HAL Id: dumas-01562542
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place d’un logiciel documentaire au CTEU
Catherine Rémy
To cite this version:
Catherine Rémy. Élaboration d’un cahier des charges pour la mise en place d’un logiciel documentaire
au CTEU. Sciences de l’information et de la communication. 1998. �dumas-01562542�
UFR
I.DI.S.T
Maîtrise
S.I.D
REMY
Catherine
ELABORATION
D'UN CAHIER DES CHARGES
POUR LA
MISE EN PLACE
D'UN
LOGICIEL
DOCUMENTAIRE AU CTEU
Stage
effectué
à
l'UNIVERSITE
CHARLES DE GAULLE LIILE III
du 02 février 1998 au 15
juillet
1998
Au CENTRE DE TELE-ENSEIGNEMENT UNIVERSITAIRE Sous
la direction de
M. BERTONECHE(
Universitaire
)
etde
Mme ACHERE
(
Directrice
Administrative du
Télé-Enseignement )
Jeremercie Alonsieur DEREMETZ, Directeur
du
Télé-Enseignement,
et Madame ACHERE, Directrice
administrative,
pourleur
aimable acceuil.
Je remercie tout lepersonnel
du Télé-Enseignement
pour sagentillesse
etsadisponibilité,
enparticulier l'équipe
encharge du projet.
Je remercie
également
Alonsieur BERTONECHE,
monMaître
de
Introduction
p1
Première
partie
:Le CTEU
et
l'analyse de 1'
existant
p2
1/Présentationdu CTEU de LILLE p
2
A) Historique
p2
B) Fonction
etObjectif du
CTEU
p3
C) Structure
du
CTEU
p3
D)
Les
moyensinformatiques du
CTEU
p4
II/ La chaînedocumentaire p
5
A)
Typologie des documents
traités
p5
B)
Le
traitement
du document
p6
C)
Les
archives
p7
Deuxième
partie
:Le
projet
du
CTEU
:créer une
base de
données
p8
1/L'ambition du CTEU p
8
A)
Le
projet
p8
B)
Les
logiciels
p10
II/ Laréalisation : vers le « zéro
papier
» p13
A)
Qu'est-ce q'un
document
?
p13
B) Comment
transforme-t-on
undocument papier
enun document
électronique
?
p14
C)
Quel
estle
supportdu
document
numérisé
p15
D)
Comment
exploiter
cedocument
numérique ?
p15
B)
Analyse de
la
problématique
p17
C)
Problèmes
rencontrés
p17
II/
Propositons
p17
A)
Arborescence
etChemin
Informatique
p19
B)
Etude des archives
etdes dossiers destinés
à
la
numérisation
p20
C)
Organisation
de la base
p22
D)
Maquette
surBCDI 2
spécial
p25
E) Enjeux
juridiques
etévaluation du
coût
p30
F)
Guide de l'utilisateur
p32
Dans le cadre de la Maîtrise Sciences de l'Information et de la
Documentation,
j'ai
effectué
un stageafin
d'exploiter les
connaissances
acquises
à
l'Université
etde les adapter
aumonde de l'entreprise.
Ce stage
s'est
déroulé
auCentre
de Télé-Enseignement
Universitaire
de
Lille III du2 février au 15
juillet
1998.
Il avaitpour
objet
1
élaboration
d'un cabier des charges
pourla
mise
enplace
d'un
logiciel documentaire
ets'intégrait
auprojet
de
numérisation
des
cours. Travailler sur un telprojet
meplaisait
carj'allais
devoir
réaliser
etmettre en
place
unebase
documentaire,
être
confrontée
auxproblèmes
etenjeux
d
mise
des
cours sur supportpapier,
surun supportélectronique.
En fait ce stage
allait
me permettred'être
acteurde l'informatisation
d'un
fonds documentaire.
PREMIERE PARTIE : LE CTEU
ET ANALYSE DE L'EXISTANT.
I / PRESENTATION DU CTEU DE LILLE III.
A) Historique.
Le centre de
Télé-enseignement
Universitaire
ouCTEU
est unservice
pédagogique d'enseignement
à
distance rattaché
à
l'université
Charles-de-Gaulle-Lille III sous laforme d'un service commun.
Les cours par
Télé-enseignement
à
Lille
III,
remontentà
1963
pourles
cours
radio,
puis
à
1974
pourles
premiers
courspapiers
archivés.
A
cettepériode le
centre nes'occupait
quede quelques disciplines
etil
arrivait
quecelles-ci ne soient pas
toujours
complètes
:seul l'enseignement d'un
seul
cycle
y
était
assuré,
parfois
cecycle
était
lui-même incomplet
avec unmodule
surquatre.
Depuis
le
centrede
Télé-enseignement
Universitaire
s'est efforcé
de
renforcer ses
enseignements
incomplets
etde diversifier
les
disciplines
proposées
entravaillant plus
étroitement
avecles
enseignants (ce
sontles
enseignants
eux-mêmes
qui
proposentleur
cours auCTEU).
-2-CTEU s'est considérablementaccru : 14 DEUG et 6 Licences avec des cours de
langues
(Allemand
Polonais, Russe),
des
coursde Géographie, d'Histoire
et d'Histoire de
L'Art,
ainsi quedes
coursde
Lettres
Modernes
etde
Sciences del'Education
(Annexe
1).
Le CTEU
comptabilisait alors
1695
inscriptions
ettravaillait
avec environ210professeurs.
B)
Fonction
etObjectif du
CTEU.
Le CTEU apour
fonction
de
permettreà
des
étudiants
ne pouvantse rendre àlafaculté de
poursuivre
des études.
L'accès a ce service estsoumisàcertaines conditions :
en effet
depuis
1996,
le
CTEU
estréservé
aux personnes exerçant uneactivité
professionnelle
à
tempsplein,
auxassimilés salariés c'est-à-dire les
mères de familles de trois enfants ou les résidants hors
académies, militaires,
incarcérés, ainsi
qu'aux
handicapés. C'est
le
premier
service
du
CTEU
le
SEAD
(Service
d'Enseignement
A
Distance) (Annexe
2
et2
bis).
Le SEAD est
chargé
:1)
De
la transmission du savoir,
c'est-à-dire
toutesles opérations
entreles
enseignants
qui
élaborent les
cours etles étudiants qui doivent les recevoir.
2)
De
la
vérification
des acquis
parle biais des
devoirs dans le
cadre
du
CTEU.
3) De
la gestion administrative
de l'ensemble.
Le CTEU a ainsi comme
objectif
de
proposer unsoutien
pédagogique
aux étudiants en difficultés : ce sera le SOSP
(Service
de
Soutien
Pédagogique),
enconcertation
avecles
Unités
de
Formation
etde
Recherche
(UFR), qui
proposera unsoutient
à
l'intention des étudiants
présents
surle
site universitaire et sélectionné par
UFR,
suroffre des enseignants. Cela
dans certaines
disciplines,
notamment enlangues.
C)
Structure
du
CTEU
Sur le
plan administratif, le
CTEU emploie
10
personnes,plus
quelques
étudiants
vacataires
pourles expéditions.
Le
personnel comprend
undirecteur,
uneresponsable administrative
etdes secrétaires
qui
sontchargés
de la
gestion
quotidienne du
CTEU
et chacun a un rôleplus
oumoins
défini
:- l'une accueille les
professeurs, enregistre
les
cours,elle étudie les nouvelles
formations que propose
1' UFR
etvérifie
si
elles
ne sont pasdéjà
proposées
par
les
autresCTEU.
- l'autre
s'occupe
plus particulièrement
des
suivis
des étudiants.
- une secrétaire accueille les
étudiants,
envoie unecopie
des
cours auprofesseur
etsecharge d'établir
des
statistiques.
-une autre
s'occupe
de
la mise
en paged'en
tête,
vérifie le
contenudu
coursd'une année surl'autre.
-un technicien
informatique travaille
surla numérisation
des
images
etde
toutce
qui
estla
création
de
maquettes... .
-une secrétaire est
chargée
des
expéditions
et a3
ouA
étudiants
vacataires
sous ses ordres.
-uninformaticien met en
place
unebase
de données
Access.
Au cours de l'année un membre du
personnel chargé de la reproduction des
cours
papiers
du
CTEU
à
l'imprimerie,
aété
transféré
à
l'imprimerie de Lille
III.
Le Centre
gère
les expéditions
des documents de
cours etdes
cassettestout au
long de l'année universitaire
aufur
età
mesure queles
enseignants
les fournissent.
Le CTEU était un service avec une autonomie
budgétaire,
mais
depuis
cette année le CTEU
reçoit
uneenveloppe de la faculté.
Le CTEU de Lille III fait
partie
des
20
centresde la Fédération
Inter-Universitairede
l'Enseignement
à
Distance
(FIED) qui
comprend
35
000
étudiants.Par la diversité des
enseignements
proposés
dans
sesdifférents
Centres,
la
FIED permet
de
poursuivre
des
études allant du DEUG jusqu'à la
Maîtrise
ainsi
qu'un
accès
auxformations de grandes
universités
de
la
communauté
(Annexe
3
et3
bis).
D)
Les
Moyens
informatiques
du
CTEU.
Pour la
gestion
des tâches quotidiennes, le
CTEU
possède
6 PC
et2
imprimantes,
connectés
depuis
2
ans surle
réseau
de l'université.
En vue de ses
projets
de
numérisation
etde
création
d'une base de données,
le CTEU s'est
équipée
:">P
ourla
numérisation
- d'un ordinateur
Macintosh,
un Power-Mac 9500/200.
- les
logiciels
: -Adobe Photoshop
pourles retouches des
photos
numérisées.
- Adobe Illustration
pour
la retouche de
dessins numérisés
- Une
imprimante
laser
:la Color
Laser
Winter 12/600
PS.
- Un
scanner : Duo Scan
Agfa.
Omnipage
Pro
qui
permetla
reconnaissance
OCR
(reconnaissance
optique
des
caractères
)
.-un graveur
CD^/^ô
etGear qui
est un graveurde
CD
ROM.
Omnipage
Pro
qui
permetla
reconnaissance
OCR
(reconnaissance
optique
des
caractères
)
. - ungraveur
CD * 2/,6
etGear qui
estun graveurde
CD ROM.
-^pour la sonothèque
:-un ordinateur muni d'un processeur
pentium
266
etd'une
cartede
compression
sonore : carteHPEG
Digigram PC 11.
ourlabase de données :
-un ordinateur munid'un processeur
pentium 266.
II /LA CHAINEDOCUMENTAIRE
Au CTEU le documentpasse par
des
étapes
qui
sesuccèdent dans
un ordre
déterminé,
pouvantêtre
appelées
«chaîne
documentaire
».Les
éléments de cette chaîne documentaire peuvent
être
représentés
parl'organigramme
suivant
:collecte
—>
traitement diffusionA)
Typologie
des
documents traités
Le CTEU
présente
des
cours surdifférents
supports : coursécrits,
cours sur cassettes,
combinaisons de
cours écrits et sur cassettes,polycopiés,
devoirs,
corrigés-type,
devoirs
enautocorrection,
illustrations couleur
ounoir
et
blanc,
cassettesvidéo. C'est
l'enseignant
qui
choisit le
supportle
plus
approprié.
Les cours écrits comprennent
des
coursmagistraux,
des
travauxdirigés,
des bibliographies, des polycopies, des
corrigés.
Ces documents
papiers
peuvent sediviser
endeux
catégories
:1)
Les
documents
manuscrits
notamment pourcertains
coursde langue
(
Annexe
4),
plus
oumoins
lisibles
( Annexe 5 ).
2)
Les
documents
non-manuscrits
réalisés
surmachine
à
écrire
ouordinateur.
Le CTEU veut d'ailleurs étendre la réalisation des cours sur
disquette
parles
professeurs
pour unefacilité
de
traitement
du document
etgain
de place (des
cours arriventdéjà
parmail).
De
plus
parl'achat
de
1
000
disquettes, le
CTEU
va proposer auxétudiants
qui
le souhaiteront
uneversion
informatisée du
cours enplus
de la
version
- Planche
à
dessins, schémas
(Annexe
6
et6
bis
)
;
-Cartes
(Annexe
7
et7
bis
)
;- Illustration couleur
ou noiretblanc
(Annexe
8
et8
bis)
;Ces diversités
d'écritures, de
caractères et les différentes natures desdocuments,
sont desdifficultés
à surmonter dans le processusde
numérisation.
Les cours écrits comprennent
également des devoirs (thèmes,
versions,
exercices...
).
Les cours peuvent
aussi
avoir
comme support une cassetteaudio.
Les
cassettes sont
reproduites
engrande
série.
Le CTEU a abandonné les cours
radiodiffusés,
auprofit d'une banque
de données sonores
appelée SCfNOTHEQUE, qui
estprogressivement
mise
enplace.
Cette
SONOTHEQUE
seraconsultable
à
partir
d'Internet.
B)
Le
traitement
du document.
De son arrivée au secrétariat
jusqu'à
sondépôt
dans
les
archives, le document
passe parplusieurs
étapes
:1) L'enseignant
dépose
le document
ausecrétariat.
Ce
document
estenregistré
sur unefiche
cartonnéecorrespondant
à
la
fiche
de
l'enseignant
(Annexe
9
et9
bis ).
Il
y estnoté
le
nomde
l'enseignant,
l'unité
d'enseignement, l'année universitaire,
la
discipline, le module, le
numérodu
module, la date
de remise du cours,la date
d'expédition
auxétudiants, le
nombre de pages,
le
numéro
d'envoi, la liste des documents
accompagnantle cours,
s'il
s'agit d'une
reprise... .De
plus
il
y a uncalendrier
personnel
des
envois,
afin de gérer
aumieux
les
expéditions
des
cours au casoù
le
professeur
aurait
du retard
(Annexe
10). Le
coursestensuite
déposé
dans
undossier
d'enregistrement qui contient
les
mêmes
renseignements (Annexe
11
et 11
bis).
2) Le
document
estensuite mis
en page(Annexe
12
et12
bis).
Les
pagessont modifiées d'une année sur l'autre notamment si le cours est diffèrent. Dans ce cas,
l'intérêt du
cours sur supportinformatique
esttrès
appréciable
pourla
personnechargée de
cetravail.
3)
Le
dossier
d'enregistrement
partà
l'imprimerie
avec unlisting indiquant le
nombre
d'exemplaires
à
tirer,
correspondant
aunombre
d'étudiants
inscrits
dans le module(
Annexe
13).
La
personnechargée de la
reproduction
(noir
etblanc si textes,
couleur
siillustrations
couleur)
exécute cettetâche
àpartir
d'une version « recto » du cours. Elle conserve cette version « recto »,
fait
des
versions recto-verso pour
les
étudiants
etquelques
exemplaires
supplémentaires
pourles
inscriptions
retardataires plus
unecopie
du
coursau
professeur.
4)
Le
document
passeensuite
auxservices
des expéditions.
Là,
d'après
la
liste des étudiants inscrits au module, les
exemplaires
« recto-verso » sont,-6-envoyés
(Annexe
14).
Lorsqu'ils
le
sont tous,la
personnechargée des
expéditions
récapitule
sur unepetite
fiche le
travail qui
aété
effectué
:la date
d'envoi,
le
nom duprofesseur, le nombre de
coursenvoyés
(Annexe 15).
Cela permetde vérifier
parla
suite,
en casde
réclamation d'un
étudiant, si le
cours abien été
envoyé.
5)
Enfin les exemplaires
supplémentaires
etl'original du
cours, sontstockés
dans l'armoire destockage
du
CTEU,
dans
undossier
intitulé
«Dossier
Archive » avec la dated'expédition, le
numéro
de code,
le
nomde
l'enseignant,
la
naturedes documents
etle nombre
d'exemplaires
enarchive
(Annexe 16).
C)
Les
archives.
Les cours de l'année échue sont archivés dans des armoires
suspendues
(c'étaient
les
cours96/97
pendant l'année
universitaire 97/98
-salle desexpéditions).
Le
classement
sefait dans des boîtes
en carton, pardiscipline,
niveau,
numéro
de module
etparenseignant (Annexe 17).
Puis l'année
d'après ils
sonttransférés dans la salle d'archives
: unepetite
pièce
sansfenêtre.
Les boîtes sont
disposées
sur8 niveaux
d'étagères, le long
des
murs et aumilieu de la
pièce,
cesétagères
s'élèvent
jusqu'au
plafond.
Les critères de classement de ces boîtes aux archives sont les même que
les
boîtes
qui
stockent l'année
échue
:l'année
universitaire,
la
matière, le niveau,
l'enseignant
etle code de l'UE.
Les
premières
archives
remontentà
1974, les dernières
sontde
1995/1996.Le volume des archives est assez énorme,
puisqu'
uneannée
estcontenue dans à peu
près
45
boites,
50.
Ces archives sont classées dans
l'espace
selon l'année universitaire mais
pasforcément dans un ordre
chronologique.
Pourrechercher un cours il faut :
-se référer aux fiches
d'enregistrement des enseignants
tenus parle
secrétariatdu CTEU,
quand
on a uneidée
précise
de
cequ'on recherche
:tel
professeur, les
coursde telle discipline, dans tel niveau (car
cesfiches
sont elles-même classées pardiscipline
etniveau)
-se référer aux
guides des études édités
parle
CTEU
lui
même.
Jusqu'en
93-94, ces
guides
sontdans
untiroir
accessible
auxsecrétaires
; avant93
cesguides
sontdans la première
boîte de chaque
année.
Le CTEU avait aussi
quelques
années
de
cours surmicrofiches
(6 ans). Ce
support
avait
été
employé
pour ungain
de place,
mais
il
aété
abandonné
carsa
qualité de
reproduction n'est
pasoptimum. Le CTEU
possède
2
exemplaires de chaque
cours.Malheureusement,
à
caused'une étourderie 4
années ont étéperdues.
DEUXIEME PARTIE :
PROJET DU CTEU:
CREER UNE BASE DEDONNEES.
1/L'AMBITION DU CTEU
Al'instarde ce
qui
estfait
sonothèque,
le
CTEU
veutégalement
papier,
base
dont
je
devais m'occuper
pour
les
cassettesaudio
grâce
à
la
créer une base de données des cours
pendant
mon stage.A)
Le
Projet ( Annexe 18
et18
bis )
1)
Pourquoi ?
La volonté de créer une base de données des cours
papiers
du
CTEU
a les trois raisons suivantes :♦Un désir de modifier le support
de
ses coursarchivés c'est-à-dire de
numériser sur CD-ROM les
vingt
années
d'archives
;♦Le vœu de
simplifier
auquotidien la
gestion
des
traitements
des
coursde
l'année universitaire par
l'information
de
cesderniers
;♦L'ambitionde permettre
à
l'étudiant d'acheter
de chez lui des
courschoisis
dans cette base ;
donc
pourcela installer
cettebase
surle
réseau
Internet
(exactement
commela
Sonothèque).
2)Par
quel moyen?
L'analyse de
cesobjectifs
apermis
de définir les besoins réels du
CTEU : -
stockage
des
cours.
-exploitation
des
coursles plus
récents.
De la
simple
gestion
d'une base
de données,
ceprojet
aboutit
à
unegestion
électronique
de documents
-GED
-(Annexe 18
ter).
l)De
l'archivage
à
la
GED,
de la GED
ausystème
d'information
documentaire.
-L'archivage
désigne la
conservation
d'un document
ayantacquis
saforme
définitive etn'étant
plus
du domaine de
la
gestion
courante.Parsécurité
l'archivage des
données documentaires
estnécessaire;
unefois la
donnée
archivée, elle
nedoit
plus subir
de modification physique.
En ce sens
l'archivage fait
partie
de la
GED,
en ce sensla GED correspond
au
premier
besoin du
CTEU.
- La
gestion
électronique
documentaire
regroupe unensemble de fonctions
qui
ont pourobjet de faciliter
différentes tâches, réalisées
à
l'origine
manuellement :
l'acquisition
des données
etl'indexation,
l'archivage
des données,
larecherche des données, la consultation des données,
la modification et l'annotation.
la transmission des données
(restitution
etduplication).
Une
gestion
du
document,
parla
GED,
présente
les
avantagessuivants
:• un accès
plus
facile
parde nombreux
critères
de recherche
unclassement
selon
plusieurs
critères.
• un affranchissement des contraintes du temps et
de lieu, c'est-à-dire
uneplus
grande rapidité d'accès
à
l'information
et unaccès à
distance
audocument
quelque
soit
salocalisation physique.
• une sécurité accrue : il
n'y avait
plus
de document perdus, les
accès
enfonctiondes utilisateurs seront contrôlés.
• une simultanéité d'accès par
plusieurs utilisateurs
à
unmême
document.
Ces
caractéristiques
de la
GED
permettentde
voir
qu'il s'agit là
d'une
gestion
vivante et
dynamique
et quecelle-ci
n'est
donc plus
unarchivage
avecla
notion de mémoire morte mais un
stockage
permettantà
toutinstant
de
travailler surle document etde l'utiliser.
La
justification d'un
système
de
GED
doit
être
parconséquent
liée
à
unevolonté de mise à
disposition des données
etdes informations qu'elles
contiennent
qu'à
de simples considérations d'archivages.
La GED est dans ce cas le moyen
le plus adapté
à
répondre
auxdeux
principaux
objectifs du
CTEU
:1) Gérer
et «retravailler les
cours »d'une
année surl'autre
parexemple
:refaire lamise en page
de la
paged'en
tête
du
coursquand celui-ci
estutilisé
plusieurs
années.
Cela
seraeffectivement le
cas,lors de
la
semestrialisation des programmes,
le
cours seravalable
officiellement
pour trois ans.2)
Mettre
à
disposition des étudiants,
parla
vente,les
coursarchivés de
cesdernières années . Le CTEU
passerait
alors directement
à
la GED
dynamique, au-delà de la
GED Statique
(Stockage,
indexation, affichage
et
impression),
avecla gestion
de
la circulation
etde l'évolution
des
documents,
commel'a
défini
Jacques
Lassouiy.
B)
Les
logiciels
Laconcrétisation du
projet
oblige
le
CTEU
à
s'équiper d'un
logiciel capable de répondre
auxbesoins
de la
GED
(puisque c'est
surelle
qu'il faudra
compterdans l'avenir)
etd'un logiciel capable de s'adapter
à
toutes évolutions.
Je ne m'attarderai pas sur
la liste exhaustive des
différents logiciels
documentaires, les différents
logiciels de
GED, mais
surles logiciels
« rencontrés »
pendant
mon stagepuisque
le
CTEU
avait
déjà démarché des
sociétés pour
des démonstrations.
Je me suis toutd'abord rendue à un salon
informatique,
enjanvier, qui
m'a
permis
d'assister
à
unedémonstration
du
logiciel de
GED
:Scanlife, édité
parlasociété Bell &Nouvel France .
Ce
logiciel
numérise
les
documents, quelque
soit
leur
support,importe
etindexe des
images existantes,
peutappliquer
unmodule
d'OCR
etarchiver
sur le support
de
sonchoix.
Il fonctionne sous windows 95, existe enversion monoposte ou
réseau.
Il
possède
5
champs d'indexation
principaux
pardossier
etdes champs
d'indexationprogrammables
(
date
automatique,
code barre...).
Ce
logiciel
estunlogiciel de
GED
type,utile
à
l'entreprise
qui
gère
les
documents commerciaux :
factures, bons
de commandes, bons de livraison...
bref la
gestion
documentaire d'entreprise.
Pour un
projet
commecelui
du
CTEU,
le logiciel
estlimité
par :-sonnombre de
champs
- le nombre maximum des mots-clés
insuffisants, là
aussi, poursynthétiser
le
contenudu
cours.
-son
incapacité
agéré
unthésaurus
conséquent
commecelui
de
l'éducation nationale Motbis 2.
Pourtoutes ces raisons, le CTEU n'auraitpas
l'utilité
d'un
tel
logiciel.
De
plus dans
ceprojet
la
numérisation
des
cours etle
passageà
«l'OCR
» sont des tâches conférées àl'Atelier National des Thèses(ANRT)
: cesfonctions
particulières
du logiciel
seraient
inutilisées.
Le
prix
estaussi
relativement
conséquent
:20
000
f.
en monoposte et20 000
f. de plus
pouravoir
unelicence 5 postes.
Le deuxième
logiciel
rencontré
estle logiciel
Alexandrie, dont le
fournisseur est GB
Concept.
Alexandrie est constitué d'uneversion de base etde modules
complémentaires.
Ce
logiciel
estcapable
de
gérer
unthésaurus
etpossède
unefonction de
recherche en texteintégral.
Le noyau
documentaire
permetla
saisie
:La saisie est
paramétrable
avecdouze
champs(
typedu document, éditeurs,
auteur, titre,
mots-clés,
date de
parution,
commentaire...).
Les
champs
« titre » et « commentaire » sontindexés dans leur totalité pour unerecherche textuelle. Les
champs
peuventêtre
déclarés
selon
cinq
caractéristiques
:code,
pour toutesles
informations
qui
ontunevaleur
stricte
délimitée par une
liste
(Typologie), date, nombre, valeur libre
pour toutcequi
estalphanumérique
(titre, commentaire)
etenfin
unevaleur thésaurus.
Le nombre de
descripteurs
et auteurs parfiche
estillimité
etla
zonede
commentaire
dispose de
32
000
caractères.
Un seul thésaurus est
géré
par celogiciel, thésaurus
auquel
on peutrajouter
des termes.
Il permet
3
modes
de
recherche
:Le 1erest multicritères et booléen sur les
champs
«titre
», «résumé
»«
descripteurs
», « auteurs ».
Le 2 surles
champs
paramétrables,
«titre
» et «descripteur
».Le 3 pour
les
professionnels
avecles
opérateurs
booléens.
Ace module de
base, il faut
ajouter
unmodule de commandes,
d'emprunts,
de confidentialité renforcée... .Laversionde base monoposte
coûte
12 500
f.
avec environ 3 000 f.
par
modules complémentaires.
La
version
client
serveur pourdeux
postess'élève
à
28 900
f.
sansle module d'accès
à
Internet.
Outre le
prix qui
augmenterapidement
si
on ne veutpas ce contenterde la
versionde base(
dans le
cadre du projet,
il
estimpossible de
s'en contenter),
Alexandrieprésente
aussi
l'inconvénient de
ne pas respecterles
normesbibliographiques
envigueur. Le
nombre
d'auteurs
estillimité
orla
normeZ
44-005 le limite a3,
il
n'emploie
pas unvocabulaire
documentaire adéquat
: un résumén'est pas uncommentaire,
il
estde plus interdit de modifier
unthésaurus a sa
guise
:le thésaurus doit
être
unlangage
documentaire
commun REMY Catherineà tous les utilisateurs pour
qu'ils
puissent
s'y
retrouver,échanger des
notes....
Enfin l'inconvénient
qui
mesemble
le plus
important
estla complexité
d'utilisation de ce
logiciel
:bienque convivial il
n'est
pasfacile d'accès
à
un nonprofessionnel de la
documentation, d'autant plus
si
cette personne est unétudiant
qui
ne peut sedéplacer
etqui
n'est
pashabitué
auxlogiciels
documentaires desbibliothèques
universitaires
.Le
3'ème
logiciel
surlequel
j'ai
travaillé
(
carle CTEU avait installé
unebase démopour
faire les
essais
)et
surlequel
je vais
m'attarder,
estBCDI 2
spécial,
édité
parle
CRDP
de
Poitiers
(Centre
Régional
de
Documentation
Pédagogique).
BCDI2
spécial
estunedes
versions
du logiciel
BCDI
(Annexe 19 ),
conçupour
les
besoins
de l'éducation nationale.
Ces
différentes
versions
sontles
suivantes :
BCDI 2 école avec une interface de recherche
spécialement adaptée
auxenfants.
BCDI2
collège-lycée,
avec toutesles
fonctionnalités de
BCDI et avec en
plus
:
-une recherche
plein
texteassistée
par undictionnaire
thématique.
- de
nouveaux
champs dans la plupart des fichiers.
- lafonction
« état » permettant
les
statistiques
les plus
variés.
- lagestion
des
prêts
enfonction
de
«profils
»d'emprunteurs
et des différents supports.- la
gestion
de
«liaisons
»multimédias
(images,
sons,connexion
Internet...
).
- la
gestion
de
«fonds fluctuants
».BCDI2
Spécial,
permetl'intégration via
Internet
(Netscape,
Explorater)
d'une base
gérée
parBCDI
2
école,
BCDI 2
collège-lycée
ouBCDI 2
Spécial.
Ce
logiciel
BCDI
2
sépare
le
traitement
intellectuel (indexation
:titre,
auteur,résumé du
contenu)
de la
description
:catalogage.
La
particularité
de
celogiciel
estla possibilité de rattacher plusieurs
notices
à
unseul document,
il
ya donc une économie de travail.
Ce
logiciel
estaussi
unlogiciel pédagogique.
BCDI 2
spécial,
quantà
lui,
fonctionne
sousWindows
3.1x
etWindows 95. Il offre la recherche «
plein
texte » surla plupart des champs
des notices,
la
gestion
d'objets multimédias des
prêts,
des
réservations,
des
achats et desstatistiques. Trois
modes de recherche
permettentdifférents
niveaux d'utilisation :
#Le mode
simple
:recherche
plein
texteassistée
d'un langage d'interrogation
(dictionnaire
thématique
qui
permetd'effectuer la
recherche
surles
termes
équivalents),équation
de recherche
préstructurée
avecopérateur
logique
etparenthèsage
prédéfini.
REMY Catherine#Le mode avancé :
recherche
plein
textequi
peut-être
associée
auxchoix des champs
ou recherche sur
thésaurus,
équation
de recherche
préstructurée
avecopérateurs
logiques
etparanthésage
prédéfini
.•Le mode expert :
recherche
multicritère, multifichier,
plein
texte,thésaurus,
avecrédaction d'une
équation
de recherche.
Ily a
jusqu'à
5
bases accessibles depuis les
écrans
de recherche.
Il permet
la gestion
des
abonnements, des
catégories
d'utilisateurs, des lettres
derappel. Il
permetl'édition de bibliographies, de bons
de commande... la
réalisation de tableaux
statistiques.
Ce
logiciel
permet unaccès
auxdifférents index
et capturedes fiches,
unegestion intégrée
de thésaurus Motbis
3.0,
unesélection
des fiches les plus
pertinentes
d'importer des
Mémo
listes,
Mémo CD,
Mémo
fiches,
etde
lancer desapplications multimédias
externes :documents électroniques
et sites Web.BCDI 2
spécial
estdécliné
en3
versions
:• BCDI 2
spécial
Monoposte
a
4 000
francs.
• BCDI 2
spécial Option
postes
multiples,
2 000
francs.
• BCDI 2
spécial
Réseau
à
7 600 Francs.
Ily a
même
la
possibilité
de
transformer
la
version
spécial
Monoposte
enspécial
Réseau
(3 600
Francs).
Outre son
prix
attractif
etsacapacité
d'adaptation,
BCDI 2
spécial
esttrès
facile d'utilisation
(il suffit
de
selaisser
guider).
Que
cesoit
pour un nonprofessionnel de l'information,
ou pourl'étudiant
qui
esthabitué
a soninterface,
puisque c'est
unlogiciel de l'Education Nationale.
De
plus la possibilité de
pouvoir interroger jusqu'à
5
bases depuis les
écrans de recherche d'une base X, permet unegrande
margede
manœuvrequant
à
l'organisation de la base de données du
CTEU
enplusieurs bases de
données
disciplines
et auparamétrage
des
autorisations
de celle-ci.
II/ LA REALISATION : VERS LE « ZERO PAPIER >>
A)
Qu'est-ce qu'un
document
?
D'après la
définition de 1TSO (International Standard
Organisation)
undocumentest l'ensemble d'un support
d'information
etdes données
enregistrées
surcelui-ci
sous uneforme
engénéral
permanente etlisible
parl'homme ou par une
machine
!
Cette définition du document
s'applique
aussi
bien
audocument
sur supportpapier
qu'au
document de
GED,
surforme électronique.
En effet la
gestion
électronique
de documents implique bien naturellement de
disposer d'un document, quels qu'en
soient
le
type etla
nature, sousforme
électronique
afin qu'il
soit
manipulable
pardes outils
informatiques.
La GED se passedu document
sur supportpapier
etd'une quelconque
manipulation manuelle.
B) Comment
transforme
t-on undocument papier
en undocument
numérique
?
Pour
pourvoir
être géré
par unsystème
de
gestion
électronique,
undocument
papier
doit
être
mis
sous uneforme intelligible
pourl'ordinateur
:la numérisation.
Dansle
projet, c'est
1'
ANRT
qui
s'occupe
de
cettenumérisation
(Annexe 19
bis).
Pourune page
de
cours,c'est-à-dire
une page texte, nous avonsdeux
modes
de numérisation
possible
:le
mode
«caractère
» etle
« page ».Dans le mode de caractère,
les éléments du
texte(mots
etcaractères)
serontaccessibles et
manipulables
: ce serale format
des données,
qui
pourront
ainsi
aller
surle
réseau
Internet.
C'est
le logiciel Acrobat
Reader
qui
lit
ceformat.
La
saisie
des données
sefait
à
l'aide d'un
système
de
reconnaissance
optique
:OCR
(Optical Character
Récognition). Ce
traitement par
l'OCR
, avec un tauxde
reconnaissance
de
98 %,
ale double
avantagede réduire le volume
nécessaire
austockage des
documents
etde
rendre
possible
le traitement
ultérieur
de leurs
contenus.Dans le mode « page »,
la
numérisation
du
document
apportera uneimage
de la
page etles éléments
du
texte ne pourrontplus
être
utilisés
:c'est
le formatTIFF. Il sera
possible
qued'afficher
etd'éditer l'image de la
page numérisée.C'estun scanner
qui
vaanalyser
l'image de la
page comme unesuite
de
points
noirs oublancs. Plus le nombre de
points
pour unesurface
donnée
seragrand, meilleur
serala qualité de l'image
:c'est
la résolution
de l'image
exprimée
en «DPI
».Dans
le cadre de la
numérisation
des
cours, pour une mêmerésolution,
l'image
estplus
oumoins
bonne
suivant
la
qualité du
document source :
par
exemple
une paged'en
tête
(Annexe 12
bis)
faite
en300 DPI,
1'
image
seraexcellente
; pour unpolycopié
moyen en300 DPI,
onperd
tout(
dixit M. Berthelot de
I'AlNRT).
Les
graphiques
etles plans
sontaussi numérisés
de la
même
façon
:la taille
de
l'image
peut-être
réduite de
10.
L'image
couleur,
quantà
elle,
représentera
des volumes énormes de données : elleprend 2A fois plus de place qu'une
image
ennoir
etblanc.
C)
Quel
estle
supportdu document
numérisé?
Le support
choisit
parle
CTEU
estle stockage
surdisque
optique.
Ledisque
optique
al'avantage d'avoir
uncoût
modique
etd'être d'une
utilisation
simple
:les disques
ne peuventêtre
écrits
qu'une seule fois
mais
relus àvolonté. Un CD-ROMa unecapacité
de
600
Mo
(Mégaoctets).
Le volume annuel des archives du CTEU se situe entre 40 000 à 50 000
pages
(on
peutconsider qu'un
cours estégal
à
200
pages en comprenantles
illustrations).
Comme
une pageimage
représente
200
Ko
environ,
il faudrait
entre 8 000/600 = 13 CD, àlO 000/600 = 17 CD pour
contenir
uneannée
de
cours.
Le format PDF quant
à
lui,
occupantmoins
de place, devrait
nécessité
moins
de CD.
D) Comment
exploiter
cedocument
numérique ?
Le support
qu'est
le
CD-ROM nécessite
unsystème
capable
de
gérer
les
CD.
Le CTEU, ayant
l'intention de
mettreà
disposition des
internautes,
la base
de données et donc d'acheter des cours x, y...,
il
doit choisir
un moyende
gérer
ungrand nombre
de
CD-Rom automatiquement
sansqu'une
personnene
puisse
faire
elle-même la
démarche de
mettrele
CD
dans le lecteur.
Le CTEU doit permettre
l'accès
à
unensemble de
CD-ROM
pourplusieurs
postesutilisateurs
;le pilotage
de l'ensemble
sefaisant
à
partir
d'un
serveur.Ily a
deux solutions, le juke-box
etla
tourde
CD
:- Le
juke-box dispose de quelques lecteurs
etd'un
nombre important
de
disques.
Un
juke-box pourrait
très
bien
contenir
les CD
d'une
année
de
cours, voir 3 années
de
cours, maisil
ne peutavoir
unaccès
simultané
à
plusieurs disques différents
;elle
n'a
alors
aucunintérêt
dans
le cadre du
projet.
- La tour
de CD quant
à
elle
peutcontenir
de
4
à
32
lecteurs
et autantde
disques.
Cette
solution limite le nombre de
CD-ROM
accessibles
mais
autorise des accès simultanés à différents
disques.
Ce
système
serait
plus
pratique
pourl'exploitation
de la base,
mais
peut-être
passuffisant
pourcontenir trois années de CD.
TROISIEME PARTIE :
LE STAGE
1/LEDEROULEMENT
A)
Objectif
etévolution
A
l'origine, l'intitulé
de
mon stageétait
le suivant
:"Elaboration
d'un cahierpour
la mise
enplace
d'un
logiciel documentaire".
En effet le CTEU désirait
quelqu'un
pourréaliser
:lanoticedu
logiciel
choisi
pourgérer
la base de données,
une maquette
d'indexation
des
cours sur celogiciel,
enfait
adapter
le
logiciel
à
leur fond documentaire.
Or il s'est avéré que
pendant
ce stage, aucunlogiciel n'a
été
choisi (il
nel'est
d'ailleurs pas encore
aujourd'hui),
etje n'ai
euaccès
aulogiciel
BCDI 2
Spécial
sousla forme démo qu'à la fin de
mon stage.Au début de mon stage,
le
CTEU m'a
demandé de réfléchir
etde
travailler sur les
vingt
années
d'archives
puisqu'il avait l'intention de les
numériser. Ainsi au
départ, j'ai pris
en comptecertains
problèmes dus
à
l'ancienneté des cours. Puis, au cours du stage,
il
aété
décidé
queseules les
trois dernières années seraient numérisées. Ensuite, avec