• Aucun résultat trouvé

 CultureExposition photographique "cinquième corps" de Noémie Goudal

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2022

Partager " CultureExposition photographique "cinquième corps" de Noémie Goudal"

Copied!
14
0
0

Texte intégral

(1)

dossier de presse

dép ar temen t d e l a se in e- m ar it im e

1 er juillet -

7 octobre 2017

-

CINQUIÈME

CORPS NOÉMIE GOUDAL

www.abbayedejumieges.fr

Abbaye -

de Jumièges

Logis abbatial

Photographies

conception et réalisation : Département de la Seine-Maritime / Direction de la Communication et de l’Information – © Photo : Observatoire VIII, Nmie Goudal

(2)

le département

de la seine-maritime présente

« Cinquième Corps » de nOémie gOudal

expOsitiOn phOtOgraphique dans le lOgis abbatial de l’abbaye de jumièges

a partir du 1 er juillet jusqu’au 07 oCtobre 2017

> sOmmaire

I. L’abbaye de Jumièges

II. « Architecture et paysage chez Noémie Goudal » III. Noémie Goudal et ses oeuves

IV. Biographie de l’artiste V. Autour de l’exposition

(3)

i. l’abbaye de jumièges

Fondée par Saint Philibert en 654, l’abbaye de Jumièges connut un rapide développement.

Après avoir été désaffectée à la suite des raids vikings, elle devint dès 940 un des grands centres intellectuels de la Renaissance religieuse et culturelle en Normandie.

L’abbaye survécut à la Guerre de Cent Ans et aux guerres de religion, mais la Révolution française entraîna sa ruine à la suite de sa vente comme bien national.

Devenue propriété de l’Etat en 1946, elle connut des restaurations successives importantes.

En 2007, sa propriété est transmise au Département de la Seine-Maritime.

Une vaste campagne de travaux a été entreprise en 2008 sur l’abbatiale Notre-Dame afin de sécuriser et de consolider les maçonneries. D’ailleurs, dans le cadre d’une action de mécénat, entre la Fondation du patrimoine, CGPA et le Département, des travaux de restauration du cellier, situé à l’ouest du cloître, ont été réalisés afin d’en conserver sa structure et son décor. Ces travaux permettront au public d’entrer à nouveau dans le cellier et d’approcher au plus près de la sacristie et de la salle capitulaire.

Par ailleurs, depuis le printemps 2012, l’abbatiale, célèbre pour être un exemple magistral de l’art roman normand, ouvre de nouveau au public et est intégralement rendue possible à la visite.

L’abbaye de Jumièges, dont les ruines sont admirées chaque année par 80 000 visiteurs du monde entier, est un site majeur de la Seine-Maritime.

© Alan Aubry - Département de la Seine-Maritime

© Alan Aubry - Département de la Seine-Maritime

(4)

ii. « architecture et paysage chez nOémie gOudal »

N

oémie Goudal s’empare du réel, le fragmente et le recompose. Si une photographie est communément liée à un espace et à un temps donnés, l’artiste brouille délibérément les pistes. Les images qu’elle construit sont singulières et inédites à plus d’un titre.

Ses premières séries Les Amants et Haven her body was (2008-2013) transposent une vue paysagère d’une partie du globe dans un autre site géographique, de préférence architecturé et repéré pour son atmosphère pittoresque. La première photographie, morcelée en panneaux, est réinstallée tel un tableau ou un écran à l’intérieur de la deuxième situation. L’association de ces deux pans de réel compose une image complexe qui ne reformule pas tout à fait une réalité au sens du rendu photographique. Se perçoit alors la volonté de réinventer le monde selon une forme chimérique qui se joue des codes de la perception instaurés depuis la Renaissance. Simultanément, affleure dans ces compositions un hommage à l’inspiration romantique commune à maints paysagistes du XIXème. Depuis quelques décades, ce souffle resurgit chez certains photographes documentaires, après deux décennies de neutralité objective. Elger Esser ou Andreas Gursky, parmi les Allemands les plus connus, se sont éloignés petit à petit d’un rendu objectif du paysage, en puisant dans leur potentiel de subjectivité jusqu’à réactiver un nouveau pittoresque. Ces postures, qui se placent dans la continuité de l’aspiration au Sublime inhérente à la culture germanique, trouvent un écho frappant chez cette artiste de la nouvelle génération. Héritière du romantisme français, sa culture s’est également enrichit des aspirations anglo-saxonnes, auxquelles elle s’est sensibilisée pendant ses études.

Certains pourraient éventuellement considérer que ce déploiement formaliste ne saurait suffire. Mais, au-delà même de considérer la richesse du répertoire historiciste du paysage et de l’architecture dont l’artiste fait un excellent usage, ce serait faire fi du saisissement qui se produit à la découverte de ces images monumentales. Celles-ci sont en effet « remises en scène » dans un format XXL, et, enfin, par la scénographie de l’exposition, conçue comme une nouvelle installation, venant compléter le dispositif perceptif. Cette mise en abyme de l’espace de l’image et des différents lieux (en incluant celui physique du visiteur) devient illimitée. Dans certains contextes, les images sont encollées ou accrochées sur des échafaudages, dont la mise en place laisse apparaître les éléments de construction. Quel que soit le stade du processus, il n’y a pas d’artifice caché ou virtuel. Il est aisé de constater la juxtaposition des éléments formels puisque l’artiste met en évidence ses manipulations. Dès lors, la proposition artistique est libérée de la contingence de réalité et devient autonome.

(5)

Le travail de Noémie Goudal englobe la dimension utopique et défie sans cesse la représentation physique et symbolique de l’architecture et du paysage. Avec la série Southern Light Stations (2015-2016) elle se confronte directement au paysage en bâtissant des super infrastructures pour placer ses installations dans des sites, certes admirables mais souvent imprenables. Elle parvient, grâce à des échafaudages agrippés à flanc de falaise, à amarrer sur des éperons de château forts, pratiquement en plein ciel, des planètes figurées par de grands cercles de cartons encollés de panneaux photographiques ou de papier-miroir.

Suspendus devant chaque site, ils engendrent à chaque image de cette série diurne et nocturne une puissante vision. Rien n’est laissé au hasard, l’intention créative prime sur l’entreprise humaine et les défis qu’implique chaque prise de vue. Avec brio, les habituelles allusions à Caspar David Friedrich sont dépassées par le souffle de cette envolée paysagère.

Les sites diurnes sont de vastes paysages, presque infinis. Dans une autre image, la mer et le ciel partagent leur plénitude. Les images nocturnes sont plus dramatiques, la Lune surgit d’une éclipse auréolée qui invite à plonger dans les ténèbres. La dernière œuvre de la série forme un triptyque hallucinatoire dans lequel la planète semble se déliter au fur à mesure, évoquant par un subtil raccourci iconographique la formation de l’univers et le passage des millénaires.

Avec cet ensemble, l’artiste fait basculer la perception et notre rapport au monde tangible, en proposant, cette fois-ci, une version cosmique, une forme d’abstraction de l’univers.

Toutefois, la mise en forme se dissocie totalement de l’imagerie futuriste produite en cascade à l’aide des nouveaux procédés de composition virtuels. Si en arrière-plan se décalquent les photographies de la Lune ou de Mars, d’autres références surgissent à l’esprit comme la cosmographie théologique qu’elle soit d’obédience chrétienne ou arabe, et même plus lointaine, comme les théories aristotéliciennes qui divisent en deux le cosmos, avec une partie céleste dite supralunaire, et une partie sublunaire composée des quatre éléments : le feu, l’eau, l’air, qui encerclent la Terre et interagissent avec elle. Les Stations de Noémie Goudal convoquent maintes visions cosmogoniques et trouvent incidemment une résonnance avec une grisaille peinte sur les volets extérieurs du Jardin des délices. Jérôme Bosch a peint un globe transparent contenant un continent, paysage en formation posé sur l’eau noire de l’océan et coiffé d’un ciel saturé de nuages de vapeurs qui amèneront les premières averses bénéfiques à l’éclosion de la nature – Dieu, en père créateur, trônant à l’extérieur du globe.

Dans les Stations, le ciel et le paysage deviennent le plateau de jaillissement d’une nouvelle planète, ou d’une nouvelle Lune. Il serait présomptueux d’évoquer ici une tentative de re- création du monde. Mais, grâce au jeu suggestif entre l’immensité de l’horizon diurne, ou les profondeurs de l’abîme nocturne, et les cercles qu’ils les accompagnent, la perception s’envole dans une dimension cosmique. Une abstraction mentale se produit alors, comme si la créatrice parvenait à parachever le paysage avec sa propre cosmogonie.

Série Southern Light Stations 2015 / Station V

(6)

Conjointement au paysage, l’architecture est une composante majeure de l’art de Noémie Goudal. Déjà présente dans les séries précédentes, deux autres lui sont consacrées : Observatoires (2014-15), Towers (2016). L’ensemble des dix observatoires isole des éléments d’architectures concrétistes tel un clocher, une chair de prêtre ou un double escalier sur des sites naturels. Le lien à la nature est présent, mais dans rapport inversé car c’est surtout par la dominance du ciel que l’osmose opère. Le traditionnel « tiers-paysage » (en l’occurrence la mer, la plupart du temps) sert principalement de socle. De fait, il n’a pas de réelle fonctionnalité paysagère. L’impact sculptural de ces morceaux d’architectures posées dans cette nature abstraite est remarquable. Ils se dressent comme des totems modernistes, dont l’effet sériel est renforcé par un accrochage de grands formats serrés en ligne. Quand l’artiste choisit plutôt de les présenter en petit format, elle les rassemble en un seul ensemble groupé qui accentue l’effet typologique de ces formes géométriques. Elle propose ainsi un clin d’œil élégant au protocole de neutralité théorisé par Bernd et Hilla Becher. Cette référence apparaît déjà en filigranes avec l’usage du noir et blanc.

Le parti pris d’un ciel pratiquement blanc souligne les formes sculpturales des bâtis tandis que la prise de vue frontale à la chambre évacue toute anecdote contextuelle. La matière du ciment est valorisée par le noir et blanc car il intensifie les niveaux de gris du béton sur fond de ciel évanescents. Le jeu matiériste des morceaux d’images tirés sur papier, plus ou moins bien encollés et réassemblés sur une surface plane, est également plus tangible.

Parallèlement, le décalage perceptif de ces volumes remis à plat est accentué par les subtils jeux de reflets dans l’eau. Le trompe l’œil devient entier avec ces réverbérations qui « re-matérialisent » le volume tridimensionnel de l’architecture - provoquant un décalage visuel, imperceptible au premier regard. Il est cohérent de rapprocher cette méthode conceptuelle des installations de Felice Varini qui géométrisent un lieu par un jeu de lignes dans l’espace dont l’effet plastique est uniquement perceptible à l’œil d’un endroit précis du site. Dans les deux cas, le spectateur est soumis à une construction géométrique qui redimensionne l’espace mental.

Avec les Towers (2016) l’artiste donne libre cours à son imagination en créant des architectures recomposées à partir de petits éléments isolés. Ces tours rappellent les dessins utopistes de Claude Nicolas Ledoux et les colonnes du « temple » qu’il réalisa à la Saline royale. Ce dernier est en réalité la résidence de directeur. Il fait symboliquement office de nouvelle église au centre d’un cercle sociétal rassemblé autour du pouvoir du maître des lieux - lui- même représentant du Roi. Il y a là une vraie jouissance intellectuelle de l’artiste. De la sorte elle propose une version moderniste des folies rococo du XVIIIème qui rythmaient les parcs des châteaux royaux ou les jardins anglais et germaniques. Ses nouvelles tours de Babel s’érigent éperdument dans le ciel tandis que le format monumental conféré aux œuvres ne fait qu’accentuer l’impossibilité d’achèvement.

Série Observatoires 2013 / Observatoire V (Pyramide)

(7)

Il est aisé de percevoir comment la présentation des œuvres de Noémie Goudal trouve de nombreux points d’ancrages à Jumièges. Surgit au premier regard le rapport au pittoresque entretenu par l’interaction entre le paysage et ces ruines magnifiques qui résonnent

idéalement avec les oeuvres de la photographe.

Jumièges, joyau architectural sis en majesté dans ce site champêtre proche des fameuses boucles de la Seine, fut considéré comme un des hauts lieux du pittoresque lorsqu’il fut redécouvert dans la deuxième moitié du XIXème. S’arrêta alors l’hémorragie des pierres arrachées à ce monument, transformé en carrière après la Révolution. Des photographies d’époque démontrent à quel point la nature sauvage s’entremêlait avec les ruines abandonnées d’où affleurait la mélancolie de l’histoire et l’aspiration au sublime. Ce goût néo-gothique, en vogue au tournant du siècle, se retrouve discrètement dans les logis de l’entrée, restaurés par les anciens propriétaires pour en faire un lieu de villégiature romantique et littéraire.

Aujourd’hui protégés, l’abbaye et son environnement exhalent toujours cette atmosphère fictionnelle. Les visiteurs se promènent dans Jumièges tant pour la magnificence du bâti que pour la splendeur du site.

L’élévation mentale inspirée par ce patrimoine est influencée par l’ouverture sur le ciel de l’abbatiales et la sensation irréelle d’un théâtre au naturel.

Les photographies de Noémie Goudal, bien que soustraites de toute inspiration servile, font appel aux mêmes mécanismes associatifs. Ses références sont différentes. Elles surgissent au tournant d’un autre siècle avec une vision élargie de l’histoire. Selon les séries, les sources peuvent être explicitement pittoresques ou être inventées à partir d’une iconographie moderniste. Et puique l’artiste formule ses images à partir de vrais sites, dans lesquels elle place physiquement ses architectures, le rapport fonctionne implicitement de la même manière, bien que le résultat formel ne soit qu’une image et non un bâtiment. Cela devient d’autant plus plausible lorsque les œuvres côtoient l’abbaye.Le rapport à l’architecture est l’autre source de dialogue entre la scénographie muséale du lieu et celle proposée par Noémie Goudal.

Le logis abbatial qui accueille l’exposition est un mélange d’élégance due à la coque architecturale à la Mansart et de brutalité causée par l’emploi massif de béton armé pour en consolider l’intérieur fragilisé et recomposer les étages. L’artiste a apprécié cette structure singulière pour laquelle elle a élaboré un parcours jouant avec les murs du logis et ceux contenus dans ses photographies, tel un édifice à claire-voies, reprenant l’idée des envolées architecturales à tout vent de l’abbaye.

Déjà souligné, les liens à la cosmologie entraînent une autre consonance mentale, qu’ils soient d’ordre théologique dans un contexte abbatial ou conceptuel dans les photographies de la série Stations, présentées au rez-de-chaussée. Dans les deux cas, la spiritualité est portée par la beauté du paysage et la plasticité de l’architecture. Enfin, la superbe collection de têtes lapidaires qui apparaissent dans les salles du logis abbatial, aux détours de l’installation de Noémie Goudal, renforcent cette suggestion d’éternité. Comme si cette exposition réconciliait, le temps d’un été, art contemporain et histoire.

Série Towers, 2015 / Tower I

(8)

iii. nOémie gOudal et ses Oeuvres

O

scillant entre réalité et invention, les images de Noémie Goudal explorent des géogra- phies réelles et fictionnelles en créant des espaces éphémères qui questionnent l’image, sa représentation et ses possibles. Son œuvre se nourrit de la relation complexe entre l’homme et la nature, entre l’artificiel et l’organique.

Pour son exposition à l’Abbaye de Jumièges, Noémie Goudal souhaite présenter un en- semble cohérent d’oeuvres, se constituant à la fois de photographies anciennes (réalisées entre 2014 et 2016) mais également d’oeuvres inédites.

Série Towers, 2015 / Tower II

(9)

Série Observatoires 2013 / Observatoire I (Pulpit) Série Observatoires 2013 / Observatoire II (Dome)

Série Observatoires 2013 / Observatoire III (Pernot Ricard) Série Observatoires 2013 / Observatoire VI (Stalingrad)

(10)

iv. biOgraphie de l’artiste

Noémie Goudal est née en 1984. Elle vit et travaille entre Paris et Londres.

FORMATIONS

2010 MA Photography, (Distinctions), Royal College of Art Londres, Angleterre 2008 BA Honors (First Class), Graphic Design, Central St Martins Londres, Angleterre EXPOSITIONS PERSONNELLES

2018 Finnish Museum d’Helsinki, Finlande 2017 Abbaye de Jumièges, Jumièges FotoFestival, Lodz, Pologne 2016 Cinquième corps, Le BAL, Paris

2015 Southern Light Stations, The Photographers’ Gallery, Londres, Angleterre The Geometrical Determination of the Sunrise, Foam Museum, Amsterdam, Pays-Bas

2014 Haven her body was, Galerie Les filles du calvaire, Paris In Search of the First Line, Edel Assanti, Londres, Angleterre

The Geometrical Determination of the Sunrise, The New Art Gallery, Walsall, Angleterre

2013 Prix HSBC - Maison de la Photographie de Toulon, Arsenal de Metz, Musée de Mougins, Galerie Seine 51, Paris

2012 Project B, Milan, Italie

Edel Assanti, Londres, Angleterre 2011 Severed Head Gallery, Dublin, Irlande 2010 HotShoe Gallery, Londres, Angleterre EXPOSITIONS COLLECTIVES

2016 Fragments, Galerie Les filles du calvaire, Paris, France Performoeurs, L’abbaye, Centre d’art Contemporain, Annecy 2015 Tokyo International Photography Festival, Tokyo, Japon

Constructs-Constructions, The Kiran Nadar Museum of Arts, New Delhi, Inde Wilderness, The New Shelter Plan, Copenhague, Danemark

Vita Vitale, The Azerbaïdjan Pavillon, Biennale de Venise, Italie

2014 Les Esthétiques d’un monde désenchanté, Centre d’art contemporain, Meymac Architectures d’Urgence, Pavillon Vendôme, Clichy-la-Garenne

Treasure of Lima, Works placed in a Time Capsule, Isla del Coco, Costa Rica 2013 Fotografica Bogota, Museo de Bogota, Colombie

2012 Unseen photography fair, Amsterdam, Pays-Bas Festival Image Vevey, Vevey, Suisse

(11)

2011 Catlin Art Prize, Londres, Angleterre Ristruttura, Project B, Milan, Italie

Art Amsterdam, Kahman Gallery Amterdam, Pays-Bas Photo 50, The London Art Fair Londres, Angleterre 2010 Anticipation, Selfridges Gallery Londres, Angleterre Multiplied Art Fair, Edel Assanti, Londres, Angleterre Flash Forward Festival, Toronto, Canada

Women in Art Photography Humble Arts Foundation, Londres, Angleterre New Sensations, House of the Nobleman, Londres, Angleterre

Riccardo Pezza Prize Triennale Museum Milan, Italie 2009 International Talent Support, Trieste, Italie

PRIX / BOURSES

2013 Prix HSBC pour la Photographie, Lauréate, Paris Pix Sea Award, Nominée, Knokke Heist, Belgique 2012 Prix Virginia, Nominée, Paris

Paul Huf Award, Nominée, Foam Museum, Hollande Residente au Corinthia Hotel, Londres, Angleterre 2010 Sustain Award RCA, Londres, Angleterre

International Fine Art Photography Award, Second Prix, New York, USA COMMANDES

Derwent Land Securities

Maison Martin Margiela pour H&M Corinthia Hotel

COLLECTIONS

Hiscox Foundation Saatchi Gallery

David Roberts Foundation Conran Foundation Artwise Curators

Fotomuseum Winterthur Catlin Art Foundation KNMA, Inde

(12)

v. autOur de l’expOsitiOn

Visites commentées tout public : Sur réservation, à 11h et à 15h :

• Les 8 et 9 juillet,

• Les 5, 6, 19 et 20 août,

• Les 9, 10, 16, 17, 23 et 24 septembre

• Le 7 octobre

Visites commentées pour les groupes (sur réservation).

Ateliers jeune public (de 7 à 12 ans) :

« Jeux vacances » programmés durant les vacances scolaires, en lien avec la thématique de l’exposition (sur réservation).

Pour les scolaires :

Visites commentées et ateliers pour les classes (sur réservation).

Stage photo :

« L’image par l’image : travail autour d’images d’archives », encadré par la

photographe Catherine Poncin, du 24 au 28 juillet 2017 à l’abbaye de jumièges et

aux Archives Départementales de la Seine-Maritime (sur réservation).

(13)

vi. infOrmatiOns pratiques

L’abbaye de Jumièges est ouverte tous les jours :

de 9h30 à 18h30 jusqu’au 15 septembre ;

de 9h30 à 13h et de 14h30 à 17h30 du 16 septembre au 14 avril.

Le logis abbatial est ouvert durant les expositions temporaires :

de 10h à 18h jusqu’au 15 septembre ;

de 10h00 à 12h30 et de 14h30 à 17h00 du 16 septembre au 14 avril.

Dernier billet délivré 30 mn avant la fermeture du site.

Tarifs/Réservations :

Plein tarif : 6,50 €

Groupes (à partir de 20 personnes) : 5 €

Tarif réduit (sur présentation d’un justificatif) : 4 € (18-25 ans, familles nombreuses, enseignants).

Gratuité (sur présentation d’un justificatif) : moins de 18 ans (sauf groupe scolaire), chômeurs, titulaires du RSA ou de l’aide sociale.

Groupe scolaire (30 élèves maximum) : 22 € - Réservation obligatoire pour les groupes.

L’abbaye propose à l’entrée la location d’une tablette numérique (5€) afin de découvrir l’application numérique, en réalité augmentée Jumièges 3D qui permet de découvrir une reconstitution virtuelle des bâtiments. Cette application s’est vue décernée le prix de la meilleure application numérique mondiale en 2013 par le World Sumit Award (congrès international soutenu par l’Unesco)

En complément de l’exposition, la visite de l’abbaye :

Site touristique, les ruines de l’abbaye sont constituées des églises Saint Pierre, Notre- Dame, des restes du cloître ainsi que du logis. L’ensemble est entouré d’un parc classé de 15 hectares. Chaque jour, des visites guidées du site de l’abbaye sont programmées pour les visiteurs individuels, menées par des guides conférenciers.

L’Abbaye de Jumièges vient d’obtenir le prestigieux label « 3 étoiles » du Guide Vert Michelin. C’est une reconnaissance qui valorise des années de remise en état et d’actions culturelles et patrimoniales.

(14)

vii. cOntacts

Abbaye de Jumièges

24 rue Guillaume le Conquérant 76480 Jumièges

Informations et réservations : Tèl : 02 35 37 24 02

Courriel : abbaye-de-jumieges@seinemaritime.fr Site : www.abbayedejumieges.fr

Commissariat : Christine Ollier Tèl : 06 80 68 25 40

Courriel : ollierchristine@gmail.com

Directrice de l’Abbaye : Marie-Laure Sucré Tèl : 02 35 37 13 03

Courriel : marie-laure.sucre@seinemaritime.fr

Accès : Jumièges est située sur la rive droite de la Seine au fond d’une des boucles qu’elle forme entre Rouen (à 30 km) et Le Havre (à 50 km).

Accès par la rive droite :

Depuis Rouen : direction Le Havre-Duclair par D 982, puis D 65 ou D 143 après Duclair.

Depuis Le Havre : direction Rouen par A 131 puis D 982.

Accès par la rive gauche :

A 13 (Paris-Rouen-Caen), sortie 25 Bourg-Achard/Pont de Brotonne, puis D 313 direction Pont de Brotonne, franchissement de la Seine par bac (traversée toutes les 20 minutes) ; l’abbaye se trouve à 800 m du débarcadère.

Références

Documents relatifs

Cet instinct naturel était en quelque sorte dompté pour être plus subtile, avec plus d’émotion et de bon goût pour l’album Showbiz, mais la tournée des Red Hot nous a

Après cinq années passées sur les parcours situés aux alentours du Château de Mesnières-en-Bray, le Département organise cette année, pour la première fois, une randonnée

Du 13 juillet au 18 août 2015, les habitants de la Seine-Maritime sont invités à voter pour élire leur monument préféré sur le site internet de France Télévisions via le site

Le Département de Seine-Maritime présente, du 13 juin au 20 septembre 2015, l’exposition « Paysages », photographies d’Henri Cartier-Bresson, au Logis Abbatial de l’Abbaye

Afin de symboliser, dès l’ouverture du Panorama XXL, le partenariat entre la Métropole Rouen Normandie et le Louvre, le Panorama consacré à Rome en 312, sera accompagné

Les artistes devront être présent(e)s le soir des vernissages pour une rencontre avec les Élu(e)s et les publics, dans le but de présenter les œuvres proposées.. Le démontage

2.. 96) montrent combien les questions de documentation, catalogage, de matérialité des objets sont fondamentales au musée. Les choix qui sont effectués décrivent

Dann haben wir das Apothekenmuseum besichtigt, was sich im Garten des Schlosses befindet.. Der Museumeintritt war im