Maman mon cœur dévoilé t'chante sa nostalgie Amour inépuisable, T'es le berceau de la vertu
Mer d'où puise la force du fleuve que j'suis A toi Maman, j'écris tout l'amour jamais orchestré Noble femme, attachée au maxime familiale je t'aime.
Mère, depuis que le froid endeuillé t'a habité, Étendue dans ce creux devenu ta couchette définitive, Remords et chagrin mixés n'ont pas cessé de m'faire larmoyer,
En dehors de ces murs submergés par ta présence, je lève les yeux tout en priant pour ton repos éternel. Pourquoi pleurer quant à l’horizon je t’aperçois ?
Et qu’à proximité la brume ne peut t’emporter ? Tu veilles sur moi comme de ton vivant, Même si ton absence physique se fait fort,
Ta présence est encore plus forte en moi.
A toi dont la précipitation de l'au-delà a emporté ton plus grand trésor (Maman) arrête de pleurer et chante lui l'amour de ton cœur.