• Aucun résultat trouvé

ARTheque - STEF - ENS Cachan | Citoyen mais scientifique : Guyton-Morveau (1737-1816)

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2021

Partager "ARTheque - STEF - ENS Cachan | Citoyen mais scientifique : Guyton-Morveau (1737-1816)"

Copied!
6
0
0

Texte intégral

(1)

CITOYEN MAIS SCIENTIFIQUE

GUYTON·MORVEAU (1737-1816)

Michel PAUTY

Diffusion de la Culture Scientifique et Technique, Université de Bourgogne

MOTS-CLÉS: PÉDAGOGIE - ÉDUCATION - CHIMIE - INDUSTRIE

RÉSUMÉ: LeMémoire sur l'Éducation publique (1794) de Guyton contient des propositions détaillées pour la création de collège dans chaque province, mais Guyton attacha toujours une grande imponance aux applications de la Science et en 1782 il publia ses propositions de réforme pour la nomenclature chimique. Durant l'année 1794, Guyton s'intéressa aux applications de la science

à

l'effon de guerre. Il fut directeur de l'École Polytechnique et professeur depuis la fondation en 1794 jusqu'en 1811.

SUMMARY : Guyton'sMémoire sur l'éducation publique (1764) contains detailed proposaIs to create a college in each province, but Guyton al ways atlached great imponance to the applications of science and in 1782 published his proposais to reform the nomenclature ofchemistry. During the year 1794, Guyton was concerned mainly by the applications of science to the war. He was director of the École Polytechnique and professor from its founding in 1794 until 1811.

(2)

1. GUYTON À DIJON

Louis-Bernard Guyton-Morveau est né à Dijon le 4 janvier 1737 et est mort à Paris le 2 janvier 1816. Dijon avaitàcelte époque un certain nombre d'institutions scolaires mais les garçons n'entraient au collège qu'en Sixième lorsque ceux-ci savaient lire le latin et le français. Comme toute l'élite dijonnaise, Guyton fréquenta donc ensuite le célèbre collège des Godrans tenu par les Jésuites. Le 13 novembre 1753, il entre à la faculté de Droit de Dijon et le 14 mars 1755, il obtient le baccalauréat, le 28 juin 1756, il passe avec succès la licence. Cette même année, il s'inscrit au barreau et, le 8 janvier 1762, son père lui achète pour 34 000 livres la charge d'avocat-général, mais il avait fallu demander une dispense royale car Guyton n'avait que 25 ans alors qu'il en fallait 30. Il ne tarde pas d'associerà son nom celui de Morveau, petit fief appartenantàson père et aujourd'hui faisant partie des propriétés de l'Université de Bourgogne. Il sera alors jusqu'à la Révolution, Monsieur de Morveau. Guyton de Morveau durant 20 ans remplit les obligations de sa charge et le 16 novembre 1767àla rentrée du Parlement, il prononça unDiscours sur l'état actuel de la jurisprudence.L'étude sur la jurisprudence parut dans un recueil en trois volumes: "Discours publics et Éloges"en 1775. Il propose "une jurisprudence simple, uniforme, universelle constante". Mais le 30 août 1782, il résigne entre les mains du roi"son office et état" et le 26 mars 1783, il est nommé avocat-général honoraire.

Que va alors faire Monsieur de Morveau? Tout simplement pouvoir mettre en pratique le thème des XIXe Journées de Chamonix:"Sciences, technologies et citoyenneté".

Entré en 1764à l'Académie des Sciences, Arts et Belles-Lettres de Dijon, il va s'intéresseràla chimie; le 8 janvier 1768 après avoir présenté devant l'Académie des Sciences Arts et Belles Lettres de Dijon uneDissertation sur l'action de l'air dans la combusrion des corps,il va poursuivre ses études de chimie dans le vaste cabinet de sa maison de la place Saint Jean. Arthur Young, de passage àDijon déclara y découvrir"une variété et un nombre d'appareils que je n'ai jamais vu nulle part ailleurs".Guyton s'intéressa ensuite au charbon, puis aux minerais de fer où il imagina un test de fusion avec un flux de sa composition à base de silicate, de borax et de charbon de bois. Il était alors devenu l'un des rares spécialistes de la sidérurgie et Buffon fit appel à lui pour ses hauts-fourneaux et forges de Montbard. 1773, Monsieur de Morveau fait l'une de ses plus grandes découvertes: les propriétés désinfectantes du chlore que venait de découvrir le suédois Scheele. Peut être trouve-t-on ici la première manifestation de l'application de la science de Guyton à une œuvre de salubrité publique puisque naquirent alors les célèbres fumigations guytoniennes. En effet au début de 1773, un hiver assez vif avait fait geler profondément la terre et entraîné une accumulation de cadavres dans les caveaux de la cathédrale Saint-Étienne. Avec le dégel, la décomposition des cadavres dégageait une odeur épouvantable et l'on ne pouvait plus entrer dans l'édifice, une épidémie se déclara. Les procédés normaux, chaux, vinaigre ne donnèrent rien. De Morveau fit réagir de l'huile de vitriol (acide sulfurique) sur le sel marin. On ferma les portes de l'Eglise 48 heures. Lorsqu'on les rouvrit, l'odeur avait disparu. Monsieur de Morveau désinfecta ensuite les prisons de la ville et sa technique se développa... Ces fumigations rendirent de grands services pendant les guerres de la Révolution et de l'Empire pour la désinfection des hôpitaux et des prisons. Cette même année il s'intéresse au tonnerre et il fera une description détaillée d'un coup de foudre

à

Dijon et il écrira l'article Tonnerre du

(3)

Dictionnaire raisonné des Scienceset il placera sur son hôtel l'un des premiers paratonnerres et il écrira l'article tonnerre duDictionnaire raisonné des Sciences.

Monsieur de Morveau ne pouvait garder pour lui·même les résultats de ses travaux de chimie qu'il avait déjà publié en 1772 à Dijon dansDigressions académiques ou essais sur quelques sujets de physique, de chimie et d'histoire naturelle.Aussi en 1776, il proposa à l'Académie des Sciences. Arts et Belles·Lettres de Dijon. la création d'un cours de Chimie. Ces cours durèrent onze ans et avaient lieu chaque année pendant deux mois et demi au printemps. Ils parurent dansÉléments de chimie théorique et pratique rédigés d<lns un ordre nouveau pour servir aux cours publics de l'Académie de Dijonet constituent l'ébauche de la classification et de la nomenclature que Guyton allait proposer en 1782 et faire adopter en 1787.

De la chimie appliquée telle que la faisait Guyton. il n'y avait qu'un pas pour arriver à l'industrie chimique. Il fit une première tentative pour la production du salpêtre afin de réaliser des nitrières artificielles. 1780. il invente le dosage volumétrique. En 1781. il fait partie de l'équipe chargée de la rédaction del'Encyclopédie Méthodique.Couleurs et peintures firent l'objet en 1783 de recherches sur la fabrication du blanc de zinc: le métal chauffé au voisinage de son point d'ébullition. les vapeurs brûlaient en donnant des flocons blancs d'oxyde de zinc; ces travaux menés avec son préparateur Counois amenèrent à la généralisation de ce produit en peinture... mais il fallut attendrelemilieu du

xrx

e siècle pour substituer le blanc de zinc moins toxique à la céruse.

25 avril 1785 Dijon voit s'envoler l'aérostat proposé par de Morveau l'emportant en compagnie de l'abbé Bertrand astronome. Pour le "gonfler". il a préconisé de chauffer dans des cornues de fer la pomme de terre réduite en purée et mélangée à la chaux vive. Ce ballon était le premier ballon censé être dirigé carilavait fait installer une machinerie nécessaire pour se rendre maître de la direction du ballon. Ces vols (il y en eût 2) se soldèrent par un désastre financier et Monsieur de Morveau fut accusé d'avoir dilapidé les fonds de l'Académie tant avec son ballon qu'avec ses cours de Chimie. il bouda les séances de l'Académie et panit pour la capitale parisienne.

2,

GUYTON

À

PARIS

2 mai 1787. Guyton lit devant l'Académie parisienne leMémoire sur le développement des principes chimiques. Un grand nombre de mots seront de l'invention de de Morveau tels: azote. radical. tungstène. alumine. arseniate, citrate. Il appliquaitàla chimie ce qu'il avait rêvé de faire en unifiant la jurisprudence.

Le

ciel et les dieux de l'Olympe ne vont plus envahir les livres de chimie: le carbonate de fer ne sera plus le satran de mars apéritif, le chlorure d'argent: la lune cornée. le nitrate d'argent restera le nitrate d'argent qu'il soità l'état de cristaux de lune ou fondu: pierre infernale.

Le

projet de nomenclature chimique revient bienàde Morveau mais en fait il s'agit d'une œuvre collectiveà laquelle travaillèrent Lavoisier, Berthollet, Fourcroy. Laplace, Monge mais aussi Mmes Fourcroy et Lavoisier. Guyton voulait"offrir à l'oreille des sons doux, agréahles,faciles à prononcer, quelquefois même Iulrmonieux et de se rapprocher ainsi du génie de la langue française dont la douceur et la prononciarionjacile enfant l'idiome le plus généralement répandu dans le monde".

(4)

Souvenir de l'un de ses écrits de 1764 -Ménwire sur l'éducation publique avec le prospeclUS d'un collège, suivanr les principesde cel ouvrage -dans lequel il constatait que"rwtre langue malernelle est trop négligée" (p. 117) et qu'il en était de même du grec qui était traduit en latin (page 157-158), car Guyton critiquera toujours le latin, langue des Jésuites regrettant de le parler car"nous sommes obligés de lefaire dansderwmbreux cas"(p. 133).

28 mars 1787, de Morveau figure sur la liste des électeurs de la noblesseàDijon. C'est maintenant depuis la mort de Buffon, le savant de la province de Bourgogne, on parle de lui comme du meilleur chimiste d'Europe. Il est élu en juin 1791, député de la Côte d'Or à l'Assemblée législative il sera nommé au bureau de l'Assemblée et aussi membre de la commission des Finances. Il va prendre position contre l'émission des assignats:"Avanr de répandre les assignaiS, il faut les économiser".Il fera arrêter aussi le projet de vente des forêts domaniales alors estiméesàun milliard.Le2 mars 1792 il deviendra président de l'Assemblée. Le 4 septembre il est élu triomphalementà la nouvelle Assemblée. Et celui qui fut avocat généralàDijon et qui n'avait jamais requis la peine de mon vota la mort du roi.

Bien que de Morveau ait dit qu'il ne"voulait plus reprendre son essor au dessus de la lerre",le 15 février 1793, le bourguignon Carnot écrit à un ami:"Guyton m'a souvent parlé du parti que l'on pouvait rireràla guerre des ballons... il pense qu'ils pourraienl êlre infinimenr Uliles".

Àla première séance du Comité de Salut Public, le 7 avril 1793, il en sera le président et chargé de la correspondance, devant donner une réponseàchaque demande envoyée ou déposée sur le bureau de l'Assemblée nationale. Le 20 juillet mit pratiquement fin aux activités politiques de Guyton et il se consacra alors uniquement aux sciences appliquéesàl'économie etàla guerre.Lecitoyen Guyton voulait avec les ballons, observer l'ennemi et renseigner le commandement, transmettre les ordres aux troupes par signaux colorés le jour et lumineux la nuit et avec des petits ballons perdus envoyer des proclamations aux troupes. Le Comité de Salut public le chargea au cours de l'année 1794 de différents rapports sur des mémoires relatifs aux aérostats mais la plus grande difficulté était de fabriquer en grand le gaz inflammable: l'hydrogène nécessaire pour gonfler les ballonsàpartir des expériences de Lavoisier et Meunier. Après une première expérience ratée pour gonflerle ballon le JO mars 1794, le 29 mars de la même année les représentants Guyton, Prieur de la Côte d'Or, Barrère et Ballelier, accompagnés de Monge et Vandermonde se rendent au Parc du Petit Meudon. Guyton et Prieur s'élèventà150 toises. L'histoire des aérostats peut continuer, tout sera prêt pour la bataille de Fleurus, le 26 juin 1794. Pendant toute celle période, Guyton n'avait rien publié. Le Journal de Physique, le Journal des savants, le Journal de Chimiene paraissaient plus. Seul leMoniteur An Il, nO 51 publia une note sur"Le jeu des échecs" : " Esr-il permisàdes Français de jouer encore aux échecs, celle queslionful agitéeily a quelques jours dans une société de républicainsetrésolue par la négative absolue. Ne serail-il pas possible de républicaniser ce jeu?"Guyton, bon citoyen, proposa d'en changer le nom en celui de Jeu des Camps ou de la petite guerre.Leroi deviendrait le drapeau, la reine, l'adjudant, les chevaliers, les cavaliers, les pions, les fusiliers, les tours, les canons et les fous, les dragons. Mais le problème des poudres et salpêtres était de la plus haute importance stratégique à l'époque et Guyton outre son rôle que nous avons esquissé avec ses premières recherches sur le salpêtre fut chargé avec Berthollet d'améliorer et d'enseigner la technique de fabrication des poudres.

(5)

Avec Camy, il inventa une technique de fabrication des poudresàsec, plus rapide que la technique humide. Ils mettaient dans des tonneaux montés sur pivot, salpêtre, soufre, charbon pulvérisé séparément et l'on ajoutait à la masse des petites sphères de bronze grosses comme des noix. Il imagina aussi des pèse-liqueurs pour les solutions de salpêtre et des boulets sphéro-cylindriques avec une rainure circulaire au dessus de la demi-sphère où venait se placer une bague de plomb ce qui était un pas vers les obus modernes.

Maintenant Guyton pouvait essayer de mettre en pratique ses idées sur l'éducation publique... En effet il existait sous l'ancien régime une École du GénieàMézières pour les futurs ingénieurs militaires. Désorganisée en 1793, Lamblardie, directeur de l'ancienne école des Ponts et Chaussées soumit à Monge, qui avait enseignéàMézières, l'idée de fonder une école unique pour former les ingénieurs militaires. C'est ainsi que fut créée la "Nouvelle École de Travaux Publics" ; les cours commencèrent le 24 mars 1795. Pour la chimie, les enseignements étaient confiésàFourcroy (substances salines), Chaussier (substances végétales), Berthollet (substances animales) et enfin Guyton (substances minérales). Guyton, associéàPelletier avait donnéle plan d'un cours qui comportait l'étude des minéraux et dans lequel on retrouve les centres d'intérêts de Guyton: classification méthodique des corps, caractères généraux des terres, de la silice de la vitrification (Guyton s'était occupé de la fabrication des verres et de la fabrication du rougeàpolir les glaces et les aciers), propriétés de la porcelaine, de la pyrométrie (Guyton avait inventé un pyromètre), de la chaux, des mortiers et ciments (Guyton avait écrit un article sur des recherche de ciments propres à bâtir sous l'eau), des sels et salines (fumigations guytoniennes), du plâtre, de la baryte et de l'alumine (il en avait proposé le nom), des mines de charbon (il avait exploité les mines de charbon à Mont-Cenis, Le Creusot), des bitumes, du diamant (il avait voulu faire fondre le diamant el il recommençaàl'École polytechnique en 1799 ses études sur la combustion du diamant et celles sur la conversion du fer doux en acier fondu par le diamant, les diamants provenaient du cabinet de minéralogie de l'École Polytechnique), du mercure, du cuivre, du plomb, de l'étain, du fer (il s'était intéressé aux hauts-fourneaux), de l'antimoine, du bismuth, du zinc (il avait réalisé le blanc de zinc avec Courtois), de l'arsenic, du cobalt, du cuivre (G uyton avait donné une description de la récupération de ce métal dans le bronze des cloches d'église), du nickel, du tungstène. Il avait aussi suggéré de traiter des produits des volcans et des eaux thermales. En 1798, il remplace Mongeàla direction de l'École devenue École Polytechnique depuis le 1er septembre 1795 et il présenta comme l'un des plus grands avantages politiques de l'institution, celui"de faire sortir en quelque sorte du même berceau tous les aspirants aux différents services, et un certain nombre de citoyens destinésàporter dans les arts, les lumières qu'ils y ont acquises .. de rapprocher, par le souvenir d'une éducation commune, dans l'âge le plus propre à former des liaisons durables, ceux qui répartis dans les différents corps ou appelés à d'autres professions, ne se connaissaient le plus souvent que par la différence de leurs fonctions, et les préventions qu'elle n'est que TrOp sujette à produire".

Le 27 décembre 1799, Guyton était nommé Administrateur de la Monnaie. Il imagina un aréomètre à volume constant pour déterminer la densité des minéraux et des monnaies et dans les mémoires de l'Institut, il publia un travail sur les piècesàchaton. Dans lesAnnales de Chimie, il décrivit un appareil installéàla Monnaie en vue de "consumer les fumées des machines

à

feu" el il contribua aussi

(6)

àl'établissement du nouveau système monétaire. Entre temps, il devint Baron d'Empire le 23 octobre 1811, mais,àla fin de l'année 1811, Guyton affaibli par l'âge quitta la chaire de chimie appliquée aux ans, où il fut remplacé par Thenard. La chute de l'Empire entraîna la suppression de son titre d'administrateur des monnaies le 13 décembre 1814, puis son rétablissement le 1er avril 1815 lors des Cents Jours et sa suppression définitive par la Seconde Restauration. Il mourut le 2 janvier 1816 à Paris. Ainsi s'acheva la vie d'un homme qui avait écrit lorsqu'il avait 27 ans, qu'il convenait d'enseigner:des sciences qui n'apparliennenr spécialementclaucun état et qui appartiennemcltous, que roucle monde par conséquent doit s'empresser d'acquérir".

3. CONCLUSION TRÈS PARTIALE

Au moment où il faut que tous les jeunes fassent les études les plus poussées... qu'il nous soit permis pour conclure de panager un peu les idées de Guyton en 1764 : "Lasociété a besoin d'agriculteurs, de soldats, commerçants, d'artisans et ce n'est qu'après que rouees ces classes de citoyens auront été remplies que celle des Lettres pourra se grossir sans préjudice pour l'Etat"L'enseignement ne doit· pas détourner les bras des champs ou des métiers. L'éducation domestique elle même n'est pas exclue, tout en ne répondant pas au souci principal de Guyton. Et nous nous poserons la question suivante: Pourquoi avoir supprimécl un moment les cours de travaux manuels dans les lycées pour les remplacer par des cours d'informatique?Très grave erreurànotre sens, un travail manuel bien fait : une rnarquetterie, un livre bien relié, une jupe bien coupée est plus formateur qu'un après-midi passé devant l'écran de son ordinateuràmanœuvrer une souris pour joueràun jeu sans aucun intérêt.

BIBLIOGRAPHIE

SMEATON W.A. ,Guyton de Morveau, inDictionnary of Scientific Biography,Charles Coulslon Gillispie, New-York: Charles Scribner's sons, 1981).

BOUCHARDG., Guyton-Morveau, chimiste et conventionnel,Paris, 1938.

GRISON E., GOUPIL M., BRET P.,A scientific correspondence during the chemical revolurion : Louis-Bernard Guyton de Morveau et Richard Kirwan (1782-1802),Office for the History of Science and Technology, University of California at Berkeley, 1994.

La indiquée est très restrictive et il n'a pas été possible de noter ici tous les livres, articles, publications lettres de Guyton-Morveau que l'on peut retrouver cités dans différents ouvrages.

Références

Documents relatifs

sanguines et la survie montrent que l'administration de SSH/dextran a tendance à augmenter la pression artérielle systolique par rapport aux cristalloïdes isotoniques pour les blessés

Dans un second temps si les capacités du DCA étaient dépassées ou s’il était nécessaire de court-circuiter le DCA, les victimes étaient dirigées sur une des salles de

More precisely, they sought to analyze the correlation between the saving rate and the investment rate and therefore determinate if these economies evolved closing (financing

Dans le schéma d’analyse, pour l’ensemble des éléments du contexte des démarches (sens, valeurs, temps, conditions), il existe deux pôles qui expriment une double

ˆα par β dans les programmes respectifs de primes et de cession de parts, nous aboutissons à des espérances d’utilité très similaires aussi bien pour l’employeur que

(dir.), Traité de droit administratif européen, Bruylant, 2014.. Une telle solution est parfaitement conforme aux objectifs de la création même de l’Union européenne. La

*2. Thomas de Cantiinpré, dans HLF ., XXX, p. 369 [: Agochiles avis est Orientis quae a re nomen habere dignosci - tur. Dicit enim Michael, qui transtulit librum Aristotelís

N el poemetto che apre dunque la serie delle otto leggende sacre in versi, la lingua di Rosvita presenta alcune forme verbali, che sono determinate da scelte