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Academic year: 2022

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Cinquième séminaire annuel du Réseau Migrations - 11 & 12 juin 2018 

Maison des Sciences de l’Homme et de la Société, Poitiers 

« Humanité et fermeté » : Lire les frontières                   au prisme des discours et des dispositifs               migratoires  

 

Date limite de soumission : 6 avril 2018 

 

 

Le Réseau Migrations  

Le Réseau Migrations, créé en juin 2014 à Poitiers, est un réseau pluridisciplinaire qui regroupe des                                masterant·e·s, doctorant·e·s, post-doctorant·e·s, praticien·ne·s, chercheurs et chercheuses dont les objets                    d'étude intègrent le champ des migrations.  

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Appel à communications

 

Introduction  

L’actualité internationale manifeste toute l’ambiguïté des discours et dispositifs autour des        migrations. Les études récentes (La Cimade, 2017) décryptent, par exemple, les politiques de        coopération entre Union Européenne et États africains, qui associent politiques de développement, «        maintien de la paix » et contrôle de l’immigration. Sur les frontières, il semble que l’on protège tout en        éloignant, voire qu’on protège pour éloigner. Alors que l’actualité place le durcissement des politiques        migratoires au cœur des enjeux sociétaux, le séminaire annuel du Réseau Migrations propose de se        pencher sur le couple « Humanité/Fermeté » et ses échos, pour relire le concept de Frontière.       

L’objectif est de questionner l’articulation entre, d’un côté, des acteurs et des discours prônant        l’ouverture des frontières, dans un souci de générosité et de tradition d’accueil, et, de l’autre, des        politiques migratoires de plus en plus strictes, justifiant la fermeture par une diversité de discours        protectionnistes, alarmistes, voire déshumanisants. Dans ce cadre, c’est le spectre large des        dimensions à la fois spatiales, territoriales, mais aussi juridiques ou encore culturelles de la frontière        qui pourra faire l’objet d’éclairages issus de différentes disciplines. Cette perspective de discussion        pourra s’articuler autour de trois axes principaux : les discours, les dispositifs, et les méthodes pour        les analyser. 

Axe I - GÉNÉROSITÉ VS CONTRÔLE : DES DISCOURS ET IMAGINAIRES  AMBIGUS 

Les médias, personnalités politiques, associations, réseaux sociaux, militants, ou citoyens des        sociétés “d’accueil” mais aussi les migrants eux-mêmes, produisent des discours sur les migrations        qui s’entremêlent, s’auto-alimentent, se confrontent. Ils contribuent, avec des intensités variées, à        façonner les imaginaires autour des migrations. Des notions telles que l’hospitalité (Berthomière,        2017 ; Le Blanc, Brugère, 2017), la vulnérabilité, le lexique de la crise et de l’humanitaire, la métaphore        des flux (Migreurop, 2017) ou encore le couple « humanité et fermeté », appellent des analyses        critiques et des déconstructions.  

Quelles évolutions historiques sont-elles à l’œuvre dans les discours médiatiques et politiques        sur les migrations ? De quoi les transferts de vocabulaire entre différentes tendances politiques        seraient-ils le symptôme ? Y a-t-il un lexique migratoire “politiquement correct”, et comment        s’arrange-t-il avec la réalité des dispositifs à l’œuvre, sur le mode de l’euphémisation (« éloignement       

»), de la dramatisation (« crise des migrants », « vague migratoire », « saturation » des capacités        d’accueil) ou encore de la catégorisation hiérarchique (« bons » et « mauvais » migrants) ? Comment        ce lexique agit-il pour naturaliser des distinctions artificielles (migrants économiques / réfugiés) ou        dépolitiser les enjeux par l’emploi de catégories morales (générosité, hospitalité, humanité) ? Des       

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continuités peuvent-elles être repérées avec les logiques des discours coloniaux ? Comment ces        discours et les imaginaires qu’ils produisent structurent-ils jusqu’aux partitions territoriales et        représentations du monde et peuvent-ils donner un caractère d’évidence à des frontières pourtant        construites et en mouvement constant ? 

À titre d’exemple, certains discours médiatiques en Espagne ancrent des dichotomies comme       

« Eux / Nous » qui alimentent des processus de déshumanisation (Santos, 2015). Ils construisent les        migrants comme un exo-groupe homogène à l’opposé du citoyen (Fajardo & Soriano, 2016). Les        conséquences sont lisibles dans la législation elle-même qui réduit le migrant à sa force de travail        (García et Fernández, 2010). Cette situation s’inscrit dans la continuité d’une construction de l’UE        comme entité « Moderne » renforçant la frontière politique, culturelle et sociale des pays du sud de        l’Europe avec les autres pays méditerranéens africains (Goytisolo, 2007). De la même façon, le projet        de D. Trump de prolongation du mur sur la frontière avec le Mexique ne peut rencontrer un succès        sans les discours de déshumanisation des latino-américains qui l’accompagnent et une conception        impérialiste ancienne des États-Unis vis-à-vis de l’Amérique du Sud (Galeano, 1971). 

Axe 2 - ENCADREMENT VS RÉSISTANCES : LES DISPOSITIFS EN PRATIQUES 

L’analyse des dispositifs pratiques liés à la frontière pourra porter sur les stratégies        institutionnelles (nationales ou internationales) de contrôle, les résistances et contournements des        migrants et sur les initiatives locales (en rupture avec les politiques officielles). Il peut y être d’abord        question de l’asile. Dans de nombreux pays, la politique d’asile semble évoluer dans le sens d’un        traitement toujours plus expéditif des demandes, d’un accroissement des pratiques d’enfermement        des demandeurs d’asile et surtout d’un transfert des responsabilités vers des pays tiers. On y repère,        plus que jamais, une volonté politique de mise à distance des migrants. Comment ces politiques        d’externalisation sont-elles reçues dans ces pays tiers ? Quelle est la diversité des contextes et des        stratégies étatiques ? Il peut s’agir ensuite, des dispositifs d’encampement (Agier, 2014). Présents        dans plusieurs régions du monde et mus par des objectifs divers, ils symbolisent le durcissement, la        déshumanisation à l’œuvre dans le gouvernement des mobilités. De quoi les camps sont-ils        aujourd’hui le nom et le lieu ? Comment s’intègrent-ils (ou pas) aux stratégies nationales en matière        migratoire et/ou frontalière ? Quelle(s) différenciation(s) la diversité des contextes introduit-elle ? Il        faut faire cas, enfin, de l’ensemble des dispositifs de sélection migratoire à visée utilitaire et parfois        genrés : domesticité, BTP, travail agricole. Quels singularités et points communs existe-t-il entre ces        différents dispositifs migratoires ? Comment mettre en regard des expériences aussi différentes que        l’exil pour des raisons politiques ou climatiques et la migration de courte durée pour travail ? 

Ces dispositifs engendrent des stratégies de contournement ou d’adaptation de la part des        migrants et de leurs sociétés de départ, qui rencontrent des soutiens associatifs et locaux. Le        durcissement des contrôles aux frontières a pour effet, non pas de stopper les départs, mais de        modifier les itinéraires suivis, les stratégies ou le choix des candidats à la migration dans les sociétés        de départ (avec en particulier une hausse du nombre de mineurs isolés). Refus de donner ses        empreintes, mouvements de protestation dans les centres de rétention, auto-organisation au sein de       

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camps de réfugiés (Agier, 2014), subversion des voies régulières de mobilité : comment s’articulent et        s’expriment les résistances individuelles et collectives ? Qu’est-ce qui les limite et les favorise ? 

Ces résistances trouvent un écho au sein du monde associatif, des municipalités (Programme        Babels) ou chez de simples citoyens. Ainsi, des municipalités réactivent la notion de ville-refuge ou        réaffirment les droits humains à la mobilité (Charte de Palerme). À Calais comme dans la vallée de la        Roya, des mouvements citoyens ou des associations mettent en place des initiatives de solidarité,        dénoncent les violences policières dont ils sont témoins. Quels conflits et paradoxes observe-t-on        entre les échelles nationales et locales ? Comment comprendre les spécificités locales et les        dynamiques plus générales, par exemple par des études comparatives ? Quelles valeurs sont-elles        mobilisées pour fédérer et quelles pratiques sont-elles mises en place (hospitalité/solidarité,        revendication du délit de solidarité) ?

 

Axe 3 - THÉORIES ET MÉTHODES : SE POSITIONNER DANS L’ÉTUDE DES  MIGRATIONS EN LIEN AVEC LES FRONTIÈRES 

L’analyse de ces discours et dispositifs nécessite à la fois un positionnement théorique et un        bagage méthodologique adaptés, dont la diversité est d’autant plus précieuse que la migration        constitue un champ d’études interdisciplinaire. Les études postcoloniales (Mbembe, 2006 ; Vergès,        2008 ; Bancel et al, 2010), le paradigme décolonial (Grosfoguel, 2015) ou l’approche intersectionnelle        (Bilge, 2005 ; Harper, 2012) constituent des cadres théoriques aujourd’hui influents. Comment les        articuler aux questionnements empiriques en prise sur le terrain ? Inversement, quelle place, dans la        théorisation, accorder à des objets de plus en plus présents dans l’observation : le numérique        (programme de recherche E-diaspora, réseau en ligne d’hospitalité SINGA), la question du genre        (Schmoll, 2017) ou encore la violence et l’enfermement (Agier, 2014) ? Quel traitement accorder à des        dimensions souvent négligées ou abordées de façon purement technique, comme le droit ? La        déconstruction des discours officiels et des textes de lois complique par ailleurs la stabilisation d’un        vocabulaire pour le chercheur. Quels mots employer pour rendre compte de ses recherches : lexique        officiel, mots des acteurs, nouvelles catégorisations scientifiques ? L’expérience migratoire fait        également émerger non seulement des frontières physiques, mais aussi des frontières symboliques et        sociales. Comment les relier selon les contextes historiques et spatiaux (catégories de race, classe,        genre, sexualité, etc.) ? Quelle place peut-elle être accordée aux paradigmes courants des Border        Studies (Brunet-Jailly, 2005 ; Szary et Giraut, 2015) dans leur articulation aux migrations ? 

Les sources et données empiriques nécessaires à la compréhension des phénomènes        migratoires sont très diverses : archives, expériences vécues et imaginaires des migrants, données        statistiques et informations institutionnelles, données issues des réseaux sociaux, etc. Quelles        méthodes adopter pour accéder à, traiter et combiner ces sources ? Comment gérer cette masse        d’informations et leur évolution continue au gré des changements d’orientation politique ? 

S’engager dans une recherche sur les politiques migratoires nécessite enfin parfois de        négocier son entrée sur le terrain à travers du bénévolat. Ce choix de sujet est parfois aussi le reflet        d’un engagement militant en-dehors de la recherche. Se pose donc la question de l’articulation entre       

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expertise scientifique et engagement militant, mais aussi celle de l’éthique dans le rapport au terrain        et à ses acteurs. S’agissant d’un sujet d’actualité, les sollicitations de la part des médias ou de la        société civile peuvent également soulever des interrogations sur le travail de vulgarisation et son        articulation avec le temps long de la recherche. 

En interrogeant le couple « humanité-fermeté » sous l’angle des discours, des dispositifs et des        méthodes, nous vous proposons de réfléchir à la frontière en déployant toute la diversité de ses        territoires, ses échelles, des expériences qu’elle suscite et des méthodes pour la saisir. L’ensemble des        propositions, qui peuvent prendre la forme de communications, poster ou encore film, devront        permettre de mettre en discussion, dans une perspective critique, les mots et les expériences de la        frontière, pour mieux comprendre ce que les migrations nous disent des sociétés contemporaines.

 

Bibliographie  

Agier, M. (2014) ​Un monde de camps​. Paris, La Découverte, 424 p. 

Berthomière, W. (2017) Les espaces de l’hospitalité, fonction-miroir de sociétés se pensant assiégées,        Science and Video​, Varia, MMSH (Aix-en-Provence). 

Bancel, N. et al. (2010) Introduction : De la fracture coloniale aux ruptures postcoloniales. In Mbembe        A., Vergès F., Bernault F., Boubeker A., Bancel N., Blanchard P. (dir.)       ​Ruptures postcoloniales  ​, Paris, La      Découverte, pp.9-34. 

Bilge, S. (2005) La « différence culturelle » et le traitement au pénal de la violence à l’endroit des        femmes minoritaires : quelques exemples canadiens,           Journal international de victimologie     , tome 3,      n°3. 

Brunet-Jailly, E. (2005) Theorizing Borders: an interdisciplinary perspective,               Geopolitics, n°10,    pp.633-649. 

Fajardo Fernández, R. ; Soriano Miras R.M. (2016) La construcción mediática de la migración en el        Mediterráneo: ¿no-ciudadanía en la prensa española?.           Revista Internacional de Estudios Migratorios       ,  Vol.6, pp.141-169. 

Galeano, E. (1971)​ Las venas abiertas de América Latina​. México: Siglo XXI Editores, 379 p. 

Goytisolo, J. (2007) Introducción. En Rosalía Cornejo Parriego. (Eds.)       ​Memoria colonial e inmigración:       

La negritud en la España posfranquista​. Barcelona: Edicions Bellaterra, pp.17-38. 

Grosfoguel, R. (2015) La descolonización de la economía política y los estudios poscoloniales:       

transmodernidad, pensamiento descolonial y colonialidad global. En Grosfoguel, R. y Meneses M.P.       

(eds.) ​Epistemologías del Sur​ (Perspectivas), Madrid: Akal, pp.373-405. 

Harper, E. (2012) Regards sur l’intersectionnalité, CRI-VIFF, ​Collection études et Analyses​, n°44, pp.1-26. 

 

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La Cimade (2017) Coopération UE Afrique sur les migrations. Chronique d’un chantage. Décryptage        des instruments financiers et politiques de l’union européenne. Rapport d’observation, Paris, 60 p. 

Le Blanc, G. ; Brugère, F. (2017)             La Fin de l’hospitalité, Lampedusa, Lesbos, Calais… Jusqu’où irons-nous           

?​ Paris, Flammarion, 240 p. 

Mbembe, A. (2006) Qu’est-ce que la pensée postcoloniale ?, ​Esprit​ 330, pp. 117-133. 

Migreurop (2017)   Atlas des migrants en Europe. Approche critique des politiques migratoires                 . Paris,    Armand Colin, 176 p.  

Nerín, G. (2011)     ​Blanco bueno busca negro pobre. Una crítica a los organismos de cooperación y las                            ONG​. Barcelona: Roca editorial, 224 p. 

Santos, B. S. (2015) Más allá del pensamiento abismal: de las líneas globales a una ecología de        saberes. En Grosfoguel R. y Meneses M.P. (eds.)       ​Epistemologías del Sur (Perspectivas), Madrid: Akal, pp.         

21-66. 

Schmoll, C. (2017)     Spatialité de la migration féminine en Europe du Sud. Une approche par le genre                         .  Habilitation à diriger les recherches, Université de Poitiers. 

Szary A-L., Giraut F. (2015)         ​Borderities and the politics of contemporary mobile borders              ​, Basingstoke,    Palgrave Macmilan, 308 p. 

Vergès, F. (2008) Les transformations des postcolonial studies, ​Hermès​, La revue, n°51, pp.41-44. 

 

SITOGRAPHIE    

Programme E-diaspora : ​http://www.e-diasporas.fr/ 

Programme Babels : ​http://anrbabels.hypotheses.org/  

Application d’hospitalité CALM : ​http://calm.singa.fr/ 

 

   

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Consignes de proposition de communication

 

Cet appel s'adresse aux jeunes chercheuses et chercheurs.       Pour proposer une intervention, la          personne souhaitant communiquer devra faire parvenir, en un seul fichier .pdf à        resmig.seminaireannuel5@gmail.com​ les éléments suivants : 

● l’axe retenu pour intervenir, sachant que vous pouvez proposer une intervention s’inscrivant        de façon croisée dans plusieurs axes.  

● le titre de la proposition 

● le type de communication (communication classique, poster ou autre, vidéo par ex.) 

● un résumé de 500 mots max. de la proposition de communication 

● un court CV (comprenant nom, prénom, coordonnées précises, statut, organisme d’affiliation,        adresse, numéro de téléphone portable obligatoire, adresse mail et intérêts de recherche)  Date limite de soumission des résumés : La date limite de soumission des propositions est fixée au 6                avril 2018 inclus.  

Résultats de la sélection : Les résultats de la sélection seront indiqués à partir du 30 avril 2018. 

Possibilités de prise en charge des transports/hébergements/repas des intervenants :                   Pour les    personnes qui interviendront, des possibilités de financement sont envisageables, renseignements        auprès du comité logistique ​resmig.seminaireannuel5logi@gmail.com 

Envoi des propositions à l’adresse électronique ​: ​resmig.seminaireannuel5@gmail.com    

Comité scientifique  Comité d’organisation 

DE VULPILLIERES Camille, Université de  Nanterre, Laboratoire Sophiapol 

LE BIGOT Brenda, Université de Cergy-Pontoise,  associée UMR Géographie-cités 

MAROTO BLANCO José Manuel, Université de  Grenade, Département d’Histoire 

Contemporaine et Institut des Migrations. 

MINFEGUE Calvin, Université de Grenoble-Alpes,  UMR 5194 Pacte /Université Catholique d’Afrique  centrale, Laboratoire IPIS 

PINEL Jordan, Université de Poitiers, UMR  Migrinter 

BETON Laura, Université d’Aix-Marseille,  Laboratoire CERGAM et LEST 

GIACOMETTI Caterina, Universités de Poitiers,  Laboratoire Migrinter / Universités de Milan et  de Turin, Laboratoire Nasp 

NAINTRE Benjamin, Université de Poitiers,  Laboratoire Migrinter 

 

 

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