Je me rappelle, il y a deux ans, avec ma mère et ma tante, je suis allée voir Kev' Adams au Palio.

Je me rappelle que je suis allée à Royan au mois d’Août. Avec mes sœurs, on est allées se baigner et on s'est amusées à enterrer dans le sable mon petit frère et ma petite sœur, c’était marrant.

Je me rappelle quand on mange à la mer, il faut toujours une table car sinon les sandwichs sont plein de sable et ça croustille, c'est pas bon !

Je me rappelle, il y a deux mois quand je suis rentrée de l'école avec mes sœurs, une surprise nous attendait devant la porte d'entrée. C’était un petit chien tout blanc, « un patou des Pyrénées». Nous l'avons nommé Mojito. Il ne fait que des bêtises, il mange nos chaussures, il rentre sous ma couverture, et dort sous mon lit.

Tous les matins, c'est pareil. Je reste «plantée» dans mon lit car je n'ai pas envie d’aller à l'école.

C'est trop tôt, je suis trop fatiguée mais je me lève quand même car il faut aller en cours. J'aime être avec mes amis, c'est aussi pour cela que je me lève les matins. Ils me redonnent le sourire et je suis bien avec eux, à faire des bêtises, dire des bêtises et plein d'autres choses.

Plus tard, je n'ai aucune idée du métier que je ferai, mais je sais que je voudrais rester le plus longtemps chez mes parents et avec ma famille. Quand je partirai, je les verrai beaucoup moins, et je préférerai en profiter car on ne sait pas ce qu'il peut arriver demain ou dans quelques jours. Près de ma famille, je me sens bien et en sécurité.

Je déteste m’embrouiller avec les gens que j’aime car après je me sens « grave mal» et je ne me sens plus pareille. Je déteste être punie parce que je ne peux rien faire dans ce cas là.

J’adore la moto, tout ce qui va vite. J'aime le rap (PNL , Djadja&Dinaz , MMZ) et d'autres musiques que j'écoute car elles me font penser à moi et parce que j'aime bien le style de ces musiques, les paroles et le rythme. J'aime bien les couleurs de la Jamaïque.

J'aime bien sortir avec des amis car je n'ai pas des sœurs et des parents pour me laisser embêter.

Je n'aime pas lire, écrire, tout ce qui est en rapport avec le CDI, donc les livres, les manuels scolaires car il faut travailler. Je préfère écouter de la musique car au moins je n'entends pas les personnes parler autour de moi, car je n'aime pas entendre trop parler les autres.

Anaïs

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Mes passions (extrait)

Je m'appelle Samuel Mansière, je suis passionné par la moto, le VTT et la pêche. Je suis assez calme, mais je peux "péter un câble » te temps en temps. Je ne fais que du sport. Mon défaut : je consacre trop de temps à mes passions.

Je me souviens de la première fois où je suis monté sur une moto. C'était une Honda XR 125, sur le circuit de Cussac Motocross. C'était une superbe expérience. Depuis ce jour, je fais de l'enduro à moto, et je devrais changer ma moto actuelle pour une Husaberg 125te 2015 2t. Je fais aussi beaucoup de VTT de haut niveau, bientôt en compétition.

Je me souviens de la première fois, quand mon père, étant un bon rider, m'a appris à faire du VTT. J'avais trois ans et demi.

Je me souviens que j'ai appris très vite, on était contents tous les deux. Je ne suis jamais tombé. Mon VTT actuel est un CUBE LTD 27.5SL pro.

Aujourd'hui, mon plus grand rêve serait de rencontrer Rémy Métailler qui travaille chez Commençal Bike et d'avoir un VTT de descente Commençal DH V4.2.

Je fais du VTT parce que j'adore mais aussi parce que ce sport me renforce physiquement et mentalement. Je voudrais vivre dans un monde où le VTT serait le sport le plus pratiqué.

J’aimerais aussi participer au ROCK D'AZUR une compétition où se rassemblent des centaines de VTT cross-country, DH, enduro et slopestyle, mais aussi aller en Andorre pour visiter Commençal et rencontrer Max Commençal, créateur de l'entreprise. Plus tard, j'aimerais participer au championnat UCI MOUNTAIN enduro et DH.

Si j'étais un objet, je serais un VTT.

Si j'étais une légende, je serais Rémy Métailler, champion de VTT DH et pro rider, chez Commençal Bike.

Plus tard je voudrais travailler chez Commençal en tant que designer ou pro rider, ce métier consiste à travailler dans une team (équipe) de VTT professionnel. Je voudrais vivre au Canada juste pour profiter des gigantesques Bike Parks. Ce sont de grandes pistes réservées au VTT, avec des modules en bois, en terre et en pierre sur un réseau de pistes de descente, dans une station en montagne.

Au Canada, je pourrais travailler dans des grandes entreprises spécialisées en VTT, je n'ai aucune idée de l'argent que je gagnerais.

Samuel (texte et photos)

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Mon passé, mon présent et mon futur (extraits)

Dans le passé, je me souviens de mon grand-père, toute cette générosité qu'il avait avec tout le monde, ces moments sur le tracteur pour aller au bois, ces moments de sieste après avoir mangé.

Je me souviens du jour où on m'a annoncé qu'il était malade, je n'avais pas réagi car j’étais très jeune.

Je me souviens qu'il y avait déjà quelques temps que je n'allais plus le voir aussi souvent qu'avant.

Je me souviens de cette faiblesse qu'il avait.

Je me souviens du jour où on m'a dit qu'il était parti pour toujours.

Je me souviens de la sensation que j'ai eu, toute cette tristesse qui m'était arrivée d'un coup comme si une partie de moi était partie avec lui.

Je me souviens de ces jours très durs à vivre.

Je me souviens du jour de la naissance de mon frère. C'était assez bizarre de se dire que je ne serais plus seule. Aujourd'hui, mon petit frère m'apporte de la joie, rend meilleures mes journées.

Je me souviens quand j'ai rencontré mon copain pour la première fois.

Je me souviens de cette complicité jusqu'au jour où tout s'est arrêté.

Je me souviens de mes vacances en famille, nous étions assez nombreux à partir. C'était dans un endroit simple pourtant c'était tellement bien. On avait grimpé tout en haut d'une montagne, c'était l'une des plus hautes de là-bas. Là haut, le paysage était magnifique.

D'un côté on voyait la verdure et de l'autre côté tout était jaune, tout avait été séché par la neige, on aurait dit un désert.

J'aime beaucoup voyager, rencontrer des personnes, faire de nouvelles choses que je ne fais pas habituellement.

J'aime bien lire et écouter de la musique. J'écoute souvent de la musique et j'écris des petits textes en même temps. Écrire des textes, c'est ma façon à moi d'évacuer, ça m'évite de me livrer à tout le monde car c'est quelque chose que je ne fais jamais !

J'adore passer du temps avec mes amis, ils sont géniaux. On rigole toujours pour tout et n'importe quoi, on passe énormément de temps ensemble même en dehors du collège. Le soir à peine rentrés, on s’envoie déjà des messages. On est toujours ensemble et on ne s'est jamais pris la tête, comme quoi rester tout le temps avec des personnes ne veut pas dire qu'on ne peut plus les supporter à un certain moment !

Plus tard, j'aimerais partir aux Maldives avec des personnes qui me sont chères. Pourquoi les Maldives ? Parce qu'on dirait un autre monde, le paysage est magnifique de nuit comme de jour. La nuit, on dirait que les étoiles sont tombées sur le sable, mais ce sont seulement des petits effets de lumière bleue.

Plus tard, je voudrais devenir vétérinaire pour pouvoir

sauver les animaux, pour empêcher qu'il y ait encore moins d'animaux sur Terre dans les années à venir.

Je voudrais avoir une petite vie tranquille loin de ce monde assez brutal, rempli de personnes qui essaient de détruire les autres.

Dans mon monde, je voudrais que tout le monde se respecte!

J'aimerais revoir des personnes qui ne font plus partie de ce monde … Je voudrais que des moments passés reviennent.

Mégane

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Si j’étais un animal, j'aimerais être un loup. J'ai besoin des autres pour me sentir plus forte pour affronter l'ennemi, vivre en meute et en communauté, avoir de la vitesse et un territoire, combattre pour me nourrir et devenir une espèce protégée.

Si j’étais un objet, j'aimerais servir à quelque chose, ne pas rester comme ça, sans rien faire. J' aimerais être un stylo, j’écrirais et je serais contrôlé par une personne qui ferait des dessins. Je mettrais de la couleur sur une feuille blanche.

Si j'étais un film, je serais une histoire qui intéresserait les spectateurs, qui les surprendrait, qui les laisserait bouche bée devant ce qu'ils viendraient de voir. Je leur donnerais envie de le revoir et de rester toujours aussi surpris et choqués, d'avoir les larmes aux yeux et des papillons au ventre …

Si j'étais un rêve, je serais merveilleux. Je réaliserais le maximum de vœux et de bonheur pour que la vie des autres soit heureuse, magique, agréable et surtout la plus réussie de toute.

Si j’étais un paysage, je serais un paysage corse. Je serai beau et agréable. Il ferait chaud. Je serais la mer et je verrais les gens heureux quand il se baignent, comme nous cet été.

Je me souviens en effet de mes vacances en Corse en Juillet.

J’étais joyeuse de partir, on ne fait pas tous les jours des voyages aussi loin. C'était magnifique ! On s'est baignés, nous sommes allés dans les terres et les gorges naturelles. Sur la route, nous avons croisé à plusieurs reprises : cochons, vaches, chèvres… Tous ces animaux étaient couchés en plein milieu de la route. Les virages étaient interminables, ils ne s’arrêtaient jamais, nous étions souvent malades. Les montagnes étaient

magnifiques. On se croyait dans un rêve. Nous prenions souvent de l'altitude qui nous empêchait de respirer par moment. Là-bas les paysages sont sauvages et magnifiques. Il fait très chaud et durant notre séjour, il n'y avait pas eu une goutte de pluie depuis plus de deux mois.

Je me souviens de nos deux derniers jours où il faisait toujours aussi chaud mais le ciel était nuageux. Le drapeau rouge sur les plages signalait une interdiction totale de se baigner. Il y avait de gigantesques vagues aussi magnifiques que dangereuses.

Je me souviens le dernier jour où nous avons pu nous baigner. Les vagues nous embarquaient au large. C'était trop bien ! Elles étaient énormes par rapport aux autres jours durant lesquels on faisait de la plongée sous marine avec mon père.

Je me souviens, il n'y avait pas une seule vague ce jour là. On nous entendait respirer tellement c' était silencieux et nous avons vu de magnifiques poissons, des coquillages, des oursins… C’était très sauvage sur terre comme en mer et le dernier jour nous avons passés un des meilleurs moments de notre séjour parce que nous avons fait de la « bouée tractée» avec mes parents. Nous nous sommes installés sur un disque attaché à un petit bateau, il nous a emmenés en mer et là tout a commencé. Le bateau a accéléré et le disque a commencé à s'envoler, on se tenait aussi fort que possible pour ne pas chuter mais nous sommes malgré tout tombés à l'eau. Nous avons passé un superbe moment, ensuite nous avons fait nos bagages et nous sommes partis à 19h00 de la maison

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de location. Le bateau était très grand et nous le prenions pour une deuxième et dernière fois pour ces vacances. Il y avait énormément de cabines pour passer la nuit. Nous en avions réservé une dans laquelle il y avait quatre lits, une douche, des toilettes. Le soir, nous avons assisté au départ du bateau et après nous avons mangé à bord, au self. Il y avait beaucoup de monde et beaucoup de choix de menus. Une fois fini, nous sommes allés nous doucher moi, ma sœur, ma mère, et mon père et nous avons pris un cocktail sur le pont du bateau. Lorsque nous sommes allés nous coucher, la mer était encore un peu agitée mais c’était supportable. Le lendemain, la sonnerie des cabines nous a réveillés à 6h00 pour aller prendre un petit déjeuner.

Je me souviens que c'était assez bon et nous sommes retournés pour la dernière fois dans les cabines pour aller chercher nos valises. Ensuite, nous sommes descendus au garage et avons pris la voiture pour sortir du bateau. Une fois arrivés à Marseille, il nous restait encore 9h00 de route pour être chez nous. C’était magnifique, agréable, beau, sauvage...

J'aimerais tellement revivre un tel moment...

Lily Rose

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Le sport dans ma vie

J'ai un frère jumeau. Ce n'est pas toujours facile. On n'est pas pareil, je suis plus calme que lui, il s'énerve plus vite.

Nous avons tous les deux une passion pour le sport mais nous ne pratiquons pas les mêmes disciplines sportives.

Moi, j'ai fait du judo, du foot, du badminton ainsi que de la moto et je vais à la pêche.

Je me souviens quant on faisait du badminton avec mon frère, on faisait des matchs pour savoir lequel des deux remporterait la partie. En VTT aussi, on a fait quelques descentes pour savoir lequel serait le meilleur.

Je me souviens de ma première fois sur une moto. Je voulais essayer. C'était pendant les vacances d'été. Il y avait ma tante qui fait de la moto avec une Kawasaki 650.

C'est grâce à elle que je suis allé dans un club de moto à Chanterac près de Périgueux.

J'avais peur au début mais après quelques minutes sur le terrain, j'ai pris de l'assurance. J'ai recommencé l'expérience un mois plus tard et j'ai eu ma première chute. Je suis tombé en freinant de l'avant et la moto est tombée sur mon pied, ça fait mal mais rien n'était cassé. J'ai dû attendre deux semaines et demie pour pouvoir bien remarcher.

Je fais du VTT (Cross Country). C'est grâce à mon copain Samuel que je me suis orienté vers ce sport. Au début, je faisais du vélo sans intérêt, mais Samuel a commencé à m’emmener dans des chemins et j'ai aimé. Au début, je n'allais pas vite, il me dépassait tout le temps mais après un an d’entraînement, je suis allé trois fois plus vite. On a découvert de nouveaux chemins en faisant plus de kilomètres.

Je vais avoir un nouveau vélo à Noël, un CUBE LTD 2016 ou 2015, ou un BH Expert 7.5 Top alu. J'adore faire du VTT entre copains, il y a souvent des crashs et on s'amuse bien même s'il pleut et s'il fait froid. On y va juste pour s'amuser. Dans les chemins, mon plus long parcours est de 45.86 km.

Je pêche aussi de temps en temps dans l'étang de Samuel ou en rivière.

Je me souviens de ma première carpe, elle pesait 4 kg. Elle faisait 50 cm, je l'ai pêchée au ver de terre. Je me souviens de ma première truite, elle faisait environ 30 cm.

Plus tard, j'aimerais entrer dans la Police Nationale ou être mécanicien VTT. Je voudrais avoir mon permis A2 pour m'acheter une Super moto. J'aimerais participer au Roc d'Azur. Le Roc d'Azur est un salon et une compétition internationale qui regroupent des milliers de vététistes de toutes catégories. C'est l’événement VTT le plus grand du monde !

Lucas

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Mon histoire

Je me souviens la première fois que je suis arrivé au collège.

J’ai donné une baffe à Andy.

Parce qu' il m'a embêté.

Je me souviens que je ne parlais pas français quand je suis arrivé.

Je suis venu de deux pays différents, Pays-Bas et Colombie.

Je me sens toujours bizarre mais cette année, il y a une prof plus bizarre que moi!

Je me souviens de voyages.

J'ai vécu dans 20 pays différents: Colombie, Italie, Royaume-Uni, Pays-Bas, Allemagne, Belgique, France, Espagne et Grèce. Je suis resté de quatre à six semaines dans chaque pays.

Quand j'ai vécu en Grèce, j'avais deux ans et demi donc je ne me souviens de rien.

J'aime le foot.

Je joue depuis l'âge de neuf ans et demi au foot.

J'adore voir jouer une équipe professionnelle.

Je suis allé voir six matchs professionnels.

Je connais le stade du FC Barcelone (Camp-Nou).

J'aime aussi le vélo, pas le VTT mais le vélo de route.

Le cycliste que j'aime le plus, c'est Alberto Contador. Il est d'origine espagnole.

J'ai vu le tour de France quatre fois, la première fois à Périgueux en 2014 . Cette étape était une étape contre la montre. La deuxième, troisième fois et quatrième fois, c'était cette année.

Je suis allé voir l'étape 7 (L'Isle-Jourdain / Lac de Payolle), l'étape 8 (Pau / Bagnères-de- Luchon) et l'étape 5 (Saumur / Limoges).

Je me souviens de mon dernier voyage aux Caraïbes. Je voudrais voyager toute ma vie.

Sébastian

Références

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