Lanet Anncbbe
E o N o S o B o Note de synthese 1 9 7 5 - 1 9 7 6
L'INFORMATION ET LA DOCUMENTATION DANS LES BIBL3 OTHEQUES
D1ENSEIGNEMENT SUPERlEUR
et
LA FORMATION DES TJTILISATEURS
Sous la direction de : Mademoiselle J» CALIXTE Responsable de la Centrale documenta de 1'Ecole Superieure de Commerce et d'Administration des Entreprises de MARSF.ILLE-LUMINY
Avec 11aide de : Madame M0 WAGNER
Birectrioe des EtuSes E o N o S o B o
dans la realisation du questionnaire
3
Cette enquete n1aurait pas pu etre realisee sans
11aimable concours des responsables des differentes bibliotheques
oCi elle a ete lancee, Qu'il me soit donc permis de citer et remercier pour leur accueil favorable :
Pour la BoUo de LYON :
- M0 NIGAY3 Conservateur en Chef5 responsable de la section de la Doi
- Mme GACHON, Conservateur, responsable de la section MedecineQ
- Me GLEYZE3 Conservateur, responsable de la section de Bron»
- Me TH0UMIEUX5 Conservateur, responsable de la section du
quai Claude-Bernardo
Pour 1!INSTITUT NATIONAL DES SCIENCE5 APPLIQUEES (ioNoSoA,) :
- Melle ROBERTj, Directrice de la bibliotheque - Melle VINIERE, Directrice-Adjointe
Pour 1'IoUoTo 1 (Campus de la Doua - Villeurbanne) : - Mme ALLERA , Responsable de la bibliotheque
Pour 1'IpUoTo 2 (Rue de France - Villeurbanne) : - Mme DENTZER , Biblio bhecaire
Pour 1'Ecole Superieure de Conunerce et d'Administration des ENtreprises (ESCAEL) :
- IVhne CAYOL, Documentaliste 0
Ainsi que 1'ensemble des personnels de ces huit bibliotheques : puisque c1est en partie eux qui ont eu a charge la distribution des
questionnaires dans chaque etablissemento
I
j
Et aussi les enseignants, etudiants, et autres personnes :
j
lA&i'1 " ',a* ' « 'y / ' ' a "•'«fr c) o-U e. <Jc_ u_uu tw-t
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ruTo V /*'• Sn^s,.-5 i
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P R E A M B U L E i
Le Deieriir de 11 homme conteirporain est lie i o o c a la cornprehension du caractere cont;in± de 1f information et a la d£'xtrise des
methodes et des techniques qui lui permettent de "coller" a la realite. Ion STOICA, Dire
-Adjoint-Bibliotheque centrale-universitaire BUCAREST
Cette phrase placee en exergue resume parfaitement, a .
s* '
non avis, 11importance que doib avoir 1'acces a 1'information dans
nobr*e societe» Mais toute demarclae vers 11 information dans un- ^
domaine donne se double de la t*echerche de lpt documentation
correspondante3 en fonction de> besoins exprimes au prealable; j et
11 acces aux documents est commande par la ma^xtrise de methodies et
de techniques specifiques, plus ou moins complexes* t
t J1exposerai rapidement, quels peuvent etre, de fagbn
generale, le role et 1'importance de 11information et de la
documentation a notre epoque» Puis je dirai comment elles sont apparues necessaires dans les milieux scientifiques, et5 dans
le cas qui nous interesse5 celui des etuciants de 11enseignement
superieur»
Nous assistons a une veritable mutation de la civilisation face a la stabilite relative des epoques precedentes5 la notre se
caracterise par le changement5 et sur^out par 11acceleration dans
J.e
changement :- 5 ans de ces dernieres annees valent 50 ans du siscle cLsrnier » - 5 ans d1auj ourd'hux vaudront 1 an des anvirons de 1'an
2 000.
rorr.vl.3 de choc3 sanr> doute, de stinee a provcquer
etre aptes a assumer le changemento D'autre part, 1'expansion du savoirj le developpement des connaissances et des decouvertes •scientifiques entraine une veritable explosion de la documentatione
On a ej/alue la production annuelle d1 ecrits scientifiques de toute
sorte a 2 millions, soit un demi-milliard de pages o On publie chaque annee 100 000 revues qui font 11objet d^un million et
demi de "condenses" diffuses par plus de 1 800 services specialises dans la description bibliographique0 On estime que dans 10 ans,
en 1985s le nombre dlecrits scientifiques mis en circulation sera
de 1'ordre de 8 a 10 milliards3 soit un volume 4 a 5 fois plus
eleve qu'aujourd'hui0 Cette abondance a eu pour consequence le
recours a 11automatisatione Je n'aborderai pas ce domaine e Je me
bornerai a considerer que :
- d'une part3 les informations ne constituent pas un
edifice mort3 mais sont constamment en evolution : c1est pourquoi
il me parait primordial que chacun soit profondement conscient de ce "caractere continu" de 11information} et soit pret a s'y
adapter0
- d1autre part3 la documentation cro^t de fagon
exponen-tielle et des systemes plus ou moins complexes en garantissent 11accessibilite : par consequent5'pour se diriger facilement et
rapidement dans la masse documentaire3 il est indispensable d'en
connaitre les methodes et les techniques d'acces«
Ceci vaut pour tous les domaines scientifiques, car il y a interaction entre la connaissance scientifique et technique et les structures socio-economiques s et il est difficile de
separer les informations relatives aux sciences humaines et celles concernant les sciences exactes»
Ceci vaut aussi, je voudrais 1'ajouter5 bien que cela
s1eloigne de mon propos actuel3 pour toutes les couches de la
societe0 II faudrait que le transfert des connaissances soit
assure le plus largement possible, 11 information etant le support>
Enfin9 je limite ici mon propos aux moyens de mafufcriser
11expansion du savoir. Mon "fcravail ne porfce pas sur la connaissance
,des mecanismesj des causes5 des effets de 1'explosion documentaire,
connaissance qui permet de rester meilleur juge des produits propose
De l!urgence a comprendre le caractere continu de
11information et a posseder la maitrise des techniques documentaire?
decoule la necessite de sensibiliser les utilisateurs, mais aussi de former des specialistes de 1'information,
Dans cette optique, s'est cree au sein du Bureau National de 11Information Scientifique et Technique (B0NeIeS0T.), un groupe
"Formation" (1973-1974) devenu en 1975? le groupe "Sensibilisation et formation des-utilisateurs de 1'information"e Son but etait
d'etudier les problemes poses par la formation des specialistes de 1'information et la sensibilisation des utilisateurse Des son
premier rapport d'octobre 1974; il demandait qu'une serie d'actions soient entreprises aupres :
- des enseignants,
- des etudiants et chercheurs, - des ingenieurs et cadres.
II ajoutait qu'en vue d'une action a long terme, soien-c, entres autres3 inseres progressivement dans lesprogrammes
d'ensei-gnement a tous les niveaux (primaire^ secondaire5 universitaire)?
des cours ou des exercices de formation a 1'information ou a 11auto-formation» Le n° 1, janvier-fevrier 19763 de la revue
Documentaliste, reprenant le rapport de ce groupe de travail, met 11accent sur le fait evident que les utilisateurs, a l'ecole5
a 1'universite, dans leur vie professionnelle3 ne possedent pas
le reflexe de s'xnformer, ou ne savent pas comment proceder.
On n'omet pas d'y signaler qu'avant d1entreprendre des actions de
sensibilisation, il faudra qu'il existe a proximite les moyens de reporidre ;.a let demande que l'on aura suscitee (bibliotheques, ouvrages de references, appareils de reproduction pour les documentss etc,,,
liste a laquelle je me permettrai d'ajouter : un personnel en nombre suffisant et ayant ete prealablement forzne»
8 .
On comprend ainsi quelle peut etre 1'importance de la cellule documentaire de 1'enseignement superieur dans la formation des etudiants et dans leur capacite a s1autodocumentero II semble
evident3 en effet3 qu'il y aurait "incompatibilite totale entre
une ecole superieure en pleine modernisation et une approche
traditionaliste et rigide de 11information"» (1)O Aucun enseignement
ne peut Stre5 aujourdehui5 separe de 1'information5 surtout s8il
se veut vivant3 axe sur la realiteQ L?enseignement alterne adopte des
1973 a 1'Ecole Superieure de Commerce et d1Administration des
Entreprises de Marseille-Luminy (ESCAEM-L) n'a ete possible que grace a 1'action tout a fait nouvelle menee par la Centrale documentaire de cet etablissement0 Celle-ci joue un role
deter-minant dans la formation des etudiants et dans un systeme d'etudes base sur 1'initiative et la documentation personnelle0 La centrale
pratique un enseignement nouveau de lecture rapide et de formation a la recherche documentaire necessaire a tout etudiant meme s'il n'en ressent pas aujourd'hui spontanement le besoin0
Pour mieux apprehender 1'utilisatiun de la documentation dans 11enseignement superieur3 j1ai ete amenee a lancer une
enquete aupres des publics de quelques bibliotheques de Lyon0
Principalement les etudiants des 1er et 2eme cycles (503)5 meme
si des etudiants de 3eme cycle (25) et des enseigncints et autres (29) ont ete touches aussi0 J'ai essaye ainsi de mesurer comipent
actuellement5 ces etudiants savent utiliser les ressources d'une
cellule documentaire pour leur travailo Conjointement, j1ai tente
de connaitre comment5 pour ces lecteurss leur besoins3 connus ou
non, conscients ou inconscients5 etaient satisfaits par ces cellules
Cette enquete est limitee dans le temps et dans l'espace5
de meme qu'en nombre0 Elle est bien modeste5 eu egard au tour
d'horizon ambitieux de ces premieres pages» Elle m*a cependant permis5 a moi qui ne connaissais les bibliotheques d!enseignement
superieur que par une ecperience personnelle deja lointaine, de mieux cerner leur public et les "differents services rendus»
(1). Ion STOICA.- In bulletin Unesco Bibl65 vola XXIX n° 53
sept-oct 1975» - Po 289o :!PrincipexS regissant 1'activite d!informati
s
Cette enquete a ete engagee dans le but de mieux conna5!tre les utilisateurs des bibliotheques d'enseignement supsrieur. II est d'une importance vitale pour un centre de documentation, mais aussi, a mon avis, pour une bibliotheque de tenir compte de son environnement 3 et
principa-lement de ses lecteurs e II faut donc aller
au devant des besoins des utilisateurs pour leur fournir un service reel et adapte e
Du cote des utilisateurs5 cette enquete
peut agir comme un "revelateur"9 Elle
permettra sans doute a certains, du
moins3 peut-on 1'esperer, de mieux connaltre
leurs besoins documentaires ou de mieux les exprimer o
L'enquete par questionnaires convenait bien dans le cas qui nous interesse : - population nombreuse et geographiquement
disseminee »
- objectif limite a une analyse relativement sommaire®
1 - L'ECHANTILLON
Le_champs geographique de 11enquete etait 8 bibliotheques
d1enseignement superieur de la communaute urbaine de Lyon :
- les
4
sections de la Bibliotheque Interuniversitaire (BI 1e la section Sciences, droit et sciencesecono-miques de la Doua a Villeurbanne
2„ la section Droit-Lettres au 18 quai Claude Bernard a LYON•
3o La section medecine, pharmacie, odontologie, 8 3 avenue Rockefeller a LYON a
4o la section lettres et sciences sociales a Bron Avenue de 1'universite.
- la Bibliotheque de 1'Institut National des Sciences Appliquees (INSA) de Lyon - 205 avenue Albert Einstein - VILLEURBAH
- la Bibliotheque de 1'IoUoTelj sur le campus de la Doua a VILLEURBANNEo
- la Bibliotheque de 1'I.UoTeX > rue
de
Francs a VILLEUR3ANNE- la Bibiiotheque de 1'Ecole
Su
.xr5ri3v.r3 cls C:r::rco et
d' Administn^fcion des Entrepi'ises de Lyon
(BSCAEL)-
23vouts
deA b
On trouvera en annexe, une description tres schSmatique de ces huit bibliothdques, car leurs caracteristiques et leur organisation ont influ£ sur 1'analyse des questionnaires.
L1 enquete a donc touche des bibliotheques de
tai-lleg
et de types differents, et des etudiants de diverses
tHsc2
.plinesTaille de 1'echantillon
1 000 questionnaires ont ete distribues aux huit bibliotheques, de la fagon suivante :
- 500 questionnaires pour la B0I0U0 a raison de
125 questionnaires pour chacune des 4 sections, 250 questionnaires a la bibliotheque de 1'INSA, - 1 0 0 q u e s t i o n n a i r e s a l a b i b l i o t h e q u e d e 1 ' I . l . T » 1 - 100 questionnaires a la bibliotheque de 1'ESCAEL - 50 questionnaires a la bibliotheque de l'I«u«T. 2
La population de reference est d'environ 43 000 etudiants se repartissant ainsi :
37 288 etudiants pour la BoIeUej
1 860 etudiants pour les bibliotheques- des 2 leU0Te
environ 3 500 etudiants pour la bibliotheque de 1'INSA environ 280 etudiants pour la bibliotheque de 1'ESCAEL
Mais il faut ajouter que ces chiffres correspondent en fait au nombre d'etudiants qui sont inscrits dans les etablis-sements dont relevent les 8 bibliotheques o
En consequence^ on peut penser que la tranche d'etudiants qui frequentent ces bibliotheques est3 sans doute, bien mferieure
a ces donnees numeriques a
2 - Le deroulement de 1'enquete
1» Envoi des 1 000 questionnaires dans les_bibliotheques» Le mardi 27 Avril ont ete apportes 900 quesfcionnaires dans lfensemble des bibliotheques sauf celle de 1'ESCAEL ;
1 Le mercredi 28 Avril ont ete apportes 100 quest-ionnaires
ztf 20 Modes cie disfcritJution des quesvionnaires a 11 i-rberieur
des bibliothequeso
- depot des questionnaires dans les endroits stratsgiques ( b a n q u e d e p r e t9 h a l l d ' e n t r e e , s a l l e d e s c a t a l o g u e s , e t c o o » )
- participation du personnel qui a incite les etudiants a
rep
ondre3 et souvent individuellement.- certains etudiants ont pris d'eux-memes les question-naires, et ont manireste leur interet jusqu'a engager une
discussion avec le personnel a ce propos»
- pour 1 'I.UoTol, seulementj les questionnaires ont ete distribues soit par des responsables d1etudiants, soit par des
enseignants (voir en annexe la fiche sur 1!IeUeTd)
3 q Retour des questionnaires«
Effectue dans les 15 jours environ, pour 11ensemble
des bibliotheques5 c1est-a-dire jusqu'au 13 Mai, sauf pour une
dizaine de questionnaires qui ont ete rendus quelques jours apres cette dates
3 - LE BILAN
Questxonnaires rendus oooooooooooooooe 623 Dont Questionnaires rejetes (insuffisamment
remplis et en particulier pour defaut d1indication des etudes
poursuivies) o o o o o o e o o o e o o o e o o o o o o o o o e 66
Questionnaires d1enseignants oooooooo. 26
Ouestionnaires d'autres personnes o o o• 3 Ouestionnaires d'etudiants de
3eme cycle o o o o o o o o o o o o o e o . o o o o o o o a o o e 25
Ouestionnaires df etudiants de la 1ere
a la 5sme anse oooooooo.o.oeooooeooooe 503
Ce sont ces 503 questionnaires qui ont ete utilises dans la partie "Analyse" qui suit. Les pourcentages de retour sont tres variablss : ils vont de 90
%
a 33%o
-J! attsnf.ais v-.n decbet beaucoup plus important, On m'a
Ab
Dans 13 interpretation des resulbats, mese si cela
nsest pas dit? chaque fois, il faudra bien tenir conipte du fait
que sans doute, la plupart des etudiants qui ont repondu etaient motives h le faire» Autrement dit, que 11etude porte sur une
frange d'etudiants qui sont en general relativement interesses par Ips bibliotheques, le travail qu'on peut y faire5 la fagon
de l'utiliser3 les services que celles-ci peuvent leur rendre„
4 - LE QUESTIONNAIRE (joint
en
annexe)„II comprend 3 parties :
1 - Profil sommaire de 11enquete 3
2 - Utilisation de la bibliotheque ou est menee 1'enquete3
3 - Attitude des enquetes : - ,vis a vis des bibliotheques,
- vis a vis de la formation des utilisateurs„
\e La premiere partie regroupe les questions 1s
2,
25ainsi que le graphique representant les differentes tranches de 1'enseignement superieur o On obtenait une reparti£ion par sexe,
par disciplines5 par niveaux d'etudes o
Une indication sur les bibliotheques frequentees avant et pendant les etudes superieures 0
La question 25 a ete tenvoyee en fin de questionnaire pour une plus grande clarte de lecture et ecarter toute possibilite de confusion entre la question 25 elle-meme et les questions 2, 3 st 4<
2 o La deuxieme_partie est tres lourde puisqu1elle va de
l a q u e s t i o n 3 a l a q u e s t i o n 1 6e
Elle porte entre autres3 sur le travail fait en
biblio-theque3 1'efficacite de la recherche3 la connaissance du prSt
inter3 du classement des ouvrages3 des catalogues, ou 1'utilisation
du materiel bibliographique e
3 o La troisieme partie essaie de mesurer 11attitude
des enqueteso
/13
(La question 24 a dte reportee en avant derniere posltion, parce que c * etait la seule question ouverte,^/elle elargissaitle debat et demandait reflexion® Ce devrait §tre en fait la veritable derniere question du questionnaire0 On a vu plus haut
pourquoi la question 25 avait ete rejetee en derniere position ; etant facile a remplir elle pouvait Stre placee apres la question 24, sans crainte de lasser le lecteur.)
-Vis^a.vis de la formation des utilisateurs (questions 21, 22, 23)
Sk
m
'I -V'"^^^1? -'^"-P-. v^/'- • Cou v*> UoJK < <d<M> CqJ^oJ^3 •O- Ct l)T-L
» A N > L Y S EAver-fcissement et donnees numeriqu.es globales e
L'analyse des donnees pourra etre jugee assez sommaire. II n'a pas ete possible, faute de temps, de faire une analyse aussi poussee que 1'ensemble des questions le laissait prevoir. L'incidence de certains parametres ne figurera docnc pas dans cette petite etude»
Voici3 au prealable, comment se repartissent les 623
questionnaires qui ont ete rendus.
h.
La
Doua C.Bo Pharm. Medec. BoP 0 INSA IUT 1 IUT 2 ESCAEL
Total pai categ. nts 4 7 * 1 4 2 2 1 5 26 0 0 0 0 2 0 0 1 3 s 3 8 11 1 2 0 0 0 25 s 57 45 58 51 141 85, - 36 30 503 9 7 11 9 10 5 12 3 66 1 : 73 67 81 65 157 92 49 39 . 623
i ). Comme il a ete deja dit, je ne procederai qu'a 1'analyse des 503 questionnaires d'etudiants-des 1er et 2eme cycles universitaires, me bornant pour les questionnaires des autres categories a quelques citations et reflexions0 L'analyse s'efforcera de suivre dans la
I PROFIL SOMMAIRE DE LA POPULATION prise en compte : 503 etudiantSyi^ i
c
1 - Repartition par sexe
60 % d'etudiants 40 % d'etudiantes
2 - Repartition par bibliotheques
INSA 28 %
BRON 10
MEDECINE 11,5
partition par cycxes e c o ^Diioonequca0
et par disciplines pour la BoIoUo 1 " C Z J " ) U SSCAI-lfl-(f 3:1 IEL , T o 1
s%*
\
u,
DDDn <S -T* jp.rbLegende par disciplines ponr la BoIoUo ra Medecine Pharmacie Sciences et techniques Gestion ^ ^ Sciences economiques Sciences f"; Droit
m
Lettres Etudiants de 2eme cycle- 3695% | f X o i J o -1 e 2 » 11,555 INSA 2 4 , 7 5 ; BoIaUc 36^
Studiants ds ccemier cycle 63,5%
-K.epartition des effecfci£s par grandes disciplines pouz1 le premier -et le 2eme cycles o
4S
Poiir les 3 universites
de Lyon Pour les 211 questionnaires provenant de la 30IoU0
.31 s 5%
9,5%
n n n f;
15,559 13 9 5%i30%
j
\ . \
'!
v r -Medecine Pharmacie t Odontologie Sciences economiques, sociales et techniquesc Gestion BroitPf ^ Sciences £ rx^/i i \i
• z . j > a27,5%
11,5% 16,5% 35,52/
i
35-eC.F. , (pjDjPourcentages des evudiants qui avant dfentrer dans 1? enseig^enent /fcj
superieur frequentaient: a
1- Au moins une bibliotheque (sur 503 itudiants)
2- Une biblioth&que de lycee
II est interessant de voir d?ou visirb
le public des bibliotheques
d' enseignement superieur: tnie bomie proportion des etudiants cnt deja 1'habitude d'une bibliotheque»
II convient cependant d'apporter les nuances necessaires et en particulier lefait que la frequentation de ces bibliotheques (en general municipales ou de lycees) nfest pas forcement
reguliere et assidueQ
Etudiants qui frequentaient aumoins une bibliotheque
Etudiants" qui frequentaient une bibliotheque de lycee
obis® Comparaison entre le 1er cycle et le2eme cycle . uant a la frequentation d'au
oins une bibliotheque avant 'entrer dans 11enseignement sup«
1
Quant a la frequsatation d'une bibliotheque de lyce
100%
II - L'UTILISATION DES BIBLIOTHEQUES PAR LES ETUDIANTS
1o Questions 3 et 4
Un depouillement pour chacune de ces questions parait etre d^un interet assez restreinto Les resultats des deux questions seraient plus significatifs si ils etaient mis en correlation avec dfautres questions» Par exemple, on pourrait etudier la
correspon-dance entre la justesse des reponses concernant les noms des catalogues (question 13)» et le nombre d'annees passees en
bibliotheque d'enseignement superieurc En fait, Nous envisageons
dans les limites de cette rapide synthese, de ne mesurer que 1'incidence de la question 3 sur la question 4o Autrement dit, y a-t-il une ralation entre le nombre d'annees de frequentation
d ' u n e b i b l i o t h e q u e e t 1 ' a s s i d u i t e o I I f a u t c e p e n d a n t a j o u t e r q u1a u
niveau de 11enseignement superieur intervient le fait que plus les
etudes sont avancees et plus la recherche personnelle devient necessaire avec pour consequence le travail en bibliothequec
Pour une recherche sur la seule BoI0Uo de lyon? on obtient les
resultats suivants : Pour le 1er cycle :
ibre d'annees >de frequen-jT^-~~tation LGUL o - 1 mois 1 mois a 6 mois 6 mois a 2 ans 2 ans a 5 ans + 5 ans .s / mois 0 2 3 0 0 .s / mois 0 5 12 3 1 .s / sem» 0 7 27 12 0 ,s / sem, 0 5 28 8 2
2/1
Pour le 2eme cycle ; »
Dre d1annees de frequen-"^•^tation snt» - 1 mois t mois a 6 mois 6 mois a
2 ans 2 ans a 5 ans . + 5 ans
s / mois s / mois 0 00 1 0 1 . 0 9 9 0 1 3 / sem» 3 / seme 0 0 0 0 3 3 36 27 2 3
Les chiffres sont de toute evidence insuffisants pour proposer une conclusion par compaiaisons sysbematiques <.
On peut cependant constater que3 pour le ler cycle, par
exemple5 dans la ,tranche de 6 mois a 2 ans : la proportion des
etudiants qui vont plus d'une fois / semaine ou + de 3 fois / semaine a la bibliotheque (2^7 + 28) par rapport a celle des
etudiants qui y vont moins d'une fois / mois ou + d'une fois / mois, (1 + 12) est nettement plus accusee que dans la tranche qui va de
1 m o i s a 6 . m o i s ( 5 + 2 c o n t r e 7 + 5) o
Mais3 ceci n'est plus vrai pour le tableau du 2eme cycle0
D1autre part, il est probable que 11enqu&te a touche plutSt les
etudiants qui viennent souvent a la bibliotheque, puisque celle-ci a ete faite sur un nombre de jours reduits e
Ce genre d1etude n'est pourtant pas denue d'intereto On peut
croire, en effet3 que3 plus la connaissance des bibliotheques est
grande3 et plus la tendance a 1'utiliser va croissant. Des
correlations entre les questions 2 et 25 d'une part (portant sur les bibliotheques frequentees avant et pendant les etudes
superieures) et la question 4 d'autre part5 auraient pu apporter
des resultats
interessants
a Faute de temps et d'espace3 celane sera pas fait»
En ce qui concerne toujours 1'incidence de la quesfcion 3 sur la question 4» le cas de lrIUT 13 section G»A«£«3 pourrait
en tout cas appovter
de
1'aau a notre moulin (de msme que celuide 1 'ESCARL) „ v - ' • .
A 1'XUT i) secbion G0AoBe : • " ;
~ en "r-p. c.-r;5e ds
G
o ^ -3 3 , sur 21 etudiants qui ont repondu pour3 viennent + de 3 foi^ par semaine 'VI viennent + de 1 fois par semaine
7 viennUent + de 1 fois par mois
- en 2eme annee de G0A0EOJ sur 21 etudiants ayant repondu
(pour 25 etudiants inscrits) :
10 viennent + de 3 fois par semaine 8 viennent + de 1 fois par semaine
j
9 viennent + de 1 fois par mois 1 vient moins de 1 fois par mois«
Xci la progression est assez nette, en particulier pour le nombre d1etudiants qui frequentent la bibliotheque plus de 3 fois par
semaine«
XI est impossible de formuler une conclusione II faudrait
tout d'abord un echantiXXon plus important o IX est impossibXe de generaliser, Xes resuXtats sont trop partieXs 0 IX faudrait
qu® ils portent sur pXusieurs annees.
2^_Pourquoi_Xes_etudiants_viennent a_Xa bibliotheque^ - leur travaiX ( q u e s t i o n 7 ) ®
Voyons maintenant pour queXXes raisons Xes etudiants viennent en bibXiotheque (dans cette partie de X'etude? nous
supprimerons Xa bibXiotheque de X1INSA qui n1a pas de salXe de
travaiX a proprement parXer a CeXa conditionne evidemment Xes
reponses des etudiants 0 Les rubriques I (retrouver des amis)3
2 (trouver un local)3 3 (mettre a jour des notes de cours) n'ont
jamais ou rarement ete choisies)»
Le graphique de Xa pa
ge
suivante nous donne Xes pourcentages pour Xes rubriques 1 a 7 de cette question® Les resultats pour Xe 1er cycXe se trouvent dans Xa 1ere moitie de la page ceux du 2eme cycXe dans la 2ezae moitieo La disposition permet de mieux comparer Xes resiiXtats de chaque cycle pour une meme rubriquePourquoi les etudiants viennent en bibliotheques» Leur travail = «23 { questzoji 5) „ 5 4 , 5 % 2 6 , 5 % ti -P U co 3 0 , 5 % 4 2 , 5 % BoTrouver des amis 1'rouver im local
entre 2
cours Msttreh
jour lea notea de cours Consulter sur place des dociaments Bassembler une documenta-tion pour. un travail possoimQl Autres J&aprunter des livres a D? ffl -1 -f> 2d g 9 c3 B -y 5 fl |D "O r>? ec L= «-3 ) 11i5%
. 27»5% 27s5%75%
%%%
72,5:
<r* $J>Lj
II ressort d'une maniere evidente que la consultation sur place de documents (rubrique n° 4) atteint le plus fort pourceatage0
Ceci pour diverses raisons qui apparaissent au depauillement des questionnaires :
•»
- preference pour la bibliotheque, local patique, calme, ou on retrouve des amis (travail de groupe), ambiance studieusea
- documents tous a portee de la main (importance de 1'acces libre), - mais aussi ouvrages exclus du pret5 etcoeo
75 %
est une moyenne pour les 2 cgrcles, en fait la plupart des resultats sont voisins de cette moyenne» Cependant3- le pourcentage le plus bas est de 49 % - le pourcentage le plus eleve est de 90 %a
*
Ces differences sont dues autant a 1'organisation de la
bibliotheque (1'acces libre augmente considSrablement la consultation sur place) quTau type dletudes poursuivies (consultation quotidienne
d e j o u r n a u x , r e v u e s5 e t ce < > 0)
On note le meme gen^e de difference pour la rubrique 5 qui obtient la 3eme place parmi les 7 rubriques0
- 16 % des etudiants de medecine de 1ere et 2eme annee, contre- 66 % des etudiants en IUI 1 et 2, de lere et 2eme annee.
vont a la bibliotheque pour rassembler une documentation pour un travail personnelo
L'incidence du genre de travail demande est5 on s'en
doute, capitale dans lTutilisation de la bibliothequee Csest le
cas ici, selon toute vraisemblance»
On pourrait affiner la recherche pour une etude plus
approfondie des publicso Mais cette etude est generale et je n'irai pas plus avant dans les details.
Ces quelques constations mettent en relief, ae semble t-il, la specificite de chaque public» Les besoins docmnentaires sont en etroite liaison, c'est evident, avec la discipline, d3une
part, mais aussi le niveau et le type d*etudesa
En ce qui concerne la rubrique n° 6? voila des exemples de
«a
ce qu'on ecrit les etudiants (tous cycles confondus)»
- apprendre ou reviser les cours (4 etudiants)
- retrouver une ambiance de travail et de silence (6)
%
- travailler (8)
- pour travail personnel (4)
- pour preparer des travaux pratiques (1) - travailler avec documents sur place (1)
- pour avoir un travail regulier dans la journee, ne pas etre distrait (1)0
- lire des revues' specialisees
- pour information personnelle sur 1'actualite (1) - pour lecture sur place (1)
- feuilleter des livres - plaisir a hesiter avant de choisir (1) - §tre sur de trouver une connaissance (1)
3-Ques"kion 6
Cette question sera abordee en parallele avec la question 14> Bt seulement dans sa troisieme rubriques
4_Question 7
' Elle introduit une appreciation de la ffifcisfaction person— nelle dans 1'utilisation de la bibliotheque0 Dans le cadre de
cette etude reduite5 elle sera negligee., C'est en tout cas la
, $ ''
Le prSt infcer (
QU O
8 )16
CettQ
queation aposo
un probl/eme5 a savoir que les bibliotkeques de1 »I«,UoT02 efc de 1'ESCAEL ne pratiquent pas le pret inter, ^
( Meme chose pour lt'X.U.T.1, mais la un certain noabre d' etiidian*,s l»utilisent sans doute a la bibliotheque universitaire ds la DOua»
C'est pourquoi ces <Sbudiants seront assimiles a ceux des autres bibliothequeso)
En consequence seront donnes pour chaque cycle
- D'abord les pourcentages pour toutes les bibliotheques — Ensuite les pourcentages sans les bibliotheques de 1*IUT2
et de 1'ESCAEL
1 e r C Y C L E | 2eme CYCLE ^ 1 er et 2fr CYCLES
POUR TOUTES LES BIBLIOTHEQUES sur 319 etudiants | sur 184 | etudiants sur 503 etudiants connaissent le pret inter 2 5,6% 46,5% 33,2% SANS LES BIBLIOTHEQUES DE * L'IUT2 et de 1'ESCAEL sur 273 etudiants | sur 164 | etudiants sur 437 etudiants connaissent le pret inter 29% 52% 37,5%
et 1'utilisent sur ces 29%
I
sur ces 52% 21% -jEimais 24%I
sur ces 52% 21% -exceptionnellement 45,5% 61% quelquefois 20,5% 15,5% -souvent 10% 2,5%II apparalt que le pr§t inter est insuffisamment connu.
On constate que mSme au niveau de la maitrise, certains etgdiants
ignorent cs type de pret. _ .
Mais peiit-Stre y a-t-il eu quelquefois incomprehension du vocabulaire employe9
Malgre ces resultats le service du pret inter de certaines bibliotheq« est souvent important et actif»
II aarive aussi que le pret inter depasse les frontieres nationales, En s'adr*essant directement a la British Library} Lending Diviszon
les delais d?obtention d'un ouvrage sont considerablement
&
5o Libre acces efc classement CDU
L1etude des reponses a la question 9 demanderait une
etude tres differenciee en effet la phrase : "Les livres sont-ils £i votre disposition" a ete diversement interpretee et pas
toujours dans le sens voulu0
deux faits se sont produits dans de nombreux cas» Dans certaines bibliotheques qui pratiquent le libre acces integral (ou presque) on repond que les livres ne sont pas a la disposition de 1'utilisateur o
Dans d» autres bibliotheques qui ont au contraire la quasi-totalite de leur fonds en magasins, on repond que tous les ouvrages sont a la disposition de 1«utilisateur (sans doute a-t-on confondu ici5 pret et libre acces)e
Outre ce genre d•erreurs, il est difficile d'interpreter correctement les reponses des etudiants 0 Ce serait long et
fastidieux. II serait totalement ininteressant de dire combien d'etudiants ont repondu juste, et combien ont repondu faux. Mais il est important, a mon avis, de relever que :
- d'une part, un trop grand nombre d'etudiants n'ont pas une
nette conscience de la fagon dont est organisee la bibliotheque ou ils travaillent,
- d1autre part, c'est un tort de ne pas avoir introduit le terme.
de libre acces, qui devrait etre connu des utilisateurs d'une bibliotheque d'enseignement superieur, Si j'ai dit deja que ce questionnaire pouvait servir de revelateur, il pouvait aussi
apporter un mot nouveau (en admettant que 1'expression "libre acces etait effectivement ignoree de beaucoup, ce qui n'est pas certain).
Avis des etudiants sur le classement des livres en libre acces
Trois bibliotheques ne seront pas prises en compte •
- celle de 1'INSA puisque le libre acces y est inexistant sauf pour les ouvrages de references, les dossiers et les periodiques
- celle de 1'ESCAEL qui a un classement particulier selon les matieres enseignees a 1'ecole.
- ia S « U o d e m e d e c i n e q u i u t i l i s e l a c l a s s i f i c a t i o n d e l a
Ceci pour avoir un jugement portant seuleaient sur le
classementCDU en vigueur dans les 5 autres bibliotheques»
Sur 274 etudiants de la 1&re annee a la 5eme annee :• 72.5 % estiment que le classement est facile a utiliser
9.5
%
estiment que le classement est difficile a utiliser 14.5 % - - - sont sans opinion3.5 % ne repondent pas
Dans 11ensemble le classement CDU ne semble pas etre une
gene pour l'etudiant5 cependant cela ne donne pas d'indication sur
1'utilisation qui en est faite«
?. L'utilisation et la connaissance des- catalogues (questions 11,12,12
Pour ces 3 questions 11, 12, 13 ne seront retenues que
les bibliotheques qui possedent les 4 catalogues dont il est fait
mention a la question 13 : c
!est-a-dire :
- un catalogue alphabetique d
zauteurs
- un catalogue alphabetique de matieres
- un catalogue systematique
- un catalogue de periodiques
Ont donc ete prises en compte la bibliotheque de l'INSA et les 4
sections de la
BoIoU.Ces 5 bibliotheques representent au total
352 etudiants de 1er et 2eme cycles.
Pourcentage des etudiants qui utilisent les catalogues
— — — —.— — — — — * —— —
Sur 352 etudiants : 68,75 % utilisent 4 catalogues
II se repartissent ainsi :
- La doua : 26
Pour la BeloUo sur
211
etudiants :- Co
Bernard :37
- Bron :
40
- Medecine : 22
TOTAL 123
soit 58e5 %
a 1'INSA sur 141 etudiants % 119 etudiants
soit 84»5 %
II est certain que l«absence de libre acces enti-ama une
plus grande utilisation des catalogues.
13
a consulter les cataiogues Sur 352 etudiants :- 52 % estiment que la consultation est facile (183) - 8 s 5 % estiment que la consultation est difficile (29)
735 % sont sans opinion (27)
- 3 2 % ne donnent pas de reponse (113)o
Xci encore on constate des disparites entre les bibliotheqaes
Pour la BoIoUo sur 211 etudiants :
- estiment la consultation facile : 94 etudiants soit 44»5 % Pour 1'INSA sur 141 etudiants :
- estiment la consultation facile :
89
etudiants soit63 %
On s1apergoit quef les etudiants des B 0U0 se sont souvent cantonnes
dans les "sans reponse"o
Sur 211 etudiants de la B0I0U0 : 91 etudiants n1ont pas
repondu, soit43$
Alors que sur 141 etudiants de 1' INSA :
"2,2
etudiants n ' o n t p a s r e p o n d u5 s o i t 1 5 ^ 5 %Les autres etudiants se partagent entre les reponses negatives et les "sans opinion"»
£»©s etudiants connaissent—ils les noms des catalogues qu'ils utilisent
L'etude des reponses a la question 13 a pose quelques problemes de vocabulaire :
II a fallu retenir comme juste le terme de Thesaurus CDU indique par quelques etudiants de 11INSA a la place du nom de
catalogue systematique qui etait attendu pour la recherche dans un domaine donne 0 Ceci pour la raison que la recherche des etudiants
passe d'abord par le thesaurus CDU avant la recherche en catalogue systematiqueo II me semble en effet qu'ici 3/ essentiel etaxt d*avoir compris la question, et de ne pas avoir repondu seulement CE.ta2.ogue matieres sans preciser systematique comme beauccup 1'ont fait»
?aT
contrej sSs acceiotee ccrarasv
'Sr?or?se tjs
1! indication catalogrv-e rie periooiicues et non cataiog"ae d.e r ~ru.es
3D
periodique soit; connuc Je m'empresse de souligner que ruenis siavait ete consideree conune juste la reponse catalogue de revuss, les pourcentages auraient ete a peine superieurs a ceux obtenus e
Les NON REPONSE
Avant d1 evaluer le nombre de bonnes reponses 9 il sexable
interessant de calculer les "non reponse"»
Les NON REPONSE constituent 68 % du total (352 et-adiants) etant bien entendu que cela comprend :
- les "non reponse"
- ceux qui ont choisi la case "ne sais pas"<>
On peut se poser deux questions a partir de ces chiffres • — pourquoi 68 % des 352 etudiants ne repondent—ils
pas, alors que 68 % de ces memes 352 etuidants utilisent les
catalogueso Est-ce incapacite ou negligence3 ou les deux a la fois,
de la part de ceux qui consultent les catalogues o
2 - Y a-t-il une reelle difference d'attitude entre ceux qui consultQnt les catalogues
- soit neglffigent totalement cette question - soit acceptent de repondre "je ne sais pas"
Quoi qu'il en soit3 32 % seulement des etudiants ont repondu :
- soit juste - soit faux
- soit partiellement faux ou juste
Cela peu.t indiquer du moins que 32 % ont pris un certain interSt a cette question»
20 Reponses a la <luestion_t3 ®
Sur les 352 etudiants des5 bibliotheques retenues :
28 % sont capables de citer le catalogue alphabetique autem
\*j f
a n ii n » " " ds matiere$„5 % n ii n » " spsteaatique
On pourrait croire que le libre acces est le corollaire d'une moins bonne connaissance du nom des cataloguese Au vu des
chiffres de cette enquete3 reduite il est vrai a 352 etudxants,
cela varie selon les cas :
Par exemple :
- le pourcentage d e_reponses_exactes_pour_le_catalogue
auteurs est :
pour Bron : (libre acces) oooooeo 41 % pour 11INSA (pas de libre acces)= 30,5 %
- le pourcentage d e s_reponses_exactesps>ur_le_catalogue
systematique est :
pour Bron (libre acces)
o o o k o i o
;; 0 % pour 1'INSA (pas de libre acces)0 11»5 %
t-Sans doute le type d'etudes poursuivies influe-t-il sur 1'utilisation de tel ou tel catalogue et donc sur la connaissance qu'en ont les etudiants 0
Les resultats obtenus sont tres bas, mais on peut
admettre que meme sans avoir repondu de fagon satisfaisante a ce test, les etudiants savent certainement dans une proportion
superieure utiliser les catalogues et trouver ce qu'ils veulent., Cela reste a mesurer o On imaginera cependant que leur recherche ne va pas sans tatonnementset temps perduo
Une connaissance plus rationnelle des catalogues les aiderait sans doute 0
"CONNAISSANCE (0U MECONNAISSANCE ?) DES BIBLIOGRAPHIES
1« Les reponses a la question 14, rubrique 1
Au prealable, qu1il soit bien vu que :
- ,d'une part, je n'etudierai que les reponses a la tere rubrxque, c»est~a-dire celle qui porte sur les seules bibliographies, car :
- cela simplifie^l1etude qui menaqait d3etre longue
et complexe si l'on voulait envisager toutes les rubriques.
- il se posait de toutes fagons un probleme .de definition qui rendait 1'analyse encore plus difficile, a savoir : quel sens, les etudiants donnent-ils au terme "bibliographie";5 cela peut §tre dans leur esprit soit une bibliographie donnee par un professeur ou imprimee en fin d'ouvrage., soit le veritable ouvrage de references. II semble dans ce cas la que le plus interessant serait plutot
d'essayer de mesurer une attitude6
D'autre part3 1'etude ne porte que sur des
etudiants du 2eme cycle„
On xDbtient le resultat suivant :
sur 184 etudiants : 39 % disent utiliser des bililiographies e
2 o^_Les_resultats a la question 6 - 3eme rubrique
GLo Rappel de la question 6 : comment les etudiants ont-ils choisi de venir emprunter ou consulter tel livre ? Est-ce sur le conseil d'un professeur, d'un camarade et quelles peuvent etre les autres causes 0 Les deux pnBmieres rubriques permettaient
semble-t-il, d'aiguiller 1'enquete sur le sens de la question. Or la plupart des etudiants n'ont pas compris ce qu'on leur demandait.
Ils ont repondu dans quel but ils prenaient un ouvrage (travail personnel, expose, m^.importe quelle raison, raison pecuniaire9 approfondir un cours,o». • par exemple,
indications qui auraient trouve leur place plutot en question 5 rubrique
6
} mais n'indiquent pas comment ils ont eu connaissancede ce meme ouvrage),
« Depouillement de la question 6 rubrique 3
sur I84 questionnaires : 102 ijltudiants ont eohe la case 6/3 sD.it 55 > S %
- 91 etudiants ont J c-me des
33
Sur ces 1
84
questionnaires, toujours :. les precisions donnees par les
etudiants ont ete bien interpretees^ fEt il faut signaler qu'oitete rejetes
les termes de "hasard" et "recherche personnelle" (cette derniere expressic etant equivoque)tCependant le nombre
de ces etudiants n'etant pas tres eleve, 1'incidence sur les resultats qui vont suivre n'aurait pas ete grande<Tj
IX semble que : seulement 12 etudiants soit 6o5 % ont bien compris la question
En tout casj ce qui est stir, c'est que :
Seulement 8 etudiants, soit 4o5 % font etat de recher-ches bibliographiques (autrement dit, ils indiquent les biblio-graphies, les fichiers, les references et critiques trouvees
dans les ouvrages ou les revues).
Essai_ djinterpretatipn_ de_ jces_ xesu!tats_o
Voici ce que semble—t—il, .on peut mettre en relief3
au vu des chiffres obtenus /£es chiffres peuvent etre confcestes quant a leur exacte representativite, d'autant que la question a ete souvent mal comprise^ bajsertcianV' %
Je voudrais montrer en fait que le probleme ne doit pas etre pose au niveau d'une question mal comprise0
Car on remarque que souvent les etudiants savent tres bien decomposer les differentes parties de leur travail :
approfondissement ou complement des cours, consultation de
livres d'exercices5 mise a jour et diversification des coruiai^»—
sanceSj loreparation de travaux pratiques, redaction de rapports, d'exposes5 lecture de revues, culture personnelle, recherches
extra-scolaires selon gout personnelk, desir ou necessite d e l i r e3 e t c0o o
Or, il semblerait qu'ils^tcnt une corroience beaucoup moins clair^ de tout ce qui precede
cs
genre deleurs preoccupation exprim<§es
- meme si 39 % d? entre eux utilisent des
biblio-gaphies3
- meme si un certain nombre de ces 39 % d1etudiants
trouvent souvent ou quelquefois ce qu1ils y cherchent e
•
De 1'ensemble de ces resultats, on peut essayer de degager deux faits :
1 - la meconnaissance ou le manque d'interet de la matiere bibliographique chez un assez grand nombre d^etudiants»
2 - Une utilisation mal definie, semble-t-il3 des
biblio-graphies chez ceux qui s!en servent»
C'est regrettable en general, mais surtout a un niveau dfetu,des eleve5 par exemple Ja. 'maitrise»
Apres les etudes^ au niveau du travail5 ces
etudiants se retrouvent dans la meme situation» II est probable qu'alors ils eprouvent quelques difficultes»
Les questions 14, 15S 16 auraient pu faire 1'objet
d'autres analysesj faute de temps et d'espace, ce ne sera pas le cas.
III - ATTITUDE DES ETUDIANTS
fl. VIS
.A
,VIS DES BIBLIOTHEQUES1® L'aide qu'attendent les etudiants de la bibliothequee
- question 17 : elle fait apparaitre que sur les 503 etudiants des 8 bibliotheques concernees, par cette enquete :
- 70 % preferent chercher seuls, - 1 4 % r e p o n d e n t n e g a t i v e m e n t
- 16 % sont sans opinion ou ne repondent pas (ces derniers sont tres peu nombreux)0
-question 18 : malgre ce gout prononce d'initiative personnelle dans la recherhce :
- 50o 5 % des etudiants demandent de 1'aide au personnel - contre 45o5 %
- 4 % s1abstiennent de repondre0
Les 50o5 % des etudiants qui demandent de 1'aide
au personnelj ne se decident que pour 14 o 5 % a indiquer a quelle personne ils sl adressent <,
ZUs ecrivent assez sonvent "le" ou "la bibliothecaire11
Mais on trouve a peu pres aussi souvent : "n'importe qui", "les renseignements", "la premiere personne venue"o
Les etudiants mettent rarement en cause le personnel pour incompetence ou defaut d1aide 0 Souvent il s ont peur de
deranger3 n'osent pas montrer leur ignorance, mais aussi
preferent chercher seuls ou estiments qu'ils sont les meilleurs specialistes pour leur travail et que "rien ni personne ne
peut les aider"0 Certains refusent categoriquement une aide
eventuelles dfautres regrettent d'§tre livres a eux-inemes,
surteut au debut <,
Le graphique de la page suivante indique dans quels cas les etudiants demandent de l'aide0
On voit tout de suite que le recours au personnel n1est
par les etudiants.
31%
19,5%
0
\
w w
ccca loagQ Recheirches en catalogaes Demander au peraonnel de rassenfbler tous les Sldments se rapportant h votre recherche Solliciter un jugement sur la valeur des ouvrages Pour r&ponse prdcise h uno demande d8*information Demaader qu'on vous oriente vers d'autrea sources extdrieures h la bibliotheque Demander des directives ou dos suggestions Demander qu'on vous indique d'autres Bourcos Autres Oo <r^Vr
e)
— les demandes d'"aide pour recherches en catalogu.es (les 16 % indiqu£s sont bien faibles quand on se rappelle la
meconnaissance assez generale que demontrent les resultats a la questionlSo)
— les demandes d'information quelles qu<S.les soient. °5»5 % des enquetes sollicitent un jugement sur la valeur des
ouvrages B
2 % seulement demandent qu'on rassemble tous les elements
necessaires a leurs recherches (a ce propos, un professeur (1) s1ecrie : "Ce serait la B0U0 ideale") de m§me pour les
rubriques 6,8,9 (voir page suivante), une etudiante en bibliotheque universitiare dit : "Cela ne me semble pas possible0
Certaines rubriques sont plutdt le fait des centres de documentationo Les bibliotheques d'institut oud'Ecole superieure sont certainement mieux adaptees a un public moins nombreux et mieux defini» La question est de savoir ce que peut apporter une bibliotheque Universit&ire en
ma-tiere de documentation a ses lecteurs^ ceci en fonction de ses structures, de son personnel? de son budget, mais aussi
ce qu'elle pourrait ou devrait apportero
Toujours a propos de la question 18, voici les autres demandes d'aide indiquees par les etudiants (rubrique n° 11 de la question 18) :
— savoir ou se trouve un ouvrage
— demander qui a emprunte tel ou tel ouvrage
— pour demandes d'emprunt a d'autres bibliotheques — pour autorisation de sortir un ouvrage
— pour gagner du temps
— pour etre guide dans le dedale de la salie de bi-bliographie
— pour les revues : il n'est pas possible de retrouver celles concernant un sujet precis si on ne cozmait pas le numero0 Cela rend difficile la rscherche,
Question 19
Malgre ces resultats plutdfc faibles, les etudiants sont en .grande najcrite satisfaits des ssrvicss
3B a la Bibliotheque et meme-s'ils ne sollicitent aucune aide, ils affirment cette satisfaction a la question 19«, Cette question 19 (et 11ensemble du questionnaire d'ailleurs)
n'a-vait evidemment pas pour objectif un contrdle du personnel comme il m'en a ete fait une fois le reproche0 Je ne voulais
faire le proces de personne : je n1en ai pas le droit et je
je ne voudrais pas porter de jugement alors que je n'ai ja-mais travaille en Bibliotheque«
Mon seul but etait une meilleure comprehension des besoins des utilisateurs0 Or, il n'est pas evident que les
difficultes des etudiants soient bien perques par le person-nel ni que les efforts du personperson-nel pour aider les etudiants soient bien compris par ceux-ci o
Cela dit, la question etait posee de fagon globale et concernait 1'ensemble de la Bibliothequec Les 15 personnes
sur 503 qui ont manifeste leur mecontentement, plus 2 a moitie satisfaites critiquent aussi bien la duree d1ouverture, le
fonds insuffisant etc000
2» Les acquisitions :
Les etudiants utilisent rarement la Bibliotheque pour des acquisitions : seulement 13 % declarent en avoir suggere (sur 503 etudiants)0 Sans doute ne connaissent-ils pas cette
possibilite0
Be LES ETUDXANTS ET LA FORMATION DES UTILISATEURS Question 21
Elle porte sur le nombre d'etudiants qui ont recu une initiation a 1'utilisation de la Bibliotheque® Les reponses seront donnees par cycles0
1 - Premier cycle :
II s1agit generalement d*une visite de la Bibliotheque
faite par txn professeur (ou assistant) ou un bibliothecaire, et quelquefois par le professeur et le bibliothecaire en znenie temps 0
44«5 % des etudiants declarent avoir recu cette initiation (les chiffres montfent jusqu!a 65
%
P°ur 1'INSAet 1'IUT 1), Je n'ai pas pris en comptes cela se congoit,
les etudiants qui disent avoir demande 1'aide d'un camarade ou indiquent le guide du lecteur, et ils sont en nombre ex-tremement reduito
Sur 22 % d1etudiants qui disent a quel niveau
d'e-tudes ils ont ete inities, 19»5 % indiquent 1'enseignement superieuro
Les professeurs et assistants sont cites 47 fois» Les bibliothecaires sont cites 129 fois»
Ce genre d'operation suscite 1'interet des etudiant^ puique parmi ceux qui n'ont pas beneficie de cette initxation :
^ / _ *! 5 % estiment que ce serait indispensable ( _ 68 % " " " appreciable
_ 6 % " " " inutile
2 - Deuxieme cycle :
37
%
des etudiants declarent avoir suivi cette ini-tiation»Sur 14,5 % des etudiants qui indiquent a quel niveau d'etudes, 13»5 % donnent 1'enseignement superieur0
Les professeurs et assistants sont cites 8 fois0
Les bibliothecaires sont cites 64 foiso
Etudiants qui estiment 1'initiation indispensable 11»5 % ) ^ n ii ii ii appreciable 63 o 5 % ) n ii ii " inutile 8 o0 %
Le& autres aspects de la question 21 ne seront pas evoqueso Indiquons seulement que 11initiation se fait souvent
par petits groupes, surtout dans le premier cycle et qu'elle est aussi souvent individuelle o
Question 22
De nombreux etudiants, meme dans les.Bibliotheques ou existe le "guide du lecteur" ont ete surpris par cette expression, Ils n'ont pas comp^ris ce qu'etait ce guide0
I
Dans la mesure ou ce ter®e pretait a confusion dansssprit il devient inu~bile de savoir ce qu? ils en pensent» D' ailleurs
1'incertitude sur ce terme chez les etudiants, oblige a re-metfcre en cause le pourcentage obtenu a la rubrique 2 de la question 23 (le guide du lecteur comme meilleur moyen pour connaxtre la Bibliotheque) =,
Ne serait-il pas preferable d'indiquer sur la cou-verture du guide, ou au debut des explications, tres claire-ment les termes "guide du lecteur" ? Ainsi 1'utilisateur qui irait de bibliotheque en bibliotheque s1habituerait a le
re-trouver dans chacune, et peu a peu apprehenderait mieux l'or-ganisation d'une bibliothequee
Question 23
Quels moyens les etudiants pref erent-^pour mieux con-naltre le fonctionnement d'une bibliotheque ?
On demandait aux etudiants de choisir un seul moyen„ En fait la plupart en ont indique 2 ou 3 ou plus. Tous les moyens
in-diques ont ete comptabilises meme lorsque 1'etudiant en a coche plusieurs au lieu d'un0
210S% 3 •:> •> # Breve cplication orale ldividuelle 'anneaux explicatifs —t ^ * Conference avec proce-des audio-visuels Guide du Lacteur Visite COlls c'yi vs Au "SS
Les autres moyens^indiques 3 au nombre de 43 sont les
suivants :
1. L'experience personnelle
2 e Par ses propres moyens ce qui sera forcement adapte au chercheur de livres
3 o Visite approfondie individuelle
4» Utilisation des pastilles de couleuro
Question 24
Cette question a donne lieu a des developpements sou-vent tres interessants dont il sera donne quelques exempleso Selon le plan du questionnaire, cette question 24 devrait se trouver apres la question 200 Son interSt esttel que j'ai
prefere la reporter en fin d'analyse, et ainsi laisser le dernier mot aux usagers des Bibliotheques dfenseignement
superieuro
80 % des etudiants ont repondu0 Mais iL faut ajouter
qu'ont ete comptabilises meme les etudiants qui ont ecrit seulement deux motsQ Cretait le plus souvent documentation et
inf oruiation o
Les termes que l'on retrouve avec le plus d'finsistance
sont evidemment : documentation, information, mais aussi souvent si ce nrest plus : lieu de travail et de recherche0
La culture generale et le loisir recueillent moins de suf-frageso Enfin les references a 1'utilisation de la Biblio-theque apres les etudes sont assez rares tant pour le travail que pour la culture ou les loisirs0
Les notions qui reviennent le plus souvent font reference a 1faccessibilite, 1fhexaustivite, la specialisa—
tion5 1'objectivite5 la pertinence de la documentation ou
de 1finformation0 On signale aussi les ouvrages difficiles
a trouver3 rares, epuises, les documents audio-visuels»
Enfin, les etudiants apprecient le calme de la Bibliotheque et surtout l!economie qu!elle leur permet de realiser»
Citations d^etudiants
Studiantg ds 3
S^Q annee en pharmacie ? cepfca:Ii?s livres se
I t J L
-ces derniers de reduir-e le^prSt de 15 a 8 jours, ce qui
psr-mettrait un roulement rapide et une chance supplementaire ?
Etudiant fen sciences en pr^miere annge ;
"Un moyen d1information precis sur des bases mal
com-prises» J1aurais aime une petite section ou 1®on trouverait les
livres contenant les cours enseignes a la Faculte3 sans etre
oblige de se perdre dans des tonnes de livres3 trop axes sur
des points precis d1une science6 Exemple : je viens de passer
3/4 d'heure a trouver les cours de premiere annee DEUG B geolo-gie (cours de la Sorbonne) Pourquoi ne pas assigner dans un coin un petit meuble marque "DEUG B premiere annee" avec les livres comportant le cours uniquement ?"
Etudiant en sciences, quatrieme annee :
"Une BoUo devrait etre pourvue d'une grande piece de decontraction agreablement amenageeo Si cela vous semble lou-foque3 essayer donc d'y travailler plus de 6 heursf, vous
com-prendrez«,"
Etudiante en sciences, quatrieme annee :
"Elle est appreciable pour son pret de livres bien qu'il soit frequent de ne pas trouver ce que l'on desire"B
Etudiante en droit, deuxieme annee :
"La bibliotheque a pour mission de faciliter le travail de recherche des etudiants ® Pour ce il faut qu'il y ait tous les ouvrages et manuels utiles (juges par les etudiants et les professeurs)o"
Etudiant en droit, troisieme annee :
"La bibliotheque universitaire est un lieu de documen-tation et de recherche malheureusement inadapte au travail tant. individuel que collectif
Etudiante en droit, premiere annee :
"La bibliotheque devrait Stre un lieu ou 1'on soit tou-jours sur de trouver facilement'/ce que llon cherche, soit seul,
Etudiant en levtrca cti Qeiences huazaineso lere anndes
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nLa oibliotheque est un outil indispensable a une preaiiere
approche des problejaes» o» Une premiere documentation a une
recherche que l!on peut pouisdHvre dans des centres plus importants
et plus specialises, si on le desire»
"C^est aussi un lieu de detente (je parle ici des biblio-theques municipales, celle de Lyon par exemple) quand la
bibliotheque..est un centre culturel ouvert a tous et a la portee de tous et non plus une austere INSTITUTION"
Etudiant en lettres et sciences humaines e 3eme annee :
ti~T" ] : : :
Un outil de travail indispensable mais sous-employe, et dans lequel on pourrait trouver des documents photographiques ou magnetiques8
Etudiante en maitrise de lettres, du personnel technique du CNRS : n
Pourquoi ne demande-t-on pas 11avis des lecteurs pour *
construire des bibliotheques nouvelleso"
Etudiant INSA de Qeme annee :
"Un endroit ou je peux trouver en permanence la bibliographj necessaire a mes recherches personnelles en periode scolaire
et a ma formation continue en periode post-scolaire0 Naturellement.
il faut pour cela une remise a jour continue de la bibliotheque•
Etudiante INS4 de 3eme annee :
"La bibliotheque doit §tre un centre d1information et de
documentation 0 Un lieu calme de travail; ses horaires doivent
donc correspondre a ces imperatifs et en particulier au second» Lorsque j1aurai un emploi5 j'espere pouvoir cont^nuer a etre en
relation avec la bibliotheque de 1'INSA pour toute documentatione
Quant a la bibliotheque municipalS elle doit Stre ouverte sur la vie et 1'actualite.
Etudiant en 1ere annee0 IUT2 :
"La bibliotheque est une source de culture generale, une ouverture au:cnatieres qui ne me sont pas enseigneeso"
Btudiarrfa en biologie appliquee0 3TUT1 :
hioliot-hsque est un lieu ou 1 ®on doit trouver tous les rensei^ner-^.-n-s vculv.s darts quelque matiere que ce soit»