Urological complications in 980 consecutive patients with renal transplantation.
H.R. DAVARI, H. YARMOHAMMADI, S.A. MALEKHOSSEINI, H. SALAHI, A. BAHADOR, M. SALEHIPOUR.
Organ Transplant Research Centel; Nemazee Hospital, Shiraz University ofMedical Sciences, Shiraz, Iran . Int J Urol., 2006,13:1271-1275.
Aim
To present the urological complications of renal transplantations performed in the last 14 years at one center and to briefly explain a modified method of Lich-Gregoir ureteroneocystostomy.
Methods
The data of 980 patients receiving kidney transplants at the authors' institution from April 199 1 to February 2004 were reviewed in a retrospective prospective study. In particular, sur- gical techniques and urological complications were noted.
Results
A total of 980 patients had received kidney transplantation.
Extravesical ureteroneocystostomy (Lich-Gregoir method) was used in the first 480 patients (group A). In the subsequent 500 patients, the authors' modified method of extravesical uretero- neocystostomy, using single layer anastomosis and small fee- ding tubes as stent, was used (group B). Overall urological com- plication rate was 2.8% (28 patients), including leakage (13 patients, 1.3%), stenosis (seven, 0.7%), obstruction (one, 0.1 %), distal ureter necrosis (four, 0.4%), pelvocalyceal fistula (two, 0.2%) and implantation of ureter into the peritoneum (one, 0.1%). Urological complications were significantly more com- mon in group Acompared to group B (16,3.3% and 9, 1.8%, respectively; P < 0.05).
Conclusions
Preserving the adventitia, fat and blood supply of the ureter by delicate dissection of the ureter dunng donor nephrectomy, short ureters, and fixation of the adventitia, fat and blood supply of the ureter to the bladder wall, to prevent kinking or twisting, are important factors in decreasing urological complications. Addi- tionally, the authors' method of ureteroneocystostomy is also effective in decreasing the incidence of ureteric complications.
Commentaires
Les auteurs mettent clairement l'accent sur leur technique d'a- nastomose urétéro-vésicale selon Lich-Grégoire dite modifiée permettant selon eux, de diminuer les complications urologiques des transplantations rénales. Globalement, ils obtiennent le même taux de complications que dans la littérature, c'est-à-dire autour de 3% pour ce type d'anastomose urinaire.
de qualité respectant au maximum l'uretère. Par contre il me semble difficile de faire la part entre le soin apporté à la réalisa- tion des anastomoses uétéro-vésicales dans cette série, avec pour volonté de prouver le bénéfice d'une technique largement répan- due et dite modifié, et l'apport réel de ces modifications.
Cet article, s'il a le mérite de confirmer le faible taux de compli- cation des anastomoses urétéro-vésiales selon la techique de lich-Grégoire, enfonce des portes ouvertes en soulignant un principe bien connu en transplantation rénale, c'est-à-dire la nécessité de conserver le tissu peri-urétéral et d'ajuster la lon- gueur de l'uretère pour limiter au maximum les lésions isché- miques.
X. TILLOU, Urologie, Université de Picardie, Amiens
Le fait que le taux de complications soit significativement plus bas lorsque le tissu péri-urétéral comprenant la graisse et le réseau de suppléance vasculaire est soigneusement respecté, démontre bien que les complications urologiques des greffes rénales peuvent être limitées par la confection d'une anastomose
